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Angie, la superhormone sexuelle

Chapitre 3

Anne cède à son fils

Inceste
Je m’appelle Anne, la belle-sœur de Laurent qui a dérobé, à un ami chercheur, une petite quantité d’Angie, une superhormone permettant d’accroître le désir sexuel. Et la substance miracle marche, comme ma grande sœur Sylvie puis moi-même avons pu le constater.
Je me réveille en pleine nuit. La chambre est dans le noir, seule la faible lumière d’un réveil électronique, indiquant 3 h 15, est visible. Sylvie et Laurent sont allongés à mes côtés et dorment paisiblement.
Je repense à ce qui vient de se passer et je ne regrette rien. Faire l’amour avec ma sœur puis avec mon beau-frère a été un merveilleux moment de plaisir. La langue de Sylvie sur mon clito tout excité et la verge de Laurent qui m’a défoncée pendant de longues minutes m’ont procuré deux fabuleux orgasmes. Bien que je sois libertine et échangiste, et qu’il n’est pas si rare que je baise avec des femmes ou d’autres hommes que mon mari, ce moment a été d’une saveur toute particulière. Sans doute le fait qu’au plus profond de ma conscience, j’attendais de pouvoir faire l’amour avec Sylvie et cet inceste, si longtemps refoulé, a très certainement amplifié le plaisir obtenu dans ses bras.
Des images me traversent l’esprit, je sens mon sexe devenir humide et une de mes mains descend à son contact. Avec un doigt replié, je commence une douce caresse, je joue avec mes lèvres intimes, je le rentre légèrement à l’intérieur de mon vagin pour des va-et-vient. Mon autre main glisse sur un sein pour délicatement en caresser l’aréole avant d’effleurer le mamelon, si sensible au moindre toucher qu’il durcit aussitôt. Je sens le plaisir monter doucement.
Mon esprit est traversé par de multiples pensées avant qu’une image en prenne toute la place, celle de Fabrice, mon fils de 18 ans. Oui, lui et sa sœur Valériane, sa jumelle, n’ont que 17 ans de moins que moi, un oubli de pilule malencontreux. Heureusement pour moi, le partenaire qui me faisait alors l’amour ne m’a jamais abandonnée et vit depuis à mes côtés.
Fabrice, toi que j’ai mis au monde, que j’ai bercé quand tu pleurais, que j’ai consolé lors de tes chagrins, que j’ai écouté, que j’ai conseillé, tu es devenu un homme maintenant. Et malgré mes efforts pour l’oublier, me revient sans cesse cette image de toi, nu dans la douche te faisant du bien. Je ne devais pas être là, tu avais laissé la porte ouverte et je t’ai vu. Je n’ai rien dit, t’observant d’abord comme une mère puis, et je ne sais pas pourquoi, comme une femme. Tu es devenu si beau mon fils, avec des pectoraux et des abdominaux dignes d’un athlète, des fesses, si mignonnes quand tu étais bébé et sur lesquelles j’aimais déposer des bisous, maintenant si musclées et des jambes parfaites. Mais ce jour-là, la femme que je suis n’a pas pu détacher ses yeux de ton sexe, énorme avec ce gland si magnifique, ton sexe raide par le plaisir et les mouvements de ton poignet, ton sexe que je n’avais pas vu depuis si longtemps.
Et en te regardant, je n’ai pu empêcher ni le désir de monter en moi, ni ma main de caresser mon sexe ni de mouiller devant la vision de cet homme nu se donnant du plaisir. Mais cet homme, c’était toi Fabrice, et c’est en te regardant très discrètement, comme une jouvencelle, que moi aussi j’ai atteint l’extase. Seule la morsure de mon bras a alors couvert mes gémissements de bonheur. Depuis ce jour, cette vision de toi s’impose régulièrement à mon esprit, comme cette nuit, mais pour une fois, je ne cherche pas à lutter, à chasser cette image, bien au contraire, je la veux.
Ma main quitte l’entrée de ma grotte intime pour remonter un peu plus haut au niveau de mon bouton d’amour. Mon index, mouillé de cyprine, tourne autour avant de débuter le jeu qui me mènera, je le sais, à l’orgasme. Les lents tapotements de mon clitoris deviennent plus rapides avant de ralentir de nouveau et ainsi de suite pendant de longues minutes. De ma main libre, je pince et je tire sur mes tétons. Et à chaque fois que je m’approche au plus près de la jouissance, je relâche la pression pour de nouveau recommencer. Le plaisir monte en moi comme une vague que rien ne peut plus arrêter, les pressions que j’exerce sur mon clitoris sont devenues plus franches, je me mords la lèvre afin de ne pas crier et réveiller Sylvie et Laurent, ma respiration s’accélère. Soudain, mon corps se contracte, je retiens un cri et un orgasme fulgurant me déchire. Laurent bouge un peu, sûrement que malgré mes précautions, je l’ai en partie réveillé, mais il semble se rendormir aussitôt.
