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Anndrexa la Zorgusienne

Chapitre 2

Voyage intertemporel

Divers
Sophie et Alicia se sont laissé séduire par l’exotique expérience qui leur a été proposée. Réunies à l’intérieur du complexe de l’AITS, elles s’apprêtent à se faire catapulter vers le vingt-cinquième siècle.
— Votre précieuse contribution à la culture et à la science de l’époque qui vous recevra bientôt sera grandement appréciée, les remercie encore le commandant Khor qui coordonne les opérations de transfert. Veuillez maintenant me suivre.
Après avoir procédé à la signature de quelques documents administratifs et légaux, tous se déplacent en direction du côté laboratoire de l’installation. Des techniciens en sarraus blancs procèdent à un rapide examen médical chez les filles qui ont pris place sur des sièges. Auscultation, prises des signes vitaux et prélèvements sanguins sont rapidement effectués afin de compléter le dossier personnel des deux voyageuses dans le temps.De nouveaux personnages vêtus de simples combinaisons blanches les invitent ensuite à s’étendre sur des tables d’examen. Des rideaux ont été tirés, assurant l’intimité des deux femmes alors qu’elles ont reçu la consigne de se défaire de tous leurs vêtements.Conservant un froid silence, les techniciens s’affairent sur les corps dénudés en apposant sur chacun d’eux une multitude d’électrodes destinées à des tests supplémentaires.
— Détendez-vous, Mesdames, veut les rassurer l’officier militaire qui les a reçues à son bureau. Simple routine. On désire simplement s’assurer que vous êtes bien des femmes à l’origine et que vous n’avez subi aucune transformation anatomique ni hormonale.— Comme dans le cas des transgenres? questionne Alicia quelque peu incommodée à la vue des embouts de succion qui sont déposés sur ses mamelons.— Exactement. Nous allons prélever une petite quantité d’hormone en provenance de vos glandes mammaires. Ça ne devrait pas être douloureux.— Ça chatouille! fait pour sa part remarquer Sophie qui, reposant sur sa table à deux pas de sa copine, se fait elle aussi doucement téter les mamelles par l’appareil de prélèvement.
Son ton change toutefois rapidement :
— Hey, mais c’est quoi vous faites!?
Une technicienne vient d’écarter les jambes de la fille. Une minuscule électrode est insérée à l’orée de son vagin, s’appuyant sur le clito. Alicia, de son côté, subit le même traitement.
— Ce ne sera pas long, veut les rassurer le commandant Khor. On cherche à vérifier votre niveau de sensibilité clitoridienne. Seules les femmes non hormonalement ou chirurgicalement modifiées possèdent le niveau d’excitabilité authentifiant leur véritable sexe d’origine.— Vous auriez pu demander à nos mères, elles vous l’auraient dit si nous sommes bien des filles! s’offusque Alicia comme elle ressent les premières stimulations générées par la pièce d’équipement collée à son bouton d’amour.— Houlà, mais ça chatouiiille! s’exclame de nouveau Sophie alors que de fermes mains féminines agrippent les siennes afin de l’empêcher de trop bouger.
Sur l’entrefaite, une inconnue dans la quarantaine, portant un uniforme militaire serré mettant ses formes en valeur, fait irruption au milieu des filles qui sont au bord de l’orgasme.
— Elles feront l’affaire? lui demande Khor en désignant du menton les deux corps nus qui sont maintenant en transe chacun sur sa table d’examen respective.— Sans l’ombre d’un doute, répond la MILF. Ce sont tout à fait les filles qu’il nous faut.
Leurs visages empourprés par leur récente jouissance, les filles se sont rhabillées. En prévision de leur départ imminent, on leur refuse le moindre verre d’eau. Leur hôte temporaire les rejoint.
— Je suis désolé pour ces inconvénients, leur dit-il. Cela fait toutefois partie des tests et des préparatifs pour lesquels vous avez donné par écrit votre autorisation.— T’as pas lu le contrat au complet, minet? lui demande alors Sophie.— Nan! J’aurais peut-être dû?— Ben moi, fait ingénument la rouquine, j’ai plus été surprise qu’incommodée.
Elle se tourne vers le militaire :
— C’est comme ça qu’on se masturbe dans le futur?
L’homme sourit mais ne répond pas. Il leur annonce l’ultime procédure les expédiant dans une période de temps située dans quatre cents ans :
— Vous êtes prêtes, Mesdames? Nous intégrerons chacun un tube de transfert et nous nous retrouverons en 2421.— Un instant, un instant, semble s’inquiéter Alicia. On n’a rien avec nous, pas de bagages, pas de vêtements…— Pas de… petits objets personnels, complète Sophie qui ne peut réprimer un sourire en coin.— Ne vous tracassez pas avec ces détails, les rassure l’homme. Tout le nécessaire vous sera fourni sur place. Et ne soyez pas surprises à votre arrivée : vous serez déjà vêtues différemment selon la saison.
