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Anne-C

Chapitre 13

Fouettée, première partie

SM / Fétichisme
Anne-C, clouée au mur, première partie
Monsieur aime mes jambes. Il me l’a avoué, et en plus il me le montre. Souvent quand je suis tournée, je sens la caresse de son regard sur mes mollets. Alors, je mets mes guiboles en valeur. Je porte systématiquement des talons, qui étirent et tendent mes mollets.Je gaine mes jambes avec des bas, j’en ai toute une collection, du noir à l’ivoire, en passant par des dorés , et avec toute sorte de motifs , baguette, plumetis, avec des petits nœuds sur le tendon d’Achille et bien entendu avec des coutures pour affiner mes jambes. Pour le reste, je m’habille avec des jupes au genou, ou même dix centimètres au-dessus, en prenant bien soin de ne jamais laisser voir mes jarretelles et mes cuisses. Il n’y a que Monsieur qui puisse y poser les yeux.
Depuis que je travaille dans la boite de Monsieur, je me réveille plus tôt le matin. J’ai plaisir à me préparer. Douche, parfum léger, maquillage discret, brossage de mon abondante chevelure, puis choix de ma tenue, et me voilà partie. J’aime ce petit rituel de préparation, qui me transforme de mémère ensommeillée à collaboratrice chic et élégante. Dans un sens, ça m’arrange que Monsieur ne passe pas la nuit dans mon lit. Comme ça, il ne me voit jamais "pas finie".Quand j’arrive, petit bonjour aux collègues, puis je passe la tête dans l’entrebâillement de la porte du bureau de Monsieur. Il se lève, et me dit un petit mot aimable, en me serrant la main. Plusieurs fois, j’ai eu l’impression qu’il allait me faire une petite bise. Mais non, rien, je me suis fait un film.
Monsieur
Pour moi, la journée commence quand Anne Charlotte passe me saluer. Elle me tend la main, je la saisis. Je plonge mon regard dans le sien. Et comme à chaque fois, je dois résister à l’envie de déposer un baiser sur sa joue.J’apprécie la collaboratrice, mais je ne peux m’empêcher de penser à la soumise qui se dissimule derrière cette femme à la mise recherchée.Qui pourrait imaginer que ce corsage mettant en valeur une poitrine bien ronde cache deux seins annelés. Porte-telle une culotte sous sa jupe bien sage, au genou. Ou ses fesses roulent-elles en liberté sous le tissu tendu qui la gaine. Et sa plaque de soumise se balance-t-elle entre ses cuisses, étirant sa petite lèvre.Il vaut mieux que j’arrête de fantasmer, sinon je vais être incapable de travailler.
Cette fin d’après-midi, j’ai rendez-vous avec Monsieur, pour faire un petit point sur les dossiers. Mais il ne s’est rien passé d’intéressant, et tout tient sur une feuille. Alors je vais lui poser une petite question qui me taraude depuis longtemps. Je pousse la porte. Et je marche vers sa table de travail en ondulant légèrement des hanches. Il se lève, et prend l’A4 que je lui tends.
— Asseyez-vous Anne-Charlotte, fait-il en me montrant son bureau.
Il se rassoit, et parcourt rapidement le feuillet, puis il lève les yeux vers moi. Ce n’est pas la première fois que je me pose sur le plateau en verre.
Depuis que je connais Monsieur, je suis devenue plus assurée. Je n’ai plus honte de mes formes de matures, au contraire, j’ai appris à en jouer, j’apprécie le regard des hommes et aussi celui un peu jaloux des autres femmes de la boite.Aujourd’hui, j’ai mis une robe droite, toute simple, taillée dans un tissu pied de poule. Son ourlet s’arrête juste au-dessus du genou. J’ai fait resserrée la taille, et donné un peu d’ampleur aux hanches et à la poitrine. Petit détail coquin, une fermeture éclair, avec deux chariots, court du col jusqu’en bas.

Je m’appuie sur le bureau de Monsieur n’y posant qu’une demi-fesse. Sous la tension du tissu, la fermeture s’ouvre. Je fixe Monsieur dans les yeux, je prends sa main et je la place au-dessus de mon genou droit.
