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L'année des méduses

Chapitre 7

Hétéro
Après notre escapade sur ce parking, mon habitacle sent le sexe à plein nez. J’ouvre les fenêtres, afin d’aérer un minimum. L’air frais qui rentre éclaircit aussi mes esprits.
— Brrr, c’est froid mais cela est vivifiant ! s’exclame Chris.
Heureusement que notre route est essentiellement campagnarde. J’ai toujours le pantalon aux genoux et le sexe luisant de salive et de sperme. Chris ne s’est pas couverte non plus, sa robe aurait été dans un drôle d’état sinon. Ses tétons pointent à cause de la fraîcheur et elle garde les cuisses bien ouvertes comme si elle voulait faire sécher son sexe. Le sperme qu’elle a un peu partout doit tirer sa peau, à en croire ses quelques grimaces. Nous passons dans un village dont les lampadaires nous éclairent dangereusement. Ensuite, il ne faut que quelques minutes pour arriver au camping. Devant le portail, je me rends compte qu’il faut que je badge.
— Chris, vous avez le badge ?— Euh, je crains de ne pas avoir pensé à le mettre dans mon sac.
Ma quinqua fouille mais fait chou-blanc. Je vais devoir me garer à l’extérieur et nous aurons à aller à pied au mobile-home. Si pour moi, ce n’est pas trop gênant. Pour Chris c’est inenvisageable. Tout le sperme qu’elle a sur elle se verra et on ne peut traverser le camping habillé.
— Appelons à l’interphone, propose-je.
Chris n’en est pas très rassurée mais on va devoir nous ouvrir. Je tends le bras et appuie sur le bouton d’appel. Au bout de quelques secondes une voix crachotante nous répond :
— Qu’est-ce que c’est ?
Je ne sais dire qui c’est. Pourtant Chris répond de façon naturelle :
— Bonsoir, Jeff. C’est Chris et César. J’ai oublié le badge dans ma voiture. Pouvez-vous nous ouvrir à distance, s’il vous plait ?— Mmmh, non, j’arrive. Je faisais un tour dans le camping.
L’interphone doit être connecté à son téléphone. Nous patientons une petite minute avec la crainte, mesurée, de voir arriver une autre voiture. Avec un cliquetis caractéristique, le portail s’ouvre lentement. Je m’avance dès que possible. La voiture a juste passé les roues avant que je vois Jeff sur la droite devant un panneau de contrôle. Voyant ma vieille guimbarde, il nous fait signe d’arrêter et se penche à la fenêtre ouverte côté passager pour vérifier qui est là.
— Bons...oir. Avec cette voiture, je me suis demandé si c’était bien vous.

Chris rougit comme une pivoine. Ses jambes se referment et ses mains serrent nerveusement ses genoux. Nous avions cru nous en sortir sans croiser personne : la déception est à la hauteur de la gêne ressentie par ma quinqua.
— Oui. Nous avons pris ma voiture, dis-je un peu honteux.— J’ai l’impression que vous avez suivi mes indications.— En effet, Jeff, je vous remercie, lui dit Chris, petitement.
Elle est moins tendue mais n’ose pas pour autant le regarder en face.
— De rien...— Non, merci. J’ai apprécié que vous n’y soyez pas, lui confie-t-elle.— J’ai mon camping à surveiller. Et je ne m’invite pas de moi-même.— Oui, que des inconnus, c’était plus facile, indique-je.— Bien, je vois. Allez, ne trainez pas s’il vous plait. Je ne souhaite pas que des clients vous voient ainsi.— Oui, oui. Bonne soirée.— Bonne nuit, Jean-François, lui souhaite Chris en le regardant enfin.
Je redémarre lentement comme Jeff se redresse. Alors que le portail se referme, je jette un œil dans le rétroviseur. Je vois Jeff de profil presque et son sexe qui est bien tendu à l’horizontale.