Les techniciens en combinaisons blanches accueillent les jeunes femmes dans leurs tubes de verre respectifs. Ils en verrouillent les portes. Alicia et Sophie se regardent, chacune emprisonnée dans son habitacle. Les mains écrasées contre la paroi transparente, la rouquine adresse à sa compagne un regard de moins en moins assuré.
— Chérie, je t’aime! Ne me quitte pas! crie-t-elle à sa bien-aimée, une larme coulant sur sa joue.
Mais aucun son n’est perçu de l’extérieur de son portail. Seule Alicia qui ne l’a pas quittée du regard a deviné les mots de désespoir prononcés par sa biche adorée.Puis survient un grondement sourd. Des flashes rouges et verts gagnant en intensité. Une aveuglante lueur blanche. Sophie et Alicia sont soudainement envahies par une intense sensation de froid. Pendant un court moment elles perdent tout contact avec la réalité. Elles ne sentent plus leurs corps, se sentant presque défaillir.Puis c’est le calme. Un calme froid. Le grondement s’est estompé. La lumière blanche qui enveloppait les filles s’est évanouie. Un inquiétant silence s’est installé.Se sentant emprisonnée dans son tube, c’est une Sophie presque en panique qui en martèle maintenant frénétiquement la paroi de ses poings. Un technicien aux allures bizarres la délivre de son cocon. Sans attendre davantage elle se précipite vers Alicia qui émerge à son tour de son étroit habitacle. Elle l’enlace et la couvre de baisers.
— Oh Ali, tu es là! Mon amour, mon minet, nous sommes de nouveau ensemble!
Telle qu’on la connaît, Alicia semble d’abord stoïque. Mais elle ne tarde pas à exprimer à son tour sa joie de revoir sa copine : l’entourant à son tour de ses bras, elle se fond avec elle dans un langoureux baiser au cours duquel deux langues féminines se nouent de nouveau au milieu des gémissements exprimés par les deux lesbiennes.
— Chérie, comme tu m’as manqué! semble se plaindre la rouquine. Tu m’as terriblement manqué!— Toi aussi, petite biche, tu m’as manqué. Heureusement que ces quelques siècles sont passés comme un éclair! blague finalement celle aux cheveux noir de jais.
Face à face et se tenant toujours par les mains, les tourterelles se contemplent mutuellement :
— C’est très joli ce que tu portes, ma belle Sosoph, la complimente Alicia. C’est léger et… sexy à la fois!
Comme annoncé plus tôt, la tenue vestimentaire que portaient nos amies tout juste avant leur départ a été remplacée par ce qui semble maintenant n’être qu’une simple petite robe d’un blanc presque transparent, lisse et munie de manches courtes. Le vêtement qui moule d’une façon assez intime la silhouette des filles descend à peine plus bas que le haut de leurs cuisses.
— Oui, j’aime bien moi aussi, approuve à son tour la petite rouquine. C’est mignon, pas trop serré et…
Sophie se tâte le bas du ventre puis, discrètement, passe une main sous le fin tissu.
— Mais, mais… je ne porte rien en-dessous. J’ai perdu ma petite culotte!!— Vraiment? fait Alicia. Attends que je regarde de mon côté. Mais c’est pourtant vrai! Où sont passés nos slips?— C’est du Ventilar, les informe aussitôt le commandant Khor qui vient de rejoindre le couple. Il s’agit d’un tissu synthétique qui respire aussi bien que l’ancien coton, qui garde au chaud quand il fait froid et qui rafraîchit lors des périodes de chaleur. Avec ce type de matériau, le port de sous-vêtement est devenu facultatif puisqu’il neutralise aussi les odeurs.
L’homme ajoute, constatant la gêne et l’inconfort exprimés par les filles :
— Mais rien ne vous empêche de couvrir davantage vos parties intimes. Vous n’aurez qu’à en faire la demande à votre marraine.
Avec un plaisir évident, Sophie explore des doigts sa nouvelle tenue. En effleurant sa poitrine elle se rend compte de l’érection de ses tétons qui pointent au travers du délicat tissu. Elle comprend donc rapidement qu’elle ne porte pas non plus de soutif.Alicia, quant à elle, entame rapidement l’exploration visuelle des lieux. Tout l’endroit où sa copine et elle se trouvent lui paraît d’un blanc morne, baigné d’un éclairage indirect. Est-ce dû à l’éblouissement occasionné par la vive lumière blanche dont elles viennent d’émerger? Quoi qu’il en soit, elle trouve l’ambiance froide, impersonnelle, comme elle remarque la présence autour d’elles de nombreux droïdes s’affairant tout près dans un discret mais désordonné concert de cliquetis et de grésillements accompagnant chacun de leurs mouvements mécaniques.
— Vous voilà arrivées, Mesdames! leur annonce donc officiellement le commandant Khor qui les a accompagnées depuis le vingt-et-unième siècle. Vous ne serez sans doute pas surprises d’apprendre que de nouveaux examens vous attendent ici.
