Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 40 J'aime
  • 12 Commentaires

Annabelle, avaleuse de sabres à Nairobi

Chapitre 1

Fable vengeresse

Travesti / Trans
L’histoire suivante m’a été commandée sur ce site par une amie en colère. Il y aura peut-être une suite... ou pas. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé-es est à moitié fortuite.
Admettons, pour planter le décor, que Richard, connard harceleur aux traits gracieux, fut, lors d’un séjour dans un pays faiblement démocratique, enlevé par une espèce d’émir qui lui en voulait pour une raison indéterminée. Une dette de jeu non honorée me conviendrait bien par exemple, mais je n’ai pas de temps à consacrer à ce prélude, alors vous êtes libre d’imaginer une cause qui vous conviendrait mieux.
Il ne fallut pas plus de 6 mois pour que Richard devienne Annabelle, une des putes les plus demandées de La pieuvre, le plus grand bordel de Nairobi. A sa transformation en femme, les chirurgiens inventifs avaient ajouté une caractéristique très appréciée dans ce pays, la capacité à déboîter sa mâchoire, à la manière de certains serpents, pour accueillir les plus gros chibres de l’Afrique noire au fond de sa gorge.
Rien ne laissait présager, quand on voyait ce radieux visage de jeune fille, fin et si bien proportionné, qu’il pouvait se déformer à ce point. Son nez minuscule était surmonté de grands yeux de biche aux cils démesurés. La bouche, très grande, aux lèvres très épaisses ressemblait à celle de beaucoup de femmes dans ce pays, mais à la différence de ces dernières, Annabelle avait une peau laiteuse et la consigne impérieuse de la préserver en évitant autant que possible de s’exposer au soleil.
Richard avait eu certes, comme beaucoup d’hommes, le fantasme de sa femme prise par d’autres. Cette fantaisie arrive comme naturellement à ceux dont l’imaginaire recherche toujours de nouvelles pistes d’excitation. Ils finissent invariablement par explorer cette dernière et se voient d’abord acteurs, baisant leur femme avec les autres hommes puis spectateurs passifs et, lorsqu’il faut aller plus loin chercher le plaisir, eux-mêmes soumis au désir de leur femme voire de ses amants.
Même si certains peuvent avoir à ces occasions des fantaisies homosexuelles, ils ne sauraient les réaliser la plupart du temps, empêchés par une répugnance naturelle, physiologique.La transformation de Richard le macho avide de chattes en Annabelle, putain dévouée corps et âme aux désirs des hommes se produisit par étapes graduelles. La première fut la plus cruelle. Alors que le procédé occidental prévoit un traitement hormonal avant l’opération principale, c’est le contraire qui se produisit pour Richard qui, anesthésié localement, dut assister à la mutilation de ses organes génitaux, que les chirurgiens avaient pour consigne de lui exposer à mesure qu’ils lui étaient prélevés.
Ce n’est qu’à la suite de ce moment éprouvant que lui furent administrées de massives quantités d’hormones féminines et que lui furent retirées quelques cotes pour affiner sa taille et que son visage fut entièrement remodelé.
D’abord prostré suite à la première intervention, Richard accepta les modifications suivantes sans réagir. Mais rapidement, le vide laissé par la dépression fit place à la nature, stimulée par la chimie, et la vie reprit, sous la forme de désirs informes d’abord puis plus nets lorsqu’il fut mis en présence d’hommes.
Ses débuts au bordel ne furent pas si difficiles. Ayant abdiqué toute forme de dignité, Richard se conforma à tout ce qui lui était demandé avec une docilité d’autant plus grande que son corps réagissait bien, le gratifiait de sensations agréables, sans aller toutefois jusqu’à l’orgasme. Rapidement, une certaine catégorie d’homme lui fut adressée. Sa réputation de femme boa se répandit rapidement à travers tout le pays et hors des frontières et il arriva fréquemment, même lors de ses premières semaines d’exercice, qu’une trentaine de clients se succédassent dans la journée afin de jouir des exceptionnelles qualités de sa bouche et de sa gorge. Certains de ces hommes étaient équipés de si grosses queues qu’ils n’avaient jamais pu réclamer de fellation à quiconque, leur gland n’entrant dans aucune bouche humaine. Annabelle pouvait non seulement avaler l’extrémité disproportionnée de leur pénis, mais également la totalité de la hampe, quelle que fut-ce sa longueur.
Certains, immenses, s’enfonçaient tout au fond de son œsophage où ils déposaient directement leur semence, comme l’eut fait une gaveuse d’oie. Les clients étaient si satisfaits qu’ils payaient des sommes conséquentes pour ce service. Annabelle, souvent suffoqua, parfois s’évanouit, mais apprit vite à retenir son souffle suffisamment longtemps pour permettre aux hommes de lui défoncer longuement la gorge sans trop se soucier de son confort ou de sa survie. Les commentaires des clients satisfaits étaient si dithyrambiques, qu’elle vint à tirer de son labeur une certaine fierté.
Une dernière étape restait à franchir cependant afin que Richard devînt définitivement Annabelle, sans retour possible. On convia à grands frais ses anciens collègues et amis qui un par un ou collectivement furent invités à baiser comme ils en avaient envie une jeune femme splendide qui leur était présentée comme une call-girl offerte par leur ancien ami Richard, qui avait gagné au loto une montagne de frics et voulait, même si ses occupations le retenaient ailleurs, leur offrir un séjour de rêve à Dubaï.
C’est ainsi que Richard disparu à tout jamais, sous les coups de boutoir et les insultes sexistes de ses anciens amis dont il dut, comme il en avait la stricte consigne, scrupuleusement boire le sperme, quel que fût l’endroit où ils le déposaient.
A l’issue de cette épreuve, Annabelle était née. Il y eut souvent des moments difficiles dans la vie de la jeune femme qui devait par exemple être fréquemment recousue pour réparer les assauts impitoyables qu’elle subissait de bites surdimensionnées, mais aucun n’égala en cruauté le moment à Dubaï où pour la première fois, elle éprouva un puissant orgasme, dans les bras d’un ancien collègue qu’un fantôme en elle haïssait.
A vous d’imaginer une morale à cette histoire, si le cœur vous en dit.
Diffuse en direct !
Regarder son live