— Oh ! fais-je.— Mon dieu. Vous venez de voir ?— Oui. Penché comme il était et avec la portière je n’avais rien remarqué.— Son membre a commencé à gonfler à peine a-t-il posé le regard dans la voiture.— Il a probablement imaginé ce qui a bien pu se passer pour que nous soyons dans cet état.— C’est fort probable. Mon dieu. J’ai honte quand même.— Allez. Vous savez, il en a vu d’autres. Et je ne crois pas vous l’avoir dit mais il m’a confié qu’avec son ex, ils y étaient allés parfois.— Est-ce vrai ? Eh bien... Bon, nous sommes arrivés. J’enlève ma robe. Cela paraitra normal de loin.— Je fais comme vous.
Nous nous contorsionnons pour nous mettre nus. Chris prépare ses clés pour éviter d’être trop longtemps à découvert. Nous sortons de la voiture et nous dépêchons d’aller à la porte. Je fais paravent de mon corps tandis que ma quinqua ouvre le mobile-home. Nous nous précipitons à l’intérieur et Chris referme derrière nous. Elle se poste derrière la porte vitrée pour vérifier que personne ne nous a vu.
Je me trouve un peu bête avec nos affaires dans les mains à la regarder avec des yeux de merlan frit. Chris est là, nue, recouverte de cinq spermes différents. Mon désir pour elle me refait bander, je l’aime c’est clair. J’ai envie de lui dire, de le crier. Mais à son regard, je sens qu’elle ne veut toujours pas entendre ce genre de choses. Je serai patient, elle a laissé échapper quelques mots doux pour moi. Donc mon espoir n’en est que renforcé. Pour l’heure, je veux au moins la serrer dans mes bras. Je pose les affaires sur la table derrière moi et me retourne. Mais Chris est déjà là, à quelques centimètres. D’une main douce qu’elle pose sur ma joue, elle me dit :
— Merci César. Vous avez été merveilleux ce soir. Je sens encore votre fougue pour moi mais je suis épuisée.
Ma quinqua chérie m’embrasse avec tendresse et sensualité. J’ai l’impression de quitter le sol tellement je suis emporté. Chris stoppe le baiser et se détache de moi :
— Vous permettez que je passe à la douche la première ? Je suis toute collante et poisseuse.— Euh, oui. Bien sûr.
Chris file sous la douche. J’en profite pour inspecter mes affaires. Le polo est bien taché mais le pantalon semble sain et sauf. Je regarde la robe de Chris ; c’est un désastre. Ses sous-vêtements ont l’air de ne pas avoir souffert. Je suppose que de les avoir retirés assez vite les a sauvés. La culotte est néanmoins humide et dégage une senteur enivrante. Je ne peux m’empêcher de la renifler longuement et de me caresser en même temps.
Le parfum de femme mature de Chris me rend fou. Je me branle plus vite à chaque seconde. Si je continue je vais jouir mais je suis incapable de m’arrêter. Soudain je suis pris de tremblements. Je lèche plus que je ne sens son fond de culotte. J’éjacule en faible quantité sur le sol mais c’est inversement proportionnel à mon plaisir. Un peu honteux de mes cochonneries, je repose la culotte avec le soutien-gorge. J’attrape un peu d’essuie-tout et nettoie mes bêtises. J’ai juste le temps de le jeter à la poubelle que Chris sort de la salle d’eau.
Je me demande si elle se doute de quelque chose alors qu’elle inspecte sa robe. Non, ça va. Elle entreprend de la nettoyer à la main dans une bassine. Elle y ajoute sa culotte et mon polo. C’est à ce moment que je me décide à prendre ma douche. Sous le jet d’eau chaude, je prends le temps d’intégrer tous ces événements. Surtout, je cherche à savoir si Chris les regrette. Elle ne le semble pas, néanmoins je préférerais en avoir le cœur net. Quand je sors enfin de là ; je m’aperçois que Chris est déjà dehors à étendre le linge. Soit elle a été très rapide soit je me suis éternisé. Je m’approche de ma quinqua d’amour et dépose un baiser sur son épaule.
— Comment allez-vous, Chris ?— Bien, César.— Comment avez-vous vécu cette expérience ?— Je préfère en parler à l’intérieur. Laissez-moi finir. Et je vous rejoins dans la chambre.
