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Anne-Sophie, libertinage en province.

Chapitre 2

Scénettes libertines chez Anne-Sophie

Orgie / Partouze
Scénette libertine chez Anne-Sophie...Anne-Sophie parcourt le long couloir sombre à l’étage de son immense hôtel particulier. L’étage comporte une dizaine de chambres. Ses invités libertins s’isolent, en couple ou à plusieurs, pour y pratiquer leurs jeux. Privilège de la maîtresse de maison, elle peut à loisir assister à leurs jeux, y participer seule ou accompagnée, distribuer des gages ou des punitions. Il en va de même pour son époux. Les chambres ont des noms inspirés de la littérature ou du cinéma érotique. Elle ouvre la porte de la chambre "Les onze mille verges".
Dan, le grand fauteuil Voltaire une Dame de forte corpulence, nue à l’exception de ses bas couleur chair, se tient à genoux, ses mains cramponnées aux accoudoirs, exposant sa vulve sur la bouche d’un monsieur de petite taille, maigre et frêle, lui aussi à genoux devant elle, qui lui travaille le sexe avec sa langue, sa tête va et vient de bas en haut. Lorsqu’il interrompt son mouvement, c’est pour mieux aspirer son clitoris. La Dame a une forte poitrine, ses seins sont dressés, ses tétons pointent et luisent sous les spots, signe qu’elle a été préalablement stimulée à la langue ou au gel excitant. Le Monsieur a les mains liées dans le dos. Les zébrures rouges sur ses cuisses et ses fesses montrent qu’il a été fouetté. C’est la Dame qui lui a infligé des coups de badine avant de lui intimer l’ordre de la sucer jusqu’à l’orgasme. Le Monsieur sait que s’il n’arrive pas à la faire jouir, il sera châtié, cette fois en public. La forte Dame semble y prendre du plaisir.
Elle se contorsionne sur sa bouche, suspend son halètement en poussant un long cri rauque lorsque le petit homme s’attarde sur son clito.
Sa toison pubienne est très dense, s’étend du nombril jusqu’à la vulve dans un grand triangle de poils très noirs luisant de cyprine. Le Monsieur a la bouche dans la mouille, ses joues sont trempées. C’est un petit mâle bien membré. Sa verge est courte, mais grosse, disproportionnée par rapport à sa taille avec un gland très épais. Elle est bandée, son gland est injecté de sang, ce qui lui donne une couleur très violacée. Ses testicules sont encore bleutés par les coups de badine.
La fine badine de bambou est restée posée sur une table à portée de main... Anne-Sophie assiste à cette scène émoustillante qui se prolonge pendant une bonne dizaine de minutes. La Dame a maintenant le visage déformé par la jouissance, de la cyprine jaillit, elle pousse un grand cri, le monsieur a réussi à la faire jouir. La menace de la badine s’éloigne... Il se relève, épuisé, le visage inondé de mouilles. Ses poignets sont toujours entravés, il continue à bander.
La Dame le fait maintenant accroupir en position de levrette sur le fauteuil, la croupe bien exposée. Elle se met à genoux et lui lèche le scrotum, puis remonte vers sa raie en lui passant la langue sur l’anus, le petit homme pousse de forts gémissements, la Dame le masturbe en massant son gland avec deux doigts humidifiés de sa cyprine. Elle le fait se relever, s’assoit dans le fauteuil et entreprend de le sucer jusqu’à la garde. Le petit mâle se tient debout, fesses rougies, bite tendue, mains liées dans le dos prêt à recevoir la fellation.
Anne-Sophie n’y tenant plus, approche du couple. Elle enlève sa robe, elle est nue en porte-jarretelles et entame une masturbation debout. La grosse Dame arrête sa fellation et s’adressant au mâle :
— Je vous détache, bouffez-lui le cul.
Le Monsieur se relève, Anne-Sophie se penche sur la table, fessier offert, jambes écartées, anus et vulve bien en vue, le monsieur s’accroupit, met sa tête dans sa raie pour lui administrer un anulingus pendant que la grosse, maintenant assise dans le fauteuil, a relevé ses jambes et écarté ses cuisses pour se masturber.
Anne-Sophie gémit lorsque la langue passe sur son anus et fouille sa chatte.La cyprine coule le long de ses cuisses.
La grosse ordonne au Monsieur,
— Maintenant, prenez-la dans cette position qu’on en finisse.
Le petit mâle doit monter sur un petit escabeau pour pouvoir positionner son gland, puis introduit sa verge d’un coup sec dans la chatte d’Anne-Sophie et la lime consciencieusement.
La grosse saisit la badine et lui assène un léger coup à chaque va-et-vient. Le Monsieur pousse un petit cri lorsque la badine tombe sur ses fesses. Anne-Sophie a un orgasme libérateur. Le petit mâle se retire et éjacule des jets de sperme. La grosse lui porte un coup de badine sur les bourses qui lui arrachent un petit cri.
— Vous serez fouetté pour avoir souillé le sol, lui dit-elle.

