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Anna se lâche

Chapitre 1

Erotique
Anna et moi sommes mariés depuis presque dix ans et notre vie sexuelle a longtemps été très calme : nous ne faisions l’amour que cinq ou six fois par an, dans des positions très classiques et presque toujours dans l’obscurité, ce qui ne nous a cependant pas empêchés d’avoir deux enfants. Ces derniers ayant grandi, nous sommes passés ces dernières années pour nos ébats de la chambre au salon, Anna craignant que les grincements du lit ne les réveillent. Ce petit changement en apparence anodin a cependant complètement modifié nos rapports sexuels.
Tout d’abord, en étant dans le salon, on prend plus notre temps, souvent après s’être servi, pour se détendre, un verre dont on profite dans le canapé en regardant la télévision. J’ai donc suggéré à Anna d’en profiter pour porter de la lingerie et, sous mon impulsion, sa garde-robe sexy, qui se limitait au début aux strings qu’elle porte au quotidien et à des escarpins achetés pour un mariage, s’est progressivement enrichie : bodies ouverts ou échancrés, culotte fendue, soutien-gorge demi-coupes et porte-jarretelles, micro bikini brillant, ensemble transparent en tulle. Et il y a un an s’y sont ajoutées des sandales "plateformes" achetées sur le Net qu’elle doit apprécier, puisque chaque fois qu’elle les porte, elle se félicite qu’elles soient aussi stables que confortables.
Note de l’auteur : les pièces portées par Anna sont visibles via une URL disponible dans mon profil.
A l’achat de chaque nouvelle pièce, Anna, qui est d’une nature qu’on qualifie diplomatiquement d’économe, me reproche "des dépenses inutiles", mais bien qu’elle soit d’une nature très réservée, elle ne rechigne jamais à porter ces différentes pièces, dans lesquelles elle est particulièrement désirable. Au fil du temps, j’ai remarqué qu’elle avait une préférence pour un body rouge et noir ouvert, qui est l’une des pièces les plus osées de sa panoplie. Lorsque je la laisse choisir, c’est généralement celle-là qu’elle enfile, et c’est souvent le signe souvent d’une bonne soirée. Pour ma part, bien que je sois un fanatique des bodies, c’est dans le petit bikini violet brillant que je la préfère : quand elle le porte, perchée sur ses talons de 15 centimètres, elle a une allure de pute qui n’est pas pour me déplaire.
Par ailleurs, j’ai aussi profité de la présence de la télé pour diffuser des vidéos pornographiques en introduction à nos ébats. Au début, c’était des vidéos plutôt soft : un gars, une fille, généralement jeunes, filmés dans de jolis décors...
Mais cela n’avait pas vraiment l’air d’intéresser Anna, qui était visiblement plus attirée par la nouveauté. Alors j’ai petit à petit introduit d’autres sujets : un gars et deux filles, deux ou trois filles, deux gars et une fille, avec plus de succès, et parfois quelques révélations comme ce soir ou, probablement échauffée par l’alcool et le spectacle diffusé, elle m’a avoué avoir toujours regretté de ne pas avoir concrétisé une opportunité de relation saphique avec une camarade de classe alors qu’elle était à l’université. Un autre soir, elle s’est étonnée de ne jamais voir de blacks dans les vidéos diffusées.
Inutile de dire que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd et la fois suivante, je lui ai trouvé une vidéo avec des blacks, qu’elle m’a finalement demandé d’arrêter : passer sans transition de quelques trios avec éjaculations faciales ou échange de sperme entre filles aux images de Paulina, une pimbêche russe, se faisant démonter en gros plan par les énormes braquemarts de quatre blacks, c’était visiblement un peu trop rude pour elle.
Et pour terminer, le passage de la chambre au salon nous a aussi permis d’adopter des positions différentes, tant pour les préliminaires que pour la suite.
Ce soir, j’ai préparé son body préféré et une vidéo des années 2000 dans laquelle Nikki, une jolie blonde de l’est, retrouve son petit ami qui joue au billard avec deux hommes plus âgés. Nikki s’est installée dans le canapé, son petit ami lui a servi un verre et il ne faut pas être grand clerc pour deviner ce qu’il va lui arriver ensuite.
Revenant de la douche, je trouve Anna, qui y est allée avant moi, assise dans le canapé et habillée de la tenue du jour, ou plus précisément du soir. Lorsqu’elle me voit arriver, elle se lève et tourne sur elle-même pour me présenter le port de la pièce choisie sur son mètre soixante-cinq : avec ses jambes finement musclées, ses fesses rebondies et son bonnet B toujours ferme, la voir s’exhiber ainsi devant moi est toujours un bon moment.
Je m’assieds dans le canapé à côté d’Anna et nous regardons les aventures de Nikki, que les deux amis du copain ont maintenant commencé à embrasser et à toucher de partout. Après quelques minutes, Anna, qui était sagement assise à ma gauche, pose son verre, se lève et vient s’asseoir à califourchon sur moi pour m’embrasser. Dans cette position, je suis parfaitement placé pour lui caresser les fesses tout en lui suçant le bout des seins, ce dont je ne me prive pas. Après quelques minutes, sous l’excitation, Anna se cambre et je sais exactement ce qu’elle espère : je tends le bras et je commence à appuyer mon majeur sur sa rondelle qui se détend jusqu’à ce que je puisse y introduire une phalange.
De temps en temps, elle tourne la tête pour jeter un œil sur la télévision et suivre l’évolution de la situation de Nikki, qui est maintenant en train de sucer alternativement les queues de deux amis de son copain. Je sens bien qu’Anna est chauffée à blanc et, ce soir, j’ai décidé de retarder le cunnilingus dont je la gratifie généralement à ce stade-là. L’habituelle question ne tarde pas :
— Tu veux que je te suce ?


