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Anne-C

Chapitre 1

La rencontre

Erotique
Anne-C.
J’attends Monsieur.Monsieur est mon maitre, et aujourd’hui, c’est le troisième anniversaire de notre rencontre.Ce sont ces trois années que je vais vous raconter.Alors, je reviens en arrière.
Kevin, mon mari a invité une connaissance, et m’a demandé de me présenter sous mon meilleur jour.Je finis de m’apprêter, et je me vérifie dans le miroir. Je ne suis pas si mal foutue pour mon âge.J’ai cinquante ans, le début de la ménopause m’a fait prendre quelques kilos, mais ils ont eu le bon gout de se stocker dans mes seins, et un peu dans les fesses.Je me suis habillée bon chic bon genre, avec un tailleur dont la jupe s’arrête au genou, une veste légèrement cintrée, et un chemisier. Dessous un soutien-gorge à coque soutient mon 95 D. Pour avoir un, décolleté bien sage, je n’ai fait sauter qu’un bouton.Mon abondante chevelure noire, est rassemblée en queue de cheval, j’ai souligné mon regard d’un simple trait de rimmel.J’ accessoirise ma tenue avec un rang de perles fantaisie, et une paire de lunette carrée. Voilà, je suis prête.Je passe au salon et je prépare l’apéritif. Je viens de poser le seau à glaçon quand la sonnette de l’entrée résonne.
— Je vais ouvrir, me lance mon mari.
J’entends un échange de bonjours, puis notre invité fait son entrée.Il est doté d’une silhouette élégante, vêtu d’un costume bleu de bonne coupe, agrémenté d’une pochette blanche, comme sa chemise.
— Madame, mes hommages, fait-il en me tendant un bouquet de roses rouges.
Sa politesse un peu surannée me change des copains habituels de mon mari, qui essaient toujours de me tripoter les fesses en me claquant la bise. J’observe son visage, une mâchoire triangulaire bien rasée, une couronne de cheveux blancs passée à la tondeuse, des yeux marrons qui pétillent. Sans me forcer, je lui souris. Ses lèvres minces s’ouvrent sur des dents impeccables, et il me renvoie un sourire de loup.Je fais le service, il ne prend qu’un jus de fruit. Pendant que je m’agite, il me suit du regard. Je ne suis même pas gênée, allez savoir pourquoi. Je lance la conversation.
— Kévin, tu ne m’as pas dit ce que fait ton ami.
— Je ne suis pas un ami de Kévin, je suis une relation d’affaire, le coupe notre invité, puis il se tourne vers lui.— Vous ne lui avez rien dit.— Non j’allais le faire, et mon mari poursuit.— Voilà, Chérie, je traverse une mauvaise passe, et notre invité m’a fait une proposition que nous ne pouvons pas refuser.— Vous tournez autour du pot, fait autoritairement l’inconnu, puis il se tourne vers moi.— Madame, dans le cadre de mes activités, j’ai besoin d’être accompagné. En fait il me faut une assistante personnelle totalement disponible.
Il tend alors deux feuilles à Kévin.
— On va gagner du temps, voici deux exemplaires du contrat, lisez les à haute voix, et signez les.
Mon mari prend les documents, et déclare
— Je soussigné Kevin M... transfère à Mr D…, tous mes droits conjugaux sur mon épouse Anne Charlotte M…— A charge pour lui de veiller à son bien-être physique et moral, et à son épanouissement.— Fait à paris le 15 avril 2017 …
Kévin paraphe alors les deux documents, il en garde un et se lève. Monsieur se dresse en même temps.
— Donnez-moi vos clés, je vous raccompagne à la porte.
Je suis abasourdie. Je réalise à peine, mon mari m’a vendue à un inconnu. Monsieur s’assoie en face de moi en silence. Je crispe mes mains sur le tissu de ma jupe comme si je voulais cacher mes genoux. Puis je me lance.
