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Animatrix : Diane et les sorciers-animaux

Chapitre 4

Zoophilie
Diane s’éveillait chaque matin au rythme du camp de ce qu’il convenait d’appeler, par la force des choses, sa nouvelle tribu. Depuis trois jours, le groupement de tsevens ne faisait que se déplacer en s’éloignant de la position de la tribu qui avait accueilli Diane à son arrivée en Mongolie. Si elle imaginait que ces mouvements étaient dirigés par la nécessité de se garder de potentielles représailles, après le massacre du shaman-loup, Diane ne s’attendait cependant pas à passer tant de temps sans être touchée par le shaman-ours.
Alors que la vie dans l’ancienne tribu lui paraissait paisible - dure, mais juste, et la plupart du temps sur un camp fixe -, ces dernières journées avaient essentiellement été passées à voyager de vallée en vallée. Le groupe ne s’arrêtait que pour de brefs repas consommés sur du gibier attrapé à la hâte ou sur les réserves des ravisseurs. A la sortie de la forêt, après que le shaman-ours ait enlevé la belle blonde, ils avaient été rejoints par ce qui semblait être quelques guerriers affiliés au kidnappeur. Ils faisaient route depuis, mus par l’objectif secret et sûrement retors du sorcier tseven. Diane frissonnait durant les nuits passées à la quasi belle étoile, protéger une mince tente, ses liens solidement fixés, mais se gardait bien d’émettre la moindre plainte auprès de ses ravisseurs.
Pourtant, Diane avait été marquée par la défaite de l’homme-loup qui l’avait si souvent saillie pour son plus grand plaisir ; elle n’avait comme dernière image de lui que la forme inconsciente de son corps de loup, profondément blessée ou peut-être morte. Elle éprouvait régulièrement une certaine peine, en se remémorant la texture de sa fourrure, le goût de sa langue animale, l’énergie de leurs ébats...
Au matin du quatrième jour, le groupe rejoignit enfin un campement à peu près fixé. Les hommes et femmes y ressemblaient pour beaucoup à ceux de son ancienne tribu, mais les marquages tribaux différaient et le camp était globalement moins cohérent que son précédent foyer. Surtout, elle sentait de nouveau les regards portés par les tsevens sur sa blancheur, les yeux des locaux sertis d‘un mélange de dévotion et de crainte. Diane avait conscience d’être une sorte de miracle local, mais ne pouvait s’empêcher de voir les réactions de certaines femmes qui retiraient leurs affaires au passage de ses pieds. Conduite à un poteau en plein centre du campement, elle fut attachée et ses liens légèrement desserrés pour lui permettre de bouger les bras. Et alors qu’elle avait jusque-là gardé un calme froid à toute épreuve durant le voyage, elle fit un mouvement d’énervement pour tenter de se libérer un peu plus des cordes. Il n’en fallut pas moins pour que le shaman crie un ordre d’une voix gutturale.
Une femme apporta alors un sachet mystérieux, d’où le shaman sortit une poudre verdâtre et la fit humer à Diane. Elle plongea dans une torpeur presque instantanée, dont la seule échappatoire fut un sommeil noir et sans rêves.
Diane fut réveillée par de petites tapes sur sa joue. Une couverture en peau de bête la recouvrait, une disposition bienvenue étant donné la nuit tombée et le froid mordant. Elle avait été attachée à un autre poteau, situé plus loin du centre du camp, où un grand feu de camp avait été allumé. Le guerrier qui avait réveillé Diane s’en alla rejoindre le flot des membres de la tribu, qui semblait préparer une cérémonie particulièrement importante, au vu des marques peintes ici et là et de l’espace dégagé autour du feu. Toute la tribu semblait en proie à une agitation frénétique. Pour ajouter à l’ambiance, des colifichets avaient été disposés de façon à tracer un chemin qui partait du feu pour serpenter jusqu’à une tente, qui dominait les autres habitations par sa taille et ses marquages. Un brouhaha emplissait l’air, et même en se concentrant, Diane ne pouvait décrypter l’étrange accent qui couvrait les mots de la langue tseven qu’elle entendait.
Un coup de tambour se fit alors entendre et le brouhaha stoppa en une fraction de seconde. La tribu se regroupa comme un seul homme autour du feu. Diane faisait face à l’immense brasier, et avait dans son champ de vision la grande tente où finissait le sentier improvisé. De l’ombre entourant la scène, sortirent deux serviteurs portant chacun un récipient chargé d’une poudre volatile. Au centre du campement, une jeune tseven était lâchement attachée par les bras à deux poteaux de bois, exactement comme Diane à son arrivée. Peu à peu, le brasero révéla un beau visage fin et des yeux qui semblaient magiquement envoûtés par les différentes vapeurs exhalées autour de la scène, sorte d’épices qu’on aurait jurées hallucinogènes. La femme ne se débattait pas : loin de là, elle semblait tressaillir d’excitation, répétant par moments quelques psaumes enfiévrés.