— Pourquoi moi?— Comme je vous l’ai dit, j’avais besoin d’une assistante expérimentée et disponible.— Ce n’est pas ce genre de femme qui manque autour de vous, pourquoi moi, Anne-Charlotte.— C’est vous que je voulais depuis que nous nous étions rencontrés fugitivement à un séminaire de la boite de votre mari.
D’un coup, je me souviens. Et tout revient comme un flash-back
Jamais, je n’aurais dû accepter d’accompagner Kevin au pince-fesse de sa boite. A peine arrivés, il me plante à côté du buffet, et part parler foot avec ses copains de bureau.Bien entendu, dans le quart d’heure qui suit, je me fais aborder par tous les lourds de la réunion. Tiens, en voilà un qui s’approche. Celui-là, il va prendre pour tous les autres.
— Madame, désirez-vous une coupe de champagne.
Je suis surprise, je ne m’attends pas à cette entrée en matière, et surtout, il a une voix mélodieuse, avec en arrière-plan quelque chose comme le ronronnement d’un chat. Alors perdue pour perdue, et comme j’ai un peu soif.
— Oui, je veux bien.— Je reviens de suite, et il s’éclipse. Je suis du regard sa silhouette élégante, vêtue d’un beau costume bleu foncé.
Il me tend une flute, et de l’autre main il me propose un assortiment de petits fours.
— Vous voulez me faire grossir!— Ne me dites pas que vous faites partie de la confrérie des obsédées du poids.— Je souris, serais-je tombé sur le seul homme prévenant de la soirée.— Comment avez-vous fait ? Il y a un monde fou au buffet.— J’ai écrasé quelques pieds.
J’éclate de rire, je secoue mon verre, et j’asperge sa chemise.
— Je suis confuse!— Mais non !— Je vais vous essuyer.
Je fouille dans mon sac, j’en sors trois mouchoirs en papier, et j’essaie d’éponger les dégâts. J’ai presque fini, je pose ma main sur sa poitrine, il touche mes doigts du bout des siens, et les retient.Nos regards se croisent, et se mêlent. Le brouhaha de la salle s’atténue. Nous basculons dans un monde parallèle.
— Bonjour, Monsieur, dis, ma grande, il y a un match de champions’league, ce soir. Nous avons juste le temps de rentrer.

Je suis tellement surprise de cette intrusion que je me laisse entrainer. Je me retourne, et je lui envoie un triste sourire. Il me répond par un petit signe de la main. Je crois entendre un petit « A bientôt ».
— Maintenant, je me souviens, mais comment m’avez-vous retrouvée?— Facile, j’ai entendu le prénom de votre mari, alors j’ai cherché un Kevin. Il y en avait deux, mais avec leurs photos. Ensuite j’ai activé mon réseau. J’ai appris que votre époux en plus d’être un goujat, avait commis en plus quelques indélicatesses assez graves. Je l’ai rencontré, et je lui ai mis les preuves sous le nez. A la deuxième rencontre, il m’a demandé de le sortir de la situation sans issue où il était. Je lui ai fait la proposition que vous connaissez. Il n’a même pas discuté.
Je laisse passer un long silence. Je baisse les yeux. Ma fermeture s’est remontée, ma jupe s’est ouverte. Mon regard se fige dans celui de Monsieur. Je prends sa main et je la glisse au-dessus de la lisière de mon bas. J’apprécie la chaleur de sa paume sur la fine peau de l’intérieur de ma cuisse. Ces doigts remontent légèrement. Ils saisissent ma chaine, et tirent doucement dessus, étirant ma lèvre. Je soupire tout doucement. Puis je respire un grand coup et je me lance.
— Vous vous souvenez quand vous m’avez emmené voir Hélène se faire fouetter pour le plaisir de son maitre.— Oui.— Pendant l’après-midi, avant que je sois annelée, Hélène et moi, avons beaucoup discuté de sa performance.
Je marque une pause, et je reprends.
— Je voudrais subir la même chose.