En pointant avec la badine les taches blanchâtres de semence sur la moquette. Anne-Sophie se retourne, le petit mâle est toujours debout sur son escabeau, elle pose ses lèvres sur le gland et lui nettoie un résidu de sperme.
— Merci Monsieur, vous m’avez vraiment bien fait jouir, je vous promets du réconfort après votre punition...
Anne-Sophie poursuit son inspection.Elle entre dans la chambre "Marquis de Sade"Elle y trouve son amant, le kabyle aux yeux clairs, entravé par des anneaux aux poignets reliés à des chaînes tendues au plafond, il est suspendu bras et jambes écartés sur un cadre en bois, ses pieds également enserrés dans des anneaux ne touchent plus le sol. Il est ainsi suspendu en extension, entièrement nu, bras et jambes écartés. Les chaînes étirent ses membres, son corps est bombé vers l’avant, nu, son gros sexe est en exposition. Son corps est entièrement épilé, y compris aux organes génitaux, sauf le pénis et les bourses.
Une petite dame toute menue, légèrement baissée et cambrée vers lui, lèche timidement le bout de son gland. Langue tirée, elle passe sur le frein, s’attarde sur le méat, un peu perdue devant ce grand mâle doté d’une verge et de testicules hors norme.
Une autre dame, matrone avec un gros fessier est agenouillée sous la petite dame et lui lèche la vulve. Elles sont entièrement nues. La préposée au cunnilingus a les fesses rougies, signe d’une récente punition au fouet.
La petite dame peine à prendre la longue queue entièrement en bouche. Elle lui salive les testicules. Il lâche quelques soupirs de plaisir. Anne-Sophie, émoustillée par le spectacle de son amant ainsi offert, décide de se joindre au trio. Elle s’approche du cadre en bois pour caresser le corps du kabyle, sur le torse, le sucer aux seins, passer sa main sur ses fesses rondes. Elle tourne autour de son étalon, admirant sa musculature puissante, son chibre turgescent, qu’elle s’enfile dans la chatte tous les quinze jours lors de séances de baise dans un petit hôtel discret. Là, il est complètement entravé, à la merci de la bouche maladroite de la petite dame qui est elle-même stimulée par la langue de la matrone, qui la travaille de la chatte à l’anus, l’empêchant de se concentrer efficacement sur la fellation.
Anne-Sophie choisit d’intervenir pour soulager le kabyle dont le gland épais et violacé est gonflé à bloc. Elle sait que son amant est très endurant à la fellation et connaît plusieurs techniques pour le faire conclure.
Elle se place derrière lui, palpe ses fesses, salive la paume de sa main pour masser son scrotum. Le kabyle réagit :
— Ah putain Maîtresse, c’est bon.
Elle ordonne à la petite dame :
— Gobez-lui fermement le gland et tournez autour avec la langue, salivez-le bien, et remontez le long de la hampe, je vais le terminer.
Le kabyle gémit de plus en plus :
— Oui Maîtresse, faites-moi juter.
Anne-Sophie se baisse, lui écarte les fesses et lui passe sa langue dans la raie, partie de son anatomie restée très poilue. La «feuille de rose» alterne avec un copieux léchage du scrotum. Le kabyle soupire «Oui, vous êtes bonne Maîtresse, faites-moi gicler, et je vous ferai l’amour toute la nuit». Combiné avec le traitement de son gland, il ne peut plus retenir très longtemps son éjaculation et ne tarde pas à jouir dans un cri rauque en se tordant sur le cadre de bois. Les chaînes se tendent, les fixations sont à la limite de la rupture. Son corps tressaille. De grosses giclées de semence jaillissent. La petite dame est aspergée par ce sperme chaud. La matrone et la petite dame se relèvent et se postent devant le kabyle toujours attaché, tête baissée, qui paraît épuisé par son orgasme. Son sexe débande doucement. Ses testicules sont luisants de salive. Anne-Sophie l’embrasse sur la bouche en lui malaxant les fesses.
La petite dame a la chatte poilue luisante de mouille. La matrone se tient les seins. Elles semblent attendre une suite. Anne-Sophie se déshabille. La séance n’est pas terminée. Anne Sophie interroge la matrone sur ses intentions. Elle lui avoue vouloir sodomiser le kabyle avec un gode-ceinture. Elle a besoin de l’accord du mâle. Le kabyle accepte à condition que les trois femmes présentes le préparent. Vous me boufferez le cul toutes les trois, et m’appliquerez un gel lubrifiant. Si je ressens la moindre douleur lors de la pénétration, je tirerai l’une d’entre vous au sort. Elle sera fouettée et je la sodomiserai à sec. Les trois femmes n’en mènent pas large. La matrone insiste en arguant son expérience. Régulièrement sodomisée par son époux, cette perspective ne la trouble guère.
Après un moment d’hésitation, les dames décident d’accepter le marché. Elles sont nues toutes les trois. Le kabyle est repositionné sur une table réglable en hauteur en position de levrette, fesses et scrotum exposés, testicules et verge pendants. C’est la petite dame qui commence la première à lui administrer le bouffage de cul. Elle lui pourlèche la raie pendant presque cinq bonnes minutes. C’est ensuite au tour de la matrone de lui titiller l’anus avec sa langue. Le kabyle commence à bander. Enfin, Anne Sophie se met à genoux, passe un gant en latex qu’elle couvre copieusement de gel lubrifiant. Elle lui introduit deux doigts dans l’anus en lui faisant un toucher rectal pour bien stimuler la prostate. Le kabyle bande comme un cheval, son gland épais est rouge écarlate. Ce traitement prostatique dure quelques minutes. Du liquide préséminal s’échappe de son méat. La matrone demande l’autorisation de le lécher ce qui lui est refusé.
— Non attendez, il n’est pas encore complètement excité, dit Anne-Sophie.