— Pas de contrat à signer pour moi ?— Pas maintenant, il faut d’abord que vous puissiez en comprendre tous les termes et toutes leurs conséquences.— Et pourquoi une femme de mon âge, et pas une jeune ?— Vous m’accompagnerez souvent, et je ne veux pas avoir l’air de trimballer une jeune maitresse, et il reprend.— Une collaboratrice mature comprend mieux les choses, et elle est plus fine et intelligente.— Pourquoi moi ?— Vous avez tous les diplômes nécessaires, et vous saurez développer des compétences dont vous ne vous doutez pas. — En quoi consiste le travail.— Comme une assistante, téléphone, prise de rendez-vous, gestion d’agenda, préparation de réunion, puis vous évoluez vers des travaux plus intéressants.— Le terme totalement disponible signifie t-il que je deviendrai votre maitresse ?— Pas ma maitresse, ma soumise.
Je n’en crois pas mes oreilles. Moi soumise ???
— S’il vous plait, levez-vous et déshabillez-vous.
Abasourdie, je ne bouge pas, j’ai du mal entendre.
— S’il vous plait, levez-vous et déshabillez-vous., répète-t-il.
Je perçois comme un grondement de loup dans sa voix. Je me redresse, je laisse tomber ma veste, puis mon corsage. Me voilà en soutien-gorge.Je fais glisser ma jupe et je l’enjambe. Il reste mon collant et ma petite culotte.
— Nue, s’il vous plait.
Je glisse mes doigts dans mon dos et je dégrafe mon soutif. Je rattrape mes seins.
— Otez vos mains, je veux les voir.— Ils sont trop gros, et en plus ils tombent.— Non, ils sont très bien, vous avez une belle poitrine de mature, avec de larges auréoles.
Je vais pour m’assoir, mais je réalise instantanément qu’une fois assise, je comprimerai mon ventre et je montrerai mes bourrelets. Alors, je lui tourne le dos, et je fais glisser mon collant et ma culotte ensemble. Je me penche pour leur faire passer mes chevilles.
— Vous avez un beau cul.
Je me retourne, surprise.
— Oui, vraiment, vous êtes bien faite, et il continue.— Remettez vos talons.
Il marque une pause.
— Vous avez de belles jambes, et des formes très tentantes.
Face à son compliment, je rosis. Mon mari ne m’en a pas tant dit en dix ans.
— Venez, on va dans votre dressing, nous allons faire du tri.
Il fait glisser les portes miroirs, et fait défiler les portants
— Plus de pantalons, fait-il en jetant dans un coin le premier. Les autres suivent.
Il attaque maintenant le rayon des robes et des jupes.
— Trop court, trop mémère, lance-t-il en faisant valser mes vêtements.— Où sont rangés vos dessous ?— Là, dans la commode.
Il ouvre le tiroir des soutiens-gorge, et en tire un tout simple, à coques.
— Mon dieu quelle horreur, déclare-t-il en le tenant du bout des doigts.— C’est pour aller sous les pulls moulants, pour ne pas avoir de marques.
Il se tourne vers le lit, rassemble les deux oreillers, les cale contre le mur en un coussin moelleux.
— Asseyez-vous sur le lit, m’ordonne-t-il.
Je m’installe contre la tête du lit, je remonte mes jambes, sous mon menton et je croise mes bras sous mes genoux.
— Bien que nous n’ayons pas passé de contrat entre nous, il faut que je vous explique quelques dispositions, et règles générales.— D’abord, sachez que je n’aime que les femmes soignées, avec une hygiène irréprochable.— Vous ne serez jamais en tenue négligée, toujours habillée, ou en dessous chics,— Sinon, vous serez nue, avec une paire de mule à talons. Vous ne vous cacherez jamais à mon regard.— Pourquoi ?— Les talons vous cambreront, et tendront vos mollets.— J’exige aussi un dress code, au travail, ou en privé, et il poursuit.— En hiver, tailleur, ou robe droite, en été, vous pouvez porter des robes plus légères. Votre tenue doit s’accorder à votre style quinqua bourgeoise, mais vous devez rester toujours accessible. Jamais de pantalon, de short, ou de cycliste. Pas de survêtement, même chez vous.— Pour les chaussures que des talons, jamais de ballerines, ou de baskets.— Concernant les dessous, finis les collants, et les strings. Toujours des bas et des porte-jarretelles.— D’ailleurs il faudra refaire votre lingerie.
Il marque un silence. Je me lance.
