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Anne-C

Chapitre 8

Trois femmes, première partie

SM / Fétichisme
Trois femmes : première partie
Monsieur me fait de plus en plus confiance. Fini les travaux de secrétariat, je suis en charge de préparer la réunion de clôture du vendredi matin. C’est à dire que le jeudi après-midi, je collecte les données, je les mets sous forme de tableau, et je les envoie à Monsieur pour correction. Une rapide vérification et nous entrons en réunion à onze heures. Le cérémonial est toujours le même.La place de Monsieur est au bout de la table ovale, et la mienne à ses côtés. Nous entrons ensemble, Il me tire mon siège, je m’assois, il se pose près de moi, nos collaborateurs s’installent, nous sortons les ordinateurs, je connecte le mien au projecteur, et c’est parti.Au début, Monsieur menait la réunion, et je passais les slides, mais maintenant, il s’efface, reste silencieux, et me laisse gérer les débats.Ce vendredi-là, après les résultats de la semaine, nous passons à la distribution des taches à venir, et de la validation des agendas, quand un mail apparaît en bas de mon écran.
— Vous aimez les femmes ?
J’ai la présence d’esprit de refermer mon écran en un instant. Ce qui coupe la connexion. Je me tourne vers mon boss. Un demi-sourire ironique illumine son visage.
— Bien, nous nous sommes tout dit, chacun connait son boulot. Alors bon week-end à toutes et tous et à lundi, et il nous renvoie à nos taches.
Je me suis réfugiée dans mon bureau, en priant que personne n’ait rien vu. Il entre, tout souriant, dans mon bureau, et s’assoit sur ma table de travail.
— Alors, vous n’avez pas répondu à mon mail.— Euh…— S’il vous plait, défaites deux boutons de votre corsage, et ouvrez votre décolleté. Je veux voir votre lingerie.
Je m’exécute avec un plaisir certain, et de moi-même, je fais sauter un bouton supplémentaire. Il a ainsi une vue totale jusqu’à mes framboises.
— Vos tétons sont magnifiques, quand ils sont gonflés. Mais vous n’avez pas répondu à la question.— Ben, je ne sais pas trop.— Ah, vous n’avez jamais essayé.— Un peu à la fac, avec ma coloc.
— Bien, on va réparer ce défaut de formation, et il continue.— Demain, samedi soir, je vais vous donner à trois femmes. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures. Vous m’attendrez nue, je veux vous voir vous habiller, nous dinerons, et je vous confierai à elles, jusqu’à midi, le lendemain. D’accord ?
Je me suis pomponnée, parfumée, car je veux faire honneur à Monsieur. Comme commandé, je suis nue. Enfin presque nue, parce que la nudité, pour Monsieur c’est toujours avec des escarpins. Ça me va bien, j’apprécie les talons qui étirent mes mollets, tendent mes cuisses, et remontent mes fesses.Monsieur sonne et entre. Il a ses clés, mais il me prévient toujours avant de pénétrer dans mon appartement. Il ne veut pas me trouver à mon désavantage. Alors, nous avons un code. Si j’ai besoin d’un petit répit, je laisse mes clés dans la serrure, et il patiente. Mais ce soir, il n’a pas à attendre.
— Bonsoir Anne-Charlotte, puis il enchaîne.— Vous êtes superbe, toute nue.— Vous me flattez, fais-je modeste.
En fait, j’adore quand Monsieur pose son regard à la fois admiratif, et presque tendre sur mon corps de mature. Il faut que j’en profite. Dans dix ans, un homme me dira-t-il encore de tels compliments. Et puis serai-je encore la soumise de Monsieur. Daignera-t-il encore fouetter mon cul avachi par l’âge.Il farfouille dans le dressing.
— Mettez vos dessous, pendant que je cherche ce que vous porterez.— Ah non!!!— Pardon, Anne-Charlotte, une rébellion !!!— Tout à fait, je veux et j’exige que vous me matiez pendant que je me prépare, et je poursuis.— Ce week-end, vous me confiez à d’autres, alors regardez-bien ce dont vous ne profiterez pas.
Il s’installe sur le bord du lit. Et je commence mon striptease à l’envers, par le serre-taille. Un fois bouclé, je passe mes bas. Pour les enfiler, je pose mon pied gauche sur le matelas, et je commence à remonter mon gerbe. Monsieur arrête mon geste, et fait glisser lui-même mon nylon le long de ma cuisse. Il attache la lisière à la jarretelle. Je chausse mon escarpin, je lui tends mon autre bas, et j’appuie mon pied droit à côté de Monsieur. Il gaine ma jambe, ajuste la couture et agrafe de même la lisière. Je me tourne. Il attache les deux suspenseurs de derrière.Il fouille parmi mes vêtements
— Voyons, ce sont des coquines, et elles vous mettront les mains partout, vous devez donc être facilement accessible, mais chic. Il faut donc une jupe ample, et un décolleté sage, mais qu’elles pourront ouvrir, et surtout une taille serrée, pour mettre en valeur vos hanches.
Il me tend deux robes.
— Voilà, une pour ce soir, et une pour demain. n’oubliez pas une lingerie de rechange. Je vous attends à côté.
Je passe la robe en soie gris bleu, et je conserve la rouge et blanche pour demain. Je rejoins Monsieur dans le salon. Je tourne sur moi-même, pour me faire admirer.
— Je vous plais.— Vous êtes à croquer. Mais il vous manque quelque chose.— Quoi ?— Il faut que je vous marque avant de vous livrer.— Marquer ? Avec la cravache.— Oui.
Je marque un petit silence, puis je me pose à genoux sur le canapé, je colle ma joue sur l’accoudoir. Je fais voler ma jupe au-dessus de ma tête, je fais glisser ma culotte aux genoux. Je suis prête.Un sifflement, je sens la cravache cisailler mon cul comme au ralenti. Puis la douleur, comme si mes fesses étaient coupées en deux. Je m’écroule, j’halète comme essoufflée. Monsieur me redresse, en me prenant dans ses bras.
— La, la, ça va aller.
Je chouine, et entre deux sanglots, je lui murmure.
— Monsieur, je crois que j’ai faim!
Le diner, en vallée de Chevreuse est délicieux. J’ai remarqué qu’avant d’être livrée, ou traitée, j’étais d’humeur carnassière, alors nous avons partagé une énorme cote de bœuf, avec une fricassée de champignons (pour le régime, le mien). Et une cote du Rhône, en plus.
— Que va-t-on me faire ?— Elles sont assez cruelles, paraît-il, et l’une d’elle a un maître très inventif. Je ne serais pas étonné qu’elle teste sur vous ce qu’elle a déjà subi.
Monsieur s’arrête devant une jolie maison d’architecte, avec de très grand balcons-terrasses ruisselant de glycine. Il m’ouvre la portière, et m’accompagne jusqu’à l’entrée.
— Je vais vous bander les yeux.— Que va-t-il m’arriver, demande-je avec des trémolos dans la voie.— Je ne sais pas, et je ne leur ai pas données de directives, et il poursuit. — Tout ce que je sais, c’est qu’elles sont très joueuses et un peu sadiques. Je vais sonner, et elles viendront vous chercher.
Et il me plante là.Aveuglée, l’attente me semble durer une éternité quand j’entends un bruit de serrure et de porte qui s’ouvre.
— Les filles, le livreur est passé.— Quel joli cadeau !— Et bien emballé !
Deux compliments en trois phrases, personne, à part Monsieur ne m’en a dit autant
— Entrez, je vous prends la main pour vous guider.
J’avance à tous petit pas dans ce que je suppose être un grand salon, Une discrète musique latino coule dans la pièce. Et puis il règne une odeur discrète et délicieuse, mélange du parfum de fleurs du jardin, et de celui de ces dames.Une paire de mains se posent sur mes hanches.
— Elle a une taille si fine.
Puis les doigts glissent sur ma jupe, puis en dessous et remonte le long de ma cuisse gainée de nylon, et s’arrête sur ma peau.
— Et femme de goût, en plus. Elle met des bas.
La main remonte, jusqu’au petit pli qui sépare ma cuisse de ma fesse, et la soulève.
— Humm, c’est dense, c’est moelleux et élastique.
Devant, on a pris mes seins par en dessous et on les soupèse comme des melons au marché.
— C’est pareil par ici. Ses nichons sont bien ronds et bien lourds.
La main sous ma robe se glisse sous ma culotte.
— Et une peau comme de la soie !!!
Un doigt se faufile dans mon entre jambe, effleure mon périnée, et s’insinue dans ma fente humide.
— Elle est déjà toute trempée!— Une belle bourgeoise mouilleuse, avec un beau cul et des gros nichons. On va bien s’amuser!
Depuis mon arrivée, une des voix me rappelle quelqu’un, alors je lance
— Hélène !— Oui, c’est moi. Anne charlotte.
D’un coup je me détends. Une main se glisse dans ma chevelure et me bloque la tête. Une bouche gourmande se pose sur la mienne, j’ouvre mes lèvres. Une langue serpentine se glisse et se noue à la mienne. Hélène me déguste avec voracité. Je me liquéfie.
— Et moi alors !
Hélène me relâche, et une autre bouche se ventouse à mes lèvres, puis une troisième.
— Moi, c’est Anne So,— Et moi c’est Mel, bienvenue dans ma maison.— Vous voulez que j’enlève votre bandeau.— Non, je veux le garder, je crois que ce sera meilleur avec.— On déballe le cadeau. Je veux voir sa lingerie.
On me déboutonne, je sens ma robe glisser. Voilà, je suis en dessous. Des mains dégrafent mon soutien-gorge.
— Oh, quels beaux  seins.— Et regarde, ses tétons gonflent dès qu’on les tripote.
Derrière, des doigts crochent l’élastique de ma culotte, et la font tomber sur mes chevilles. Je l’enjambe et je la fais valser d’un coup de pied.
— Quel beau cul de mature, fait-on en me caressant les fesses.— Et Monsieur a laissé sa marque, ça à l’air tout frais!!!— Faites quelques pas en avant, on va vous installer.
On me guide. Je touche quelque chose de dur en bois avec le devant des cuisses. On me penche, et je me pose à plat ventre sur un support en cuir. On appuie sur mes reins, et on noue une sangle, mes poignets sont menottées dans mon dos. On soulève mon menton et on le bloque. Des mains s’emparent de mes seins et les arrangent de part et d’autre du morceau de bois qui soutient ma tête. On lie mes mollets à mes cuisses, et on les maintient écartées sur une barre.
— Vous voulez vous voir.— Oui.
Mon bandeau tombe. Je me contemple de face dans une glace. Je suis couchée sur un chevalet, les mains dans le dos. Mon visage est supporté, sous ma mâchoire, par une pièce de bois, qui me casse la nuque en arrière. Derrière moi, je distingue mes fesses surélevées. Mon opulente poitrine balance doucement sous moi. Ma chevelure coule le long de mes tempes. Hélène la tire et la rassemble en une queue de cheval.
— Ça vous intéresse de mater votre cul ?

Anne-So, une belle femme à la crinière acajou, avec une nuque rase, positionne un miroir sur une chaise derrière moi. Mon compas est largement ouvert. Je peux distinguer, au milieu de ma toison, ma fente légèrement entre-ouverte, et mon étoile bistre, qui palpite doucement. Un filet de cyprine suinte doucement de ma chatte. Hélène se rapproche de mon visage.
— Ça va, c’est confortable?— Euh, oui!— Moi, j’adore le meuble anglais. Je suis si disponible de partout. Mon homme peut me fouetter sur le cul et sur les seins. Et puis, il peut se servir de mes trois orifices à disposition, et elle ajoute. — Nous allons vous préparer.— Vous allez me fouetter ?— Non, pas ce soir, nous avons d’autres envies, et elle poursuit. — Il semble que vous soyez un peu étroite, et que la sodomie vous soit un peu douloureuse.— Mais, Monsieur ne veut pas que je sois élargie avec des gods.— Nous n’allons pas vous dilater l’anus, mais au contraire, on va vous le travailler en souplesse, et elle continue.— Maintenant, les filles aidez-moi, vous vous occupez des nichons, et moi du cul de madame.
Anne-So, la rouquine embouche mon sein droit et suce le téton. Il se gorge de sang. Alors, en toute cruauté, elle plante ses canines dedans. Je retiens mon cri. Elle recommence sa succion. Pendant ce temps mon autre nibard subit le même sort de la part de Mel.Je commence à soupirer sous leurs assauts conjugués. Je sens à peine qu’Hélène vient de me pincer les petites lèvres, et qu’elle tire dessus.
— Voilà, derrière elle est prête. Maintenant on lui pose les électrodes.
Anne-So me présente une petite pince dentelée et la fait claquer devant mes yeux. Elle saisit mon bouton. Les dents mordent dans ma framboise hyper sensible. J’essaie d’échapper à la morsure en faisant ballotter mes seins. Mais rien n’y fait.
— Serre un peu plus, il ne faudrait pas qu’elle les perde, commente Mel.
La rouquine s’exécute, et visse. J’en ai les larmes aux yeux.
— A moi, lance Mel.
Mon pauvre nichon gauche est supplicié de la même façon.
— Je vais vous faire un peu mal, m’avertit Mel.
Elle caresse mon clitoris. Et bien entendu ce petit con se gorge de sang et se décalotte.
— Oh, il est bien gros, c’est un beau clito de branleuse. Ça va être bien pratique pour la dernière pince.
Les deux mâchoires mordent dans mon gros haricot. Puis progressivement, elles l’écrasent incrustant les petites dents dans ma chair. Hélène s’arrête juste quand je commence à geindre.
— Là, là, c’est presque fini me murmure-t-elle comme pour m’encourager.
Un filet humide coule dans ma raie, et s’accumule dans mon petit cratère. Elle pousse un objet au bout arrondi dans mon anus qui cède, et laisse passer l’intrus. Il n’est pas bien gros, je me sens à peine envahie.
— Regardez-vous dans la glace, m’ordonne Hélène.
Je contemple le reflet de mon compas dans le miroir. Ma chatte est grande ouverte, mes petites lèvres sont tirées et écartées par des pinces rattachées aux lisières de mes bas. Mon bouton décalotté est étiré vers le bas par le poids d’une pince-électrode. Et au-dessus, un morceau de caoutchouc, prolongé d’un tuyau obstrue mon anus.
— Qu’allez vous me faire ? — On va jouer avec votre petit trou du cul. Je vous ai posé un plug en caoutchouc. Il va se gonfler, et envahir votre rectum, puis écarter votre sphincter. Si vous ne vous contractez pas Vous serez dilatée, peut-être douloureusement. Si vous serrez fort, le god se dégonflera, et puis ça recommencera. Pour vous prévenir, vous recevrez une décharge électrique. Et ça ira de plus en plus fort.
Un petit silence.
— On y va.— Non s’il vous plait, attendez un peu.— Ok, vous nous donnerez le top départ.
Je fixe mon visage, et mes seins dans le miroir, puis je photographie le reflet de mon cul et de ma chatte. Je ferme les yeux.Comment en suis-je arrivée là. Il y a quelques mois, j’étais une femme trahie par son mari, puis vendue à un inconnu. Depuis, je me suis branlée nue devant lui, un doigt dans le cul, j’ai été cravachée, puis fouettée, après avoir assisté à la flagellation intégrale d’une mature. Ce soir, je suis liée ouverte, pincée, et préparée pour mon dressage anal. Me voilà devenue la poupée salope d’un trio de domina qui vont jouer avec mon et jouir de mes souffrances. Et en plus j’aime ça.
— Commencez, s’il vous plait.
Un petit ronronnement de moteur électrique, une chatouille sur mes tétons, et mon bourgeon. Vite, je contracte mon muscle anal. Même pas mal. Ça n’a pas l’air bien terrible. Je suis presque déçue
— Bon, vous avez pigé le truc, maintenant on augmente la puissance.
La décharge électrique me secoue des seins à la chatte. La surprise est telle que j’oublie de me contracter. Le truc que j’ai dans le cul me dilate impitoyablement. Je serre mon sphincter avec l’énergie du désespoir. Je le bloque, il se dégonfle. Je reprends mon souffle, attentive au prochain avertissement.Et d’un coup, sans prévenir, la secousse. Je me resserre, mon anus n’est pas dilaté, mais mon ampoule est délicieusement envahie. Puis un petit bruit de fuite d’air, et je peux me reposer. Et ça repart. Je maîtrise de mieux en mieux le gonflage du plug, bloquant le forçage de mon anus mais appréciant le massage interne de mon rectum. Et ça recommence.
Casse-noisette s’arrête. Cette pause est la bienvenue, je reprends mon souffle, je suis en sueur. Elles font rouler le meuble, et elles me basculent en avant. Elles abaissent la mentonnière. Ma nuque n’est plus tordue en arrière. Je laisse aller ma tête. Mon front tombe sur un petit coussin tiède et doux. Ca gigote. Deux mains prennent mon visage aux tempes, et le soulève, puis l’abaisse doucement. Mes lèvres reposent maintenant sur le vison odorant d’Hélène.
— Ma chère, vous allez me bouffer la chatte. Et Casse-noisette ne s’arrêtera que quand vous m’aurez fait jouir.
Je mâchouille les lèvres de ma maîtresse, je lèche son clitoris, elle soupire. Une vibration. Par réflexe, je me contracte, et je serre mes dents autour de son haricot. Je la mords un petit peu en essayant de ne pas la blesser. Elle semble apprécier et laisse échapper un gros soupir. Pour éviter un incident, je me contente de la fouiller avec ma langue. Encore une décharge, et mon supplice reprend.Le bassin d’Hélène tressaute de plus en plus vite, comme s’il suivait le rythme des décharges électriques. Je n’en peux plus. Mes seins et mon clitoris me lancent.Elle se cabre. Et écrase ma bouche sur ses lèvres intimes et sa chatte ouverte. Elle expulse un petit jet de cyprine mêlée d’un peu d’urine. Puis, elle s’écroule dans un râle.
Un ange passe.
— Débarrassez-la.
Des mains s’emparent de mes pauvres seins, elles desserrent les pinces en massant mes tétons . A l’autre bout, Hélène s’active aussi. Elle fait glisser en douceur le plug hors de mon anus épuisé. Puis elle entreprend de libérer mon clitoris. Le sang afflue dans mon bouton, c’est atroce, je gémis, et je pleure. Deux lèvres se posent autour de mon clitoris hyper sensible, le suce et l’aspire, un coup de langue râpeuse, et je spasme de plaisir et de douleur mêlés. Je m’effondre toute molle sur le meuble anglais.
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