Elle a une façon de dire les choses où je sens que je n’ai pas à discuter. Et pourtant c’est fait tout en douceur. Du coup, je repars à l’intérieur. Je m’empare de mon téléphone et regarde mes messages. Mon père m’a demandé des nouvelles de la voiture. Je lui renvoie les dernières infos la concernant. Cela laisse le temps à ma quinqua d’amour de me rejoindre. Gracieusement, elle se glisse sous le drap et se colle contre moi. Je souhaite bonne journée à mon père et repose le téléphone.
— Alors, cher César. Vous vous inquiétez pour moi ?— Je ne sais pas si vous n’êtes pas allée beaucoup trop loin par rapport à ce que vous aviez imaginé.— En effet, je ne pensais pas les laisser me toucher ainsi. Mais dans l’excitation du moment, j’ai laissé mes envies parler.— J’ai vu. Mais maintenant que le calme est revenu ?— Je sais que je ne referai pas cela avec vous. Cela fait trop de monde et d’inconnus. Je me suis laissé charmer par vous hier. Et je préfère ainsi, m’avoue-t-elle.— Je m’en doutais un peu. Vous avez besoin d’avoir un certain feeling et le faire monter tranquillement.— Sans doute. Il est vrai que la surprise et la gêne passée, j’ai bien aimé que ce soit Jean-François qui a été derrière nous. C’est quelqu’un de gentil et agréable avec ses clients.— Oui. Si vous vous sentez bien, je pense que je vais pouvoir dormir sereinement, dis-je, rassuré.— Oui, mon cher César. Dormons, vous l’avez deviné, je suis fourbue.
Chris se tourne vers moi et m’embrasse avec tendresse et langueur. Nos langues se mêlent un moment, nos mains s’égarent aussi mais elle cesse ce baiser pour poser sa joue sur ma poitrine pour dormir. Malgré une fatigue certaine, il faut à Chris un certain temps avant de trouver le sommeil. Je reste encore éveillé un petit moment, me demandant ce que me réserve ma surprenante partenaire. Je voudrais l’appeler compagne tant j’ai du mal à m’imaginer sans elle. Je voudrais la réveiller, lui faire l’amour mille fois... Mais elle n’est pas prête à l’entendre. J’ai encore du temps devant moi pour lui ouvrir les yeux. Pour l’instant je laisse les miens se fermer enfin.
* * *


Je passe une nuit relativement agitée, peuplée de songes où j’imagine la vie que je pourrais avoir avec Chris. A rêver au jour où je lui avouerai mes sentiments et aux arguments qu’il me faudra trouver pour briser ses réticences. Elle me dira que je n’aurais pas d’enfant, que notre différence d’âge se fera durement sentir très rapidement. Mais tout ça aura peu d’importance à mes yeux.Pour l’heure, le petit matin m’offre un réveil étrange. Je me sens bien, une sensation de chaleur m’envahit en partant de mon bas-ventre. Immédiatement mon esprit me ramène aux fellations qu’elle m’a déjà donné à plusieurs reprises. La douceur de sa bouche, l’agilité de sa langue, la chaleur et l’humidité de la pipe. Tout est si réel...Trop pour que ce soit un rêve. J’ouvre les yeux et découvre ma chère Chris en pleine action sur ma verge. Je suis bien dur et tendu, la bouche de Chris coulisse onctueusement sur ma colonne de chair. Sa main me cajole les couilles tandis que sa bouche me gobe profondément.
— Voilà, un réveil bien agréable.
Chris lâche mon sexe avec un slurp sonore et me sourit de façon lubrique.
— J’en suis sûr. Vous dormiez encore quand vos attributs ont décidé de s’éveiller. Je n’ai pu résister à les dévorer en attendant le petit-déjeuner.— Vous devenez gourmande, Chris.— Non, Edmond et moi avons longtemps eu une activité soutenue, me fait-elle remarquer tant en me caressant la verge.— Alors, allez-y.
J’appuie sur sa tête et la fais reprendre son activité orale. Ma quinqua chérie me pompe avec application et ferveur. Sa main droite me malaxe les testicules et son majeur me masse le scrotum. Je m’abandonne totalement à ma Chris chérie. Je gémis et je souffle, je plonge mes doigts dans sa chevelure.
