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Angie, la superhormone sexuelle

Chapitre 2

Laurent et les 2 soeurs

Inceste
Pour rappel, je m’appelle Laurent et j’ai dérobé, à un ami chercheur, une petite quantité d’Angie, une superhormone permettant d’accroître le désir sexuel, afin d’en donner à mon épouse, Sylvie, atteinte d’une équivalence d’anorexie sexuelle. Et la substance miracle marche, comme je viens de le constater dans le métro.Il y a à peine 300 m entre la station de métro et l’immeuble où habitent Anne et Christophe, la sœur et le beau-frère de Sylvie. Cette courte marche me permet d’évoquer avec mon épouse l’épisode du métro.
— Dis-moi Sylvie, tout à l’heure dans le métro, cette scène surréaliste, comment était-ce ?— Quoi, être prise par ces deux inconnus qui ont abusé de mes orifices comme une vulgaire traînée pendant qu’un troisième se masturbait en nous regardant ? J’aurais dû détester et pourtant, au contraire, ce fut un moment merveilleux, un moment de sexe pur. Et j’ai joui, un orgasme extrêmement intense même s’il n’a duré que quelques secondes. Tu ne peux pas comprendre, Laurent, enfin éprouver cette jouissance suprême alors que cela fait tant d’années que je n’arrive pas à trouver le moindre plaisir sexuel. Mais tu n’es peut-être pas étranger à cette guérison, mon amour ?— Pourquoi dis-tu cela ?— Mais que crois-tu ? Que les chercheurs inventent des substances miracles sans aucun suivi ? Tout est parfaitement contrôlé et Pierre connaissait exactement la quantité de sa superhormone sexuelle, au millilitre près. Et il s’est vite aperçu ce matin, en retournant au travail, qu’il en manquait. Il lui a été facile de faire le rapprochement avec ta venue hier à son labo. Ensuite, il m’a téléphoné et bien qu’il soit ton ami, il a voulu me mettre en garde, Angie n’ayant pas encore été testée chez des humains. Mais moi, je ne t’ai rien dit, car je souffre trop de ne pas aimer le sexe ; je sais, cela peut paraître très paradoxal, mais c’est comme ça. Alors, j’ai guetté le moment où tu essaierais de me faire absorber un peu de cette substance en douce et je t’ai vu, tout à l’heure, en mettre dans mon café. Mais après ces années de consultations inutiles chez des psys, j’ai voulu tenter cette autre approche thérapeutique. Je n’avais rien à perdre et tout à gagner. Et tu vois, cela a marché au-delà de mes espérances, enfin j’arrive à jouir, et grâce à toi.
Et pour ça, je te dis merci, voilà, tu sais tout.
— Mais là, tu me parles tout à fait normalement alors qu’il y a peu tu t’es comportée, excuse-moi du terme ma chérie, comme la pire des salopes. J’ai du mal à suivre.— Ce n’est pas à moi de te donner une explication et Pierre sûrement pourrait t’en dire plus. Peut-être qu’avec la quantité donnée, les effets ne durent pas si longtemps ou qu’Angie entraîne une période réfractaire après un orgasme, aucune idée. Au fait, combien de gouttes avais-tu versées dans mon café ?— Dix, mais j’ai dosé au hasard et je pensais que l’effet produit durerait plus longtemps, on verra bien.— Mais toi, je présume que tu as voulu me faire prendre Angie pour enfin assouvir tes désirs sexuels avec moi. Et pourtant, tu n’as rien fait dans le métro, tu t’es contenté de nous regarder. C’est bizarre comme attitude, non ?— Je ne sais pas l’expliquer. Sans doute une sorte de sidération à te voir agir comme tu l’as fait, alors que depuis des années, tu me refuses tout rapport sexuel.
A peine dix minutes plus tard, nous sommes en bas de l’immeuble, où habitent, au 9e étage, Anne et Christophe. Nous prenons l’ascenseur quand, à mi-montée, Sylvie appuie sur le bouton « Stop ».
— Laurent, ce n’est pas possible, mon désir de sexe vient de revenir, en quelques secondes seulement et si fort que je ne peux plus me contrôler. Prends-moi, je veux ta bite et s’il te plaît, fais vite.
Cette fois-ci, je n’hésite pas. J’ouvre mon pantalon, baisse mon caleçon et relève la jupe de Sylvie qui s’était déjà tournée. D’un coup bref, j’introduis mon membre, parfaitement raide par l’excitation, dans la chatte de ma femme, mouillée par sa cyprine qui coule en abondance. Ma queue s’enfonce sans aucune difficulté et je peux immédiatement entreprendre de la besogner. Sylvie est déchaînée et très vite ne se retient plus et des mots crus sortent de sa bouche, toujours les effets d’Angie, pour exprimer son désir.
