Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 256 J'aime
  • 9 Commentaires

Anne-Laure déflorée par son Papa.

Chapitre unique

Inceste
Anne-Laure est une jeune fille bien sous tous rapports, aurait dit ma grand-mère. Bien élevée, polie, discrète, mûre pour son âge, elle fait la fierté de son père, Paul, qui l’a éduqué seul depuis de nombreuses années. Elle vient de décrocher le bac avec mention Très Bien, ce qui reste tout de même une référence, bien que ce diplôme soit aujourd’hui très largement offert aux meilleurs des cancres par pure démagogie. Pour des raisons restées obscures, la mère d’Anne-Laure a quitté le domicile conjugal un beau matin pour ne jamais y revenir, ce que les commérages dans le village ont aussitôt transformé en « aventure avec un autre homme ».
Anne-Laure n’est pas ce qu’on pourrait appeler une bombe sexuelle: grande, mince, longiligne, de petits seins, des fesses en rapport, de longs cheveux châtains qui lui couvrent une partie du dos, un visage agréable sans maquillage, mais elle dégage une sorte de sérénité lumineuse qui fait que de nombreux camarades en sont tombés amoureux et ont essayé de la draguer sans aucun succès d’ailleurs ; Anne-Laure est timide, réservée, lointaine pourraient dire les prétendants éconduits, ce qui l’a amené vers une solitude qu’elle assume contre vents et marées. La vie d’Anne-Laure pourrait se résumer en ces quelques mots : son père, ses études, sa maison, sa campagne.
Son père Paul, 45 ans, est ébéniste, ébéniste à l’ancienne, dont la réputation dépasse largement les limites du département. Bel homme, sportif, ce ne sont pas les occasions qui ont manqué depuis le départ de sa femme de refaire sa vie, comme l’on dit, mais lui aussi a préféré renoncer pour ne pas déstabiliser sa fille ; on lui prête une liaison régulière avec Véronique, la Maire du village, veuve, ce qui est vrai.
Petit à petit Anne-Laure devient une jeune femme, les relations avec son père évoluent vers des liens plus sensuels. Elle le trouve très séduisant, et ne se cache pas qu’elle aimerait avoir avec lui des rapports plus sexy et n’hésite pas, lorsqu’ils se croisent à l’effleurer, effleurements qui se transforment assez rapidement en frottements ; les bisous du matin et du soir se font plus appuyés, plus gourmands, les corps en profitent pour se toucher au plus près ; le soir dans son lit elle se caresse le corps en imaginant que ce sont les mains de son père qui la touchent et que ce sont ses doigts qui s’activent sur son clitoris et les lèvres de sa chatte encore vierge.
Elle sait parfaitement que la société condamne ce type de relation, mais elle estime que cette société n’a pas à fourrer son nez dans cette affaire si elle reste discrète et entre adultes ; dans un geste chevaleresque et un rien provocateur elle se voit bien offrir son corps à ce père chéri à qui elle doit tout, au nez et à la barbe de ladite société.
De son côté Paul a remarqué l’évolution du corps de sa fille qu’il trouve attirant même s’il n’a pas les formes avantageuses de celui de Véronique, Madame la Maire ; et le soir, sans savoir que de son côté Anne-Laure s’adonne au même jeu sexuel, il fait comme elle, se masturbe devant une de ses photo en maillot de bain 2 pièces en pensant que ce pourraient bien être ses petites mains qui astiquent sa bite.
Les petits attouchements entre l’un et l’autre se font plus fréquents, les regards sont plus profonds et plus longs, le soir devant la télé les corps se frôlent, les genoux se touchent, les mains se rapprochent. Emus, ni l’un ni l’autre n’ose faire le geste qui ferait tout basculer, alors qu’ils en meurent d’envie.
