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Anne-C

Chapitre 2

Prise de poste, 1ère partie

Erotique
Anne-C Anne C : Prise de poste, première partie
— Monsieur, c’est Anne-Charlotte, Je marque un silence, et je me lance.— Vous voulez toujours de moi ?— Je passe vous chercher à quatorze heures, déjeunez léger.
Je n’ai plus qu’une heure pour me préparer. Je fonce dans mes placards. Je choisis une jupe droite noire toute simple, une veste gris anthracite, et un chemisier blanc très légèrement transparent.Maintenant les dessous. Je fouille dans mes tiroirs à la recherche d’un porte-jarretelles. Rien, finalement, j’en trouve un caché sous une pile de petite culotte. J’essaie de le passer. Je dois forcer pour le boucler. Je réussis à peine. Je me vérifie dans le miroir. C’est une horreur, il s’incruste dans ma taille, coupant mon petit bedon en deux bourrelets. On dirait une ficelle noire dans la barde d’un rôti. Et en plus j’ai l’impression qu’il me scie en deux.
A tâtons, je retrouve les deux agrafes du porte-jarretelles, et je les fais sauter. Je le jette sur le tas de fringues dont je dois me débarrasser. C’est vrai que je n’ai plus investi dans ce genre de sous-vêtement depuis dix ans, quand j’ai renoncé à faire des efforts pour un mari qui ne me regardait plus.
Mais, comment respecter le dress code. Opportunément, dans le tiroir des collants presque vide, je trouve une paire de bas auto-fixant légèrement dorés, avec une fausse couture derrière. Je les essaie de suite. J’aligne les coutures sur mes mollets. La légère caresse électrique de mes mains sur le nylon me fait frissonner. Je tire la lisière en dentelles sous mes fesses, couvrant entièrement mes cuisses. Impeccable. Je dégote un petit ensemble en dentelle jaune, avec une belle culotte couvrante, et un soutien-gorge emboitant.
Je m’habille en vitesse, et je me contemple dans mon miroir. J’ai vraiment un look de business woman. J’enfile mes talons, quand mon portable sonne.
— Bonjour Anne Charlotte, je suis en bas, je vous attends.
Je le retrouve sur le trottoir, il m’ouvre galamment la porte de sa citadine. Et nous voilà partis. Il se garde dans le sous-sol d’un immeuble.
— Anne Charlotte, nous allons chez un ami médecin, elle va vérifier si vous êtes apte à votre poste.— Une visite d’embauche, en quelque sorte, lui répond-je en m’essayant à une tentative d’humour.
La salle d’attente est vide, et nous rentrons directement dans le bureau de la doctoresse. Celle-ci est une femme âgée très mince, voir maigre. Ses cheveux gris, coupés court, avec une vague sur le front encadre un visage aux traits secs, et aux lèvres minces. Nous réalisons rapidement l’interrogatoire clinique et nous passons dans le cabinet d’examen. Très décontracté, Monsieur s’installe dans un fauteuil.
— Madame, déshabillez-vous.

