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Anissa, soeur de mon meilleur ami

Chapitre 1

Introduction

Hétéro
La salope... C’est clair qu’elle cherchait à m’exciter. Et cette pute y parvenait bien... Elle, c’est Anissa, la petite sœur de mon meilleur pote, Mehdi.
Mes doutes étaient nés il y a un mois à peu près. On revenait de l’entraînement de rugby, et comme à mon habitude, je me douchais et me changeais chez Mehdi. Notre club pourri n’avait pas de douche, et chez moi, c’était un peu compliqué, alors que lui, ses parents sont des friqués. Je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi il était inscrit dans ce club pourri alors qu’il aurait les moyens de s’inscrire où il voulait.
Bref, c’était au milieu du mois de mai, les températures commençaient à grimper et nous avions particulièrement chaud après l’entraînement. Du coup, on avait fait le chemin torse nu. Arrivé chez Mehdi, on passe devant le salon avant de monter dans sa chambre. Anissa était assise devant la télé, et, j’en suis presque certain, la meuf s’est léché les lèvres en matant mon torse nu. Le truc c’est qu’elle s’est rapidement reprise. Faut dire que Mehdi, c’est un nerveux et il joue beaucoup le grand frère avec elle...
Enfin, ça s’est passé tellement vite que je n’étais certain de rien. Surtout que, Anissa, ça fait un moment qu’elle me tape dans l’œil. Elle avait six ans de moins que nous, mais ses fesses étaient déjà bien formées. En plus de ça, elle avait de super beaux yeux et un regard à vous transpercer le cœur.
D’où mes doutes sur son intérêt pour moi. Enfin, jusqu’à ce jour. On était fin juin et je bronzais devant la piscine de Mehdi. Sa mère, Shérazade, nous avait apporté un jus de fruits fait avec son extracteur de jus dont elle était si fière. Ça parlait du dernier match de l’OM, du travail, de tout et de rien, quand j’ai commencé à la remarquer.
Mehdi était sur le dos, il ne pouvait donc pas remarquer les nombreuses allées et venues de sa sœur en maillot de bain devant nous, avec un dandinement qui ne laissait aucun doute sur ses intentions.
La sœur de mon meilleur pote me chauffait !
Voilà trois fois que Anissa passait en veillant à ce que son énorme cul rebondisse à l’exact moment où elle se trouvait face à moi, et je ne pouvais plus contrôler l’afflux de sang au niveau de mon entrejambe : je bandais et c’était patent ! Mehdi pouvait se retourner à tout moment et voir l’énorme bosse qui déformait mon short noir. Cela d’autant plus que je ne portais pas de caleçon, pour pouvoir profiter de la piscine...
La pute passait à nouveau devant moi, elle jetait un coup d’œil à mon short, se mordit le côté droit de la lèvre inférieure et me lança un regard de défi qui créa une décharge sur ma queue, laquelle rebondit à l’intérieur de mon short, provoquant un rire chez cette salope. Je lui répondis par un sourire et un clin d’œil : j’acceptais son défi.
Mais hors de question que je la laisse en position de force. Aussi fermais-je les yeux en pensant à la chose la plus dégoutante possible : le nez rempli de morve de Marvin, l’un de nos coéquipiers de l’équipe de rugby qui se débrouillait toujours pour avoir la tête la plus horrible possible, même après l’entraînement le plus soft. Lorsque l’effet se fit ressentir en rétrécissant la taille de ma bite, je me levais en claquant le dos de Mehdi.
— J’y vais frère, je dois rejoindre Coralie !
Coralie, c’était ma meuf. Il n’était pas réellement prévu qu’on se voit, mais j’allais avoir besoin d’elle pour défouler ma libido puis pouvoir sereinement penser à la manière dont j’allais piéger Anissa.
— Okay, frérot, on se voit demain ?
— Ouais comme prévu, au terrain à 14h ! Ciao !— Ciao ! »
C’est alors que je vis le regard que me lançait Anissa. Mon coup était réussi. Elle semblait choquée et presque vexée de me voir partir si tôt :
— Tu t’en vas déjà Antoine ?— Ouais, j’ai un rendez-vous. Au revoir, Shérazade, votre jus était exquis.— Au revoir Antoine ! me répondit Shérazade avec un sourire. Je répondis par un clin d’œil en direction de la mère et de la fille, et traversais la maison pour monter dans ma voiture.
Lorsque j’arrivais chez Coralie, celle-ci était, comme je l’espérais, chez elle. Elle fut surprise, mais contente de me voir :
— Je pensais que tu passerais l’après-midi chez Mehdi.— Ouais moi aussi, mais j’avais trop envie de te voir. Si ça te dérange, je peux retourner chez lui... fis-je en faisant mine de retourner vers ma voiture.— Arrête de dire des bêtises » et elle m’enlaça, m’embrassa et me fit pénétrer chez elle...
Je retirai ma bouche de la sienne, et m’installais dans son canapé :
— Tu faisais quoi ?
Je sentis que je l’avais vexée en faisant mine de ne pas vouloir prolonger notre baiser.
— Rien j’étais devant la télé, répondit-elle en s’approchant de moi et en approchant ses gros seins devant mes yeux : j’avais réussi à l’exciter !

D’habitude, j’aurais certainement encore fait durer le supplice avant de la prendre, mais là, Anissa m’avait déjà bien assez excité. Aussi plongeais-je ma bouche à l’intérieur de son décolleté pour embrasser ses seins.
Elle s’assit sur moi, son cul en forme de fraise sur ma bite qui était déjà bien dure, qu’elle commença à frotter par des mouvements longs et lents. Ses gémissements, en réponse à mes coups de langue me faisaient littéralement perdre la tête, aussi lui retirais-je aussitôt son chemisier pour pouvoir sucer directement ses tétons. Proportionnellement au volume de ses gémissements, la vitesse de son mouvement sur ma queue augmenta, me faisant presque venir.
Pour reprendre le contrôle, je la soulevais de mes bras musclés et la fis s’asseoir à ma place, retirais ce qui lui restait d’habit, et entrepris un cunnilingus. Les hurlements remplacèrent alors les gémissements. Au bout de dix minutes, entre deux cris, elle me demanda de la prendre.
Voilà l’état dans lequel je voulais la mettre : entièrement soumise. Je remontais alors ma bouche vers son visage pour lui donner un baiser, puis vers ses seins, tandis que ma main descendait vers son clito qu’elle entreprit de masser. Son corps transpirait de plaisir, elle mouillait abondamment sous ma main et gueulait, la respiration difficile.
N’y tenant plus, je m’arrachais brusquement à ses mains qui caressaient mes cheveux, sortis une capote de mon portefeuille dans mon short, me déshabillais à mon tour, enfilais la capote et la pénétrai violemment.
Un cri de plaisir jaillit de sa petite bouche.
Mes mouvements de va-et-vient étaient rapides et profonds. Nos peaux se collaient comme je touchais le fond de sa chatte, nos mains parcouraient nos corps respectifs, à ses gémissements répondaient mes grognements, de plus en plus vite, de plus en plus fort jusqu’au moment où sa chatte se contracta sur ma bite et qu’elle atteignit l’orgasme. J’accélérais encore à mon tour et jouis à mon tour. Mon éjaculation provoqua une onde de plaisir qui traversa tout mon corps, j’embrassais Coralie quand, et restait un moment dans cette position.
Profitons du bon moment avant que d’entamer le combat qui s’annonce.
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