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Anne-C

Chapitre 14

Anne-C, clouée au mur

SM / Fétichisme
Anne-C, clouée au mur, première partie

Mon collier me retient, et m’étrangle. Je panique, je vais être pendue,
Des bras puissants me soulèvent, mon cou est soulagé. Je prends une grande respiration. On me détache, on me retourne dos au mur. Je reconnais mes deux sauveurs. Monsieur me repose sur mes pieds. Il me plaque contre la paroi. Un assistant s’approche, portant une visseuse. Il saisit ma main droite, et la colle contre le bois. Il fixe une épaisse bande de cuir sur le panneau de bois, glisse mon poignet dessous. Avec son outil, il arrime le bout libre de la lanière. Il fait de même avec ma main gauche.Je suis maintenant crucifiée contre le mur.
Monsieur s’approche de moi. Il soupèse mon sein gauche, puis malaxe doucement mon téton. Ce petit con se gonfle de sang, et s’érige. Il est maintenant gros comme une phalange. Monsieur joue de la même façon avec mon autre mamelle.Il sort de sa poche une chainette munie de deux pinces aux extrémités aplaties. Il la passe dans l’anneau du collier. Il écarte les mâchoires et les relâche brutalement sur ma tétine droite. Sous la douleur, je jette ma tête en arrière. Il soulève mon autre sein et en écrase l’autre framboise de la même façon. Mes deux nichons sont étirés vers le haut.
Monsieur reprend son martinet et commence à me flageller. Il remonte de mes cuisses vers mes seins, chauffant ma peau, comme il l’avait fait avec mon dos. Il frappe ma poitrine, et la douleur de la cinglée s’ajoute à celle de l’étirement de mes mamelles. Il s’arrête, estimant que mon corps est suffisamment réceptif pour le fouet.Il s’écarte dans l’ombre. Je reprends ma respiration.Il revient dans la lumière, tenant en main un bull whip. Il se campe devant moi. Je ne peux m’empêcher de le trouver élégant, altier. Je n’aurais pas pu souhaiter un maitre plus beau que lui.Mes yeux captent les siens, nos regards nous lient. Je lui donne le signal, d’un clignement de paupièresMon petit bedon reçoit la première cinglée. Mon torse reçoit la seconde volée. Une pause.Puis coup sur coup ma poitrine est fouettée, mes seins ballotent sous l’impact. J’ai l’impression que mes framboises sont arrachées.Monsieur me laisse récupérer. Je sais déjà quelle partie de mon corps sera la prochaine cible.
Monsieur vise ma chatte et lance sa lanière. Par réflexe, j’interpose mon genou. Il bloque son geste, et la mèche, sans énergie, caresse mon pied. Il me fixe et attend.J’écarte mes cuisses, et je pousse mon bassin en avant offrant ma vulve à sa fouettée.Il lance son fouet, et m’atteint en plein sur mon clitoris érigé. Mon hurlement amplifié résonne dans toute la salle. J’essaie de tenir debout mais mes jambes me lâchent.Je n’en peux plus, je me laisse pendre au bout de mes bras. On me détache. On me soutient sous les bras. On me mène jusqu’à un gros anneau fixé au sol. Je m’agenouille. Monsieur m’incline, je me penche en avant, je tombe allongée.
— A quatre pattes.
J’obéis. Je me pose sur mes coudes. Il accroche mon collier à l’anneau. Sa chaussure est juste à portée. Je pousse mon visage en avant pour l’embrasser. Il la retire instantanément. Je n’embrasse que le vide.
— Pas de ça avec moi, Madame, et il poursuit.— Cambrez-vous !
Je ramène mes genoux sous moi, je pose ma joue sur le sol. J’attends. Pourvu qu’il en finisse, je suis à bout.Un sifflement, j’ai l’impression que mon cul est coupé en deux. Je sursaute, et je m’étale à plat ventre. Je chouine, je sens un filet humide qui coule de mon sexe, et qui souille mon ventre et mes cuisses. Je pleure.

On me détache, on me porte, et on me fait glisser dans une baignoire remplie au ras bord. On immerge ma tête sous l’eau chaude. Je me laisse aller, laissant ma respiration filer entre mes lèvres. Je suis en apesanteur. On me remonte à l’air libre. Des mains féminines me savonnent toute entière. Elles se faufilent partout, ne se gênant pas pour s’insinuer dans tous mes orifices. Elles tripotent mes mamelles de mature. Mes tétons se gonflent de bonheur, j’écarte mes cuisses, un index masse mon clitoris déjà gorgé de sang. Un autre doigt pénètre mon anus qui s’ouvre complaisamment. Je suis aux anges
— Mesdames, on arrête de jouer. Il faut rendre cette pauvre petite chose à son seigneur, et maitre.
On m’étend sur une table de massage. Hélène, Mel, Anne-So se jettent sur moi. Elles m’enduisent de pommade vulnéraire, me massent, et me tripotent pour faire pénétrer l’onguent dans ma pauvre chair meurtrie. Mon maitre m’emballe dans une sorte de couverture ou de grand plaid doublé d’une épaisse fausse fourrure. Quelle douceur sur ma peau à vif. Mon seigneur, et un autre costaud, peut-être Pierre, me soulèvent et me dépose dans une voiture.Je m’endors sur le siège du passager.
Je ne sais pas comment, je me retrouve allongée dans mon lit. Monsieur me débarrasse de mon manteau. Il rabat la couette sur mon pauvre corps malmené. Il se penche pour poser un baiser de cousin sur ma joue. Quand il se relève, j’attrape sa main, et je le retiens tout près de moi. Je lui murmure.
— S’il vous plait restez avec moi cette nuit.— Anne, vous savez que c’est contraire à nos conventions !
Les larmes me montent aux yeux, je lâche avec une voix de petite fille.
— Vous n’êtes pas gentil!
Je regrette immédiatement cette sottise. Monsieur se redresse, il reste silencieux. Puis il tire sa chemise de sa ceinture, elle vole avec son tee-shirt. Il fait tomber son pantalon et son boxer et s’en débarrasse. Il contourne le lit et se coule sous la couette.Je me recule et je colle mes fesses contre son ventre. Il passe son bras sous le mien et pose sa main sur mon petit bedon. Je la remonte sur mon sein. Il embrasse ma nuque. Il glisse son nez dans ma chevelure.
— J’adore la douceur de vos cheveux. Et ils sentent si bon.
Je souris aux anges, et je m’endors épuisée.