La nuit peut continuer, je sais que mes rêves vont être doux, je tombe dans le sommeil.
La chambre est maintenant éclairée par la lumière du jour, un rapide coup d’œil au réveil indique 7 h 30. Je regarde mon portable, un SMS de Christophe m’informe qu’il ne pourra pas être de retour avant le déjeuner, la banale fuite d’eau ayant causé de gros dégâts dans une salle d’ordinateurs. J’entends des voix dans la salle à manger, sûrement les enfants qui sont rentrés de deux jours chez des amis. Je me lève sans faire de bruit, j’enfile un peignoir et je sors rejoindre les jeunes.
— Bonjour tous les quatre, alors ces deux jours, c’était bien ?— Cool cool, me dit Fabrice en se levant de sa chaise pour venir m’embrasser. Et toi, tu es plus belle de jour en jour, ma petite maman adorée.
Je ne sais pas si je fabule, mais ses bisous sur mes joues me semblent particulièrement appuyés et bien trop près de mes lèvres. Et puis, pourquoi a-t-il passé sa main dans le bas de mon dos ? Bon, je ne dois pas encore être bien réveillée et mon esprit me joue des tours.C’est ensuite Valériane puis Clothilde et Raphaël, leurs cousins, qui viennent m’embrasser.

— Vous devez être fatigués, mes pauvres chéris. Avez-vous mangé ce matin ? — Maman, s’il te plaît, on n’a pas dormi de la nuit, on veut seulement un lit, me répond Valériane.— D’accord, allez-vous coucher, on vous réveillera pour le déjeuner.— Oui c’est ça, très bonne idée, bisous maman.— Bisous, mes chéris.
8 h, trop tard pour se recoucher, mais trop tôt pour avoir une activité ; par contre, l’heure idéale pour une douche. Oui, j’ai envie du plaisir sensuel de l’eau chaude coulant sur mon corps, mais j’ai aussi envie d’autre chose, un autre plaisir nettement plus sensuel. Est-ce les effets d’Angie qui persistent, je ne sais pas, mais j’ai envie de jouer avec mon corps, l’intermède de cette nuit ne m’a pas suffi.
Le plus discrètement possible, j’entre dans ma chambre et j’ouvre le tiroir où sont rangés certains de mes jouets. Je choisis un gode à ventouse très réaliste et idéal pour la douche. Sur la table de nuit, j’aperçois le flacon où est conservée la superhormone. J’hésite un peu, pas longtemps, mais je le saisis avant de sortir. Sylvie ouvre un œil et me fait un sourire. Je lui adresse un baiser de ma main. Arrivée dans la salle de bain, je regarde le flacon, une substance incolore et pourtant quels effets ! Je n’en ai pris que cinq gouttes hier soir et j’ai eu envie de baiser comme jamais. Mon corps réclamait du sexe, femme, homme peut importe et tant mieux même si je pouvais avoir les deux. Pas une nouveauté pour moi, j’ai même déjà participé à quelques soirées gang bang dans le club libertin où nous allons régulièrement avec Christophe.
Hier soir, ce fut plus calme, enfin si l’on veut, car j’ai quand même fait l’amour avec ma sœur, un 69 qui rien que d’y penser fait mouiller mon entrecuisse, avant que Laurent nous prenne à tour de rôle.
Un très agréable divertissement, même si j’aurais bien aimé que Christophe en fasse partie, car j’adore être prise en sandwich et Sylvie aurait pu s’occuper de mes seins en même temps. Cela sera pour une prochaine fois, maintenant que j’ai goûté à la jolie chatte de ma grande sœur, pas question de s’arrêter en si bon chemin. Rien que de repenser à cette soirée, je sens mon sexe mouiller de plus en plus. J’ai envie de jouir et à chaque fois, l’image de Fabrice s’impose.
J’ose ou pas ? Reprendre 2 ou 3 gouttes, histoire de décupler mon orgasme. Mais après la scène dans le métro que m’a contée Laurent, je n’ai pas non plus envie de me promener à poil dans toute la maison en demandant qu’on me baise. C’est vrai qu’il est allé un peu fort avec Sylvie, dix gouttes, pas étonnant qu’elle ait eu cette envie d’être prise par des inconnus dans le métro. Deux gouttes devraient suffire, car je ressens encore en moi les derniers effets de ma prise précédente.
