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Anissa, soeur de mon meilleur ami

Chapitre 2

Hétéro
Durant la première semaine de nos vacances du mois de juillet, Mehdi et moi passions l’essentiel de notre temps chez lui, à nous entraîner, faire de la muscu ou seulement bronzer au soleil. Anissa se débrouillait pour apparaître à chacune de ses activités, cherchant à croiser mon regard et à dresser ma bite à travers mes shorts.
Je l’ignorais.
Faire monter la tension en attendant qu’une occasion de la sauter toute une nuit durant se présente à moi. Voilà schématiquement le plan. En parallèle, je motivais Mehdi à sortir le plus de soirs possible. Mon meilleur ami était très nerveux, il me fallait prévoir une occupation pour lui pendant que je me taperai sa sœur. Et quelle occupation plus prenante qu’un accouplement sauvage avec une demoiselle...
Un soir, enfin, je trouvai la nana parfaite.
Nous étions assis à une table, en boîte de nuit. Le propriétaire connaissait les parents de Mehdi. Aussi étions-nous dans le carré VIP, à l’étage, avec une belle vue sur la piste. Outre Mehdi et moi, il y avait Marvin et Thomas des potes du rugby, ainsi que Gueysha et Houda, les meufs de ces deux derniers.
La fille que j’avais repérée, une jolie brune, était assise à une table en bas avec des amis : deux gars et trois nanas. C’était une jolie brune légèrement mate de peau, avec de jolies formes. Elle transpirait la timidité. Cible parfaite pour Mehdi qu’une fille qui accepterait trop rapidement de le suivre dans son lit lasserait vite. Je voulais qu’il galère un peu, que la fille l’obsède, au point d’accaparer toute son attention, me laissant tout le loisir de mélanger mon sperme à la mouille d’Anissa, toute une nuit durant...
Trêve de divagations, place à l’action !
Comme si la providence voulait m’aider, une des filles de la table de la brune timide, une blonde, me lançait de petits sourires.Je poussais du coude Mehdi en lui montrant du doigt la table de la brune :
— Tu vois la blonde aux big boobs dans la table de six là-bas ?— Ouais, pas mal...— Tu me laisses conduire ta merco si je me la tape dans les toilettes avant la fin de la soirée ?
Il me regarda, visiblement amusé :
— Okay, mais ça sera pas facile. Son pote renoi semble vouloir se la faire.
J’avais en effet remarqué que, l’un des mâles du groupe la collait. Mais ça n’était pas un danger...
— Ca ne rendra que la soirée plus intéressante ! Tu descends avec moi ?— Je sais pas, la brunette au bout de leur table est mignonne, mais elle a l’air coincée...
Je pris mon air d’expert :
— C’est justement ce genre de meuf qui est le plus chaud au lit !
Il pouffa:
— Ouais mais j’ai pas envie de galérer pour la pé-cho.— Comme tu veux frère ! »
Il ne me facilitait pas la tâche, l’ami. C’est donc seul que je descendis à la recherche d’un nouveau plan.
En arrivant vers les filles, je pris une chaise vide dans la table à côté et me mis entre la blonde et le renoi :
— Salut ! Tu viens danser ?
Elle répondit quelque chose que je ne compris pas, mais se leva en souriant, ce devait être un oui. Le renoi était manifestement outré que j’osai le couper dans son entreprise de séduction.
Je conduisis la fille au centre de la piste et commençais à danser avec elle. Son corps cherchait manifestement le contact avec le mien, de sorte que rapidement, plus que d’une danse, il s’agissait de frottements sensuels. Elle parvint rapidement à m’exciter et sembla s’amuser de la bosse sur mon bermuda.
Reprenant le contrôle, j’approchais sa tête de la mienne et l’embrassai langoureusement, parcourant de mes mains la courbe de ses fesses, pendant qu’elle continuait à se frotter à moi. Après quelques instants, je lui murmurai à l’oreille :
— Je t’offre un verre ?
Elle acquiesça.
On se rendit au bar, où je commandai deux Vodka-Redbull. J’en appris davantage sur elle et sa copine... Ma blonde s’appelait Inès et sa copine Estefania, espagnole d’origine. Elle cherchait un gars à cette dernière et parut satisfaite d’entendre que je cherchais une meuf pour Mehdi. Je lui proposai de faire se rencontrer nos deux amis.

