Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire
  • Corrigée par l'équipe

Anna Pavlova

Chapitre 1

Ou la danse enflammée

Erotique
— Regardez-la, ça se voit qu’elle veut se faire baiser.
Lamentable. C’est comme ça que ça commence. Je te colle, en quinze secondes tu me rends dur. N’importe qui aurait pu être derrière toi. Tu te retournes et on s’embrasse. Ma langue et la tienne dansent comme deux adolescents sous coke. En une heure, j’aurais plus touché ton corps que celui de n’importe quelle autre femme. C’est indécent. Avec tes amis et les miens autour de nous, nous baisons sur la piste. Presque littéralement. Tu te presses contre moi pendant que je me frotte et fait des allers-retours. Plus tard, je verrais bien que j’aurais pu te prendre devant tout le monde. Animal, on se dévore. Combien de marques sur nos corps ? Et dire, qu’à 7h du matin tu voulais rentrer avec moi. Comme si je pouvais encore être capable de quoi que ce soit après toutes ces heures à bander et à danser. Quel bonheur. Quelle félicité de te voir négocier pour moi entre ces différents taxis. Après une nuit de presque baise c’est ce qui me choque le plus. Ta gentillesse.
Ce soir, tu étais mon Anna Pavlova. Lavery n’aurait jamais pu être aussi réaliste.
Tu sais que je te veux. Tout le temps, partout. Et dire qu’il n’y a même pas un mois, j’écrivais que je restais froid face à toi. Mais la digue a cédé. Et mon désir a tout emporté. Chaque mouvement pourrait me faire trembler, me tendre comme un arc. Je suis devenu un loup qui chasse une proie qui se relève sans cesse, qui n’est qu’abondance.
Tu rougis, je te regarde depuis trop longtemps, tu m’embrasses. Les chiens sont lâchés. Je réponds à ton baiser d’abord doucement, puis peu à peu, ma main qui caresse ta joue chaste descend, prend à pleine main ton sein. Soupir. Je te sers sans me départir de tes lèvres. Et toi, tu t’abandonnes, gagnante. Tu te presses contre mes cuisses pour sentir mon ardeur. Bien sûr que je suis déjà dur. Les vêtements volent.
Enfin ! Enfin ta peau que je mords, que je baise. Ta douceur est miracle. Tu es plus blanche qu’une statue de la Vierge. Je sens tes lèvres humides dans mon cou. Une autre partie commence. Je te fais sentir comme je suis dur à travers ton string. J’appuie dessus avec mon gland comme si je voulais le déchirer pour te prendre. Je te caresse de haut en bas. La dentelle m’empêche de tout. Pendant ce temps, mes mains caressent ton corps et ma bouche descend, chaque baiser fait une ville mienne. Car ton corps est ma nation. J’embrasse ton auréole, caresse de mes lèvres le bout de tes seins. Je les lèche, les mordille. Puis ma main vient écarter ton string. Je caresse ton clitoris de mon gland.
— Prends-moi.
Mais je n’en peux plus, je te pénètre, entièrement. Je te sens t’ouvrir et te refermer sur moi. C’est une symphonie. Chaque millimètre est une extase. Je me relève et embrasse tes jambes. Une main sur un sein, je commence des allers-retours, tu es belle avec tes taches de rousseur. Je me joue de toi, je sors entièrement et viens te lécher. Mes doigts pincent tes seins pendant que ma langue caresse ton clitoris. Je suce, j’adore sentir ta mouille sur mes levres.
Tu reprends le dessus et tes cheveux, qui coulent sur ma tête, sont autant de barreaux à cette prison dorée. Les allers retour de ton corps sur le mien me tuent. Je te sens mouillée, excitée, gémissante. Un seul objectif, tenir. Mes mains serrent tes fesses, les claquent. Ma langue navigue entre tes deux seins et tu retiens ma tête entre ta poitrine. Tu m’entends gémir de bonheur comme toi.
— Je vais jouir, Julia.— Moi aussi.
C’est le signal, tu continues à me chevaucher et je peux m’abandonner. Une dernière tension chacun, toi qui te refermes et moi qui me tends et je t’inonde. Tu t’écroules sur moi. Mes doigts cherchent tes cheveux, caressent ton dos. Ce n’était que le premier jeu.
Je le chevauche comme tu as dû le faire. Mon cul sur sa bite molle et mes poings qui pleuvent sur sa face. Putain, mais t’aurais pas pu faire ça avec quelqu’un de mieux ? De plus fort, de plus intelligent. Au moins, il est plus manipulateur, mais regarde où ça le mène. Tiens mon poing dans tes côtes. Mais la vérité c’est que je suis vide. Pas de rage. Juste un devoir à accomplir, un grand vide. Et cette question qui monte comme de la fumée dans la nuit. Pourquoi ? Je ne frappe plus. Cette raclure a réussi à prendre mes poignées dans ses mains.
— You know I could kill you if I wanted?—...Yes.
Je relève la tête, les poings toujours prisonniers des griffes de ce Satan de pacotille. Mon front vient s’abattre sur son nez comme un marteau sur un clou. Et dire qu’il te menacera de porter plainte pour ça. De toute façon c’est tout ce qu’il pouvait faire. Menacer.
À toi maintenant. Où es-tu ? Je t’entends pleurer. Une porte fermée ne peut m’arrêter. Regarde-toi. Allongée sur le sol des toilettes. Je te prends dans mes bras. Je t’allonge dans ton lit. Moi par terre. Tu me rejoindras. Je te couvrirai. De draps, de mes bras, de baisers. Une vérité pour revivre. Un aveu pour nourrir la rédemption.
Chambre d’hôtel. Tu bouges au-dessus de moi avec ton corps de Vénus. Oui, tu es la plus belle. Oui, tu es la plus sexy. Tu m’as fait jouir partout et tu en as bien profité aussi. Ma main glisse sur ton corps de façon autoritaire. Ce ne sont plus des caresses. Mes doigts appuient sur ta peau comme pour mieux te retenir alors que c’est moi qui part. Comme pour laisser des traces alors que c’est moi qui les efface. Tu voulais ma main autant que je lui ai donné mon poing.
Diffuse en direct !
Regarder son live