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Animatrix : Diane et les sorciers-animaux

Chapitre 2

Zoophilie
Quand elle se réveilla, Diane était dans sa tente, sous une couverture. Elle sentit immédiatement qu’elle était redevenue sensible au froid, et se dépêcha d’enfiler la combinaison de fourrure déposée à côté d’elle. Elle croisa en sortant Maihliz et Erden, déjà occupées à travailler une fourrure. Elle croisa dans la tribu plusieurs regards, parfois complices, parfois admiratifs. Un homme grand, encore dans la force de l’âge, qui portait une moustache et une barbe noire ornementées, lui indiqua un groupe de femmes qui s’affairait à dépecer un renne. Suivant l’ordre de ce chef de tribu, Diane s’installa dans le groupe, prit un couteau sans discuter et prit exemple sur les travailleuses.
Les tsevens travaillaient au son d’une cithare traditionnelle, dont le joueur changeait toutes les heures. Diane chercha le shaman des yeux pendant qu’elle travaillait la viande, mais ne le revit qu’à la fin de la matinée alors qu’il revenait de la forêt et glissa discrètement dans sa propre tente, sans qu’un membre de la tribu ne le regarde. Après une matinée de travail, les membres de la tribu se préparèrent pour le repas. En repassant brièvement par sa tente pour une ablution, Diane vit que son médaillon avait été déposé sur son lit. Elle le mit autour de son cou, avant de rejoindre la tablée.
Le médaillon était en fait une relique familiale : la grand-mère de Diane était une tseven, et avait transmis ce médaillon en disant de lui qu’il était un réceptacle des pouvoirs tsevens. En s’intéressant aux légendes mongoles et en recoupant avec ce qui était gravé dans le médaillon, elle put comprendre ce que racontait son aïeule avant qu’elle meure. Finalement, elle était la seule de la famille à avoir cru au récit de l’ancêtre, elle qui avec ses cheveux blonds et la peau parfaitement blanche était celle chez elle qui ressemblait le moins à son ancêtre. Les persécutions de l’URSS avaient forcé sa grand-mère à fuir la Mongolie et émigrer en France, mais avant de mourir, elle avait laissé à sa petite fille un secret qui l’avait poussée à faire le voyage inverse...
D’ici à ce qu’elle atteigne son objectif, elle s’intégrait à la tribu et apprit le langage et les coutumes tsevens. Elle apprit quelques airs de cithare, observait les combats de lutte traditionnelle entre les membres de la tribu, et avait remarqué que plusieurs femmes portaient un médaillon similaire au sien : celles qui, le soir, étaient appelées dans la tente du shaman. La cérémonie qu’elle avait reçue était essentiellement motivée par le besoin d’officialiser son intégration dans la tribu et au statut de maîtresse officielle du shaman.
Elle restait celle qui était le plus appelée pour se faire saillir par le shaman quand celui-ci se métamorphosait. Elle aimait sentir son sexe animal en elle et se sentir sous le corps poilu, etc. Chaque nuit passée avec le loup la rendait moins dépendante des onguents, elle encaissait parfaitement les assauts de la grande verge du métamorphe, sans pour autant que le plaisir qu’elle en retire diminue. Parfois, elle arrivait à contrôler les ébats, dirigeant les mouvements de leurs corps. Parfois, la bête était brutale, labourant Diane jusqu’à épuisement, déversant son énergie sans retenue. C’était peut-être les soirs que Diane préférait. Les orgasmes étaient souvent à la hauteur de sa capacité à encaisser la fureur animale, et elle avait de puissants rêves psychédéliques pendant son sommeil. Cependant, quoiqu’elle aimât copuler avec l’homme-loup, ce n’était pas pour autant la seule opportunité de se détendre dans la tribu...
Diane en eut la preuve dès le troisième soir après son arrivée dans la tribu. Après les tâches quotidiennes, elle rentra dans la tente avec ses camarades de chambrée. Comme chaque soir, elles se mirent à apprendre à Diane leur langue : Erden énonçait généralement un mot, et Maihlitz le mimait pour que Diane comprenne. Ce soir-là, elles en vinrent à parler des différentes relations qu’entretenaient entre eux les différents membres de la tribu.