Après avoir bu ma petite dose d’Angie, je laisse tomber mon peignoir à terre et entre dans la cabine de douche. Je sais exactement où je dois fixer mon jouet, juste à la bonne hauteur pour ne pas avoir à jouer les équilibristes. J’ouvre le robinet d’eau chaude, je m’installe dessous et je la laisse ruisseler sur mes cheveux et mon corps. Je ferme les yeux pour savourer cette sensation si agréable. Je ne sais pas si ce sont les effets des deux gouttes absorbées qui agissent, mais très vite, je sens ma chatte me démanger, elle a besoin qu’on s’occupe d’elle. Je regarde mon jouet, sagement fixé sur la paroi et qui n’attend que moi, cela sera un peu plus tard avec lui, je vais d’abord utiliser la douche. Je règle la pression de l’eau avant de diriger le jet du pommeau vers mon clitoris puis je laisse le plaisir me guider tout en variant parfois la température. J’aime ce plaisir solitaire que je ne pratique pas systématiquement, mais très souvent quand même.
C’est si simple et on n’est jamais mieux servi que par soi-même, pas de déception imprévue.
Comme à chaque fois, le plaisir arrive vite et un orgasme me terrasse quelques instants.
Et maintenant mon jouet, j’en ai une telle envie, merci Angie. Je me cambre légèrement, guide le dildo vers mon orifice vaginal et d’une poussée, je le fais entrer. Immédiatement, je débute des mouvements du bassin afin de rythmer les entrées et sorties, mes mains ne restent pas inactives, caressant mes cuisses, mon ventre ou mes seins. La sensation est si bonne, de nouveau, je sens le plaisir arriver quand, soudain, la porte vitrée de la douche s’ouvre, c’est Fabrice ! Je m’arrête de bouger, mes yeux le fixent puis d’une manière incontrôlable, je descends mon regard. Mon Dieu, il tient d’une main son sexe, raide, qui m’hypnotise. Par un effort important, j’arrive à relever mes yeux, Fabrice est maintenant carrément face à moi et me sourit. D’une main, il caresse mes cheveux mouillés.
— N’aie pas peur maman, tout le monde dort et j’ai bien fait attention à ne pas faire de bruit.— Mais Fabrice...— Oui ?— Mais regarde...— Je dois regarder quoi ? Explique-moi. Là, je vois simplement une femme nue, magnifique, au corps de rêve et qui est en train de se donner du plaisir sous la douche.
A ces mots, je retire brusquement mon jouet, un geste bien idiot qui ne change rien à la situation, qui se détache de la paroi et tombe à terre.
— Mais Fabrice...— Tu te répètes, ma petite maman. Regarde, n’aie pas honte, regarde mon sexe qui a envie de toi. Je vais tout t’expliquer. J’ai 18 ans et si la plupart de mes potes ont déjà eu des aventures, pas moi. Depuis mon adolescence, je me réserve pour toi, je te désire maman depuis si longtemps. Tu as peut-être peur de ces mots venant de ma bouche, mais c’est comme cela. Et très très souvent, je me procure du plaisir solitaire en rêvant de toi, en t’imaginant avec moi, contre moi, en imaginant ta bouche me prendre jusqu’à la jouissance, en m’imaginant te posséder. Oui, je regarde des vidéos X et je me masturbe devant, mais c’est toujours à toi que je pense alors et pas aux créatures plus ou moins de rêve que je mate. Et ne me dis pas que je te suis indifférent, j’ai remarqué la manière dont tu me regardes, souvent le regard d’une mère, mais je devine aussi parfois le désir dans tes yeux. Même Valériane, un jour, m’a fait la réflexion. Et puis arrête, c’est bien un gode là au sol, non ?
Je m’en veux d’avoir repris deux gouttes d’Angie. Sans elles, peut-être aurais-je pu résister à la tentation de franchir ce tabou ultime, mais là, mon désir est trop fort. Et puis, après ce qu’il vient de m’avouer, autant être directe, de toute façon, j’en meurs d’envie. Je m’approche encore un peu plus de Fabrice, jusqu’à le coller et je lui prends la queue d’une main.
— Mon bébé, je vais m’occuper de toi, ta maman va prendre soin de toi, tu vas voir. Laisse-toi aller.
Je me mets alors à genoux et, tout en prenant son sexe en bouche, une de mes mains débute des va-et-vient à la base de sa magnifique tige.
— Oui maman, c’est si bon, continue, suce ma queue comme tu le fais. Depuis le temps que j’attendais de découvrir ce plaisir.
