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Anne-Sophie, libertinage en province.

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Anne-Sophie retrouve son époux après avoir fait l’amour toute l’après-midi avec son amant. C’est un homme de 66 ans avec lequel elle pratique le libertinage. Dans leur hôtel particulier des bords de Saône de cette ville de province, ils organisent depuis de nombreuses années de discrètes, mais très prisées soirées libertines à thème. Son époux est un bel homme dont on remarque au premier regard qu’il s’entretient par une activité physique. Type italien, 1,80m, il fait encore régulièrement l’amour à son épouse, tout en sachant pertinemment son activité sexuelle extra-conjugale. Il a décidé de la punir pour son comportement. De son côté, Anne Sophie ignore complètement que son époux est informé de ses turpitudes.
Plusieurs couples sont invités à participer à ces soirées tous les trimestres. Les participants sont tous des notables, amateurs de bons vins, de bonne chère, de havanes et surtout de jeux sexuels toujours plus extrêmes. Cette soirée du dernier trimestre juste avant Noël est dédiée à l’échangisme et à la soumission. Le dîner est organisé dans la grande salle de réception de l’hôtel particulier. Les messieurs sont en smoking, les dames en robe du soir. Bas et porte-jarretelles obligatoires. La pilosité des sexes doit être entretenue pour les hommes et les femmes. Les couples sont des seniors qui ont entre 50 et 70 ans. Les jeux commencent dès l’apéritif.
Apéritif...Un beau mâle est exhibé. C’est un homme d’une cinquantaine d’années que le maître des lieux a recruté pour lancer, pimenter et assurer la soirée. Il est torse nu, rejoint par une jolie métisse, qu’on devine nue sous sa nuisette. Le couple doit faire l’amour devant les convives. La métisse, la quarantaine, descend le boxer de l’homme, laissant apparaître une verge au repos d’une taille impressionnante. Elle prend le membre en bouche et commence une fellation. L’homme la caresse longuement en lui massant le sexe avec deux doigts, lorsqu’elle atteint les prémices du plaisir, il la pénètre en levrette et la besogne pendant un moment qui paraît interminable. Les invités sont subjugués par l’endurance de ce mâle. Une des dames, la cinquantaine, physique de matrone, murmure au maître des lieux. « Celui-là, je le veux pour moi plus tard. » L’homme éjacule sur les fesses de la métisse qui jouit bruyamment. Ils quittent la salle sous les applaudissements.
Dîner...Puis on passe à table. Au milieu du dîner, les dames sont honorées par ces messieurs, qui se sont faufilés sous la table : elles reçoivent un cunnilingus. Leurs visages se déforment progressivement sous le plaisir procuré par les langues de leurs mâles. L’une d’elles jouit convulsivement en se cramponnant à la table. Une autre a remonté ses jambes sur sa chaise cuisses écartées, l’homme lui lape l’entrecuisse avec ardeur, s’interrompant lorsque sa cyprine jaillit par petits jets.
Dessert...Le dessert donne lieu à une nouvelle exhibition. Deux dames sont tirées au sort pour exécuter une scène de sexe lesbien. C’est la maîtresse de maison Anne Sophie (65 ans) qui est retenue. Sa partenaire sera Marie Chantal (54 ans) l’épouse d’un industriel. C’est une petite femme toute menue. Elles font tomber leurs robes du soir et se retrouvent en soutien-gorge, bas et porte-jarretelles. La petite dame n’a plus son slip, perdu lors de la séance de cunnilingus. Sa toison est encore toute luisante de cyprine. Elles se mettent en 69 et se lèchent la chatte et la raie jusqu’à se procurer mutuellement un orgasme libérateur.
Fumoir...Vient ensuite le cérémonial du fumoir. Les amateurs (et amatrices) de havanes se retrouvent dans cet endroit au confort particulièrement apprécié, car climatisé et ventilé en permanence. Un Monsieur et une dame sont tirés au sort pour administrer cunnilingus et fellations.
Une des femmes, la matrone, corona aux lèvres, se fait lécher par derrière sur un canapé. L’homme lui glisse la langue dans la raie de son gros fessier et lui dévore la chatte. A chaque passage sur l’anus, la grosse pousse un cri de plaisir. Elle jouira bientôt intensément, inondant le canapé de cyprine, ce qui lui vaudra d’être inscrite sur la liste des punitions. Une autre, sexagénaire longiligne, d’une grande maigreur, look tête rasée, de longues jambes, de tout petits seins avec des tétons pointus sur de larges aréoles, nue à l’exception de son seul porte-jarretelles et ses bas noirs fume un gros Churchill. Elle est assise, jambes écartées, attendant son tour. Sa pilosité est très fournie du pubis à la vulve. Le préposé au léchage vient lui prendre son cigare, se couche sur le canapé. Elle l’enjambe pour présenter sa chatte poilue sur son visage.
Elle ondulera longuement sur sa bouche en s’agrippant sur le rebord du canapé jusqu’à éclater dans un orgasme foudroyant lorsqu’il lui passera la langue dans la raie.
Un des fumeurs se masturbe en matant la scène. Anne Sophie lui nettoie la verge en lui aspirant le gland.L’atmosphère devient électrique, le petit groupe du fumoir a hâte de passer aux choses plus sérieuses, l’orgie échangiste finale, mais le maître leur propose une « pause cinéma ».

Cinéma...Une vidéo est lancée par le maître de maison sur un grand écran de TV. On y voit, Anne Sophie la maîtresse de maison se faire besogner en missionnaire. Anne Sophie devient rouge de confusion, elle reconnaît son amant kabyle.