Je fais tomber ma veste ma jupe et mon corsage. Et je me retrouve en dessous.
— Dévêtez-vous complétement, et installez-vous dans le fauteuil, insiste-t-elle.
Elle m’aide à placer mes mollets dans les gouttières, et cale mes talons. Ce n’est pas la première fois que je fais chez le gynécologue, mais c’est la première fois qu’un homme assiste à cet examen. Et allez savoir pourquoi, je n’ai même pas honte de m’ouvrir au regard de Monsieur.
— Vous avez une superbe poitrine, on va commencer par là.
Tranquillement, en douceur, elle procédé à une palpation de chacun de mes seins, à la recherche d’une nodosité. Elle est très douce, ça me change de mon gynéco habituel, moins délicat.Elle glisse sa main sous un de mes nichons et le soupèse.
— Hum, il est bien lourd, et moelleux, pas de grosseur suspecte et rien que du naturel.
Elle remonte sur ma gorge, et palpe mes attaches.
— Vous êtes encore bien musclée, et ils se tiennent très bien.— Je trouve qu’ils tombent un peu.— Ce n’est pas grave, ça ajoute à votre charme.
Sa main glisse sur mon auréole, puis sur mon téton, et elle le caresse de la pulpe du doigt.
— Oh, il est bien sensible, il se gonfle dès qu’on le frôle. Monsieur votre mari va bien s’amuser avec.— Ce n’est pas mon mari, Monsieur est mon maitre.
Elle se tourne alors vers Lui.
— Votre soumise à une très belle poitrine, mais ses attaches sont délicates, éviter les jeux de ligatures, et elle poursuit.— Vous la fouetterez ?— Oui.— Elle a une peau fine. Au début, évitez la cravache. Et vous voyez là il y a une jolie veine bleue qui court le long de son sein gauche, ne la frappez pas trop fort, elle ferait un hématome énorme.— D’accord.— En revanche, elle a des tétons très excitables, n’hésitez pas à jouer avec des pinces, ou des aspirations. Elle souffrira beaucoup, mais à la fin elle aimera.
La doctoresse laisse passer un silence. Je ferme les yeux, et j’imagine un instant tous les sévices que mes seins vont endurer. Une étrange chaleur envahit mon bas ventre.
— Monsieur, madame a une poitrine généreuse, mais si vous ne voulez pas qu’elle s’avachisse, il faut qu’elle soit soutenue. Ne l’obligez pas à avoir les seins en liberté en permanence. Réservez ça aux occasions spéciales.— Ne vous inquiétez pas, je suis assez fétichiste des dessous, alors nous passerons chez Maud, après cette visite.— Chère madame, on va passer à l’examen de votre vulve et de votre vagin, fait-elle en s’installant sur une chaise, face à mon entrejambe. — Ouvrez-vous, fait-elle en tapotant l’intérieur de ma cuisse gauche.
Elle attrape un bec de canard en plastique, et le serre entre sa main gantée.
— Je vous le chauffe!
J’apprécie cette sollicitude, inhabituelle chez mon médecin habituel.
— Vous avez une jolie toison, bien fournie, puis s‘adressant à Monsieur.— Vous la ferez épiler.— Non, je n’aime pas les sexes de petite fille. On lui fera un ticket de métro, jusqu’à l’anus, et après lisse comme un galet.
Elle me montre le speculum.
— Je pense qu’il est à point.
Tranquillement, elle ouvre mes grandes lèvres, déplie les petites, et enfonce son outil.
— Je vais vous ouvrir, dites-moi si je vous fais mal, ou même seulement si vous vous sentez mal à l’aise.— Ça va.— Bon c’est parti pour la spéléo, fait-elle en se penchant sur ma chatte baillante.— C’est impec tout ça, commente t’elle, et elle poursuit.— Partante pour un toucher vaginal.— Euh, oui.
Son exploration est vraiment délicate, et respectueuse. Je me sens bien, à l’aise.
— Ça a l’air d’aller !— Oui, vous ne me faites pas du tout mal.— Oh, je sais, je crois même que je vous fais du bien.— Pardon.— Je vais vous montrer avec un miroir.
Je regarde le reflet de ma chatte dans la glace. Au milieu, je distingue sans peine mon clitoris décapuchonné et gonflé de sang. Et ma nacre brillante de mouille.
— Il est un peu gros, commente la doctoresse, et tout en décontraction, elle me demande.— Vous vous branliez beaucoup quand vous étiez petite.— Euh oui, enfin je ne sais pas.— Vous avez bien fait. Et maintenant,— Oui, mon mari ne me touche plus depuis environ cinq ans, sauf s’il a bu, et c’était une corvée.— Ma pauvre…— Il dit que je suis une femme frigide.— Il n’y a pas d’épouse frigide. Il n’y a que des époux égoïstes, inattentifs, ou idiots, conclut-elle. Et elle continue.— Je passe à votre petit trou du cul, maintenant.
La gynéco retire le bec de canard de mon vagin, et jette sa paire de gant pour en mettre une autre. Elle fait couler quelques gouttes de lubrifiant sur mon périnée et ma rosette.Elle pose son index sur mon petit trou du cul et pousse.
— Aie, fais-je en me crispant.— Comment voulez-vous que je vous examine si vous vous fermez.
Elle force, et grâce à la lubrification, son doigt rentre. C’est finalement une sensation étrange, mais pas si désagréable. Le docteur se tourne vers Monsieur.
— Elle est serrée. Si vous voulez la prendre par-là, il faudra l’élargir.— Non, pas question d’y enfoncer des trucs et des machins. Je veux qu’elle reste tonique.— Alors, il faudra la lubrifier, et faire preuve de patience.
Elle bouge son index d’avant en arrière. Puis elle le fait tourner dans mon rectum. Une étrange chaleur monte de mon bas ventre.
— Regardez, je la stimule à peine, ses lèvres se gonflent, et elle mouille. Elle a des prédispositions au plaisir anal. Elle coule, et son bourgeon se regonfle.— Tant mieux, l’objectif de son dressage sodomite est qu’elle soit heureuse d’être enculée, tout en gardant son élasticité naturelle, et qu’elle s’ouvre par plaisir, et il poursuit.— A la fin de son éducation, elle me prendra à sec.— Ne soyez quand même trop impatient.— Tout le plaisir du dressage est dans la progression. Quand nous aurons fini, elle fera des choses qu’elle n’imagine même pas maintenant, et elle sera même demandeuse.