Il ne répond pas.
— Qu’aimez-vous le mieux, Monsieur? Me voir flagellée par d’autre, ou me fouetter vous-même?
Toujours le silence.
— S’il vous plait, sinon je demande à Hélène.
Il réfléchit, puis me fixe dans les yeux.
— Vous serez fouettée samedi dans quinze jours, et il poursuit.— Intégralement.

Nous entrons dans un petit salon, Monsieur fait glisser mon manteau sur mes épaules. Comme pour une soirée mondaine, je porte une élégante robe de crêpe noir, bras nus, serrée seulement autour du cou.
— Votre tenue est très élégante, Anne Charlotte.— Monsieur, Si vous me promettez de me faire danser, à la soirée de la société, je la remettrai avec plaisir pour vous. — Inscrivez-moi sur votre carnet de bal.— Et nous danserons quelques rocks.— Vous voulez affoler les stagiaires avec vos bas et vos jarretelles.— Je serai sage, je mettrai une culotte.
Nous sourions tous les deux. Puis je reprends plus sérieusement.
— Il vous faut me préparer maintenant.
Je me tourne. Il défait le bouton derrière ma nuque. Ma robe glisse, s’épanouissant comme une corolle autour de mes chevilles. Me voici en dessous complet devant Monsieur. J’ai soigné mes dessous, même si je sais que cette lingerie ne me fera un grand usage ce soir. Il dégrafe le balconnet qui soutient mon opulente poitrine. Ce coquin rattrape mes seins au vol, et agace mes tétons. Puis il fait tomber ma large culotte, il accompagne sa chute en s’agenouillant. Il détache mes bas et mon galbe -taille. J’enjambe mes sous-vêtements. Il me chausse de mes talons. Je suis nue. Il noue un masque de dentelles sur ma nuque.Monsieur s’agenouille devant moi, délicatement il dégage la fourrure autour de ma petite lèvre, il crochète la chaine et ma plaque de soumise. Il dépose un baiser fugitif sur ma chatte.
— On y va.— Vous ne me mettez pas de collier, pas de laisse.— Non, vous irez librement à votre supplice, et il continue.— Je vais frapper à la porte, elle s’ouvrira. Vous traverserez la salle jusqu’à l’estrade, et vous vous placerez face contre le mur.— Et vous?— Je vous suivrai à deux mètres.— Ah, c’est pour mieux mater mon cul.— Exactement, j’adore vos fesses.
Ma soumise est magnifique, des attaches fines, des cuisses charnues, surplombées par une croupe opulente. Une taille mince. Je contemple son reflet dans le miroir. Ses anneaux brillent doucement au milieu de sa fourrure bien soignée. Elle a vraiment de beaux seins ronds comme des pomelos, légèrement tombant. Ses deux tétons sont gonflés, comme si la promesse du fouet les excitait.Je ne peux que me féliciter de l’avoir arrachée à son mufle de mari, et de l’avoir dressée à la soumission.
Je ferme les yeux. Comme à chaque fois que je vais être traitée, je sens en moi une douce tension. Mes framboises érigées me font délicieusement mal. Mon sexe suinte doucement. Je mouille d’excitation. Je ferme les yeux. Dans quelques instants, je vais hurler de souffrance sous les lanières du maitre qui m’a choisie. Et pourtant, je ne voudrais pas être ailleurs. Je suis impatiente Je respire un grand coup.
— Je suis prête.
Il toque, les battants s’ouvrent. Je m’élance, j’avance au milieu de l’assemblée, les spectateurs s’écartent en murmurant. Ma plaque de soumise tapote ma cuisse au rythme de mes pas. Je sens que Monsieur me suit et me regarde, alors j’accentue l’ondulation naturelle de mes hanches. Je sais qu’il ne perd pas une miette du roulis de mon cul de mature. Je traverse l’assistance. Combien parmi ces femmes élégantes ont déjà fait, nues ce chemin? Combien ont le cul zébré par une cravache? Combien portent une plaque attachée à leurs lèvres.Je grimpe les deux marches de la petite estrade, encore trois pas, et me voici face au mur noir. Je me tourne vers la salle une dernière foi, cherchant une silhouette amie. Un instant, je crois reconnaitre celle d’Hélène. Je me retourne vers la paroi, je plaque mes mains sur la surface lisse, j’y pose mon front. J’attends L’estrade craque sous le poids de Monsieur. Il soulève ma chevelure.
— Je vais vous passer un collier, et il poursuit. — Je vais l’attacher à cet anneau, posez vos mains à plat sur le mur.
Je suis crochetée, le visage quasiment collé au mur. Il murmure à mon oreille
— Je vais être dur, et même cruel. Je n’arrêterai que quand je le souhaiterai, et il continue.— Je vais vous poser un mini micro. Comme ça, nous ne perdrons rien de vos soupirs et de vos gémissements.
Monsieur
Je pose ma main sur sa nuque, puis je descends doucement sur sa colonne vertébrale. Elle frissonne, je m’arrête sur ses reins, juste là où sa croupe se cambre, puis je continue vers le bas, j’empaume sa fesse gauche, je la soulève légèrement pour en apprécier le poids et le moelleux. Je ne peux pas résister, je glisse un doigt dans sa raie culière, je fouille au milieu de sa toison, puis je trouve l’orifice caché au milieu de sa jungle, je m’enfonce au milieu de son cratère, elle soupire. Je la pistonne en douceur, la sonorisation renvoie son gémissement de bonheur.Mais je ne suis pas là pour le plaisir de madame. J’arrache mon index de son anneau, et je me recule.Je ne peux m’empêcher de sourire en appréciant le cul splendide de ma soumise.Je saisis un martinet à longues mèches. Elle essaie de tourner la tête vers moi, mais le collier la bloque. Elle ne peut que m’envoyer un regard implorant.Je recule mon bras, puis je lance mes lanières.
Je me sens comme un insecte punaisé au mur. Mon corps est tendu à me faire mal. Je me casse la nuque en arrière pour voir Monsieur, mais je n’arrive à croiser son regard que du coin de l’œil. Je lui lance un appel muet.
— Commencez, par pitié, ne me faites plus attendre.
La première cinglée sur mes fesses est une délivrance. La deuxième suit, au milieu du dos. Puis il descend fouettant méthodiquement mes reins, le haut de mes fesses, mon cul, mes cuisses, le creux poplité, mes mollets. Puis il remonte. Je gémis à chaque coup, mais la douleur n’a rien d’insupportable. Je suis seulement "chauffée". Les lanières parcourent mon corps encore une fois, puis Monsieur s’arrête. J’apprécie cette pause. Je me cale sur mes jambes en m’appuyant sur le mur.
J’entends un claquement sec, comme une détonation. Mais je ne sens rien. Je tords ma nuque pour le voir. Il tient dans sa main un fouet à chien, avec une longue tresse serpentine.La lanière me frappe entre les deux omoplates, frappant en plein milieu d’une zone sensibilisée par le martinet. J’hurle. Le deuxième coup atteint mes reins, j’ai l’impression d’être coupée en deux.Je me plaque contre le mur comme si je pouvais me cacher dedans. En un instant, je comprends que la séance de martinet n’avait que comme but de sensibiliser ma peau. J’attends la troisième fouettée, mais rien ne vient.
— Cambrez-vous, Anne-Charlotte!
Je recule mes pieds, puis je creuse mes reins, et je pousse mon opulent popotin en arrière. Il me fait attendre. Je tremble, je ferme les yeux. La lanière me fouette en plein milieu des fesses et sans attendre, il redouble juste à la jonction des cuisses et du cul. Je serre les dents, mais je ne peux retenir un cri de bête. Encore une pause, je pleure doucement.Mais pas de pitié, il m’envoie une rafale de trois ou quatre cinglées à la volée.
La lanière me frappe au creux du genou. Mes jambes fléchissent. J’essaie de me rattraper, mais mes mains glissent sur la paroi, je tombe, mais mon collier me retiens, et m’étrangle. Je panique, je vais être pendue ...
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