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Anna : jeune vierge initiée par son beau-père

Chapitre 18

papi prend le relais

Zoophilie
Papi Raymond était aux anges. Avoir à sa disposition deux femelles ! L’une jeunette, l’autre plus mûre, mais pas trop, prêtes à exaucer ses souhaits. Papi Raymond aimait les seins lourds et blancs de Céline, ses tétons larges et roses, ses petits cris de jouissance, sa bouche rose et fine, ses hanches rondes, mais pas trop. Lorsque son regard plongeait entre ses cuisses, le ticket de métro au-dessus du clitoris, le rendait fou. Lorsque le chien la léchait, il avait découvert sa chatte rose, aux lèvres gonflées et son trou palpitant. En enfonçant sa bite dedans, après le chien, il avait découvert une chatte serrée, brulante comme une chienne en chaleur, prête à s’offrir avec empressement. Il n’avait jamais connu ça.
Anna aussi était excitante avec sa bouche pulpeuse, parfaite lorsqu’elle coulissait sur sa bite. Son regard coquin, faussement innocent. Deux petits seins qui tenaient parfaitement dans ses mains. Des tétons bruns rosés. Ses hanches fines étaient excitantes lorsqu’elle se positionnait en levrette pour la saillie. Il aimait s’y agripper, pour la fourrer profondément. C’était aussi un plaisir un peu pervers de voir Champion la monter en se positionnant sur sa croupe chaude. Ses jolies fesses rondes se relevaient pour s’offrir au mâle. Il était toujours excité en voyant la queue du chien impatient écarter ses deux jolies lèvres sexuelles, aussi humides que sa bouche. Elle avait toujours accepté de jouer à tous ses jeux !
Après avoir joué avec Champion et papi, Céline était fatiguée. Ils s’installèrent nus dans le canapé pour regarder un film. De temps en temps, papi caressait leurs seins. Il savait qu’Anna était frustrée de ne pas avoir joui, et que ses cuisses étaient dégoulinantes de mouille. Mais, il voulait attendre encore un peu et en profiter.
Il eut envie de les photographier, pour pouvoir se masturber devant les photos et les partager avec d’autres hommes friands de jolies fesses. Il prit Céline par la main et la réinstalla sur l’accoudoir du canapé. D’abord assise, cuisses relevées, elle prit les poses qu’il lui demandait. Céline laissa papi prendre des gros plans de sa chatte encore chaude, puis de ses seins dont elle joua avec les tétons. Papi la laissa se caresser les cuisses puis faire rouler son clitoris encore sensible. Anna s’approcha à la demande de Raymond. Elle positionna deux doigts devant le trou serré et entama un mouvement de va-et-vient. Céline pencha la tête en arrière en gémissant. Photo parfaite pour papi.
Puis, vint le tour d’Anna, impatiente. Son papi chéri l’installa sur la table de la salle à manger. Une cuisse relevée, d’un doigt, elle ouvrit ses deux lèvres pour révéler son trou chaud. Raymond zooma pour prendre les photos. Céline vint lui proposer un gode large et violet. Anna suçota le bout doucement pendant que sa mère lui caressait sa vulve du bout des doigts. Puis, Céline l’enfonça un peu plus profondément, faisant gémir sa fille. Une fois le gode bien humide, Céline le dirigea vers la fente d’Anna.
— Oh, c’est trop bon ! gémit Anna.
Papi prit ses dernières photos.
— Enlève-lui le gode ! ordonna papi à Céline.

Anna protesta.
— On va se doucher et laver Champion. Sa queue doit être propre, ordonna Raymond.
Les deux femelles se dirigèrent vers la salle de bain, leur collier de chienne toujours au cou. Champion les suivit. Papi fit couler l’eau dans la large douche à l’italienne.
Céline et Anna offrirent leur corps à l’eau chaude, qui ruisselait sur leurs seins avant de couler entre leurs cuisses. Papi poussa sur leurs épaules pour qu’elles se mettent à 4 pattes. Champion rentra sous la douche.
Sur l’ordre de papi, Anna, impatiente mouilla la queue de champion, puis s’empara du savon. Doucement, elle le nettoya en le branlant. Sa pine rouge gonfla au fur et à mesure, laissant apparaître des veines palpitantes. Céline rinça bien la queue puis laissa vagabonder un bout de sa langue rose sur la verge. Sa fille se mit elle aussi, à lécher la pine bien gonflée. Chacune leur tour, elles fourrèrent la queue avec avidité entre leurs lèvres. Papi se pencha et se mit à doigter Anna et Céline, qui gémissaient ensemble. Elles remontèrent leurs hanches comme impatientes, espérant une saillie.
— Debout, ordonna Raymond.
Raymond positionna Anna face au mur, les cuisses offertes, ouvertes. Champion se redressa et commença à lécher en appuyant bien sa langue contre la vulve en chaleur. Anna sentait la langue râpeuse, ouvrir ses lèvres et en prendre possession. Papi et sa mère lui caressaient les seins, jouaient avec la pointe. Anna poussait des petits cris à chaque coup de langue. Parfois, Champion remontait sa langue plus haut, lubrifiant son con serré. Raymond fit pivoter Anna, Céline lui maintint ouverte l’une des cuisses. Ainsi, elle était totalement offerte à la langue du chien dont Céline caressait la queue. Anna très excitée, saisit la queue dure de papi pour la branler. Il fit glisser un de ses doigts entre ses fesses puis entre ses cuisses pour la doigter. Champion léchait frénétiquement le clitoris, verge bien dure et rouge, son gland était devenu imposant.
— Tu aimes te faire baiser ma chienne ? demanda Papi.— Oh oui papi ! J’aime être ta chienne en chaleur. J’en veux encore ! gémit-elle.

Anna jouit en hurlant son plaisir, lâchant des jets de cyprine. Voyant que Champion avait besoin de décharger son sperme, Anna et Céline se remirent à 4 pattes et recommencèrent à le pomper avidement. Le chien déchargea son sperme dans la bouche d’Anna qui se tourna vers Céline. Sa mère accueillit le sperme sur les lèvres de sa fille avec sa langue. Puis, elles nettoyèrent la pine de Champion avec leur langue. Papi stoppa le nettoyage en tirant sur leur collier au bord de l’explosion. A genoux devant leur maître, les deux femelles offrirent leur visage, la bouche entrouverte pendant qu’il se branlait devant elles. Céline caressa du bout des doigts les deux couilles et le sperme jaillit dans un grognement viril. Les deux chiennes en reçurent sur les joues, le menton, la langue et le nez. Elles se léchèrent entre elles sous l’œil brillant et satisfait de leur papi chéri.
Pour prolonger le plaisir, Raymond entreprit de les savonner chacune, afin de pouvoir encore un peu les tripoter. Elles se laissèrent faire en souriant et il embrassa langoureusement chacune, faisant rouler sa langue dans leur bouche. Champion sautilla autour d’elles en sortant de la douche et elles le séchèrent. Sa bite était rentrée dans son fourreau, mais elles l’en ferrait encore sortir...
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