— Je suppose que si j’enfreins une de ses règles, je serai punie.— Non, je n’ai pas besoin de ce genre de prétexte. Vous serez fouettée selon mon plaisir et à ma convenance. — Je serai comme dans Histoire d’O.— Non pas du tout, O n’était une nymphette naïve, et innocente, voire idiote. Vous, vous êtes cérébrale et intelligente, vous prendrez gout à la soumission.— Je dois aussi vous dire que je suis un homme d’habitude, et il continue.— Je ne vous prendrai que par la bouche, et l’anus.
Encore un blanc.
— Maintenant, montrez-moi, comment vous jouissez.— Pardon.— Ecartez vos cuisses, et caressez-vous.
Une petite voix dans ma tête me dit qu’il est inutile de me rebeller. J’allonge mes jambes et je m’ouvre. Je glisse ma droite jusqu’à mon clitoris, et je commence à le branler. Je ferme mes paupières. Un ordre claque.
— Regardez-moi !
J’ouvre les yeux, son regard de loup se plante dans le mien.
— Sucez votre majeur gauche, et plantez-le dans votre rondelle.
Je mouille mon doigt en faisant plusieurs allers-retours entre mes lèvres.Puis je le pousse dans mon anus. Il entre sans douleur.
— Pistonnez- vous.
Je me ramone avec lenteur, puis de plus en plus vite. J’accélère le rythme du branlage de mon clitoris. Et d’un coup je pars, crispant mes cuisses autour de ma main. Je roule sur le côté.J’halète, cherchant mon souffle puis je m’apaise. Je sens un frôlement, il rabat le drap sur moi. Il se penche.
— Vous êtes lumineuse dans le plaisir, vous avez l’air d’une madone. J’ai hâte de savoir si vous souriez de même sous le fouet, et il poursuit.— Vous ferez une très belle enculée, le moment venu.
Il se dégage du lit. Je me retourne, et je m’adosse aux oreillers.
— Vous partez.— Oui vous êtes fatiguée, je m’en vais, je fermerai la porte derrière moi, et il conclut.— J’ai laissé mon 06 sur la table du salon, appelez-moi en fin de matinée. Sinon, tout redeviendra comme avant.
J’entends le verrou de la porte. Je n’en peux plus. En moins de trois heures, mon mari m’a vendue, je me suis mise nue devant un inconnu, je me suis branlée devant lui. Et j’ai pété l’orgasme le plus fabuleux de ma pauvre vie. Je plonge dans le sommeil.
Le soleil me réveille. Bien que mes rêves aient été peuplés de claquements de fouet, de crucifixion, de gods monstrueux, et de pénétrations immondes, j’ai bien dormi, et je me sens reposée, comme si j’avais évacué cette nuit tous mes fantasmes accumulés pendant ma banale vie conjugale.
Je jette un œil au réveil, il est onze heures. Je me redresse. Le tas de fringues dans un coin de la chambre me rappelle les événements d’hier.Je sors du lit, nue, et je marche vers le salon. Je trouve la carte sur la table. Je la tourne entre mes doigts. Puis je me rappelle les consignes.Je fonce dans la salle de bains, je me frotte comme si je voulais arracher mes peaux mortes, Je me savonne la chatte, puis mon sillon culier. Je pousse de la mousse dans mon petit trou. Et je le masse avec mon index. Mais comment me rincer ? J’ai une idée, je prends la pomme de douche et je règle sur jet étroit. Je dirige l’eau vers ma rosette, ça rentre sans problème comme si mon oignon n’attendait que ça. Je me vide dans la cuvette, puis je me rince à nouveau.
Voilà, je me sens propre. Je retourne fouiller dans mon placard à chaussures et faute de mules j’enfile mes escarpins de huit centimètres. Je consulte ma montre, il est presque midi. J’attrape mon portable et je pianote frénétiquement le numéro.Une sonnerie, une deuxième, une troisième, je stresse, j’ai appelé trop tard, j’ai laissé passer ma chance. Mais ça décroche
— Bonjour !— Monsieur ?— Oui c’est moi.— Monsieur, c’est Anne-Charlotte, je marque un silence, et je me lance.— Vous voulez toujours de moi ?
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