C’est l’été, il est tard et ils dinent sur la terrasse de la maison ; il y a clair de lune et l’on aperçoit en contre-bas les lumières blafardes du village paisible. Le repas terminé, ils s’installent sur la balancelle, silencieux, regardent les reliefs ombrés du satellite qui les éclaire ; Anne-Laure porte une jupe courte qui laisse ses cuisses découvertes et offertes ; elle sent tout à coup la main rugueuse de l’artisan se poser délicatement sur une de ses cuisse juvénile et lisse; un léger geste de recul qui voudrait marquer la surprise alors qu’elle n’attendait que cela et elle savoure les bienfaits et la chaleur que cette main diffuse dans son corps à la merci de l’homme, pour la première fois. Elle ne sait si elle doit poser sur son père un regard comblé, reconnaissant ; alors que la main s’aventure un peu plus vers sa petite culotte elle pose sa tête sur l’épaule rassurante de son géniteur, comme pour acquiescer et offrir ce corps à la tempête qui se profile à l’horizon.
Sa petite main se pose sur celle de son père et dans un geste qu’elle aurait cru impossible l’invite à toucher sa chatte en émoi au travers du tissu léger, rempart bien fragile face à la main conquérante. Une petite larme strie sa joue malgré un sourire épanoui ; Paul tout aussi perturbé qu’Anne-Laure, se demande s’il lui est permis d’aller plus loin dans cette conquête qu’il souhaite aussi depuis longtemps ; la réalité lui paraît encombrée d’ obstacles imprévus, alors que les rêves les franchissent allègrement ; mais il sent sa fille vibrer sous ses caresses, sa main se fait plus audacieuse, écarte le bord de la culotte et ses doigts atteignent enfin le saint des saints, le graal, la chatte déjà humide et offerte de sa fille bien aimée.
Dans un souffle Anne-Laure lui dit à l’oreille :
— Papa, j’en rêve depuis si longtemps, prends-moi dans tes bras et emmène-moi dans ma chambre.
Paul soulève sa fille et l’emporte vers sa chambre, en chemin elle lui dépose quelques baisers dans le cou, il l’allonge doucement sur le lit et entreprend de la déshabiller ; T-shirt, jupe et petite culotte sont enlevés prestement et à la lueur de la lampe de chevet Paul peut admirer ce corps offert encore innocent, du moins le suppose-t-il, des petits seins fermes dont les tétons pointent attisés par le désir, son ventre plat, un pubis chargé d’une légère toison brune, et de longues jambes.
Il se penche et le couvre de chauds baisers des lèvres jusqu’aux pieds ; il se relève, l’attire vers lui en la redressant, et assise elle approche sa main tremblante de la braguette de son père, elle aperçoit face à elle l’excroissance crée par son érection, pose une joue sur sa bite au travers du tissu en jean et se frotte contre, un long moment ; elle de desserre la ceinture du pantalon qui glisse au sol, le slip déformé cache le pieu paternel, elle le fait descendre doucement et la bite tendue apparaît tel un ressort juste devant sa bouche. En dehors du porno sur internet, c’est la première fois qu’elle voit une vraie bite en érection ; elle la trouve relativement longue, mais surtout très épaisse, le gland écarlate semble lui réclamer sa bouche, une perle de liquide pré-séminal pointe déjà à la sortie de l’orifice ; elle hésite, elle perçoit une odeur acidulée ou d’urine pas désagréable, ferme les yeux, ouvre la bouche et y enfonce la bite au grand bonheur de son père.