— J’ai voulu montrer ta faute, dit son époux. Et tu vas être punie devant tout le monde, tu as baisé avec cet étalon sans mon autorisation. J’ai une surprise pour toi, ton amant va participer à ta punition.
Le kabyle aux yeux clairs, 1m90, très musclé entre effectivement dans la salle. Il est entièrement nu. Les dames présentes ne peuvent retenir un murmure d’admiration devant la prestance et la force dégagées par ce mâle. L’époux énonce l’humiliation de son épouse : masturbation publique sur gode, puis 25 coups appliqués à la badine de noisetier sur les cuisses et les fesses. Originalité, le kabyle tiendra la badine et sera fouetté après sa maîtresse.
L’épouse est contrainte de s’asseoir sur un long gode noir, très réalistement veiné à la hampe avec un gland proéminent. Elle positionne sa vulve au-dessus du gode et descend d’un mouvement presque brutal. Puis elle commence une série de va-et-vient. Cette séquence dure quelque 10 minutes. Elle est ensuite mise sur table, en porte-jarretelles jambes écartées et levées vers le plafond, chatte et anus exposés. Son amant lui administre dix coups sur les cuisses, puis elle est retournée et fouettée sur les fesses. La cyprine coule le long de ses cuisses. En fait, elle est très excitée par le fouet à la badine.C’est ensuite au kabyle de subir le fouet. 30 coups sur les fesses administrés par une femme de l’assistance qu’il devra ensuite honorer à sa guise. Il bande au bout de 10 coups. La matrone se propose de le branler. Refus du maître des lieux. Les deux amants sont ensuite attachés à un pilori et exposés nus. L’épouse fautive sera sollicitée plusieurs fois par les messieurs pour des fellations. Le kabyle sera branlé par ces dames jusqu’à ce qu’il n’ait plus ni érection ni sperme. Le mari assiste avec à ces humiliations avec délectation. Les deux amants ont finalement l’autorisation de participer à la dernière séquence de la soirée, l’orgie finale.
Orgie...L’orgie finale est une partouze générale. Le couple de l’apéritif y est associé. La métisse doit suppléer les dames fatiguées, l’homme très endurant, à la débandade des messieurs. La matrone l’accapare immédiatement, en le tenant par le pénis. Avec ses seins lourds et son gros fessier, elle est malgré tout très désirable, mise en valeur en bas et porte-jarretelles rouges. Elle descend son slip et arbore son abondante pilosité pubienne. L’homme lui met la main et la masturbe. Il la positionne en levrette sur le canapé, lui passe la langue dans le sillon culier tout en continuant à lui masser la chatte. Son fessier est ainsi exposé aux yeux de tous. Une dame toute menue s’approche de l’homme et lui lèche les testicules. Un autre passe derrière le canapé et introduit sa verge dans la bouche de la matrone. Sur une chaise, le maître des lieux se fait faire une cravate de notaire par une autre invitée.L’épouse du maître des lieux chevauche un vieux Monsieur dont le chibre va-et-vient entre ses cuisses écartées. Elle halète de jouissance et se contorsionne sur cette tige dressée luisante de mouille.
La pièce a un parfum de luxure, sons et senteurs, mêlée de sperme, cris de plaisirs, de mâle en rut et de femelles en chaleur. Un couple baise en missionnaire, une dame se masturbe au vibromasseur dans un fauteuil Voltaire cuisses écartées, sexe béant, en regardant un gros Monsieur qui se masturbe. Deux dames en porte-jarretelles se dévorent la chatte et l’anus en 69. Celle du dessus est pénétrée par l’homme de l’apéritif.
Sa grosse bite entre et sort de ses fesses, lorsqu’il marque un temps d’arrêt, la dame du dessous lui pompe le gland.....La soirée se poursuit, dans une atmosphère emplie de bruits de mouilles de coïts, de léchages, des gémissements, de la sueur, du sperme qui couvrent les cris rauques du kabyle durement fouetté au fond de la salle par la grosse matrone. Au bout du dixième coup, il rebande comme un taureau, elle le soulage en lui mettant un plug dans l’anus et en le masturbant. Il la prend ensuite par-derrière pendant qu’elle suce le maître de maison. Ces échanges durent pendant presque 2 heures. Les mâles à l’exception du kabyle sont tous sous médicaments érectiles.La séance touche à sa fin lorsque tous les mâles présents jouissent à sec. La dernière punition est infligée à la matrone. Elle doit être fouettée pour avoir inondé le canapé du fumoir de sa cyprine.
Epilogue...L’homme de l’apéritif l’a fait mettre à quatre pattes, bien cambrée, sur une table placée dans l’entrée de l’hôtel dans le vestiaire. La même où les invités vont défiler pour saluer le maître de maison et pourront savourer le spectacle de ses seins lourds qui pendent sur la table, de sa généreuse pilosité vaginale et anale. Elle est toujours en porte-jarretelles. L’homme lui a lubrifié l’anus avec un gel et lui a introduit un plug anal.
Son époux a glissé une liasse de billets au kabyle pour qu’il lui inflige une cuisante correction. Elle doit recevoir 15 coups de badine. Mais les cinq derniers coups sont commués en fellation qu’elle administrera au maître de maison. Elle lui suce la verge pendant que chaque invité prend congé. Lorsque tous les invités sont partis, elle est prise en double par l’anus et la chatte par le maître et le kabyle. Anne-Sophie assiste à cette scène finale en se masturbant et finit par jouir en lâchant un jet de cyprine. Les deux hommes se libèrent en giclant leurs dernières gouttes de semence sur les cuisses inondées de mouille de la matrone terrassée par un dernier orgasme...
A suivre...
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