J’aime la douceur de la clarté du matin. C’est pourquoi, je laisse toujours mes volets entrebâillés.Cette lumière me réveille. Je tâte le lit derrière moi. Personne. Je me retourne, il est parti. Mais le creux dans l’oreiller, à la place de sa tête, me confirme que ce n’est pas un rêve. Monsieur a bien passé la nuit avec moi.
J’ai mal partout. Je marchote jusqu’à la salle de bains. La douche chaude fait un bien fou à mes chairs meurtries. Je me laisse aller sous la pluie presque brulante. Je me sens bien.Je sors nue, seulement coiffée d’un turban en serviette de bain sur les cheveux. Dans la chambre, je reconnais la masse noire du plaid qui a servi à m’envelopper hier soir. Je l’attrape et je le déplie. Surprise, ce n’est pas une couverture, mais un grand manteau en microfibre noire brillante. Il est brodé de motifs en fil noir mat, représentant des griffons, et d’autres animaux fantastiques, qui n’apparaissent qu’en faisant varier l’orientation de la lumière. Tout l’intérieur est doublé de fausse fourrure noire. Je ne résiste pas, je l’enfile. J’y retrouve l’incroyable sensation de douceur que j’ai connue hier soir. Il se ferme par deux boutons dans la doublure, et une large ceinture. Il est doté d’un grand col qui me cache la gorge et remonte sous mon cou et sur ma nuque, jusqu’à mes oreilles. Je m’admire devant le miroir, quand mon estomac laisse échapper un petit couic. J’ai faim !
Je regarde par la fenêtre, il fait grand beau dehors. Soleil brillant, et ciel bleu, en plein hiver, ça veut dire froid intense. Je fouille dans mon dressing, Je me coiffe d’un bonnet avec un énorme pompon, Je chausse une paire de bottines, Je cherche dans ma table de nuit, et j’en sors ma plaque, je l’accroche à ma petite lèvre gauche. Et me voilà partie pour mon bistrot habituel.
Je m’assoie près de la baie, pour profiter de la chaleur à travers la vitre. Le serveur s’approche.
— Madame, je peux vous débarrasser de votre manteau?— Non, c’est gentil, je suis plutôt frileuse, fais-je à la limite du fou rire.— Vous prendrez quelque chose?— Oui un petit brunch.— Je reviens de suite.
Mon manteau glisse, dévoilant mon genou. Je le cache dans mon manteau, et je me pelotonne dans la douceur de la fausse fourrure, mais il se dénude à nouveau. Tant pis, et puis j’apprécie la fraicheur sur mes mollets.J’observe les passants. Qui parmi eux se doute que la quinqua qui déguste son chocolat, a le corps zébré des cicatrices ? Qui parmi eux peut imaginer mon bonheur de m’être ainsi livrée aux lanières de son seigneur. Et parmi ces passantes, ces bourgeoises, ces mamans à poussettes, combien ont connu le plaisir des lanières de leurs maitres
J’en suis là dans mes pensées quand mon téléphone vibre. Un message.
— Séance de pose avec Gabriel vendredi prochain quinze heures. On déjeune ensemble avant vers treize au ... Tout est arrangé avec votre patron.

Au fait, vous voulez peut être savoir si Monsieur m’a faite danser. Et bien voilà l’histoire.Monsieur a réservé une très jolie salle de réception à Chatou. Il reçoit toutes collaboratrices et ses collaborateurs avec un petit mot aimable. Quand je passe la porte, il m’accueille avec un grand sourire. Sourire qui s’illumine quand il me débarrasse de mon manteau.
— Vous êtes délicieuse, vous avez mis cette si jolie robe.— J’ai tenu parole. A vous de tenir votre promesse, et de me faire danser.— Promis, je vous inscris sur mon carnet de bal.
Le petit orchestre qui jouait pendant l’arrivée se tait, et monsieur monte sur la scène. Après le petit mot de bienvenue, il nous remercie de nos efforts, et nous félicite des bons résultats de la société, et il conclut sur l’annonce de la prime de fin d’année. Il descend de la scène, et lance.
— Musique.
Il se dirige vers moi, zigzaguant entre les invités, je lui tends une flute de champagne. Le groupe attaque un rock, je plante mon regard dans ses yeux.
— Vous me faites danser ?— Avec plaisir, me répond-il en saisissant ma maint.
C’est le troisième rock que nous enchainons, et je suis un peu essoufflée. Je loupe mon pas en virevoltant et je percute Monsieur, le cul d’abord. Je vais trébucher quand il me rattrape et me soutient par la taille. Je suis collée de dos contre lui. Je pousse discrètement mes fesses contre son ventre. Il murmure dans mon oreille.
— Je pense que tout le monde a vu que vous portiez des bas.— Et en plus, je n’ai pas mis de culotte.— Vous êtes une coquine Anne-Charlotte.— Oui, et je mérite une bonne punition.— Oui, et très sévère.— Chic....
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