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Anissa, soeur de mon meilleur ami

Chapitre 3

Hétéro
Quel plus beau réveil que celui au contact d’une femme nue ? Je m’étais endormi la veille, Coralie dans mes bras, ses seins tenus fermement par mes mains, nos jambes imbriquées les unes dans les autres, mon torse contre son dos et son cul contre ma bite.
Avant même que ma conscience n’eût totalement émergé, ma bite reprit de la vigueur. La sentant, Coralie tourna seulement sa tête vers moi pour me sourire. Elle approcha lentement ses douces lèvres des miennes. Son parfum de la veille éveilla en moi des souvenirs chauds. C’était une fragrance fruitée, très légère qui m’attira irrésistiblement vers elle. Et lorsque ses lèvres pulpeuses entrèrent en contact avec les miennes, d’abord pour les effleurer, puis pour unir nos lèvres dans un baiser doux et agréable, je bandais sec !
Je me mis alors à empoigner fermement ses seins, toujours contre mes paumes, et à m’amuser avec ses tétons. Mes doigts dansaient de l’extrémité de la rondeur de ses seins, saisissaient violemment ces derniers, harcelaient ses tétons, dans un mouvement perpétuel, fait pour la rendre dingue.
Elle me signifia ma victoire en intensifiant la vigueur de notre baiser. Sa langue titillait mes lèvres, dont je lui avais confié la sensibilité. Elle m’embrassait, dansait avec mes lèvres, ses mains agrippant ma tête pour m’imprimer son rythme.
Alors que nous reprenions notre souffle, je pus murmurer à ses lèvres « Suce-moi bébé ! ». Son sourire pour réponse, elle déposa un dernier baiser, frôlant l’intérieur de mes lèvres de sa langue, puis se libéra de mon étreinte pour se tourner vers moi et saisir ma queue de ses deux mains. Celles-ci apparaissaient minuscules en comparaison de mon engin...
Constatant l’inutilité de procéder d’abord à une branlette, elle ouvrit grandement la bouche, non sans manquer de m’envoyer un dernier sourire coquin, avant d’engloutir la bête dans sa bouche. Elle prit soin de faire glisser très lentement ma queue entre ses lèvres, ce qui libéra une quantité d’hormone du plaisir insoupçonnable dans mon cerveau. Lorsqu’elle dépassa mon gland, sa langue se mut dans sa bouche, exerçant une légère, mais si agréable, pression contre mon membre.
Elle poursuivit son gobage, bien plus profondément que d’habitude : elle cherchait à me faire une gorge profonde ! Bientôt, mon gland cogna le fond de sa gorge. L’intégralité de ma queue saillante subissant la pression humide de l’intérieur de sa bouche.
Je kiffais ma race.
Coralie entama alors de me sortir de sa bouche, toujours en prenant soin d’entourer ma queue de la pression de ses lèvres. Elle répéta l’opération plusieurs fois, de plus en plus vite, en allant chaque fois jusqu’au contact de sa gorge.
Sentant l’éjaculation venir, je la fis remonter vers moi et l’installais contre moi, ses seins au contact de mon torse. Je lui souris et l’embrassais en commençant à chercher de mes doigts son clitoris.
Elle m’indiqua que j’étais au niveau de sa zone la plus érogène en saccadant sa respiration. J’entrepris alors des mouvements doux d’abord, puis plus sauvages à cet endroit, en prenant soin de m’en éloigner pour revenir plus violemment.
Lorsque sa respiration devint plus régulière, je la déplaçais pour substituer ma langue à mes mains, libérant ses dernières pour parcourir son corps et, enfin, atteindre ses seins, chacune de mes mains en empoignant un.
La douce odeur de sa mouille remplaçait celle de son parfum comme je l’étalais de ma langue pour la transporter jusqu’à sa chatte. A l’assaut de son vagin, mes coups de langue gagnèrent du terrain, en écartant les parois cachant son orifice. Lorsqu’ils manquaient de munition, ils partaient se refournir, plus haut, à la source d’une mouille abondante.

Au bout de 10 minutes, elle me supplia de la prendre, ce que je fis sans prier. Me relevant, je positionnai son corps en levrette et, après avoir enfilé mon armure de latex, je la pénétrai, aidé en cela de l’effet naturellement lubrifiant de la mouille.
C’est dans un baiser fougueux que j’entamai mes premiers mouvements de va-et-vient. Déjà bien excité, je ne la ménageai pas et commençai directement par des mouvements longs et rapides, provoquant des décharges de plaisir chez moi et des cris à mon nom chez elle.
Plus rapidement que je ne l’espérais, sa chatte se contracta, elle jouit. J’accélérais alors mes mouvements et vins en même temps qu’elle.Avant même que de sortir, je jetai un coup d’œil à l’horloge. Merde, il était déjà midi. Mehdi m’attendait à treize heures chez lui pour l’aider à organiser la fête que j’étais parvenu à le convaincre d’organiser pour pécho Estefania... (et me laisser l’occasion de baiser sa sœur). Mais bien sûr, je ne pouvais avouer tout cela à Coralie.
— Bébé, tu vas m’en vouloir...— Quoi ? Tu veux déjà partir ? J’ai vraiment l’impression d’être ta p...
Je l’embrassais en lui faisant le plus beau de mes sourires.
— Bébé, je t’aime plus que tout, je peux pas te laisser dire quelque chose d’aussi vulgaire à propos de la femme de ma vie.
J’ignorais comment, mais ce genre de phrase débile marchait toujours avec elle. Son visage se fondit en un sourire niais que j’ajoutais :
— Mehdi a besoin de moi. Je peux pas le laisser tomber. Il a toujours été là quand j’ai eu besoin de lui.— Mais non mon chéri, désolé d’avoir réagi comme ça, c’était excessif. Va rejoindre ton pote, il a de la chose de t’avoir ».
Je lui délivrai un sourire, en l’embrassant sur le front et m’en allais après avoir enfilé mon short et mon tee-shirt, puis partis reprendre ma voiture.
Je repassais chez moi, me douchai en vitesse et enfilai des vêtements absolument non choisis au hasard : un short avec un débardeur qui mettaient en valeur ma musculature : je savais qu’Anissa serait là quand j’arriverai, et je voulais qu’elle soit bien chaude pour ce soir...
Arrivé chez Mehdi, je constatai que je ne m’étais pas trompé : ce fut Anissa qui m’accueillit. Elle m’attendait et cherchait manifestement aussi à m’exciter. Elle portait un string qui ne cachait absolument rien de ses cuisses et de ses fesses que je voulais déjà croquer, avec un soutien-gorge qui semblait gonfler encore ses seins, le tout faussement couvert par un kimono blanc transparent.
De surprise, je restai un moment sans parler. Elle savoura sa victoire sur moi, qui n’avait pas cessé de l’ignorer depuis la fois de la piscine.
— Il faut que tu convainques Mehdi de me laisser rester pour la soirée, dit-elle en guise de bonjour.
Avant que je ne pus répondre, j’entendis Mehdi répliquer de sa chambre d’où il arrivait :
— C’est hors de question, il y aura plein de mecs et...— Sinon c’est simple, j’appelle tout de suite les parents et tu sais que ce genre de nouvelle les ferait revenir immédiatement de leur week-end à Venise ! »
Cette fois-ci, ce fut moi qui pris mon ami de cours :
— Laisse-la Mehdi, je te jure de rester avec elle, et de ne laisser personne s’en approcher, pendant que tu seras occupé ailleurs...
Il sourit et parut hésiter, mais finalement :
— Ouais okay, mais c’est bien parce que c’est toi hein ! Allez viens dans ma chambre, j’ai fait une liste de trucs à acheter, et il faut que tu m’aides à choisir mes vêtements...
Alors qu’il continuait à parler en se dirigeant vers sa chambre, je n’avais d’yeux que pour Anissa qui me regardait en souriant.
Elle comprenait ce que je cherchais à faire. Et ce soir, nous obtiendrons enfin tous les deux ce que nous attendions.
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