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Anne et la Sodomie

Chapitre 1

Sodomie serrée

Hétéro
En rentrant tard un vendredi soir après ma semaine de travail et alors que les enfants sont couchés, on monte dans notre lit faire l’amour. On commence par un 69, Anne est allongée sur moi, très appliquée à me sucer la bite. Elle a les fesses et sa chatte dans ma figure, je lui lèche le clito en introduisant mes doigts. J’ai une vue parfaite sur son trou du cul. Il est superbe, bien épilé, il a l’air délicieux ; j’y mettrai volontiers ma langue, mais Anne trouve ça sale. Je le caresse avec l’index, ce qui ne tarde pas à la faire jouir. Sur l’oreiller, encore tout excité par cette œuvre d’art, je lui dis qu’il faudra considérer une sodomie dans un avenir très proche.
Le lendemain, Anne m’a fait un appel du pied en me disant en quelque sorte que c’est quand je veux. Le soir, nous nous retrouvons seuls en amoureux. On rentre de promenade et Anne va se prélasser dans un bain chaud. Elle y prend bien son temps... Je la retrouve dans notre lit, nue sous la couette et je vais m’allonger à côté d’elle et m’applique à lui manger les seins. Elle commence à chauffer. Je passe mes mains sur ses fesses et la caresse généreusement, elle est allongée sur le flanc, face à moi et écarte de plus en plus ses jambes. Une de mes mains descend vers sa chatte déjà bien humide, je caresse son clitoris avec mon majeur que je rentre petit à petit au fond de sa fente accueillante, elle m’embrasse langoureusement. Tout en continuant à la doigter, mon index s’approche de son trou du cul. Je le caresse doucement, mais avec fermeté, il est très serré et je sens que ça va être le pied. Je bande à mort. Il va falloir détendre tout cela : je sors mon majeur lubrifié de sa chatte et le pose sur son anus, je commence à appuyer et rentre en même temps mon pouce dans sa chatte, les deux doigts se rencontrent à l’intérieur, mais que ce cul est serré, le majeur rentre à peine.
Anne se redresse, me passe au-dessus et attrape le tube de gel dans le tiroir de la table de chevet. Elle en prend une petite noisette qu’elle me met sur le sexe tout dur, elle étale, caresse ma verge. Je l’incite à se mettre en amazone : je voudrais bien voir sa tête quand elle va se la prendre par le cul, mais Anne me dit qu’elle n’aime pas trop comme ça et préfère que je la prenne par derrière. Elle s’allonge sur le ventre, je me place derrière elle et approche mon gland de son petit trou. Je caresse son anus avec ma bite pour trouver le chemin puis applique une bonne pression, Anne guide mon sexe avec sa main droite et je continue à pousser doucement. Mon gland est parfaitement à l’entrée de son cul, mais c’est très serré, cela rentre à peine. En continuant à pousser doucement, millimètre par millimètre, je la pénètre, un délice. Quand tout le gland est passé, je sens son anus qui se resserre. Anne ne dit rien, souvent quand je la prends par le cul, elle fait un râle, lâche un soupir voire un petit cri retenu et je sais alors qu’on y est, mais là rien, pas de gémissement. J’attends un moment sans trop bouger pour qu’elle se détende, puis je recommence à pousser pour gagner un peu de profondeur. Je me relève un peu pour voir l’ensemble de la scène : ma femme est magnifique, entièrement dédiée à ma bite plantée dans son cul, elle se donne entièrement à mon plaisir. Je lui caresse le dos et les fesses tout en faisant aller et venir ma bite dans son anus sur un ou deux centimètres de profondeur seulement. Son cul ne se desserre pas. Tant mieux. Alors je la baise, son cul est à moi, je le prends. Pour amener ma bite au fond, il faudrait plus de lubrifiant, mais je ne veux rien interrompre. J’ai le gland tellement gonflé que je prends mon pied à lui limer l’entrée et je continue. Pas plus de cinq ou six centimètres maintenant rentrés dans ses fesses, mais c’est parfait : elle se masturbe de la main droite pendant que je l’encule. J’essaie de l’embrasser, mais elle est trop absorbée par sa sodomie, si elle focalise sur son plaisir alors je vais focaliser sur le mien et m’assurer de lui refaire le cul comme le mérite ma petite femme. Je passe ma main droite sous ses seins que je masse tandis que mon gland mène la danse dans ses fesses. Je me concentre sur ma bite pour bien enregistrer les délicieuses sensations.
D’habitude, je l’encule plus profond, mais là, c’est illusoire et surtout inutile tellement je prends mon pied. Je la baise encore et encore. Je me rends compte qu’elle a joui, car elle ne se masse plus le clito, j’approche une main de sa chatte, mais elle la repousse. Surtout, ses gémissements ont changé : elle commence à subir. J’aime toujours ce moment où la sodomie lui fait un peu mal, mais où il est hors de question que cela s’arrête et puis c’est bien qu’elle se soumette un peu. Cela veut aussi dire qu’il va falloir que je jouisse, je ne peux pas faire durer ça éternellement (sauf si elle le mérite, mais pas le cas ici. A fortiori, si je la sodomise trop, elle a mal au cul plusieurs jours après coup et c’est laborieux pour y revenir). Lui jouir dans le cul sera un jeu d’enfant, je gonfle mon gland et le fais bien frotter sur l’entrée du trou du cul toujours aussi serré, de temps en temps, je pousse fort, ça ne rentre pas beaucoup plus profond, mais Anne gémit. J’adore. Je sens mes couilles qui se tendent, mon gland est aux anges. Une des meilleures sodomies depuis longtemps. J’ajuste la profondeur, car je veux jouir près de l’entrée (peut-être fera-t-elle un prout de sperme au retrait si le jus n’est pas trop profond et je rêve de voir ça, dans tous les cas, elle aura moins de mal à faire sortir la semence). Ça monte, je focalise bien sûr la rondelle en train de se faire défoncer, je pousse quelques dernières fois et dans un grand râle, je jouis dans son cul en continuant à aller et venir. Encore quelques poussées pour m’assurer qu’elle ait bien la sensation du sperme dans le cul (Anne trouve humiliant pour une femme d’avoir du sperme dans l’anus et c’est un honneur de l’humilier de la sorte). Mon orgasme est long et je prends mon temps avant de ressortir ma bite.
Délicatement, je me retire, elle fait un petit souffle bref quand ma bite sort de son cul. Pas sperme qui s’échappe, elle a clairement serré le cul au moment où le gland est ressorti. Petite coquine qui soi-disant n’aime pas se faire enculer, mais qui a pris son pied et qui se retrouve allongée avec l’anus en fleur et deux bonnes cuillères à soupe de sperme dedans. On reste ensemble une dizaine de minutes et comme à l’habitude, Anne part aux toilettes pour « sortir le sperme de son anus ». Mon concert préféré va commencer. Au début, il ne se passe rien puis un premier pet, surtout du jus en fait. Très long, le sperme était effectivement bien à l’entrée. Puis un deuxième, plus caverneux cette fois, mais il reste encore du sperme. Ça ne s’arrête pas, elle reste sur les toilettes au moins 5 minutes pour tout sortir. Elle me raconte plein de trucs sans rapport tandis qu’elle se purge le cul. Elle n’a pas l’air humiliée. Je la retrouve plus tard dans le salon et en descendant les escaliers, elle écarte les jambes en se touchant les fesses en me disant ça m’a quand même bien fait mal au cul ». On a passé une très belle soirée où je n’ai cessé de me dire qu’elle est encore plus belle quand elle est fraichement sodomisée.
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