Nous nous séparâmes donc et je montais voir Mehdi tandis qu’elle allait chercher Estefania, en prétextant ne pas vouloir se retrouver seule à notre table.
— Frère, alpaguais-je Mehdi, la brune, tu te souviens ?— Ouais la pote à la meuf que tu baisais presque sur la piste, pouffa-t-il en faisant un clin d’œil à Marvin.— Exact ! Ben, elle s’appelle Estefania et elle kiffe grave sur toi. Elle est un peu timide, mais elle va monter avec sa pote pour discuter un peu avec toi.
A ce moment, Inès arriva avec Estefania. Les présentations furent rapidement faites et on embraya sur des discussions banales. Le courant semblait bien passer entre Mehdi et Estefania. Celle-ci semblait intéressée par lui, mais ne se laissait pas charmer par son numéro de mec alpha baraqué et très viril. Au contraire, elle le moquait, ce qui piquait au vif la fierté de Mehdi, lequel redoublait d’efforts pour séduire l’Andalouse qui manifestement ne se laisserait pas baiser ce soir.
De mon côté, Inès voulait ma bite. Elle fixait mon entrejambe qui n’avait pas eu l’occasion de dégrossir. Je m’amusais à faire se dresser ma queue, provoquant des pincements de lèvres chez ma cible.
Bientôt, je prétextais une envie pressante pour m’éclipser, immédiatement imité d’Inès qui me suivit sous les sourires entendus et un clin d’œil de Mehdi.
Dès que la porte des toilettes se fut refermée derrière nous, elle sauta sur moi et m’embrassa langoureusement en caressant mes biceps et mes pectoraux, puis en commençant à déboutonner ma chemise.
Surpris par son empressement, je la laissais me retirer ma chemise, avant de la saisir par les poignets et de la bloquer contre la porte « doucement » lui susurrai-je à l’oreille que j’entrepris ensuite de sucer lentement.
Elle suivait de ses mains enfin libérées les sillons tracés par les abdos sur mon torse et voulait me retirer mon bermuda. Je la retins et, brusquement, positionnais ses jambes sur mes épaules, de chaque côté de ma tête. J’avais une vue imprenable sur sa chatte dégoulinante de mouille que ne cachait aucunement un string rouge vif.
Comme je l’espérais, mon cunnilingus calma ses ardeurs. Ma langue montait vers son clito puis redescendait vers sa chatte que mes coups de langue tentaient désespérément d’écarter pour pénétrer son vagin. Le goût de sa mouille humectait mes lèvres d’une douce senteur indescriptible.
Après quelques instants, je la redescendis de mes épaules, lui retirai son décolleté pour laisser respirer sa belle poitrine rebondissante que je massais d’une main tandis que, de l’autre, je frottais, doucement puis de plus en plus rapidement son clito. Aidé de l’effet naturellement lubrifiant de sa mouille, je pus rapidement faire pénétrer un doigt en elle, que je ressortis d’abord immédiatement pour remonter sur son clito.
En redescendant, je pus pénétrer deux doigts. Je restais alors plus longtemps pour découvrir son antre. En frôlant une rondeur, je la sentis se cambrer de plaisir. Je me remis à l’embrasser et, tandis que son souffle se faisait plus laborieux, je sortis mes doigts pour caresser à nouveau son clito. Quelques minutes après, je tentais à nouveau avec trois doigts, dont le majeur qui atteignit directement la rondeur et entreprendre de la caresser doucement.
N’y tenant rapidement plus, elle retira sa bouche de la mienne et fit retentir la pièce de plaisir.
Oh que j’aimais cela !
Je sortis une dernière fois pour frotter son clito frénétiquement tandis que je suçais son sein droit de ma langue. La quantité de mouille était telle que mes doigts glissaient sur elle, des gouttes de sueur perlaient sur son corps que je parcourais de ma main à la recherche d’une autre zone érogène. Je trouvais rapidement : au bas de sa colonne vertébrale, à la frontière entre son cul et son dos, il y avait un creux. La première fois que j’y passais, il ne se passa rien. La seconde, elle eut un sursaut. Je me mis à caresser cette zone avec plus d’insistance avec toujours cette même réaction.
Elle vint rapidement alors rapidement.
Je lui laissai quelques secondes de repos avant de lui présenter ma queue. Elle voulut la sucer, mais je fis non de la tête.
M’asseyant sur les chiottes, je mis une capote puis installais Inès sur moi, pénétrant lentement mon membre en elle. La mouille étant encore là, j’entrai facilement.
Assise à califourchon sur moi, elle m’embrassa à nouveau. J’entrepris alors de lents mouvements de hanche que tout son corps suivant en miaulant de plaisir. D’une main, je cherchais à nouveau le creux au bas de son dos, que je trouvais rapidement. De l’autre, je caressais ses belles fesses rondes.
Oh, ce que je kiffais ça.
Accélérant le rythme de mes mouvements de bites, je parcourais également son corps de mes mains par des mouvements plus larges, comme pour appréhender la totalité de sa chair. Ne pouvant déchaîner ma passion dans sa seule bouche, je cessai mon baiser pour me jeter sur son coup, que je couvrais de baisers, de mordillement, de léchages.
Le sexe sauvage, voilà ce que j’aimais.
Et elle aussi, à se fier à ses grognements et aux griffures dont elle peignait mon dos.
L’humidité de chatte, le frottement à ses étroites parois, faisaient baigner ma teub dans un océan de plaisir. Mes mouvements de va-et-vient, la passion des mouvements de ma partenaire, la douceur et la chaleur de sa peau, tout cela concourait à faire de moment un pur moment de bien-être et de plaisir.
Souhaitant en finir, je me levai, toujours en la pénétrant, en la retenant de mes bras, et la collai contre le mur. Là, je mis toute la force que je pus à mes va-et-vient, nos râles respectifs s’entrecroisaient dans une symphonie d’amour, chaque claquement produisait une décharge de plaisir en moi, et après une dizaine de mouvements dans cette position, je crachais de violents jets de sperme dans la capote.
Je lui souris en la regardant dans les yeux, et l’embrassai en lui demandant si elle avait aimé.
Elle devait rester sous mon charme pour que Mehdi ait une chance de se taper Estefania, et moi de me taper Anissa !
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