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Angélique dépravations

Chapitre 1

Orgie / Partouze
ANGÉLIQUE DÉPRAVATION (épisode n°01)
Gérard, quarante-neuf ans et son épouse Angélique quarante-six ans sont devenus complètement libertins depuis un peu plus d’une année, participant de plus en plus à des parties fines et même à des partouzes. C’est une façon un peu particulière de prolonger leur vie amoureuse et de mettre du piment dans leur quotidien. Gérard, dans la force de l’âge est assez sec et musclé avec des cheveux châtain clair. Angélique est une très belle femme à la chevelure brune et longue, qu’elle ramène parfois en chignon. Pulpeuse à souhait, elle a une forte poitrine qui tombe très légèrement et des cuisses et des jambes un peu fortes mais parfaitement galbées. Un léger rebondi de son ventre et un pubis proéminent offrent au mâle en rut une furieuse envie de la baiser.
Ce jour là, ils participent à une réunion organisée par un de leurs amis Serge de L. dans son château Renaissance de Sologne. Angélique et Gérard pénètrent alors dans une très grande pièce où une quarantaine de personnes se tiennent rassemblées, tous habillés à l’identique et comme eux portant un loup sur le visage. Quelques-uns dansent, d’autres sont assis sur des divans avec un verre à la main. Une femme un peu grasse s’approche et les invite à se joindre aux couples qui se trémoussent sur la piste. Angélique et Gérard s’enlacent aussitôt, se laissant aller à un slow langoureux. Au bout de la seconde danse une voix de femme intime aux danseurs de changer de cavalières.
Gérard se retrouve avec la femme qui les a reçus et très vite il ne voit plus Angélique qui disparaît dans la foule. Il songe qu’il ne pourra la reconnaître et que lui-même pourra difficilement être identifié car ils portent tous le même costume. Un deuxième et puis un troisième changement de cavaliers intervenant à la suite rend tout le monde anonyme.
Angélique a perdu également Gérard de vue, les costumes identiques respectant l’anonymat des danseurs. Elle apprécie aussitôt son dernier cavalier qui danse très bien, elle qui adore ça. Après une rumba et un tango auxquels Angélique a pris un grand plaisir, c’est un slow qui leur succède. À ce moment, son nouveau danseur se rapproche et se colle contre elle. Elle qui est nue sous sa robe en voile rouge constate que le sexe dur de son danseur se glisse insidieusement entre ses cuisses. Troublée, elle sent l’excitation la gagner et elle danse sur place pour ne pas perdre le contact avec ce sexe qui l’électrise. Elle le serre avec ravissement entre les jambes du mâle, sentant déjà sa mouille couler de son vagin qui s’entrouvre. Son danseur caresse son dos et sa main descendant jusqu’à ses fesses, elle se colle tout contre lui, puis, songeant que son masque lui garantit la confidentialité, elle ose relever le voile de sa robe et celle de son cavalier.
Prenant à pleines mains le sexe rigide et tendu à l’horizontal, elle découvre que le mandrin qu’elle tient dans ses mains est énorme. Mais, dans son état, elle ne veut pas réfléchir, ayant trop envie que l’énorme sexe plonge dans sa vulve. Aussi elle se hausse sur la pointe de ses chaussures et écartant ses grandes lèvres d’une main elle se l’enfile de l’autre main au plus profond de son intimité. Elle manque défaillir devant l’engin qu’elle vient de s’enfoncer dans sa matrice et qui la laboure impitoyablement. Malgré tout elle n’a plus le choix, continuant à danser sur place tout en copulant avec le mâle anonyme. Heureusement la danse langoureuse facilite l’intromission et les va-et-vient du mandrin trop volumineux de l’homme comblent entièrement la grotte de Angélique. Tout à coup son danseur l’entraîne dans une autre pièce tout en dansant et en faisant aller et venir sa verge dans la vulve si aimablement offerte. Arrivé près d’un gigantesque lit qui couvre les trois quarts d’une surface de dix mètres carrés, il fléchit les genoux et se laisse aller en arrière tout en maintenant Angélique encastrée sur son vit.
Sur ce vaste lupanar des couples nus et demi-nus copulent à deux mais le plus souvent à trois ou à quatre entremêlés. Angélique se demande si son mari est dans cette pièce, mais comment le reconnaître ? Ne voulant pas trop penser à ce qui va se passer elle se débarrasse de sa robe qui la gêne et s’étend de nouveau sur son partenaire tout en s’introduisant le sexe turgescent dégoulinant de sa mouille dans sa cavité vaginale. Il n’a pas encore éjaculé et pourtant il y a bien vingt minutes qu’il la besogne prouvant ainsi sa résistance à copuler.
