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Anna se lâche

Chapitre 3

Erotique
Depuis quelques semaines, notre vie sexuelle, au départ très calme, a pris une autre dimension après qu’Anna m’ait laissé éjaculer dans sa bouche pour ensuite se soumettre à des pratiques plus hard que celles dont nous nous contentions depuis quelques années.
— Fatigué ?— Non, et toi ? — J’ai envie que tu me baises comme la dernière fois.— Ça t’a plu ?— Oh oui, j’ai aimé ça. — Tu mets cet ensemble avec les lanières et les anneaux dorés ? Tu ne l’as porté qu’une fois.— Ah, ce machin-là ? C’est pénible à enfiler, mais c’est OK.
Anna quitte la pièce pour aller se changer. Pendant ce temps, je file rapidement à la cave pour aller chercher le vibromasseur acheté cette semaine au sex shop qui se trouve entre mon boulot et la gare. Après une dizaine de minutes, Anna réapparait dans cette tenue vaguement SM qui ne cache rien, mais met parfaitement en valeur ses courbes.
— Tiens, j’ai acheté ça, lui dis-je en montrant le vibro rose et violet.— Tu as encore acheté quelque chose ? Mais tu ne t’arrêtes plus !— Tais-toi, prends ça et installe-toi dans le fauteuil.
Anna s’assied sagement dans le fauteuil, les mains posées sur les genoux après avoir posé le vibro à côté d’elle.
— Tu attends quoi ?— Euh, je ne sais pas, qu’est-ce que tu veux ?— A ton avis, pourquoi t’ai-je donné ce gode ?— Tu veux que je me masturbe devant toi ?— A ton avis ? Allez, lève les jambes et masturbe-toi !
Anna ne s’attendait visiblement pas à ça. Après quelques secondes d’hésitation, elle écarte les jambes, se laisse glisser en avant, puis lève les jambes pour les poser sur les accoudoirs. Assis dans le canapé, je me laisse glisser aussi en avant, j’écarte les jambes et je commence à caresser le bas-ventre, les yeux rivés sur sa chatte dont les lèvres proéminentes sont largement ouvertes.

Anna active le vibromasseur et commence à le faire glisser de bas en haut sur sa vulve déjà luisante de cyprine : avant même qu’elle ait commencé à se toucher, la cochonne mouille déjà. Tout en continuant à se frotter, elle se pince le bout des seins et ne tarde pas à enfoncer l’engin dans sa chatte, en ouvrant machinalement la bouche. Je bande comme un fou en me demandant pourquoi et comment on a pu attendre dix ans sans essayer ce genre de choses. Anna, qui a entretemps accéléré les mouvements de l’engin, commence à gémir. Je me lève et m’approche d’elle pour admirer le spectacle de plus près, tout en continuant de me branler.
Après une ou deux minutes, je m’approche encore, attrape ses jambes pour les ramener ensemble et les serrer sur le vibro maintenant profondément inséré dans son vagin. Puis, prudemment, je pose un genou puis l’autre sur les accoudoirs du fauteuil et me rapproche d’Anna qui, ayant compris la manœuvre, avance pour engloutir mon sexe dans la bouche et commencer à me pomper tout en continuant d’agiter frénétiquement le gode. Mais je continue d’avancer sur les accoudoirs, jusqu’à ce qu’Anna ne puisse plus vraiment bouger la tête. Ma bite est maintenant bien enfoncée dans sa bouche et je commence à lui imprimer un va-et-vient de faible amplitude. Anna semble goûter à la situation, puisqu’elle pose ses mains sur mes fesses et les presse maintenant en cadence pour accompagner, voire piloter les allées et venues de ma queue dans sa bouche.
— Vas-y, cochonne, bouffe-moi la queue à fond.
Je sais que, quand elle me suce, Anna aime entendre mes réactions, qui l’excitent d’autant plus qu’elles sont audibles. Je ne retiens donc pas mes gémissements, qui accompagnent maintenant des bruits de succion de plus en plus appuyés.
— Ah, petite pute, t’es devenue une super suceuse de bite. Surtout, ne t’arrête pas !
Sentant le sperme monter, je pousse mon sexe au fond de la bouche d’Anna. Aussitôt, une puissante éjaculation m’arrache un râle de plaisir. Les jets de foutre tapent au fond de sa gorge, Anna a un léger mouvement de recul, puis je la sens sous moi, déglutissant pour avaler le foutre qui s’accumule rapidement. Les couilles enfin vidées, je me recule, mais sans en laissant mon gland devant sa bouche. Anna lève les yeux vers moi et lèche les dernières gouttes de sperme qui s’écoulent de mon sexe.
— Ça t’a plu ?— Oui !
Sans attendre, je descends rapidement du fauteuil, m’accroupis pour attraper ses cuisses sous les genoux et relève ses jambes pour les replacer sur les accoudoirs, pour m’avancer afin de lécher son clitoris. De la main droite, j’attrape son sein gauche, que je commence à malaxer et de la main droite, j’imprime progressivement un mouvement de va-et-vient au vibromasseur, toujours bien placé dans son con.
Après quelques minutes, je me déplace vers la gauche et attrape le vibromasseur, cette fois de la main gauche, libérant ainsi ma main droite pour une activité demandant plus de précision. Je pose le pouce droit sur le petit trou d’Anna pour appliquer sur sa rondelle un double mouvement, de pression, mais aussi de légère rotation. L’orifice est déjà bien humidifié par la cyprine qui s’écoule dessus depuis plusieurs minutes, ne tarde pas à s’ouvrir et mon pouce s’enfonce naturellement sans l’anus. Je le pousse aussi profondément que possible et Anna se met à haleter bruyamment pendant de longues secondes, sans aucune retenue.
— Ne t’arrête pas !
Anna me lance un regard à la fois implorant et reconnaissant puis finit par lever les yeux au ciel en poussant un long râle de plaisir. Je sors délicatement le vibro de sa chatte et l’approche de sa bouche pour qu’elle goûte aux produits de sa chatte.
— T’es vraiment une cochonne ! — Oui.— Tu aimes la bite, n’est-ce pas ?— J’adore ça.— Pourquoi on a attendu aussi longtemps avant d’essayer tout ça ?— je ne sais pas...

Mieux vaut tard que jamais !
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