Vient ensuite le clou de la séance, la sodomisation au gode-ceinture.Habituellement utilisée entre lesbiennes, cette pratique progresse dans les milieux libertins hétérosexuels qui cherchent à pimenter leurs jeux. Le gode est très réaliste, veiné, long d’une trentaine de centimètres. La matrone s’équipe. Elle vide le reste du tube de gel dans la raie du kabyle et sur le gode met un gant en latex et lui entre deux doigts dans l’anus pour le travailler une dernière fois. Elle ressort les doigts, écarte au maximum la raie poilue et sans précaution lui introduit le gode. Le kabyle sursaute, mais encaisse bien le coup de boutoir. Elle le lime ensuite pendant trois bonnes minutes jusqu’à ce que sa maîtresse dise :
— Il ne jouira pas par le cul. Il faut le finir autrement.
La matrone insiste et continue à le besogner, mais doit se rendre à l’évidence. Le beau mâle gémit, mais ne lâche pas sa semence.
— Il faut lui lécher les couilles par derrière, qui veut le faire ?
La matrone laisse la petite dame terminer ce mâle, elle s’empresse de se baisser en tirant la langue vers le scrotum du kabyle. Elle lui lape les testicules pendant deux minutes, le kabyle crie maintenant de plus en plus fort et du liquide préséminal coule le long de son gland. Anne-Sophie s’approche de côté et lui lèche délicatement le méat pour récupérer le liquide, puis lui enfourne le gland. Après quelques minutes de traitement, son amant libère toute sa semence dans sa bouche. Le beau mâle est ensuite enchaîné à nouveau sur le cadre en bois...A suivre
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