À ce moment, elle sent des mains qui s’emparent de ses fesses ; ce ne peuvent être celles de son cavalier puisque au même instant il caresse à pleines mains ses seins volumineux. Ce second partenaire qu’elle ne voit pas lui écarte ses globes charnus lui pratiquant une magnifique feuille de rose, puis sondant son anus avec sa langue, il lui enduit son conduit avec sa salive. Angélique a compris qu’elle va être également sodomisée. Bien que ravie de cette pratique qui lui procure à présent une extraordinaire satisfaction, elle a toujours peur d’être déchirée par un sexe trop important. Malgré tout elle y trouve depuis un bon moment beaucoup de délectation et une grande volupté, surtout qu’elle a même déjà été prise en sandwich plusieurs fois et à chaque fois ce furent des expériences tout à fait concluantes.
Cette fois pourtant le sexe que lui présente l’homme qui la prend par-derrière a un peu de mal à se frayer un passage. Il appuie par petits coups essayant d’élargir l’œillet trop étroit, mais son sexe ne rentre pas. Soudain son partenaire de face lui prend les cuisses sous ses bras et il lui écarte les fesses au maximum la mettant presque cul par-dessus tête. Son partenaire de derrière lui enduit le canal fessier d’un lubrifiant très gras et presque chaud. Soudain l’énorme vit de ce second acolyte force l’entrée de son anus, repoussant presque avec sa queue celle qui occupe son vagin. Elle pressent que son conduit rectal doit être complètement dilaté mais bizarrement elle n’a pas vraiment mal, ressentant seulement un certain encombrement des deux membres qui obstruent ses orifices naturels. Elle est complètement immobilisée alors que son danseur tenant toujours ses cuisses bien écartées permet à l’homme qui l’encule de peser de tout son poids sur son dos, son sexe forçant profondément sa cavité anale qui s’ouvre sur un véritable cratère.
Les deux hommes se mettent à pousser en cadence l’un se retirant pendant que l’autre entre à fond. Angélique commence à râler de plaisir alors qu’une jouissance tourbillonnante s’empare de ses sens exacerbés se demandant si elle va pouvoir supporter cette bacchanale. Ses presque cinquante années de sagesse sexuelle ne l’ayant pas préparée à ces débordements lubriques. À ce moment, un autre homme vient vers elle lui agrippant fermement la tête par ses cheveux et lui enfournant une bite bien dure dans la bouche. Oubliant toute décence, elle se met à le pomper furieusement provocant rapidement une l’expulsion du foutre qui coule dans sa gorge, absorbant la sève et l’avalant sans rechigner.
Peu après, un autre s’approche et il lui force la bouche avec une queue énorme. Elle manque vomir tellement cette verge exhale une odeur d’urine et le foutre mélangés. Mais bourrée par son baiseur et son enculeur, encore excitée par celui qu’elle vient de pomper, elle recommence et nettoie avec sa langue les moindres recoins de la peau plissée de la verge de son violeur de bouche. Elle le mordille un peu pour voir et puis elle serre les dents plus fort et accentue sa pression presque à le mordre. D’un seul coup, elle reçoit un jet puissant au fond de sa gorge, la liqueur s’écoulant abondamment mélangée à de l’urine, manquant s’étouffer. Puis sans réfléchir à son avilissement, elle avale le tout, le jus coule de sa bouche tellement il se déverse à flots et dégouline sur son cou, sur ses seins, partout. À ce moment, les deux autres hommes éjaculent en même temps dans son vagin et dans son cul. Elle a affreusement mal partout et elle s’écroule complètement épuisée, mais heureuse et comblée comme jamais elle ne l’a été, bien qu’inquiète de son comportement, de plus en plus obscène et pervers, et du plaisir qu’elle en éprouve.
Angélique épuisée par les dépravations auxquelles elle vient de se livrer s’est endormie, sa fatigue ayant pris le dessus. Elle rêve que des hommes de noir vêtus l’emportent dans une pièce toute rouge et qu’elle est attachée à des anneaux, un feu est allumé et un bourreau tenant à la main une tige de fer rougie s’apprête à la torturer. Elle se réveille en sursaut et à l’impression de poursuivre son rêve. En fait, elle se retrouve les bras écartés et ses poignets pris dans des menottes ; celles-ci attachées à une barre au-dessus d’elle alors que ses chevilles sont de même menottées et attachées à des anneaux fixés au sol. Des instruments de tortures sont accrochés aux murs de cette salle voûtée, des fouets, des martinets, des pinces énormes, des marteaux, des menottes de toutes sortes.