Je crois rêver. Il y a trois jours, j’étais une femme de cinquante ans délaissée par son époux. Hier, il me vendait pour sauver ces affaires. Et maintenant, je suis une future soumise dont on évalue les performances sexuelles, et dont on établit le programme de dressage. Et en plus mon corps me trahit, serais-je une salope ? Mon maitre intervient.
— Cessez, s’il vous plait, bien que je n’ai rien contre par principe, je ne veux pas qu’elle jouisse sous vos doigts. La frustration fait partie de l’éducation, et il reprend.— Inspectez aussi sa bouche.
La médecin dégage ses phalanges, et se lave les mains. Elle se penche vers moi
— Gardez vos mains le long du corps, ne bougez pas, je vais être assez intrusive, ouvrez votre bouche en grand, et elle poursuit,— il faut que vous pose un écarteur buccal.
Elle installe l’appareil dentaire, puis actionne les deux pinces sur les côtés, et verrouille le mors. elle se penche.
— Dentition superbe, pas de mycose.— Et plus loin.— Attendez un peu, et s’adressant à moi.— Je vais forcer votre bouche, et coincer votre langue.
Je sens une palette appuyer sur mon muscle et le plaquer contre ma mâchoire inférieure. Il faut que je lutte contre la nausée, mais je commence à baver.
— Je vais basculer votre tête en arrière, pour inspecter votre gorge, et parlant à Monsieur.— C’est impeccable, bien musclé. Elle salive naturellement. Ça vous facilitera le passage. Un peu d’entrainement, et vous pourrez y aller à fond.
Elle se retourne vers moi.
— C’est bon, je vous libère, fait-elle en retirant l’appareil.— Vous pouvez vous relevez et vous rhabillez, elle se tourne vers Monsieur.— Elle est très bien, c’est une belle femme, avec des réelles capacités de sensualité. Vous l’avez trouvée comment.— Son mari a fait quelques conneries, à la limite de la malhonnêteté. J’ai arrangé ses affaires. En échange, il m’a cédé ses droits sur Madame.— Quel con, un si beau potentiel, elle fera une très belle soumise.— Oui, et en plus elle est loin d’être sotte. Les femmes matures, intelligentes, et cérébrales font les meilleures dociles.— Dites-moi, vous la ferez percer.— Oui, je reviendrai vous voir.— Vous avez déjà un programme,— Oui, mamelons, grandes et petites lèvres.— Vous devriez y ajouter le clitoris, il est assez gros, très érectile, hyper sensible.
En entendant ces propos, je me décompose. Mes genoux tremblent. La doctoresse s’en aperçoit, et me soutient jusqu’à une chaise.
— Ne vous faites pas de soucis, Monsieur saura vous éduquer, et à la fin de votre dressage, vous serez très heureuse.
Je me retrouve dans l’ascenseur, aux côtés d’un homme qui vient de vérifier que je peux être fouettée et enculée. Et que ma bouche peut accueillir sa queue. Et avec la promesse d’une infibulation complète.Drôle de journée.
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