L’homme les invite à le suivre puis les laisse devant une double porte donnant accès à un long couloir.
— Bon, on se revoit dans quelques minutes, Mesdemoiselles, les informe le haut gradé militaire. Je vous retrouverai en vue du transport qui vous conduira à vos nouveaux quartiers.— Quartiers? demande alors Alicia, quelque peu désorientée. Mais on se croirait dans l’armée!— À vos appartements, si vous préférez, corrige l’homme. Et n’ayez crainte : ce n’est pas l’armée. Vous disposerez de toute la liberté voulue une fois arrivées dans votre résidence de séjour.
Les deux femmes sont prises en charge par une équipe de techniciens tout de blanc vêtus avant d’être par la suite séparées. Chacune est conduite vers un cubicule où l’attend un droïde à l’aspect non binaire qui l’invite à prendre place sur une étroite table d’examen.Étendue sur l’inconfortable surface de travail légèrement matelassée, Sophie qui se trouve maintenant seule avec l’automate voit ce dernier s’approcher d’elle. Celui-ci a tout l’aspect d’un robot et, sauf pour la forme générale, rien d’un humain. Des bras et des jambes de conception métallique montés sur un tronc argenté aux allures classiques de l’époque de Star Wars. Une tête grise dotée d’un crâne arrondi et lisse avec de sombres espaces creux faisant office d’yeux et une mince ouverture horizontale à la place de la bouche.
Je suis le droïde PX-309, mais vous pouvez m’appeler simplement PX, annonce pourtant d’une suave voix féminine l’appareil qui se penche légèrement en direction de Sophie.— Euh… Enchantée, répond la petite rousse d’une voix peu rassurée. Vous allez me faire quoi… PX?
Aucune réponse n’est dans l’immédiat émise par la machine.Des mains mécaniques aux doigts finement articulés soulèvent un à un les pieds de celle qui se laisse manipuler avec de moins en moins d’assurance. Les jambes sont déposées sur des supports surélevés et la fille se retrouve ainsi en position gynécologique alors que le pied de la table disparaît complètement au son d’un moteur électrique, exposant devant l’automate toute l’intimité féminine de la rouquine déculottée et lui en donnant un accès direct.Le court vêtement que porte Sophie est remonté jusqu’au cou, exposant également au grand jour ventre et poitrine. La fille se rend alors compte à quel point son unique vêtement protégeait son anatomie de la fraîcheur de la pièce.
Nous effectuons un contrôle rigoureux de toutes les personnes arrivant sur notre territoire afin d’authentifier leur nature humaine ainsi que leur sexe véritable, lui répond enfin le droïde en apposant quelques électrodes sur les tempes et le front de Sophie. Trop d’androïdes et de gynoïdes rebelles cherchant refuge ici tentent de se faire passer pour de véritables êtres humains, spécialement en provenance des galaxies voisines. Nous savons cependant qu’aucune gynoïde ne peut jusqu’à présent réagir aux stimuli et aux sensations d’une façon aussi intense que le font les véritables humaines.
Le droïde s’est approché sur le côté et se penche légèrement sur les mignons petits seins blancs qui se trouvent dans son champ de vision et dont les tétons rosés sont en pleine érection. Des flashes sont émis depuis l’espace creux lui faisant office d’yeux.
Examen visuel de la poitrine conforme, fait laconiquement le robot.
Se repositionnant maintenant entre les jambes ouvertes de la jeune psychologue âgée dans la vingtaine, il procède à un nouveau cliché, cette fois-ci du sexe et du cul exposés à sa ‘vue’.
Examen visuel des attributs primaires féminins conforme, affirme-t-il aussitôt de sa douce voix féminine.
Quelques cliquetis mécaniques supplémentaires et, toujours d’une voix mielleuse :
Veuillez ne pas bouger. Mise en place de la sonde thermique.— Ouf! fait alors Sophie comme elle reçoit dans l’anus un instrument de mesure de moyen calibre. Z’avez pas de plus petit thermomètre?C’est pour mesurer vos variations de température durant les périodes de stimulation.— Stimulation? questionne, les yeux fermés, la fille dont le rectum mesure l’ampleur de l’élément prélubrifié qui vient de l’envahir.
C’est en guise de réponse que Sophie sent un nouvel instrument métallique tiède lui chatouiller les petites lèvres. Ayant rouvert les yeux, elle constate que le robot toujours debout à l’extrémité de la table d’examen s’est à présent très intimement approché de ses parties féminines en se blottissant contre la chaleur de son sexe. Une fine brumisation de lubrifiant rafraîchit la chatte déjà humide de l’examinée, et la pièce qui a tout l’aspect d’un gode velouté s’introduit complètement dans le vagin de la rouquine.
Sachez que toutes vos expressions verbales et faciales seront enregistrées et devront être validées par les lectures obtenues à partir de votre EEG et de vos courbes thermométriques. Faites-moi également savoir si vous éprouvez toute douleur pendant le déroulement du test.
[À venir : Un p’tit tour de Toyota… modèle 2421]
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