Angélique a des sueurs froides. Que s’est-il passé après l’assaut qu’elle a subi des quatre hommes avec qui elle a forniqué ? Où est Gérard son mari ? Comment pourrait-il la reconnaître d’ailleurs. Elle est pareille aux autres femmes qui portent le même masque qu’elle alors que les hommes ont des loups identiques. Elle ne peut s’empêcher d’éclater en sanglots provoquant aussitôt la réaction d’un homme qui s’approche d’elle et lui enfonce un mouchoir dans la bouche tout en le lui maintenant avec un foulard qu’il attache dans son cou. Mon Dieu ! Pense t-elle avec effroi. Que va-t-il se passer ?

Elle aperçoit deux autres femmes liées comme elle. La première est une magnifique jeune femme très bronzée avec des cheveux noirs coupés très courts. Elle est à califourchon sur un genre de cheval d’arçon les mains et les chevilles liées aux montants. Elle a le derrière disposé très haut et les fesses très écartées alors qu’un godemiché en plastique rouge est enfoncé dans son anus qui est fortement dilaté. Sous elle, on voit un mandrin fixé au chevalet et qui s’enfonce dans le vagin très élargi de la femme. L’autre, une rousse flamboyante possède une peau parsemée de taches de rousseurs. Ses petits seins sont suspendus par des anneaux enfilés à travers ses tétons à soixante centimètres du sol, ses bras et ses jambes distendues en arrière, son ventre formant un arc de cercle car des anneaux fixés aux grandes lèvres de son vagin sont reliés par un mousqueton retenu à un anneau fixé au sol.
C’est un spectacle de cauchemar qui rend Angélique morte de trouille. Il y a une cinquantaine de personnes qui sont assises sur des banquettes confortables et qui attendent tout en bavardant à voix basse. Gérard, son mari se trouve-t-il avec eux ? Va-t-il la reconnaître et viendra-t-il la délivrer ?
Une musique hindoue obsédante sort de plusieurs haut-parleurs ; la lumière est assurée par des candélabres aux bougies rouges et jaunes, de l’encens monte de nombreux brûle-parfums. Tout cela semble irréel. Tout à coup tous les spectateurs se tournent vers une porte qui vient de s’ouvrir alors que quatre hommes habillés comme tous les autres portent un brancard sur leurs éGérardes. Ils s’avancent au milieu de la pièce en portant la civière sur laquelle on distingue une forme recouverte de voiles multicolores, puis ils le posent sur une grande table qui se trouve au milieu. L’homme de l’assistance qui s’avance alors possède un corps légèrement empâté et très velu, avec entre ses jambes un sexe au repos qui paraît important avec deux grosses bourses de chaque côté. Il retire les voiles de dessus le brancard, faisant apparaître le corps d’une toute jeune fille entièrement nue. Elle aussi porte un masque de panthère.
Cette presque adolescente paraît à peine nubile, elle est très blonde avec de grands cheveux, ses seins sont très hauts plantés et à peine plus gros qu’une mandarine avec des pointes fardées comme les hindous. L’homme la prenant par un bras, la fait descendre de la table en la faisant tourner autour de lui afin que tout le monde puisse l’admirer. On remarque que son pubis est très fourni et bien que ce soit une vraie blonde, ses poils dissimulent entièrement son vagin qui doit être bien petit compte tenu du corps minuscule et gracile qui est présenté ainsi à l’encan. L’homme s’adresse alors aux spectateurs.
- Je m’appelle Serge et pour ceux qui ne me connaissent pas encore je suis votre hôte. Je vous présente ma jeune femme Isabelle avec qui je me suis marié ce matin. Elle est vierge et ne connaît rien à l’amour ni aux joies des caresses. Elle sait seulement recevoir un baiser chaste sur ses joues alors que ce matin j’ai seulement effleuré ses lèvres à la mairie et à l’église. Elle ici consentante pour tout apprendre de moi en votre présence, avec s’il le faut votre participation éventuelle.
Un murmure d’étonnement court parmi les cinquante personnes rassemblées. L’homme reprend aussitôt la parole.
- Bien sûr, pour apprécier ce corps tout neuf il faut le dénuder encore plus, aussi, je vais pour commencer lui faire enlever tous ces poils superflus qui ne permettent pas d’apprécier son sa si jolie vulve encore vierge. Pour cela j’aurais besoin de deux femmes et d’un homme, il me faut des volontaires s’il vous plaît ?
Trois ou quatre femmes et une dizaine d’hommes s’avancent. Serge choisi deux femmes dans la plénitude de l’âge au corps bien en chair avec des mamelles lourdes qui tombent un peu. Puis un homme d’une trentaine d’année bien bronzé et très musclé. Les quatre hommes ont retiré le brancard et installés une grande alèse blanche sur la table alors que des oreillers ont été disposés à un bout de la table. Serge soulève sa jeune femme dans ses bras qui vient aussitôt blottir sa tête contre son éGérarde. Il l’installe sur la table et doucement, utilisant des liens en soie, il lui attache les poignets et les chevilles et fixe les liens à une tringle métallique qui fait le tour de la table. Il lui glisse un gros coussin sous les fesses ouvrant ainsi le corps et dégageant les cuisses bien écartées pour accéder au pubis un peu soulevé. La toison très fournie de la jeune fille couvre entièrement la vulve encore vierge, et bien que, dans cette position, elle soit complètement offerte aux regards qui s’extasient devant ce jeune corps ravissant, son intimité est encore entièrement voilée.
Serge remet à une des femmes un bol de savon et un blaireau et lui demande de savonner la jeune fille. La femme au masque savonne l’entrejambe d’Isabelle alors que la seconde femme avec une paire de ciseaux coupe les plus grands poils, pendant que l’homme essuie avec une serviette et retire délicatement les grands poils qui jonchent le pubis de l’adolescente. Bientôt apparaît une toison blonde en brosse, laissant apparaître la fente à peine esquissée du vagin de la jeune vierge. Alors qu’elle tressaille à chaque attouchement des deux femmes et de l’homme, son mari regarde impassible sa jeune épousée se faire dénuder son minou. Un des hommes apporte un rasoir à manche et un étui en cuir.
Le jeune homme bronzé est certainement un coiffeur car il prend le coupe-choux et l’affûte sur le cuir. Isabelle gémit car apparemment elle a peur mais elle n’ose protester quand les deux femmes lui maintiennent les cuisses bien à plat et avec la paume de leurs mains tendent la peau de chaque côté des grandes lèvres. À ce moment, le jeune homme s’approche puis tendant la peau entre deux doigts de sa main gauche, il passe le rasoir délicatement de sa main droite autour du mont de vénus de la jeune fille la faisant frémir d’épouvante. Le rasoir racle sur la peau très fine d’Isabelle alors qu’au fur et à mesure, l’homme essuie la mousse et les poils coupés, puis remettant régulièrement de la mousse avec le blaireau, il fait maintenant le tour des grandes lèvres et il rase délicatement le pourtour du capuchon du clitoris. Avec une éponge naturelle trempée dans de l’eau tiède il essuie à présent l ‘ensemble des chairs rougies par le feu du rasoir.
Puis il demande aux deux femmes de soulever les jambes de la jeune fille, enduisant aussitôt de savon la raie culière qu’il rase doucement jusqu’à la rosace de l’anus tout en le dégagement délicatement. La jeune fille est tendue à l’extrême et l’anxiété transpire par tous ses pores, mais en même temps les spectateurs attentifs peuvent déceler un mince filet de mouille qui suinte de son vagin.
Serge dit un mot à l’oreille de l’homme. Celui-ci se penchant vers le jeune vagin essuie à grands coups de langue la liqueur juvénile. La jeune fille se détend, devinant que le rasage est terminé. Le léchage de ses chairs intimes lui procure des sensations bizarres, elle geint doucement alors que la langue après avoir nettoyé les lèvres s’infiltre délicatement aux abords de la vulve, remontant et suçant le capuchon du clitoris pour le découvrir doucement. Isabelle halète de plaisir et n’a plus cette suffocante angoisse qui la tourmentait. Serge s’approche alors près de la tête d’Isabelle, présentant son vit à la petite bouche sensuelle de la jeune fille. Celle-ci détournant la tête, une des deux femmes qui avaient toutes les deux entrepris de lui sucer les pointes de ses seins prend le pénis de Serge et l’enfourne tout entier dans sa bouche, elle le pompe quelque temps puis le faisant /se dégager de ses lèvres, elle joue avec sa langue en essayant de pénétrer le méat de la verge boursouflée.
Tout cela à quelques centimètres des yeux d’Isabelle. Celle-ci comprend enfin ce qu’on attend d’elle. Résignée, elle sort une petite langue rose de sa jolie bouche et commence à lécher la verge de son mari à côté de la langue de la femme, puis elle arrondit même sa bouche prenant délicatement le gland entre ses lèvres. Enfin, sans doute excitée par la langue de l’homme qui titille toujours ardemment son clitoris elle se met à aspirer entre ses lèvres le sexe de son mari. Celui-ci lui tient fermement la tête par ses cheveux, car soudainement il décharge son sperme dans la bouche de la gamine. Elle essaie bien de retirer sa bouche, mais Serge lui maintient la tête et il laisse s’écouler son foutre qui jaillit de sa queue monstrueuse. Isabelle se débat inutilement, car les deux femmes la tiennent fermement alors que l’homme lui suce toujours le clitoris efficacement.
Tout à coup, malgré ou à cause de ce qui vient de lui arriver, un orgasme fulgurant la saisit et un ravissant bien-être l’envahit. Le sperme s’écoule toujours de ses lèvres entrouvertes alors qu’elle est complètement étendue les jambes grandes ouvertes. Les spectateurs qui se sont rapprochés peuvent admirer son vagin à présent imberbe qui est superbe, les grandes lèvres sont d’un rose tendre alors que le peu que l’on aperçoit de l’intérieur tire au saumon. Tout le monde applaudi car si elle a bien joui c’est certainement la première fois. Son mari l’embrasse sur la bouche alors qu’avec sa langue, il nettoie son foutre qui l’a salie. Tous les participants à cette orgie ont très envie de déflorer ce jeune tendron. Pourtant il est bien entendu, que cela va être réservé à son mari un peu plus tard. Pour l’instant elle va se reposer car elle a très bien subi sa première épreuve initiatique.
Serge étant le maître de cérémonie, il a maintenant envie de faire voir à sa jeune épousée jusqu’où peut aller la soumission. Il s’approche de la belle rousse prise dans les anneaux, puis il se penche et enlève le mousqueton des anneaux des grandes lèvres qui est pris dans l’anneau fixé au sol, puis il attire un peu la femme qui gémit pour se glisser sur le dos, sous elle. Un des quatre hommes détache la corde qui retient les quatre anneaux fixés sur un cadre et qui la retienne par ses membres, descendant doucement le corps de la femme. Serge, écartant de ses doigts les grandes lèvres étirées, présente sa verge entre les chairs du corps descendant lentement et qui vient s’empaler sur son sexe. La femme a un soubresaut et gémit lorsque la verge s’enfonce profondément dans son pertuis. L’homme tire sur la corde et la laisse glisser de nouveau alors que Serge reste immobile. Le vagin de la femme fait un va-et-vient simulé puisque non volontaire. Malgré la douleur des membres attachés et sa position plus qu’inconfortable les gémissements hurlés en anglais de cette jolie rousse sont pour une grande part de volupté masochiste.
Angélique regarde ce spectacle avec fascination et horreur à la fois, pensant à ce que l’on va lui faire à elle. Elle a pourtant senti couler sa liqueur lors de la séance de rasage de la jeune fille. Ce spectacle l’excitait car elle s’est rappelé les séances de rasage avec Gérard et le plaisir qu’elle en retirait malgré la peur des ciseaux glissant le long de son vagin et la lame qui effleurait son clitoris. Rien que d’y penser encore elle se met à geindre de délectation.
Une des femmes de l’assistance qui la fixe depuis un bon moment s’approche d’elle, C’est une forte matrone qui a des seins plantureux et des grosses fesses rondelettes, mais elle est très bien proportionnée comme celles qui sont peintes par Rubens. Blonde avec des cheveux bouclés coupés courts, elle a sans doute une bonne quarantaine d’année. Elle retire sa robe en arrivant près de Angélique et elle se colle à elle, la couvrant de baisers en la consolant tout en lui disant s’appeler Marlène. Bientôt, sa bouche vient se coller à la sienne alors que sa langue vient s’enrouler autour de celle de Angélique. Pendant ce temps, sa main gauche lui pétrit un sein et sa main droite vient de glisser entre ses cuisses grandes ouvertes par les liens qui la retiennent. Elle agite ses doigts du clitoris aux grandes lèvres, les glissant même dans le vagin humide qui se prête avec délices aux attouchements féminins. Marlène apprécie apparemment le liquide vaginal qui coule de l’excavation car ses doigts joints s’enfoncent dans le vagin lubrifié de Angélique. Celle-ci subodore qu’elle va recevoir toute la main de la grosse blonde qui s’excite de plus en plus. Pourtant Angélique en a vraiment une grande envie même si cela doit lui faire très mal car la main de cette femme est en rapport avec son corps et elle va lui forcer sa vulve, quitte à la déchirer.
Mais Angélique a une envie furieuse d’être pénétrée dans son excavation intime aussi elle se prête à l’introduction en poussant son ventre en avant. D’un seul coup, tous les doigts et la paume de la main se retrouvent dans sa matrice, lui faisant pousser un hurlement de douleur. Elle a l’impression d’être ouverte en deux et que tout son corps va se vider sous elle sous la poussée de la main enfouie jusqu’au fond sa matrice. Mais bientôt une houle de jouissance la submerge, la faisant onduler autour de cette main qui lui procure une jouissance monstrueuse la faisant râler sa joie. La forte femme tout en continuant à l’embrasser profondément et à lui malaxer les seins avec une main, la baratte à présent avec ses doigts écartés, raclant sa mouille comme pour faire du beurre avec le jus qui coule des entrailles de Angélique. Celle-ci ébranlée par cette main qui grouille dans son ouverture béante vibre de tous ses sens surexcités et hurle de joie et de volupté.
Serge qui s’est dégagé de la jolie rousse arrache alors un martinet du mur et fouette à la volée les fesses de Angélique pour la faire taire. Elle hurle plus fort sa douleur alors que les lanières mettent à mal son postérieur ses fesses qui deviennent toutes rouges laissant perler des gouttelettes de sang. Angélique s’écroule alors dans ses liens, matée par la correction qu’elle vient de recevoir. Alors que l’onde douloureuse de ses fesses meurtries se mélange avec la jouissance de son vagin, elle ne sait plus où elle en est et tombe en syncope. Deux hommes et deux femmes viennent aussitôt la détacher et l’allonger sur un lit. Marlène lui masse ses fesses avec un onguent relaxant tout en lui murmurant des paroles rassurantes et en l’embrassant dans le cou alors que Angélique épuisée s’assoupit. Serge s’adresse alors à sa jeune épousée de seize ans.
— Tu vois ma chérie tout ce qui t’arrivera dans quelque temps. J’espère que tu seras à la hauteur et que je pourrais être fier de toi.
Il se tourne alors vers la magnifique brune, enconnée et enculée sur son chevalet. Il retire d’un coup sec le godemiché du rectum de la femme qui pousse un cri de surprise et de douleur. Puis il appuie sur un bouton invisible sous le chevalet actionnant ainsi le mandrin fixé dans le vagin de la femme qui s’allume et se met à clignoter. Serge appuyant sur un second commutateur, le mandrin illuminé se projette en avant s’enfonçant dans le ventre de la femme, puis il revient en arrière et lentement il pilonne sans discontinuer le vagin de la brunette. Serge voyant son cul disposé exactement à la hauteur de sa bite, il la présente vers la rosace distendue depuis un bon moment et il s’enfonce d’un seul coup dans l’anus violacé. La femme hurlant sa douleur se trouve ébranlée par le phallus artificiel et fouillée par la grosse verge de son enculeur. À ses cris de douleurs se mêlent bientôt ses halètements de plaisir et elle crie.
- Encore, Oh ! Oui ! C’est bon, continue mon chéri, défonce-moi le cul, j’aime ça ! Oh ! Que c’est bon, encore Ouiiiii ! Ouiiiii !
Enfin exténuée par son supplice, elle s’écroule évanouie. Serge retire sa queue qui est congestionnée et très grosse alors qu’une goutte de sperme sort du méat entrouvert. Il s’approche d’Isabelle qui a regardé la succession de ces scènes avec une lueur d’effroi dans les yeux. Serge lui fait signe d’approcher.
— Suce-moi, et nettoie-moi bien cette queue qui vient d’enconner et d’enculer ces femelles. Dépêche-toi !
Isabelle épouvanté a un mouvement de recul. Deux hommes la prennent chacun par un bras et ils la font s’agenouiller devant son mari. Vaincue elle approche sa bouche de la verge monstrueuse et bavante. Elle avance ses lèvres délicatement, arrondissant sa bouche et commence à sucer le dard tendu. Elle grimace de dégoût devant les odeurs du sperme, de la mouille et des traces de matière fécale ; ces derniers provenant du cul de la brunette l’écœurent, mais elle n’a pas le choix et elle suce de plus en plus fort. Serge juste avant de jouir se retire et dirige ses jets de sperme vers le visage d’Isabelle et vers sa poitrine. Puis, de ses mains, il étale le mélange de foutre et d’autres matières sur la figure et sur tout le corps de sa femme.
Les assistants se branlent énergiquement car la succession des scènes érotiques qui viennent de se dérouler devant eux les ont excités au plus haut point. Les femmes suppliciées ont été détachées, récupérant à l’exemple de Angélique. Celle-ci essaie de repérer Gérard dans l’assistance car si tous sont masqués tous sont également nus et Angélique connaît bien le sexe moyen de Gérard quand il est au repos. Son regard examine attentivement les hommes autour d’elle. Enfin elle croit reconnaître son mari et se rapprochant de lui, elle susurre à son oreille.
- C’est toi Gérard ?
Celui-ci acquiesce et Angélique l’embrasse soulagée.
— Tu as vu ce que j’ai dû subir, attaché aux barres ce que j’ai eu peur, je me demandais ce qui allait se passer et j’avais la frousse d’être mutilée.
Gérard lui glisse.
— Oui j’ai tout vu et j’ai apprécié le spectacle que tu nous as donné. Dis donc ma chérie ta grosse t’as drôlement fais jouir, tu gueulais de contentement d’être fouillée de la sorte, heureusement que Serge t’as corrigé mais as-tu aimé le fouet ?
Angélique fait la mou.
— C’est très douloureux et ce sadique n’y allait pas de main morte, mais j’avoue qu’avec les doigts de cette femme qui me ravageaient mon vagin le plaisir se mêlait à la douleur et puis tu sais, j’avais déjà eu un grand bonheur. Après t’avoir quitté un danseur avec un sexe énorme m’a prise et un autre est venu dans mon derrière avec une bite encore plus grosse. C’était comme les autres fois à la maison où j’étais prise par les deux côtés. Oh ! Gérard, j’ai honte, mais maintenant j’aime de plus en plus être prise par mes deux endroits. Cela me fait un effet terrible. Je ne peux dire, c’est inexprimable tellement c’est fantastique, mais je voudrais le faire avec toi où au moins que tu sois là.
Gérard pendant que son épouse s’épanchait entreprend de faire rouler sous ses doigts le clitoris de sa femme alors que celle-ci le tripote doucement. Ils sont comme tous les autres qui se branlent en attendant la suite. Mais il se passe quelque chose au centre de la pièce. Les quatre hommes du début ont enlevé la table et ils viennent d’installer un drôle de divan un genre de chauffeuse. Celle-ci est très courte avec un dosseret à un bout. Sur chaque côté est fixé deux cornes s’écartant vers l’extérieur avec un rebord incurvé vers l’intérieur. On comprend son usage lorsque Serge y dirige sa jeune épouse. Il l’installe confortablement contre le dosseret chaque jambe passée par-dessus la corne qui ressemble à une corne de selle d’amazone. D’ailleurs cette chauffeuse est tout en cuir. Isabelle peut voir sa vulve qui s’entrouvre car ses jambes et ses cuisses sont bien écartées.
Son maître appelle alors quatre jeunes hommes et trois jeunes femmes qu’il a apparemment choisis dans l’assistance. Deux des hommes se mettent de chaque coté de la chauffeuse et se préparent à sucer les bouts des seins d’Isabelle. Une des jeunes femmes s’approche de sa bouche et l’embrasse profondément. Pendant ce temps, un homme et une femme sont venus s’installer sur des chaises à portées des mains d’Isabelle. L’homme lui prend sa main et la porte à son sexe en érection. Il lui fait comprendre en faisant glisser les doigts le long de sa hampe la méthode pour masturber un homme. La femme a dirigé l’autre main d’Isabelle vers son entrejambe et a pris ses doigts qu’elle introduit dans son vagin. Elle la tient par le poignet et la dirige activement dans cette masturbation bien féminine. Le dernier homme se glisse sur le dos en dessous des fesses d’Isabelle qui sont bien dégagées par la forme de la chauffeuse. Il darde sa langue vers la rosace d’une couleur jaune orangée de l’anus de la jeune fille et il enduit de salive la raie culière. La dernière jeune femme vient se mettre à califourchon sur le jeune homme et s’enfourne sa queue dans son vagin. Sa tête est à la hauteur du conin vierge de la jeune épousée et elle lui fait une minette comme seule une femme sait le faire à une autre femme. Isabelle, caressée et surtout léchée de toute part éprouve des frissons langoureux la faisant gémir alors que son ventre tressaute sous les attouchements libidineux des participants.
Au bout d’une bonne demi-heure d’attouchements multiples elle a déjà joui plusieurs fois, la faisant pleurer et rire hystériquement. Serge approche alors sa queue tendue vers l’hymen vierge de sa jeune épousée. La femme qui s’occupe du vagin s’écarte et prenant le pénis monstrueux de l’époux, elle le dirige vers la vulve virginale qui s’est entrouverte, laissant s’écouler une mouille abondante. Elle présente le sexe de l’homme entre les grandes lèvres alors que celui-ci d’un seul jet pourfend le sexe encore intact et pur. Isabelle pousse un hurlement et veut se redresser, mais tous la tiennent solidement et son mari entre au plus profond de la chair violentée.
Bientôt, Isabelle qui laisse les larmes couler sur son beau visage, caressée et léchée de partout prend peu à peu plaisir à cette chose étrange qui remue en elle. Aussi elle tend son ventre en avant à la rencontre de cet organe qui lui donne des sensations inexplicables. Elle gémit et râle de nouveau espérant intérieurement que ces sensations voluptueuses ne cessent jamais. Serge a retenu le plus longtemps possible son éjaculation pour faire durer et son plaisir et la jouissance extrême de sa jeune épouse. Mais, au bout d’un temps qui a paru très long à toute l’assistance, il éjacule longuement dans le vagin meurtri qu’il vient de déflorer. Le silence de l’assistance est total, on entend seulement les râles euphoriques d’Isabelle et les vociférations torrentielles de Serge qui expriment chacun à leur manière leur jouissance infernale.
Serge se retire alors faisant un signe à l’assistance. Il leur offre ainsi le corps de la toute jeune fille qui vient de devenir femme. Hommes et femmes mélangés se précipitent vers la proie offerte à leur avidité. Les femmes couvrent Isabelle de baisers et la lèchent sur tout son corps. Les hommes les uns après les autres pénètrent de leur sexe ce corps gracile qui tressaute à chaque introduction. Ils sont au moins vingt-cinq ou trente à tremper leur queue dans ce ventre rempli de foutre. On entend Floc !, Floc à chaque coup de bite qui entre ou sort du vagin malmené. Isabelle n’a même plus la force de crier : Sa peur ? Sa douleur ? Son plaisir ? Sa répugnance ? Son bonheur ? Son horreur ? Sa jouissance ? Elle ne sait plus. Elle a un corps moulu, harassé, cassé, rendu mais aussi épanoui, comblé, rassasié, ravi. Les orgasmes se sont succédé sans presque d’interruption et elle finit par s’évanouir rompue et comblée.
Gérard n’a pas été avec les autres. Il sait bien que son sexe ne bandera peut-être pas suffisamment car il n’apprécie pas ce genre de viol collectif, même si la victime est consentante, et puis il n’est pas sûr que cela puisse faire vraiment plaisir à Angélique. Celle-ci d’ailleurs s’est fait entreprendre par un jeune éphèbe qui a un sexe très long et très fin. Elle joue avec ce sexe bien dur qu’elle tient entre ses doigts et elle le pompe ardemment. Elle a confié tout à l’heure à Gérard qu’elle voudrait bien de ce sexe dans son derrière pendant que Gérard la prendrait par-devant. Celui-ci, dont le sexe s’est bien raidi se met alors sur le dos et il se masturbe en attendant que sa femme ait préparé le jeune homme. Angélique vient bientôt se mettre à califourchon sur Gérard, entrebâillant son vagin, elle prend la queue de Gérard à pleines mains et se l’enfourne au plus profond de son ouverture.
Le jeune éphèbe se présente alors derrière Angélique lui enfilant son dard effilé dans le rectum. Gérard ressent aussitôt à travers la paroi intestinale de Angélique le sexe de l’autre qui vient se frotter au sien. La sensation dans cette position est pour Gérard très excitant et Angélique prend un pied extraordinaire car elle aime de plus en plus être prise de cette manière lubrique. Le jeune a pris ses seins à pleines mains et il les lui malaxe violemment. Elle a mal, mais elle aime ces douces tortures de ses mamelles. L’éphèbe lui bourre le cul si vigoureusement qu’elle sent ses bourses battre contre ses fesses. Elle a glissé également une main entre son ventre et celui de son mari et elle se triture le clitoris énergiquement. Après un bon moment, les trois corps s’écroulent ayant joui abondamment et bruyamment alors que Angélique se sent vraiment fourbu. Que de foutre dans sa bouche, dans son con et dans son cul. Cette nuit elle en a largement profité.
À ce moment, Serge le maître des lieux prévient que tous les participants peuvent aller se restaurer s’ils le veulent et se reposer dans les chambres. Après une journée qu’il leur souhaite bucolique, il annonce qu’il y aura de nouveaux divertissements pour la nuit suivante. Il est déjà quatre heures du matin lorsque Angélique et Gérard se dirigent vers leur chambre en se demandant ce que la prochaine soirée pourra leur réserver.A suivre…LYCAON
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