Ce n’était pas finalement étonnant pour un groupe qui était habitué à pratiquer une forme particulière de zoophilie, mais Diane fut surprise d’apprendre que l’homosexualité était largement acceptée. Elle avait remarqué quelques hommes qui semblaient en couple, mais n’était pas sûre de la nature exacte de leur relation. Quand elle demanda ce qu’il en était pour les femmes... ses deux partenaires eurent un rire complice, puis rapprochèrent leur visage, et s’embrassèrent tendrement.
Diane regarda avec une certaine surprise les deux femmes mêler leurs lèvres, puis leurs langues. Maihlitz la brune, aux pétillants yeux verts ; Erden la blanche, qui avait la peau mate comme le reste de la tribu, mais qui se démarquait, comme une poignée de tseven, par sa chevelure d’une blancheur à faire pâlir un cygne. Diane put apprendre les mots "lèvres", "baiser", "caresse", et cela ne faisait que commencer...
Elle regardait avec envie la femme aux cheveux blancs faire descendre doucement ses lèvres, glissant sur le cou de son amante pour finir sur un sein, délicatement sortir de son enveloppe de fourrure. Le mamelon finit vite aspiré en bouche, procurant à Maihlitz un plaisir non dissimulé. Le spectacle de ces deux magnifiques femmes qui se caressaient, les mains qui dansaient sur les peaux, tout cela aurait rendu fou le plus chaste des moines. Diane n’y résista pas longtemps et elle fit discrètement rapprocher ses doigts de son entrejambe.
Quand les femmes tsevens sortirent de leur transe passagère et arrêtèrent de se lécher les mamelons, elles virent donc Diane en train de se masturber. Avec un grand sourire, elles se rapprochèrent d’elle, stoppèrent ses gestes et commencèrent à la déshabiller. Puis les trois femmes vinrent se rapprocher du feu pour poursuivre leur étreinte. Diane goûta tour à tour aux lèvres des deux Eurasiennes ; Erden semblait particulièrement apprécier ses lèvres roses et sucrées, elle poursuivit le baiser jusqu’à faire l’allonger pour passer librement ses mains sur son visage.
Maihlitz continua la masturbation que Diane avait dû interrompre. Sa main glissa entre les blanches jambes, pénétra les lèvres intimes de Diane. La sensation d’avoir une main féminine à la place du sexe puissamment membré du shaman-loup ne lui déplut pas, bien au contraire. La chaleur de l’âtre, les corps qui se collaient les uns aux autres, cette sensualité intense jusque dans les doigts qui la pénétraient... son excitation était palpable, elle montait en intensité dans ses baisers, encourageait ses compères à aller vers ses seins...
Les jeunes femmes firent cela et bien plus : Diane se laissa explorer jusque dans des endroits jusque-là tabous, et les deux tentatrices qui l’accompagnaient étaient décidément trop fortes à ce jeu, et trop heureuses de prendre du plaisir avec cette magnifique blonde. Diane se retrouva tête entre les seins de l’albinos, tandis que son anus était titillé par de gourmands coups de langue. Tout ce qu’elle ne pouvait pas faire avec le loup, elle le faisait avec ses deux compères de chambrée, Erden l’albinos aux formes rondelettes et à la croupe généreuse, et Maihlitz avec son minois gracile et ses fines courbes.
De même, Diane avait adoré explorer le corps d’autres femmes. Rien ne lui faisait peur, et chaque découverte semblait lui donner plus de force, à la rendre plus téméraire. Plusieurs fois au cours de la nuit, elle finit avec le nez entre les fesses d’un de ses compères, ou dans une autre position extravagante. Elle adorait plus que tout frotter sa chatte contre celles des autres, tenter de pénétrer l’orifice avec un pénis imaginaire, les sensations de ses poils au contact du sexe opposé...
Bien sûr, ce ne fut pas la seule nuit de plaisir lesbien expérimentée par Diane : si quand elle avait fini avec le shaman elle n’était pas écroulée de fatigue, Maihlitz et Erden l’attendaient dans la tente pour en finir. Après avoir été baisée par la forme canidée du shaman, les caresses féminines faisaient l’effet d’une mer de nuages ; il s’agissait de voyages vers les deux faces de sa sexualité. Pouvoir se faire empaler par la bite animale, et brouter le minou d’une de ses camarades, c’était finalement un accomplissement autant qu’un plaisir décuplé.
Malheureusement, un mal inhérent au pouvoir des tsevens allait bouleverser cette routine.
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