Elle ne sait trop comment s’y prendre et Paul l’aide en faisant aller et venir sa queue dans ce four chaud et salivant; elle prend goût à ce gros gourdin de chair et c‘est elle maintenant qui l’enfonce jusqu’au fond de sa gorge ; elle branle le morceau qui reste hors de sa bouche et de l’autre main elle ballotte entre ses doigts la paire de couilles lourdes et pendantes. Elle pense que sa chatte qui n‘a jamais connu que ses doigts va être surprise tout à l’heure quand cette pine va se trouver devant elle.
Son père excité par la fellation d’Anne-Laure la repousse et l’allonge à nouveau, il écarte ses cuisses et se penche vers sa touffe de poils qu’il écarte ; il aperçoit l’entrée de sa grotte entre ouverte, les grandes lèvres charnues et boursoufflées à la peau brune, le clitoris caché sous sa gaine et les chairs rosées et brillantes du cœur de la fleur, ce bijou noir et rose qu’évoquait Baudelaire. Sa langue tendue parcourt avec bonheur le chemin bien trempé entre l’anus et le clitoris et retour; Anne-Laure soulève machinalement ses fesses pour lui offrir un accès plus facile ; cette langue la transporte déjà vers des délices sexuels inconnus, soulignés par des gémissements à peine audibles, son visage se crispe, son corps sursaute, ses yeux se révulsent, son père l’entend dire qu’il va la faire jouir et enhardi continue de plus belle.
Ses mains et ses cuisses lui bloquent la tête, puis elle se relâche, le souffle court, le corps alangui et Paul vient l’embrasser pour lui faire goûter les effluves de cyprine qu’elle connait bien.
— Dis-moi, ma chérie, tu es vierge ?— Oui papa ! Je veux que ce soit toi qui me déflores et personne d’autre ! — Tu en es bien certaine ?— Oui, s’il te plait, vas-y maintenant, j’en meurs d’envie !
Joignant le geste à la parole elle prend sa bite d’une main ferme et présente le gland devant l’ouverture béante et impatiente. D’un geste doux mais assuré le gland de la bite perfore l’hymen de sa fille, leurs yeux se croisent, ceux de Paul interrogatifs, ceux d’Anne-Laure reconnaissants, alors que son visage se crispe lorsque la pine de son père pénètre sa chatte jusqu’aux couilles. Il ne bouge plus pendant un temps, sa queue se contracte puis se relâche à plusieurs reprises au fond du vagin, que sa fille ressent comme l’accomplissement de la conquête.
Paul baise sa fille ! Anne-Laure se pâme sous les dizaines de coups de boutoir qu’elle accueille comme une délivrance ; quand son père se retire, elle voit la giclée de sperme se répandre sur son ventre, elle remarque la queue se rétracter doucement, une trainée de sang sur le prépuce.
Paul s’allonge aux côtés de sa fille sur le lit étroit, les yeux au plafond, il s’interroge sur les conséquences de ce qui vient de se passer, sur sa culpabilité, ses remords ; Anne-Laure lui prend la main, pose sa tête sur son torse puissant et ses réflexions s’évanouissent aussitôt.
Paul et Anne-Laure se sont endormis, mais au milieu de la nuit il est allé dans sa chambre, le lit étant vraiment trop étroit. Tôt le lendemain matin Anne-Laure est occupée à préparer le petit déjeuner lorsque son père descend.
Face à l’évier, elle sent son père se plaquer contre elle, sa bite en érection se placer entre la raie de ses fesses, il lui embrasse le cou, une main se glisse sous sa nuisette et s’empare de sa chatte et branle son clitoris avec vigueur ; elle ne peut attendre, se cambre et d’un geste assuré récupère cette grosse pine et l’enfonce dans son vagin d’un geste résolu ; accrochée au rebord de l’évier elle subit maintenant les assauts de son papa, le souffle court, la bouche ouverte cherchant l’air ; c’est bien meilleur qu’hier soir, sa chatte laisse pénétrer la pine sans douleur, cyprine et liquide pré-séminal mélangés la font coulisser au bonheur des deux amants ; ses chairs intimes s’imprègnent de chaque passage du gourdin, Anne-Laure pousse un grand râle bestial, son premier véritable orgasme provoqué par une bite la tétanise ; à l’entendre son père s’active encore plus vite et décharge son sperme en haut de la raie des fesses ; celui-ci dégouline lentement le long de son anus et de son vagin, liquide élastique qui rechigne à rejoindre le sol.
Paul prend un torchon, essuie l’arrière train de sa maitresse et fille avec application. Le couple s’étreint un long moment et prend ensuite le petit déjeuner.L’un et l’autre sont muets, le silence est pesant ; pour détendre l’atmosphère, Anne-Laure pose une main sur celle de son père et lui demande si tout va bien !
— Bien sûr ma chérie, tout va bien, je me pose quelques questions, c’est tout.
Cette jeune fille devenue femme la nuit dernière veut montrer qu’elle est pleinement décidée à jouer ce rôle devant son père :
— Papa, ne t’inquiètes pas, nous continuerons à vivre comme avant, l’essentiel est que devant tes clients ou nos connaissances nous restions sans équivoque possible ce que nous étions avant.— Il n’y a pas que ça, Anne, tu connais ma relation avec Véronique, je ne me sens plus de continuer avec elle.— C’est une grosse erreur papa, tu dois continuer à la fréquenter comme avant, sinon les mauvaises langues ne vont pas manquer de se poser des questions et d’en tirer des conclusions oiseuses. Je ne serai pas jalouse, c’est promis !— Tu me dis tout ça avec un aplomb et un calme qui me touchent.
Elle se lève, s’approche de lui et lui dépose un long baiser sur les lèvres :
— Allez papa, au boulot, moi j’ai le ménage qui m’attend !

,
Diffuse en direct !
Regarder son live