Mes réactions semblent l’encourager à y aller franchement. J’ai un moment l’impression qu’elle veut me faire une gorge profonde. Mais elle change et passe quelques instants à me lécher le gland tout en l’astiquant de ses doigts. Soudain je sens son majeur venir fureter près de mon œillet. Je relève les genoux pour lui faciliter la manœuvre. Chris me masse un instant avant d’insérer une phalange.
— Oh, ouiii, souffle-je.— C’est vrai que vous aimez cela...
Elle me dit ça tout en faisant des va-et-vient dans mon cul. Oui, j’aime surtout quand c’est amené tout tranquillement comme ça. Chris replonge sur mon sexe et continue son doigtage. Je savoure pleinement cette double gâterie. Néanmoins, j’ai bien envie d’autre chose avec elle. Et comme je sais qu’elle n’est guère coutumière de laisser son homme venir dans sa bouche... Il me faut une certaine force de caractère pour mettre fin à ce délice.
— Merci, Chris. C’était formidable. Mais c’est votre tour maintenant...— Oh... Pourquoi pas.
Ma quinqua est surprise mais aussi rassurée de ne pas avoir à gérer le final. Elle se laisse coucher sur le dos et écarte les cuisses. Je me glisse entre ses jambes et viens me délecter de sa vulve. Ma langue tombe sur ses lèvres intimes comme la misère sur le monde. Chris soupire et se cambre légèrement. Je titille son bouton, je lèche sa vulve ; je passe mes mains sous ses fesses et les pétris outrageusement.
Chris aime ce début de cunnilingus ; la suite devrait la surprendre. J’entame les opérations en venant ajouter un doigt en plus de ma bouche. Mon index glisse le long de ses lèvres, titille son bouton puis pénètre dans son antre brûlante. Je branle ma quinqua chérie quelques instants, assez pour dangereusement l’approcher du point de non-retour. Je retire mon doigt, la faisant râler de frustration. Je l’observe, elle a les mains sur les seins et semble me supplier de reprendre.
J’obtempère partiellement en allant lécher son sexe. A côté mon doigt file vers son autre trou où je fais faire des cercles à mon index. Malgré une brève contraction, Chris me laisse faire. Elle est tendue mais se relâche petit à petit. Je teste la souplesse de son trou sans forcer l’entrée. Ma quinqua semble bien partie et je subodore qu’elle m’a doigté le cul pour que je lui en fasse autant. J’intensifie l’action de ma langue sur son clitoris et je profite d’une vague de plaisir plus vive pour entrer une phalange dans son anus.
— Oh, César ?! Que faites-vous ?— Je vous doigte le cul, Chris.— Ce n’est pas correct...— Dois-je m’arrêter ? lui demande-je tout en faisant aller et venir mon doigt.— Continuez, César, soupire Chris.
Je recolle immédiatement ma bouche à son sexe. Mon index reprend ses va-et-vient, de plus en plus profond par ailleurs. Chris est d’abord sur ses gardes, ne se libérant pas vraiment. Je dois user de patience et de persévérance pour la sentir s’abandonner. A tel point que son orgasme pointe le bout de son nez. Mais pas question ! J’avais dans l’idée de la baiser, je veux maintenant la sodomiser.
Pour ça, je dois y aller pas à pas. Je cesse mon cunnilingus et m’allonge sur Chris. D’un geste rapide je plante mon sexe dans son vagin. J’y coulisse avec une grande facilité. Chris s’agrippe à moi, elle plante même à moitié ses ongles dans mon dos. Je la pénètre vigoureusement avant de ralentir pour l’embrasser et la caresser. Puis, brusquement, je reprends ma chevauchée sauvage. J’alterne ainsi pendant deux ou trois minutes. D’une part ça me permet de gérer mon excitation. D’autre part, Chris succombe à des montagnes russes émotionnelles.