Evidemment que je veux qu’elle me suce ! Au-delà de l’aspect respectueux de la question, je m’étonne toujours qu’elle me la pose à chaque fois, comme si j’allais lui dire non.
Anna se lève pour venir se placer à ma gauche, à genoux sur le canapé. Je connais la coquine, j’ai remarqué depuis longtemps que, lorsque le spectacle à l’écran l’intéresse, elle prend cette position dans laquelle elle peut me prodiguer une fellation tout en regardant le film à la télé. Nikki est maintenant prise en sandwich entre son copain et l’homme le plus âgé du groupe, et la scène fascine visiblement Anna. Est-ce la vague ressemblance qu’il y a entre Nikki et elle ou plus simplement la perspective de voir une jolie petite salope de l’est se faire baiser par trois mecs.
Alors qu’Anna a recommencé à me pomper, je me penche vers la gauche afin de pouvoir atteindre son cul. Je passe la main gauche entre ses cuisses pour caresser son clitoris et avec la main droite par au-dessus, pour exercer une pression sur sa rondelle. En appui sur le coude, ma position est inconfortable, mais néanmoins terriblement efficace. Après quelques minutes, la résistance de son sphincter se réduit et je glisse mon majeur dans son petit trou tandis que dans le même temps, je glisse deux doigts dans sa chatte. L’effet ne se fait pas attendre : les va-et-vient de la bouche d’Anna sur mon sexe s’accélèrent et des bruits de succion de plus en plus désordonnés se font entendre. Je ne vais pas résister très longtemps à ce traitement.
De temps en temps, histoire de reprendre son souffle, Anna relève la tête et en profite pour suivre l’évolution de la situation de Nikki qui est maintenant doublement pénétrée par les deux amis tandis qu’elle suce goulûment son copain.
Dangereusement proche de l’orgasme, je préviens Anna :
— Arrête, je vais éjaculer !

Mais contrairement à toutes les fois précédentes, Anna ne s’arrête pas, elle continue à me pomper goulûment, malgré l’avertissement. Mieux, elle accélère le rythme et accentue l’amplitude de ses allers et retours ma bite. Je ne vais plus pouvoir tenir bien longtemps.
Soudain, elle marque un temps d’arrêt, reprend son souffle et, prenant de l’élan, elle fait descendre sa bouche aussi loin que possible sur ma bite, poussant mon gland tout au fond de sa gorge. Je n’en peux plus, impossible de me retenir : je lâche ma semence dans sa bouche et, machinalement, je mets mon bras sur ses épaules pour l’empêcher de se relever. Pendant une quinzaine de secondes, les jets de sperme remplissent sa bouche, alors que je pousse un long râle de plaisir.
Anna relève finalement la tête, lentement, en gardant les lèvres scellées sur mon sexe pour ne rien laisser échapper. Puis elle se tourne vers moi, mi-embarrassée, mi-amusée, la bouche pleine de mon foutre et, haussant les épaules, elle se lève pour aller à la cuisine cracher le tout.
Je n’en reviens pas : après des années de fellations timides et prudentes, Anna vient sciemment de me laisser éjaculer dans sa bouche. Voilà un premier fantasme qui se réalise et, pour tout dire, le second aurait été de l’embrasser profondément avant qu’elle ait pu tout recracher, mais je pense que ni elle ni moi ne sommes vraiment prêts pour cela.
Quelques minutes plus tard, Anna revient, un verre rempli à la main et, arborant une mine visiblement satisfaite, elle me dit simplement:
— j’étais trop excitée !

Depuis deux ans, je savais que contrairement à mes craintes des premières années, elle aimait le sexe, mais je ne l’avais jamais vue aussi salope. Le petit sourire qu’elle affiche depuis qu’elle est revenue de la cuisine en dit long sur la satisfaction qu’elle a d’avoir enfin, à quarante ans, pris une bonne giclée de sperme dans la bouche.
A l’écran, une nouvelle scène vient de commencer : sans introduction, Alexa, une jolie brune élancée, est déjà en train de sucer deux beaux blacks bien membrés. Anna est visiblement toujours attentive et après moins de trois minutes, verre d’alcool dans la main gauche, elle replonge sur ma bite, cette fois sans demander la permission...
Tout cela est de très bon augure pour la suite !
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