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Animatrix : Diane et les sorciers-animaux

Chapitre 5

Zoophilie
Le lendemain, Diane se réveilla d’un sommeil hanté par les visions du shaman-ours pénétrant la jeune femme d’hier. Son sommeil avait mêlé calme relatif et visions éparses de sexe bestial, altérées par les volutes de poudre hypnotique ayant enveloppé le rituel. Dès qu’elle ouvrit les yeux, elle se concentra pour résister à la vision tentatrice de la langue animale parcourant le corps nu de la tseven. Puis, pour la première fois depuis le début de son aventure, Diane sentit un sentiment trouble s’installer au fond d’elle-même : la perte de son ancien amant shaman l’avait laissée triste, certes. Mais après tout, elle savait que le succès de sa quête impliquait un certain degré de sacrifice. Là, c’était autre chose. Dans l’esprit résolu et déterminé de Diane, un soupçon de peur s’était installé.
Son réveil fui suivi de la même surveillance qui lui avait été imposée depuis son rapt, peut-être encore renforcée même. Il est clair qu’après avoir vu la femme tseven - sûrement préparée psychologiquement au rituel - se faire entreprendre par un grizzly, un être humain normalement résolu aurait cherché à prendre la fuite. Diane elle-même s’était unie avec le shaman-loup dans un certain esprit de sacrifice ; non sans plaisir, certes ; mais avec la certitude que le passage était obligé, elle s’est donnée volontairement. Si elle n’agissait pas avec la plus grande précision, elle pouvait très bien se faire violer par le shaman actuel sans contrepartie. D’ailleurs, elle avait eu de la chance de ne pas avoir été prise pour concubine dès la première nuit. Sans doute sa remplaçante avait-elle bénéficié d’un statut d’”élue” conditionné par les règles de la tribu. Diane se rappelait avec quelle transe joyeuse la tseven avait accueilli les premiers coups de boutoir de la bête.
Avec une vigilance accrue, Diane se mit donc au travail au milieu des autres femmes tsevens, en gardant un œil attentif sur les mouvements autour de la tente du shama. Les autres membres de la tribu ayant une interdiction manifeste de communiquer avec elle, il lui était compliqué d’obtenir des informations sur le shaman ou le rituel.
Le grand soir vint seulement après deux autres journées de surveillance constante. Dès la fin du travail quotidien, Diane sentit un changement d’attitude chez ses gardes. Plus tôt dans la journée, elle avait vu en plein jour le shaman parler à plusieurs de ses lieutenants. Alors, à la fin des activités quotidiennes de dépeçage, elle cacha discrètement un des couteaux servant à équarrir les petites parties des animaux. Bien lui en prit. Peu après être rentrée dans sa tente, elle fut saisie par les hommes du shaman et forcée de respirer une poudre somnifère. Elle s’effondra en un instant.________France, 10 ans avant le voyage de Diane.
A la suite d’un chagrin d’amour, Diane se console entre les bras de sa grand-mère, Lilith.
— C’est gentil de me réconforter, mais aucun garçon ne voudra de moi. Je suis inutile, moch...— Arrête de raconter des salades pareilles. Tu vois ce médaillon ?
Diane fixa les yeux sur le pendentif qui lui était montré : une sorte de totem miniature sculpté dans une matière d’un blanc pur, avec des faciès d’animaux et des runes inscrites dessus. Sa grand-mère se lança dans le récit de son plus long voyage ; sa vie dans la lointaine Mongolie où elle avait vu la toundra, les tribus, et des êtres qui se changeaient en animaux. Comment elle avait quitté la toundra... Pourquoi elle était partie en France sous le régime communiste mongol... Diane mit quelques minutes avant de se reprendre.
"Ces signes sur le médaillon prouvent que je suis spéciale, que j’ai reçu en cadeau la force de la nature. Une force que je t’ai transmise, ma chérie. Tu es précieuse, parce que tu es nécessaire à la santé des tsevens et de leurs pouvoirs. Tu es une élue.
— Mamie... tu peux te transformer ?”
Sa question eut comme réponse un large sourire.