Mais ce gentil petit missionnaire ne me convient pas pour la suite. Alors je sors de son vagin et la retourne sur le ventre. Je me replante vivement en elle, en lui arrachant un cri rauque au passage. Je vais et je viens à toute vitesse puis je baisse le rythme et vient lui rouler une pelle par-dessus son épaule. Je la pénètre tranquillement avant de me redresser sur les genoux et de lui relever le bassin. Chris n’est pas en levrette car elle a toujours les seins écrasés contre le matelas. Mais sa position me permet de changer d’angle de pénétration. De plus ses fesses sont séparées et je peux accéder à son petit trou. J’y replante l’index tout en la baisant lentement.
Cette fois ma quinqua chérie vient même au-devant de celui-ci. Je vois ses mains se glisser sous elle et venir jouer avec ses seins. Je ne sais pas trop ce qu’elle se fait mais ça marche plutôt très bien. Il faut que je lui prenne le cul avant qu’elle ne jouisse. Je m’arrête, le sexe complètement dans son con et l’index fiché entièrement dans son cul.
— Chris, je voudrais vous prendre par-là, dis-je en agitant mon doigt.
Elle se fige et me fait non de la tête. Je réitère ma question avec toute la tendresse que j’ai à lui offrir.
— Ma Chris chérie. Laissez-moi vous sodomiser... Je vous en prie. Vous aurez la sensation d’être davantage comme la Chris du film.
J’espère que la replonger dans ce fantasme d’être ce personnage va la faire basculer. Elle ne me répond pas tout de suite, ce qui est bon signe. Je bouge ma verge et mon index imperceptiblement ; ça lui déclenche quelques frissons intéressants.
— Non, je ne veux pas, César. Ce n’est pas...— Comme vous voulez ma chérie, réponds-je.
C’est vrai que cette pratique ne me semble pas avoir été évoquée dans le film. Ce que nous avons fait hier non plus, encore moins. Chris bouge à nouveau, coulissant d’elle-même sur mon sexe et mon doigt. Celui-ci ne la dérange pas mais cela semble une limite qu’elle ne veut pas franchir. Je reprends donc ma pénétration avec toute la fougue de ma jeunesse. Je me déchaîne littéralement dans son vagin. Je laboure aussi son petit trou de mon doigt, ce qui fait pousser des cris de plaisir à ma partenaire. Elle gueule même carrément !
Je suis quand même comblé car je sens son sphincter palpiter autour de mon index : tout n’est pas perdu de ce côté-là. Ma quinqua d’amour finit par enfouir son visage dans un oreiller pour atténuer ses cris. C’est peu efficace, de toute façon, je dois hurler aussi fort qu’elle.
Soudain, je sens son vagin se contracter plusieurs fois sur ma hampe, son cul me masse aussi le doigt. Chris jouit de façon tonitruante, le visage tendu vers le mur d’en face et le dos cambré. J’atteins aussi l’orgasme et me répands à grands flots de foutre dans son con brûlant. Tremblante, ma belle quinqua finit par retomber sur le lit. Je m’effondre à mon tour sur elle, avant de rouler sur le côté. Nous sommes tous deux à bout de souffle. Je l’embrasse passionnément et la fait rouler sur moi.
— Merci, d’avoir respecté mon choix.— C’est normal.— Malheureusement, ça ne l’est pas assez souvent. Et, non, je ne parle pas de moi.
Elle me cloue le bec de façon préventive. Parce que ce n’est vraiment pas d’elle qu’on parle ou justement si ? Je pencherais pour la première solution. Alors qui ? Sa fille ? Vu de qui elle tient ça m’étonnerait. Son amie Philippine ? Possible. Quelqu’un dans l’organisation caritative à laquelle elle a voué ses efforts ? Probablement. Pour le moment, Chris est épuisée. Elle se cale contre moi et semble vouloir faire un somme. Je serais bien capable de m’assoupir aussi. Mais je ne veux pas, je veux profiter de la passion qui nous anime. Et puis il va bien falloir aller récupérer sa voiture. Néanmoins une certaine paresse s’empare de moi. Nous restons là à somnoler jusqu’à ce que Chris se réveille en sursaut :
— Le petit-déjeuner !— Nous avons le temps, Chris.— Oui, mais je tiens à mon rituel et je ne veux avoir trop de monde...— D’accord, allons-y.