— Vas-y mon salaud, baise ta chienne de femme et défonce mon con. C’est trop bon, Laurent, je veux de la bite, encore, encooorrreee.
Il règne dans la cage d’ascenseur une atmosphère électrique, Sylvie a les deux mains appuyées contre une paroi, sa croupe projetée vers l’arrière afin de faciliter les mouvements de mon sexe qui sont devenus rapides. Elle n’arrête pas de gémir de plus en plus fortement et je veux profiter de ma femme au plus vite. Il n’y a aucune place pour de la tendresse, car je ne veux que du sexe, sans doute un exutoire après la scène du métro où je n’étais que spectateur. Très vite, je sens que je vais exploser, mais je n’essaye pas de me retenir, car je perçois également que Sylvie va jouir. Son corps se contracte et elle pousse soudainement un cri sans aucune retenue alors que je déverse en un jet puissant mon sperme au plus profond d’elle. Tout a été très rapide, quelques courtes minutes, mais une scène de sexe des plus torrides, de la baise pure sans artifice.

Nous mettons tous les deux un peu de temps à récupérer et à retrouver une respiration normale, puis je me rhabille rapidement avant de terminer notre montée en ascenseur.
Nous sonnons chez Anne et Christophe, c’est la sœur de Sylvie qui nous ouvre.
— Coucou, tous les deux, entrez vite, je suis si heureuse de vous voir. Mauvaise nouvelle, Christophe a été appelé en urgence à son travail, une fuite d’eau dans un bâtiment et comme il est responsable de la sécurité industrielle... J’espère qu’il pourra nous rejoindre pas trop tard.
Anne et Christophe sont un couple un peu plus jeune que nous, 35 et 38 ans. Les deux sœurs sont très proches l’une de l’autre, mais autant mon épouse était, jusqu’à aujourd’hui, réfractaire à tout ce qui touche de près ou de loin au sexe, autant sa jeune sœur est très délurée et je dirais très portée sur la chose. Le couple est d’ailleurs un couple libertin et ne s’en est jamais caché avec nous. Mais avec Anne, nous partageons un secret, nous avons régulièrement des rapports sans que son mari le sache. Tout est parti d’un jour où je parlais avec ma belle-sœur et lui avouais toute ma détresse face au problème de Sylvie. Je lui expliquais que si j’aimais profondément ma femme, il m’était de plus en plus pénible de ne pouvoir assouvir mes besoins sexuels, d’où mes escapades sur des sites internet dédiés ou auprès de professionnelles.
A ce moment, la discussion a dérapé, elle m’a affirmé que de nombreuses femmes seraient certainement ravies de pallier au manque que j’éprouvais, en rajoutant que c’était son cas.
Voilà comment tout a commencé entre nous et depuis, trois ou quatre fois par an, nous posons une journée de RTT pour nous retrouver et partager complicité et sexe.
— Allez, venez vous installer dans le salon. Dites donc, vous êtes un peu rouges tous les deux, on dirait presque que vous êtes montés à pied. Vous allez me raconter les dernières nouvelles, en attendant, viens avec moi, Laurent, on va préparer l’apéritif.
Aussitôt dans la cuisine, Anne m’embrasse sur la bouche, d’abord très tendrement puis fougueusement, nos deux langues et nos salives se mêlant. Elle passe ses mains sous mon polo pour caresser ma peau. Elle sait que j’apprécie énormément ce contact sensuel qui fait monter en moi le désir et je sens mon sexe durcir dans mon pantalon. Une de mes mains se glisse sous son chemisier pour lui procurer des caresses. Le fait qu’elle enlève son soutien-gorge dès son retour à domicile facilite ma tâche. Elle apprécie le mouvement de ma main et de mes doigts sur ses mamelons et comme je connais exactement ce qu’elle attend, il est aisé pour moi de répondre à ses envies. Ses mains ne restent pas inactives et l’une d’elles vient me caresser l’entrejambe.
— Ah Laurent, j’ai envie de toi et toi aussi manifestement. Vraiment dommage de ne pas être seuls, car je te demanderais bien de me prendre. J’en ai tellement envie, mais là, il faut bien préparer l’apéritif et retourner voir Sylvie, elle va s’impatienter.— Attends, Anne, j’ai quelque chose de très important à te dire au sujet de ta sœur. Assieds-toi deux minutes, tu ne vas pas en croire tes oreilles. Ecoute...