— Il ne s’agit pas juste de transformation, ma chérie. Pour le restant de ma vie, j’ai eu le sentiment d’être en harmonie avec la nature. Tu sais, dans le monde où nous vivons, c’est dur d’atteindre une telle sérénité. J’ai été aussi heureuse qu’il est possible d’être.” Elle détacha le médaillon de son cou pour le donner à Diane. “Et maintenant, c’est un chemin qui peut s’ouvrir pour toi aussi. Depuis ta naissance, il a toujours existé”.

Diane dormit avec son pendentif cette nuit-là, et son sommeil fut baigné de visions étranges. Elle eut un aperçu de la force naturelle. De la vigueur d’ébats magiques (elle jouit même durant la nuit). Mais surtout, elle comprit comment se transmettaient les pouvoirs. Par la chair. Si l’on était assez fort, on pouvait acquérir ses pouvoirs par l’ingestion de la chair.
Dès lors, Diane sut ce qu’elle avait à faire.
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Le décor était le même que lors de la cérémonie à laquelle Diane avait assisté quelques jours plus tôt : tambours, incantations, fumées exotiques... excepté que cette fois, c’était elle qui était attachée aux deux poteaux rituels : les poings liés, sa chevelure dorée touchait presque le sol. Miraculeusement intacte, sa blondeur resplendissait dans la nuit de la toundra, telle une lanterne dans la brume. Heureusement, grâce aux huiles rituelles et à la chaleur des braseros, Diane ne ressentait du froid qu’un léger frisson. Mais elle fut prise de tremblements quand elle vit arriver le shaman, sous sa forme d’ours. Tout en révisant son plan, elle se prépara mentalement à l’étreinte de la bête. Elle se remémora le plaisir qu’elle avait su tirer de ses ébats passionnés avec feu le shaman-loup.
Arrivé devant elle, l’ours ne mit pas longtemps à satisfaire ses instincts et prit son temps pour lécher sa nouvelle victime. Diane accueillit avec un frisson d’excitation le corps visqueux passer sans ménagement sur son corps, surtout sur ses beaux seins pointus. Les pattes velues de l’homme-bête agrippèrent ses jambes la faisant sursauter, mais elle offrait sans réticences sa poitrine à la bête affamée.
Autour de ce couple impensable, la rumeur dans l’assistance enflait : l’évènement était unique pour la tribu, ne serait-ce que l’offrande était une belle occidentale, blonde comme les blés et pâle comme la neige, qui allait se faire saillir par leur shaman bestial. Diane le sentait, l’excitation était palpable. Mais elle se fichait d’être ainsi le centre de l’attention perverse de la tribu : l’important était que l’ours ne touchât pas ses cheveux. Lorsqu’elle sentit les pattes de l’ours remonter, elle secoua discrètement sa chevelure. Ne restait plus qu’à subir les coups de langue de l’ours, qui lapa le visage jusque-là serein de l’aventurière.
Une fois qu’il eut recouvert le visage de Diane de salive, l’ours descendit à quatre pattes et lécha le pubis de sa victime, libérant une exclamation de joie dans le public. Après quelques coups de langue curieux, il fourra son museau tout contre le sexe chaud de la blonde et entreprit de lécher l’entrejambe comme il l’aurait fait avec un gros pot de miel. Diane crut qu’un ouragan allait se déclencher en elle. Elle fut si surprise par l’assaut soudain qu’elle faillit lâcher un cri d’extase. Mais perdre son combat face à l’ours n’était pas une option... même si elle subissait l’équivalent de plusieurs langues humaines lui prodiguant un cunni. Sans compter la texture du museau et le contact des poils qui la rendaient presque folle...

Puis l’ours se releva et sortit sa langue pour revenir lécher les jambes, les fesses, la poitrine et le cou... puis colla sa langue aux lèvres de Diane, qui les ouvrit de bon cœur. Elle savourait ce moment de calme relatif - même si cela impliquait d’embrasser un ours. Avoir sa gorge remplie par la langue de la bête ne calmait pas vraiment son extase, mais cela valait mieux que de sentir la bête contre ses cuisses.
La tribu rugit comme un seul homme en voyant le sexe dressé de l’ours. Diane écarta ses jambes.
Le choc fut rude, malgré les huiles dispensées sur son corps et son entraînement avec le shaman-loup. Le sexe de l’ours était nettement plus imposant, et Diane eut fort à faire pour retrouver sa maîtrise habituelle. La tribu exulta au moment de la pénétration et se lança dans un chant rythmé par les tambours tribaux : les femmes se caressaient, les hommes avaient leur sexe dressé, tout émoustillés qu’ils étaient de voir cette magnifique créature blanche se faire pénétrer par la montagne de poils qui la dominait. La chevelure blonde se mit vite à s’agiter au rythme des coups de boutoir de l’ours.
Diane se força à tenir, à résister à la sensation de plaisir. Le membre charpenté de l’ours ne l’aidait pas, mais le pire était cette sensation d’impuissance érotique : Diane était à deux doigts de se laisser aller, de se laisser porter par les mouvements de l’ours qui éprouvaient ses liens. En pleine action, elle sentait ses coups de langue passer sur ses seins.
Elle pensa très fort à sa grand-mère. Tenta de s’extraire de ce corps et de l’ambiance du camp. Ecouta ses battements de cœur, se concentra sur ses cheveux ballottés. Alors elle sentit l’Energie. Tout se passa alors en un éclair.
Diane se servit de l’élan d’un coup de boutoir de la bête pour faire balancer ses longs cheveux jusqu’à sa main droite. Les spectateurs attentifs purent alors voir au milieu de sa chevelure l’éclat d’un couteau de découpe, celui caché par Diane après sa journée de travail et attaché par ses cheveux les plus longs. Après s’être prestement saisie du tranchant, elle arracha les cheveux noués au couteau et coupa son lien droit en un revers. L’ours, encore enfoncé en elle, bascula en avant dès que le lien fut tranché. Diane fut emportée par le poids de l’ours, mais put tout de même asséner un coup terrible à la base du cou de la bête, qui hurla à la mort. Ignorant son cri, Diane mordit à pleine dent dans la langue de l’ours - ce même organe qui lui avait offert un plaisir pervers. D’un autre geste preste, elle trancha la langue de l’ours avec son couteau puis avala le morceau de chair.
L’instant d’après, l’ours lui asséna de terribles coups de griffes et se dégagea de l’étreinte mortelle de la blonde. Tout autour d’eux, la tribu s’était tue, rendue muette par la vision de la plaie béante qui courait sur le flanc de l’ours.
Voyant la bête tituber, les guerriers tsevens se mirent en branle et se ruèrent vers Diane, la maîtrisèrent et confisquèrent son couteau. Une partie des hommes vinrent soutenir l’ours et tentèrent de le ramener vers Diane pour finaliser le rituel. Mais déjà, le shaman perdait ses forces et les longs poils noirs de l’ours cédaient la place aux muscles fins de l’homme. Même sous forme humaine, le shaman était toujours affligé de plaies sanguinolentes, et s’écroula après avoir fini sa métamorphose.
Alors que plusieurs tsevens tentaient de ranimer le shaman inconscient, plusieurs cris retentirent près des poteaux où Diane était auparavant attachée. Hommes et femmes fuyaient vers le campement, et pour cause : la peau de Diane commençait à s’assombrir et ses muscles à s’épaissir. La chevelure blonde se raccourcit peu à peu, et le visage angélique admiré par la tribu changea de forme. Plus encore fuirent quand la silhouette féminine se mit à grandir et quand le dernier lien ne put retenir son bras. Les tsevens restants virent avec horreur un ours gigantesque, copie brune de leur créature shamanique, se libérer et rugir. Diane avait enfin fait sienne les pouvoirs des tsevens, et obtenu du même coup une vengeance libératrice.
Les histoires tsevens divergent quant au sort de Diane et de sa nouvelle tribu. Certains disent qu’elle chasse les différents shamans et tente d’acquérir le pouvoir de tous les animaux du monde nomade. D’autres disent que Diane a rétabli la paix entre les tribus et qu’elle est maintenant devenue un animal à part entière, forte de ses accomplissements dans le monde des hommes, et qu’elle réapparaîtra si jamais un shaman se montre trop gourmand avec les pouvoirs qui lui ont été conférés. Enfin, certains avancent qu’elle voyage secrètement de tribu en tribu, et qu’elle vient s’unir la nuit avec les tsevens ayant attiré son regard. La vérité ne sera peut-être jamais connue que d’une seule personne, sa grand-mère, qui lui a transmis son savoir, ses motivations et peut-être ses fantasmes...
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