Nous nous levons rapidement, quoique bien courbaturés. Je passe rapidement aux toilettes pour un petit pipi. Chris prend ma place dans la foulée. Dans la salle d’eau je fais une beauté à mon gland encore enduit de sperme et je me lave bien les mains. Quand je ressors, je vois ma quinqua chérie se laver les mains à l’évier de la kitchenette.
— Parfait. Allons-y, César.
Chris prend son sac à main pendant que j’ouvre la porte. Ce matin il fait un peu frais. J’ai la chair de poule et mon sexe se recroqueville de froid. Chris a la peau horripilée et les tétons durcis. Néanmoins les pas qui nous mènent au bar nous permettent de nous réchauffer. La chair de poule nous quitte mais mon sexe reste tout petit et les mamelons de Chris érigés.
— J’ai l’impression que vous voulez vous rapprocher plus de l’icône qu’est Valérie Kaprisky dans le film, dis-je tout en y réfléchissant.— Oui. Hier soir était une expérience à vivre mais ce n’est pas vraiment ce que je cherchais.— Même ce matin, quand j’ai proposé de vous enculer.
Le côté bonne famille de ma quinqua la reprend. Elle jette des regards inquiets autour d’elle, craignant qu’on ait pu m’entendre. Rassurée, elle me murmure :
— Pas si fort. S’il vous plait, mon cher César.— Excusez-moi. Cela aurait été une première ?— Euh, non. Edmond et moi avions tenté la chose une fois ou deux. Mais ni lui, ni moi n’avions trouvé cela bien.— Je suppose que vous aviez dû vous confesser plusieurs fois ensuite.
Ma petite taquinerie la fait sourire. J’ai en partie visé juste. Je laisse ce sujet sodomite de côté pour savoir ce qu’elle cherche. En repensant au film et à son atmosphère, une idée germe dans mon esprit. Mais je ne peux lui en faire part, nous arrivons :
— Bonjour, à vous deux, nous lance Jeff de loin.— Bonjour, Jeff, dis-je.— Bonjour à vous, Jean-François. Jeff.— Ah, j’aime mieux ça, Chris. Allez donc vous installer au soleil. Comme d’habitude je suppose ?
Chris acquiesce d’un sourire et le propriétaire commence à s’affairer. Nous prenons une table au soleil, un peu plus exposée que celle habituelle.
— Chris, je pensais. La Chris du film, on sent qu’elle est aventureuse, qu’elle multiplie les relations. En tout cas, c’est un axe fort, il me semble.— Oui. En partie.— Est-ce vers cela que vous voulez vous dirigez ?— Non, peut-être. Je n’y avais pas songé sous cet angle. Mais comme je vous le disais je ne me vois pas me faire sauter par le premier venu. Elle séduit et se laisse séduire avant d’aller plus loin.— Oui, c’est vrai que vous avez besoin d’avoir la confiance et le feeling pour vous lancer.
Je ne sais quoi lui proposer. En même temps, je suis plutôt content. Ça veut dire qu’elle va se satisfaire de moi. Je vois Jeff arriver avec son plateau, mettant fin à notre conversation.
— Et voilà.
Alors qu’il dépose notre petit-déjeuner, je le vois froncer les sourcils. Est-ce les tétons érigés de Chris qui le chagrinent ? En tout cas, ça le fait bander : son tablier se soulève au niveau du pubis.
— Merci, Jeff, lui dit Chris en lorgnant déjà les croissants.— Excusez-moi, mais il y a un souci, annonce Jeff en se redressant.— Ah... Qu’y a-t-il ?— Chris, vous laissez échapper quelques fluides sur ma chaise.
Ma quinqua baisse la tête vers son entrejambe et s’exclame :
— Oh, mon dieu ! Oh, mon dieu !
Je regarde par-dessus la table ; effectivement des traces indéniables sont visibles sur l’assise. Elles s’écoulent du vagin de ma quinqua d’amour sur le plastique de la chaise.
— Oh... J’étais tellement pressée d’honorer mon rendez-vous matinal que j’en ai oublié de me nettoyer convenablement. Je suis désolée, Jeff.— Euh, vous savez, nous avons eu...— