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Anne-C

Chapitre 9

Trois femmes, deuxième partie

Lesbienne
Trois femmes : deuxième partie
La lumière du matin qui filtre à travers les volets me sort du sommeil. Hélène dort encore, sa chevelure étalée sur l’oreiller. Sa main est posée sur mon ventre. Doucement, je l’enlève, il faut que je me lève. J’essaie de trouver les toilettes. J’ouvre la première porte venue. C’est la chambre de Mel et d’Anne-So. Elles sommeillent, emboitées l’une dans l’autre comme des petites cuillères, la belle rousse a enfouie son visage dans la masse des cheveux blonds de son amie.
Des doigts fins se posent sur ma fesse droite.
— Chut, ne les réveillez pas. Que faites-vous là ?— J’ai la vessie un peu chargée.— Deuxième porte à gauche. Je vous attends dans le lit.
Une fois mon affaire faite, je retourne me glisser sous la couette, les fesses contre le ventre de mon initiatrice.
— Pourquoi étiez-vous plantée devant la porte.— Ça fait si longtemps que personne ne m’a prise dans ses bras pour dormir. J’étais fascinée par leur bonheur tranquille.— Vous ne dormez pas avec Monsieur.— Non, il ne veut pas.— Et votre ex-mari?— Il faisait canapé à part.
Je laisse passer un silence
— Ça fait longtemps que vous êtes une soumise.— Cinq-six ans, environ.— Votre maitre est aussi le maitre de vos deux amies.— Et quoi encore! Pierre ne fouette que mon cul, et il n’a pas intérêt à s’occuper d’un autre croupion.
— Mais Mel et Anne-So, que sont-elles dans cette affaire.— C’est simple. A la demande de mon seigneur, j’ai séduit Mel, et j’en ai fait une amante très docile. Le hasard a fait qu’ensuite, elle a aussi dévergondé Anne So, et elle poursuit.— Endormez-vous, on fait la grasse matinée.— S’il vous plait, je veux savoir, demain, vous me fouetterez ?— On a prévu des jeux entre filles, mais on vous rosira peut être un peu le croupion,
Je laisse passer un silence, et je murmure.
— Vous avez déjà fait casse-noisette.— Oui, la première fois, j’ai trouvé ça assez étrange, et puis Pierre m’y a remis trois ou quatre fois. La dernière fois. La dernière fois, j’étais menottée, les mains dans le dos. Et il a poussé sa queue dans ma bouche. J’ai pris un pied fabuleux. Et depuis quand il m’encule, j’ai des orgasmes tellement violents que j’ai l’impression que ma tête explose. Orgasme anal, orgasme fatal.— J’en suis bien loin.— Il faut vous abandonner à votre maitre, lâchez prise et votre cul suivra. Et maintenant dodo! fait-elle en empaumant mon sein gauche?
Le bruit de l’eau me réveille. Je me dirige vers la salle de bains. J’entends le rire léger d’Hélène. Mel et Anne-So la savonnent et la couvrent de mousse. Elle offre ses rondeurs opulentes à leurs mains friponnes. Elles la tripotent de partout, leurs doigts experts pénètrent tous ses orifices, et visiblement elle apprécie. Elle se tourne vers moi.
— Venez Anne-Charlotte, venez gouter aux plaisirs de la douche, On va s’occuper de votre cul et de vos nibards.
Et sans attendre, le gang de matures me tire sous la pluie tiède. Elles commencent à étaler le gel sur mes formes, et ne se gênent pas pour me peloter, ni pour se tripoter entre elles.
— Les filles, le thé est prêt!— Preum’s lance Hélène.
Mel vient d’entrer, tenant une bouilloire à la main. Elle attrape une poire à lavement, et la remplit.
— Mes chéries, à vous de prendre soin de votre sultane, ordonne Hélène.
Elle se courbe en avant, Anne-So se penche au-dessus d’elle, empaume ses fesses, et les ouvrent. La blonde pointe l’embout de la sonde sur l’anus complaisant et l’enfourne dans le cul de la belle. Elle appuie avec force sur la sphère souple.
— Raaah, c’est trop bon, remets moi encore un petit coup, lance la belle enculée.
Mel remplit à nouveau la poire, et recommence l’opération.
— Je reviens de suite, annonce la mature brune.
Pendant son absence, les deux lesbiennes se rincent mutuellement, puis me saisissent, me penchent et me remplissent. Je me laisse faire. En plus du plaisir du lavement, j’apprécie l’incroyable sentiment de propreté que ce traitement me procure.Hélène revient des toilettes, le sourire aux lèvres.
— Il en reste encore? fait elle en s’appuyant sur le carrelage mural de la douche à l’italienne.— Ouvre-toi ma belle, je vais te rincer lui répond Mel.
Et sans attendre, la blonde pousse la canule dans l’étoile bistre, et pousse le liquide dans le cul de sa maitresse.
— Humm, c’est trop bon, je vais le garder un peu. Mais ma vessie est un peu chargée, et elle m’ordonne.— Agenouille-toi, et présente moi tes seins.
Elle pousse son con en avant, quelques gouttes jaillissent, puis c’est un jet continue qui m’arrose. Une main croche ma chevelure, et tord ma nuque vers le haut, offrant ma belle gueule de bourgeoise au jet doré de ma domina.
— Ouvre.
J’écarte mes lèvres et j’aspire l’urine de la quinqua pervertie. Je déglutis et je bois cette ondée de pisse. Les deux autres ne sont pas en reste et m’arrosent. Incroyable, j’apprécie cette pluie dorée. Jusqu’à quel point m’ont-elles dévergondée.Nous nous rinçons, un léger filet brun clair suinte des fesses d’Hélène, et coule sur l’arrière de ses cuisses. J’écartille les yeux, presque outrée.
— Ne vous faites pas de soucis. Ce n’est que du thé noir. J’aime bien ses propriétés astringentes.
Elle passe un index dans le liquide et tranquillement le porte à ses lèvres.Puis elle prend ma main, recueille un peu de cette mixtion, et force ma bouche, m’obligeant à sucer mes doigts. Incroyable, ça a le gout du thé.
— Je suis toujours très propre, et elle m’ordonne.— Recommencez, goutez-moi à nouveau.
Je lui obéis, surprise moi-même par ma soumission. Et même pas écœurée.
C’est la fin de nos ablutions, nous nous essuyons et nous passons dans la chambre pour nous habiller. Hélène jette une pile de dessous sur le lit.
— Les filles, au boulot.
Anne-So attrape le serre taille et le boucle autour des hanches de la quinqua en chef. Mel agrafe le soutien-gorge non sans avoir tripoté les mamelons de la pétillante mature.Pour ne pas rester sans rien faire, je lui passe ses bas et je lui enfile ses escarpins.
— Dring, dring.— Ça doit être le livreur de croissants, j’y vais.— Et votre culotte,— Pas grave, je ne vais pas m’enrhumer.
Et elle file dans l’entrée.
— Et bien le deliveroo ne va pas être déçu du voyage.
Mes nouvelles amies éclatent de rire.
— Ma chérie, le livreur, c’est son amoureux, c’est Pierre!— Mais pourquoi, elle ne le fait pas entrer, pour me présenter par exemple.— Vous n’avez rien compris, Hélène est très jalouse. Pierre est son maitre à elle, et à nulle autre.— Et elle ne le partage pas, sauf exception exceptionnelles.— Et même très exceptionnelles, conclut Mel avec un air entendu.
Pierre nous a gâtées, et nous avons pu déguster un brunch délicieux. Hélène vient de déposer les restes dans la cuisine, elle se glisse derrière moi, écarte mes cheveux et dépose un petit bisou juste sous mon oreille.
— Ça vous plait d’être une salope pour domina, et elle continue.— Vous avez déjà bouffé le cul d’une femme ?— Euh, non.— Eh bien, il y a un début à tout, fait-elle en jetant un coussin sur le tapis.
Elle contourne le meuble et me prend par la main.
— Allongez-vous, sur le dos et posez votre tête sur l’oreiller.
Je lui obéis, elle m’enjambe, m’offrant la vision de son sexe annelée avec sa plaque de soumission se balançant entre ses jambes. Elle s’accroupit doucement me découvrant son anus. Elle s’arrête de descendre, je suis ensevelie sous la corolle de sa jupe. Je respire son odeur délicieuse, mélange de son parfum, et de ses fragrances intimes. Elle glisse ses mains sous sa jupe, et écarte ses fesses. Au milieu de sa fourrure rouge je peux distinguer clairement les plis de son petit cratère.Elle se laisse descendre en douceur sur ma bouche, comme si sa rosette m’embrassait.
— Léchez-moi.
Ma langue cours du périnée vers son étoile bistre. J’ai déjà fait quelques allers-retours, quand elle m’ordonne.
— Mettez-la dedans.
Je farfouille de la pointe de la langue au milieu de sa pilosité anale. Je pousse et son sphincter s’ouvre. Je roule ma baveuse, et je l’encule comme avec un mini pénis. Un "ah" de bonheur accompagne mon intrusion. J’avance et je recule, comme si je la sodomisais. Elle soupire.Je glisse mes mains sous sa jupe, et je passe mes bras autour de ses hanches.
Je tire son beau cul vers mon visage, et je l’enfouis au milieu de cette chair opulente.Je glisse ma langue dans son anus, je pousse ma salive dans son rectum, et je l’étale. Puis je l’aspire. J’y trouve un gout de thé, mêlé de quelque chose d’un peu plus fort.Je repousse son croupion, je reprends ma respiration, puis je l’attire vers ma bouche et je fouille à nouveau son anus. Incroyable, je prends gout à cette caresse. Je colle mes lèvres à sa rosette. Je l’embrasse, et je la fouille comme si je baisais la bouche d’une amante. Je commence à étouffer.Mais je reste ventousée à son anneau. Et d’un coup, elle se contracte son muscle anal autour de ma langue roulée en cigare, Et la broie. Casse-noisette. Puis elle spasme et me relâche.Elle s’écroule sur le côté, me laissant respirer.
— Ma chère, c’était délicieux, vous êtes douée, il faudra recommencer.— Oh, merci.
Je ne sais que bredouiller cette banalité. Je m’assoie à ses côtés. Elle m’attrape par le cou, et prend mes lèvres. J’adore cette galoche lesbienne. Je colle contre elle quand mon portable vibre. Un message de Monsieur. Je le partage avec mes nouvelles copines.
— C’est Monsieur, il aura deux heures de retard. Il vous demande de s’occuper de moi.
Le téléphone d’Hélène se manifeste juste après
— C’est votre maitre!— Que dit-il ?— vingt et un.— Vingt et un ?— Vingt et un coups sur votre popotin.— La cravache ?— Non, la cravache est réservée à Monsieur. Nous allons être gentilles. On va faire ça au martinet.
Hélène.
J’adore jouer avec Anne-So et Mel. Mais m’occuper d’Anne-Charlotte est vrai bonheur. Pour une domina comme moi, il n’y a rien de plus délicieux que d’initier une novice. Et puis, notre nouvelle amie est si agréable à dresser, et tellement pleine de bonne volonté.
— Agenouillez-vous sur le divan. Avancez-vous un peu sur l’assise, et passez votre poitrine de l’autre côté du dossier.

Anne-Charlotte.
J’obéis. Hélène déboutonne mon chemisier, et dégage mes mamelles de mon soutien-gorge. Elle agace mes tétons.Derrière, on trousse ma jupe ample, me dévoilant jusqu’à la taille. Des doigts crochent dans l’élastique de ma culotte, et la font glisser jusqu’au milieu de mes cuisses. Je me dandine d’un genou sur l’autre, et on fait glisser ma lingerie le long de mes mollets.Deux petites tapes à l’intérieur de mes jambes, je m’écarte.
— Vous voulez que je vous attache les poignets.— Non, je vais essayer de tenir mes mains, repondai-j’ en croisant mes doigts dans mon dos.— Je vais vous poser un bâillon, fait Hélène en me présentant un mors en O.
J’ouvre la bouche, elle me force avec un anneau muni de deux lanières qu’elle noue sur ma nuque. Puis elle pousse dans l’ouverture un petit god qui bloque ma langue.
— Et voilà, vous avez une petite bite à sucer.
Je surprends mon reflet dans le miroir du salon. J’y vois une bourge obscène, la bouche obstruée par un bâillon, ses gros nibs pendouillant sous elle, et ses tétons déjà gonflés en attente du pelotage.
— Vous prenez chacune une fesse.— Ok je prends la gauche, répond Mel.— Et moi la droite, mais que te reste-t-il, interroge Anne-So?— Ses beaux seins,— J’en connais une qui va bien s’amuser, conclut Mel.
Pendant un court instant je me pose la question, qui va bien s’amuser, moi ou Hélène. La belle brune saisit mes mamelons, entre pouce et index et commence à les masser.
Shlac, Shlac, les deux premières cinglées viennent de s’abattre sur mon cul. Surprise, je lâche mes poignets pour caresser mon croupion endolori. Sans pitié, Hélène tord mes deux tétons, je râle malgré le bâillon.
— Vous n’avez pas voulu être attachée, alors tenez-vous!
Je reprends six volées, en alternance sur chaque fesse. Un petit arrêt, pour me laisser déguster mon supplice. Puis mes bourrelles reprennent leur ouvrage, en l’étendant au haut de mes cuisses. J’essaie de compter. Je me concentre sur mes mains pour éviter de lâcher mes poignets. Devant, ma domina brune pinçouille mes tétons. Etrangement, je ressens un trouble plaisir à ce pétrissage mammaire.
— Quinze, seize, dix-sept, compte Mel.
Une cinglée frappe entre mes cuisses, puis les lanières fouettent mes petites lèvres et mon clitoris décalotté. Sous la douleur, je me cabre. Sans pitié Hélène plante ses ongles dans les mamelons, et les tirent vers le bas pour me remettre à genoux. Je chouine, et des larmes coulent de mes yeux.
— Vingt, vingt et un, conclut Anne Sophie.
Je reste avachie sur le dossier du fauteuil. Je sanglote doucement. Ma bourrelle brune glisse ses doigts dans ma chevelure et détache le bâillon. Je reprends mon souffle. Anne-So et Mel n’ont pas ménagé mon croupion. Et visiblement Hélène est délicieusement experte pour pincer et maltraiter des nichons de mature.
— Laissez vos mains dans le dos!
Avec douceur, elle replace mes seins dans les bonnets et réajuste mon soutien-gorge. Elle me reboutonne. Je me redresse, ma jupe tombe sur mes fesses, caressant mon fessier meurtri. Je me remets sur pieds et je remonte ma culotte avec précaution. Pendant ce temps, Hélène se pose sur le canapé, près de l’accoudoir. Je m’assoie à ses côtés, et je me relève en sursaut.
— Aie.— Ça fait mal?— Oui.— Allongez-vous à plat ventre, et posez votre tête sur mes cuisses, vous verrez, je suis très confortable, comme oreiller.

Je m’installe. A l’autre bout du divan, on soulève mes jambes et on les repose sur d’autres cuisses. Ces dames bavardent à voix douce. Je suis si bien, je plonge dans une douce torpeur bienheureuse.Un ongle court le long de la couture du bas, et remonte mon mollet, elle passe le creux de mon genou. Je sens comme une légère chatouille, j’ouvre mon compas, comme une invitation. Une main glisse sur le nylon jusqu’à ma chair nue. Je frissonne.Des doigts s’insinuent entre ma peau et ma culotte. Ils se faufilent dans ma fente humide. Je soupire. Hélène soulève légèrement ma tête, et fait glisser la soie de sa robe et repose ma joue, à la fois sur sa peau et la lisière de son bas. Elle rabat le tissu sur moi et elle ouvre légèrement ses cuisses. Je respire à pleines narines son odeur de femme, délicieux mélange de son parfum et des fragrances de ses sécrétions intimes.
Derrière, un pouce caresse mon périnée, puis pousse sur mon anus qui cède sans résistance.Prise devant, pénétrée derrière, respirant l’odeur de la chatte de ma domina, je plane au milieu des pensées plus pornographiques les unes que les autres. Je rêve qu’un deuxième doigt rejoigne le premier dans mon anus. On a dû lire dans mes pensées, car un deuxième intrus se joint au premier. Les deux s’agitent dans mon trou mignon et massent mon rectum. Je me laisse aller à une douce jouissance, quand la sonnerie de l’entrée résonne.A regret, je me dégage et je me redresse.
— Ah vous revenez parmi nous me lance Mel.— Oui, j’ai eu comme un passage à vide, j’ai dû m’endormir.— Oui et vous avez dû faire des rêves coquins, vous avez beaucoup soupiré.
Les filles m’accompagnent à la porte, et avant mon départ nous échangeons devant Monsieur des chastes baisers sur la joue.Galamment, Monsieur m’ouvre la portière. Prise d’une inspiration subite, je me trousse, je fais tomber ma culotte et je m’assoie, les fesses à nu sur le cuir du siège. Je laisse échapper un petit ...
— Aie.— Vous avez mal aux fesses, elles vous ont rougi le croupion.— Oui.— Si vous voulez, je vous passerai la pommade ce soir, et il poursuit.— Au fait, vous n’avez pas répondu à ma question de vendredi.— Ah, laquelle.— Vous aimez les femmes ?
Je laisse passer un petit silence.— Je ne sais pas si j’aime les femmes. Mais ces trois-là sont délicieuses...
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