Je résume alors la situation en n’omettant pas les scènes du métro et de l’ascenseur. Puis nous préparons l’apéritif que nous posons sur un plateau pour revenir au salon. Et là, nous découvrons Sylvie, allongée sur la table basse, entièrement nue, les jambes pliées, son sexe grand ouvert à la vue de tous. Anne qui portait deux paquets d’amuse-gueule les fait tomber et entrouvre sa bouche d’étonnement. Quant à moi, les évènements récents, qui m’ont habitué aux excentricités de Sylvie, me permettent de ne pas tout renverser sur le sol.
— Je n’en peux plus, j’ai encore envie, c’est revenu comme tout à l’heure. Et j’ai envie de vous deux et d’abord de toi, Anne. Tu sais, quand nous étions deux ados, souvent je t’observais en cachette et je me caressais. A l’époque, j’appréciais encore le sexe, même si j’avais tout ou presque à découvrir. Et avec Angie, toutes mes pulsions enfouies au plus profond de moi ressurgissent.— Ecoute Sylvie, là comme ça et devant Laurent, ce n’est pas vraiment possible. Je vois bien ton état et ton mari m’a expliqué les raisons, mais tu me demandes d’avoir un rapport sexuel alors que nous sommes deux sœurs, je te le rappelle. OK, je suis bi et libertine, mais j’ai encore quelques principes.— OK, OK, je vois. Alors Laurent, donne-lui quelques gouttes d’Angie, une dose moindre que pour moi quand même. Avec ça, tes scrupules vont s’envoler, es-tu d’accord, Anne ?— Non, non, je ne suis pas d’accord. Je suis désolée.
Je ne sais pas ce qui me prend alors. Je passe derrière Anne et lui murmure quelques mots à l’oreille, qu’elle est la seule à entendre. Après un court instant de réflexion, elle rougit un peu et ferme les yeux pour me donner son approbation. Je lui verse alors cinq gouttes de la superhormone dans un verre qu’elle avale aussitôt. Je ne sais pas si cela tient au caractère nettement plus déluré de ma belle-sœur, mais l’action d’Angie est très rapide. D’elle même, Anne se dévêt et se retrouve elle aussi nue face à Sylvie, toujours allongée. Elle lui prend une main pour l’aider à se relever, lui pose un délicat baiser sur la bouche et la conduit dans la chambre. Et moi, je les suis, car cela m’excite au plus haut point d’imaginer la suite. Et j’espère bien pouvoir participer à la fête.
Mon épouse pousse sa sœur sur le lit et s’assoit à califourchon sur son bassin, se penche et l’embrasse. Les lèvres des deux femmes se collent l’une à l’autre et je devine que leurs langues se sont mêlées afin de rendre ce baiser encore plus passionné et fougueux. Puis Sylvie descend son visage et sa bouche au niveau du cou d’Anne, elle la lèche, l’embrasse et lui fait des suçons. Anne a saisi la tête de sa sœur pour l’accompagner. Son corps commence à bouger, témoin qu’elle apprécie les baisers et elle commence même à émettre des gémissements. Soudainement, elle prend Sylvie par les épaules et la redresse légèrement afin de pouvoir embrasser sa poitrine. Sa langue s’attarde sur le tour des aréoles avant de lécher les mamelons pendant que ses mains ont saisi chaque sein et les pétrissent, puis c’est carrément avec sa bouche qu’Anne tète et aspire chaque téton. Sylvie a les yeux fermés, sa respiration devient de plus en plus rapide et elle gémit de bonheur.
Puis changement de rôle, c’est au tour de Sylvie de donner du plaisir à sa sœur. Deux de ses doigts caressent délicatement une aréole, s’écartant au contact du mamelon tout en le frôlant. Ce dernier ne tarde pas à durcir sous le plaisir. Les deux doigts ont maintenant pris en tenaille le téton et le pressent plus fermement. Puis la bouche de Sylvie remplace ses doigts qui vont sur l’autre sein. Les baisers et caressent durent de longues minutes. Anne gémit, se mord une main de plaisir, son corps se contracte à intervalles réguliers. Puis mon épouse descend le long du corps de sa partenaire, multipliant les baisers sur son ventre avant d’enfouir sa tête tout contre le sexe de sa sœur afin d’utiliser sa langue au mieux. Anne gémit de plus en plus et est secouée de spasmes.
— Ah ouiii, Sylvie, c’est trop bon ! Ta langue qui lèche ma chatte et me fait tant mouiller, c’est divin, ouiii divin, ouiii c’est ça. Mais attends, arrête-toi, je ne veux pas être qu’une égoïste et jouir en solitaire. Viens, tourne-toi et mets-toi en 69, s’il te plaît. On va se lécher et se faire du bien ensemble et on jouira ensemble comme deux sœurs unies par l’amour.
Chacune des deux femmes a maintenant sa tête enfouie dans le sexe de sa partenaire. Dans le silence de la pièce, on entend seulement le bruit des langues qui s’affairent à lécher au mieux. Par les légers mouvements de leurs têtes, je devine le plaisir qu’elles se procurent. Puis les bouches remontent en direction des clitoris et jouent avec ; les langues titillent, lèchent et aspirent. Chacune des deux femmes s’arrête parfois et gémit de plaisir.
— Ouiii, Anne, ta langue sur mon clito, continue, ne t’arrête pas, c’est trop bon, je vais jouir. Ouiii, ouiii.— Moi aussi, sœurette, j’aime trop. Je jouiiis, putaiiin, c’est trop bonnn.
Les corps de Sylvie et Anne sont parcourus de spasmes et elles crient quand l’orgasme arrive. Quant à moi, je me suis déshabillé devant ce spectacle de deux sœurs partageant simultanément du plaisir. Ma queue est raide par le désir et je me rapproche des deux femmes que j’aime. Sylvie, qui comprend mon intention, se pousse afin que je puisse saisir Anne par les jambes et l’amener au bord du lit. Sans plus attendre, je pénètre ma belle-sœur d’une violente poussée. Après l’orgasme qu’elle vient d’avoir, son vagin est inondé par sa cyprine et je commence de puissants mouvements de va-et-vient à l’intérieur de son cratère. Sylvie en profite pour de nouveau embrasser la poitrine puis le cou d’Anne. Cette dernière tire les cheveux de sa sœur, son corps se cabre et se relâche sous les vagues de plaisir qui montent.
— Ouiii, Laurent, continue ta défonce avec ta bite, baise ma chatte. Et toi, ma sœur chérie, comme j’aime tes baisers enflammés. C’est trop bon mes amours, continuez, c’est si merveilleux.
Ayant déjà eu un orgasme peu avant et sous les effets d’Angie, il faut peu de temps à Anne pour obtenir la jouissance suprême. Quant à moi, beaucoup trop excité par la situation, je ne peux me retenir plus longtemps et je décharge ma semence dans l’antre de ma belle-sœur. Si Sylvie me regarde avec un air déçu n’ayant pas pu profiter de moi, sa sœur vient à son secours. Elle me prend en bouche en même temps qu’elle joue avec son index, qu’elle a préalablement mouillé, sur ma rondelle. Elle l’introduit même de quelques centimètres dans mon anus ce qui a pour effet, associé à sa fellation, de me redonner toute ma vigueur. Et c’est maintenant au tour de Sylvie de subir mes assauts fougueux, Anne la dévorant des yeux tout en lui caressant le visage et les cheveux. Mais Sylvie en veut toujours plus.
— Laurent, mets-la-moi aussi dans le cul, je t’en prie. J’ai adoré cette sensation d’être soumise par cet orifice, tout à l’heure dans le métro. Je veux tellement rattraper le temps perdu. Alors, vas-y, encule-moi.
J’entre ma queue, d’abord doucement pour franchir le sphincter anal puis d’une façon plus franche. Je m’arrête cependant un instant, me disant que peut-être Sylvie ressent une douleur liée à la pénétration, mais manifestement, il n’en est rien. Aussi je débute des mouvements de mon bassin, ma queue se retire presque complètement de l’antre de mon épouse avant de réentrer et ainsi de suite pendant de longues minutes. Sylvie semble réellement apprécier la prise de son fondement, ses mains se contractent violemment sous le plaisir, son corps, en sueur, se raidit puis elle pousse un hurlement de jouissance totale et un jet de cyprine est expulsé de son sexe pour se terminer sur le lit.
Anne, qui pendant ce temps regardait avec envie la scène et se touchait avec frénésie le clitoris, jouit également. Quant à moi, je sors brusquement de l’anus de Sylvie, ne voulant pas jouir à l’intérieur de ce dernier et tout en poussant un beuglement de plaisir, j’éjacule violemment, mon sperme se répandant sur les fesses de mon épouse. Anne ne voulant rien gâcher de ce nectar commence à le récupérer avec ses doigts qu’elle lèche avec délectation ; mais elle offre le second nettoyage de ma semence visqueuse à la bouche de Sylvie, qui ne se fait pas prier pour sucer avec avidité les doigts gluants.
Epuisés tous les trois, nous nous effondrons sur le lit, les deux sœurs m’entourant et se blottissant contre ma poitrine. Nous sommes heureux.
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