Dès que la prisonnière fut entièrement éclairée, bien visible par chaque paire d’yeux, un long cri caverneux se fit entendre et courir un frisson glacé dans l’échine de Diane, qui identifia en un instant son origine. Sous sa forme d’ours, le shaman de la tribu sortit pesamment de sa tente. La bête avait les yeux animés de la même lueur surnaturelle que l’amant-loup de Diane et la tête tournée vers la prisonnière située près du feu, au centre d’un cercle rituel. Comme si l’ours avait identifié sa proie, il se dirigea vers la jeune tseven. Tout autour, les spectateurs entamèrent des chants qui sonnaient aux oreilles de Diane comme des cantiques tribaux.
Mais Diane prêtait surtout attention au sexe dressé de l’être massif qui arpentait le sentier. Même s’il n’atteignait probablement pas la taille du sexe d’un véritable ours, il restait néanmoins plus imposant que celui du shaman-loup qui avait si vigoureusement pénétré Diane. Malgré toute sa capacité de concentration, Diane resta hypnotisée par cette virilité - ou devrait-on-dire : animalité ? - jusqu’à ce que l’ours entre dans le cercle rituel.
L’ours se pourlécha les babines. À côté de lui, la tseven enchaînée semblait être dans un état à mi-chemin entre la transe et l’excitation. Ses épais cheveux noirs se distinguaient par leur longueur du reste des femmes de la tribu, qui laissaient rarement descendre leur chevelure plus loin que les épaules. La teinte claire de sa peau mate, manifestement préparée pour l’occasion, faisait contraste avec la fourrure sombre de la bête. Ainsi, la tribu ne put que mieux observer l’union entre les deux êtres.
L’ours commença par lécher abondamment la jeune femme. Tous les chants cessèrent quand la langue toucha pour la première fois le corps nu de la jeune femme, et la tribu poussa une grande exclamation collective. L’ours passa sa grosse langue sur le jeune corps offert à lui, mais la tseven n’en semblait pas incommodée. Au contraire, elle ouvrit grand la bouche quand l’animal vint lui lécher le visage, savourant une sorte de baiser sauvage. Elle mit volontiers les seins en avant pour qu’ils fassent le bonheur de la bête. Les mamelons pointèrent vite sous les coups de langue, mais c’était tout le corps de la femme qui semblait en proie à l’excitation.
Quand le sexe de l’ours fut bien dressé et vint coller aux jambes de l’élue, celle-ci ne se déroba pas et vint en réponse coller son bassin au plus près possible de l’ours. Diane pouvait comprendre l’enthousiasme de la foule tout autour : tout dans ce spectacle exsudait l’ivresse du sexe, une ivresse qui semblait pleinement satisfaire la tseven au centre des regards.
Elle reçut le sexe de l’ours avec plaisir, en lâchant de petits cris de joie à mesure que l’ours allait profondément. Chaque passage semblait unir un peu plus les deux bassins. La tseven ne semblait pas être gênée par l’attache de ses mains ni par le fait d’être sans défense face à cette bête massive et son appétit sexuel. L’ours colla son corps poilu au corps en sueur de la femme, prit son élan et se déchaîna une fois qu’il fut bien inséré. Il la faisait voler comme une poupée de chiffon, les formes pourtant généreuses de la tseven volaient sans cesse, mais tout ce qui importait à cette femme était de rester empalée sur le sexe velu. Objectif qu’elle atteignait avec brio malgré la force herculéenne des coups de boutoir de l’ours.
La tribu acclamait chaque coup de reins, couvrant les cris de plaisir de leur élue. Les tsevens voyaient avec plaisir les lourds seins de la femme être ballottés par la violence de l’ébat, et ne se calmaient que lorsque l’ours embrassait son amante et reprenait son souffle. Tous semblaient prendre un certain plaisir pervers à ce rituel... un plaisir qui touchait aussi Diane, dans une certaine mesure, qui ne regrettait aucun moment passé à faire l’amour avec “son” shaman.
La tseven, qui avait lâché définitivement prise, devint comme possédée lorsque la semence de l’ours coula sur ses cuisses. Le peu de souffle qui lui restait fut employé à répéter des incantations incompréhensibles pour Diane. La bête resta en elle tout le long de son éjaculation, au grand plaisir de son amante.
La tribu entonna alors un chant différent. L’ours, lui aussi fatigué, ne mit pas longtemps à reprendre sa forme humaine. Sous les vivats de la foule réunie, des guerriers vinrent libérer la femme, soutenir le shaman couvert d’un tissu artisanal et raccompagner le couple dans la tente principale. Diane, elle, luttait contre elle-même. Les effets de la poudre ne s’étaient pas encore dissipés chez elle, et l’état vaporeux dans lequel elle se trouvait avait décuplé la force érotique du rituel. Si ses mains avaient été libres, elle se serait probablement masturbée devant toute la tribu. Mais en son for intérieur, elle ne pensait qu’à une chose : planter ses dents dans la chair du shaman.
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