Ma langue s’attarde sur son gland rouge de désir, en fait le tour, lèche son méat et s’attarde sur le frein. Puis je le reprends en bouche, l’enfonçant au plus profond de ma gorge avant de me retirer, laissant ma salive dégouliner. Parfois, je me baisse légèrement afin de pouvoir lécher ses bourses. Ce jeu dure plusieurs minutes. Une de mes mains est dans mon entrejambe, je me caresse, mon jus intime coule en abondance. Je suis tout à mon plaisir, un plaisir plus fort qu’avec mes amants habituels. Mais je sens que mon fils arrive au point de non-retour.
— Ouiiii, je viensss, ouiii, ouiiii.
Fabrice explose et déverse une quantité monstrueuse de sperme dans ma bouche. Sa queue ressort couverte du liquide visqueux, une partie dégouline au sol. Mais j’en avale aussi, en regardant mon fils dans les yeux, un sourire aux lèvres.
— Tu as aimé ?— Oh que oui, c’était un moment merveilleux. Je comprends pourquoi tous les hommes aiment être sucés. Merci de m’avoir permis ce plaisir, tu es la meilleure des profs, ma petite maman, je t’aime.
De l’entendre me rappeler que je suis sa mère me met à la fois mal à l’aise et m’excite, mon côté femme perverse, amplifié par Angie probablement.
— Maintenant, tu vas me prendre. Je veux être ta première femme et que ton premier plaisir soit avec moi.
Je me tourne et me penche, les mains appuyées sur une paroi de la douche, offrant mes ouvertures sans honte à la vue de mon fils. Je sens sa queue qui cherche un peu l’entrée de mon vagin, déjà en fusion par le désir. D’une main, je le guide, il n’a aucun mal à me pénétrer et, d’une seule poussée, il entre jusqu’à la garde son sexe. Il marque un temps d’arrêt, peut-être un moment d’hésitation de sa part. Alors je l’encourage, je n’ai plus aucune retenue, je veux que mon fils me baise et je veux lui laisser un souvenir ineffaçable de ce premier rapport.
— Vas-y Fabrice, baise-moi, j’en meurs d’envie, ne sens-tu pas comme mon gouffre est mouillé, prêt à accueillir ta magnifique verge. Prends ta maman, prends-moi, je t’en prie !
Il n’en faut pas plus à mon fils pour se mettre aussitôt en action. Il me saisit par les hanches et débute de violents coups de reins.
— Ouiii, ouiii, continue, mais parfois ralentis un peu, et reprends, c’est encore mieux.
Je n’ai pas besoin de me toucher, rien que ce tabou que nous transgressons ensemble suffit à faire monter mon excitation. Ma respiration s’est accélérée. Mon vagin est en feu sous les coups de boutoir si vigoureux de Fabrice, qui malgré mes conseils garde le même rythme. Mais quel rythme ! Et quelle vitalité à cet âge !
— Ouiii, continueee, défonceee-moiii. Tu vas me faire jouiiir.
Il suffit de quelques minutes de ce traitement de choc pour que Fabrice arrive à la jouissance.
— Ahhh, ahhh, maman, je viennnss, je jouiiis, ouiiii.
Fabrice explose, déversant son sperme au plus profond de moi. Je suis également transpercé par un violent orgasme, mes muscles se contractent et je crie. Fabrice se retire, du sperme mélangé à ma cyprine tombe au sol. Je suis dans l’impossibilité de bouger pendant quelques instants, car j’ai besoin de récupérer.
— Merci, Fabrice, c’était merveilleux.— Non, merci à toi maman. Grâce à toi, je suis devenu un homme. Ma première expérience aura été avec ma mère et ce souvenir merveilleux restera gravé pour toujours dans ma mémoire. Tu auras été la première femme de ma vie !
Je suis tellement heureuse de ces paroles. Je regarde mon fils puis j’approche lentement ma bouche de la sienne. Nous nous enlaçons, nos lèvres se touchent et nous échangeons un baiser enflammé, nos langues se mêlant. Je vis ce très long baiser échangé avec mon fils comme un acte plus incestueux, plus pervers encore que les précédents ; le sexe peut être pratiqué avec un partenaire sans amour, pas un tel baiser.
— Maman, j’ai encore envie.— Attends Fabrice, laisse-moi récupérer un peu et...— Putain, je ne crois pas ce que je vois. Ma sœur et son fils baisent ensemble sous la douche. Belle famille de pervers !
C’est Sylvie qui vient d’entrer dans la salle de bain, nue...(A suivre)
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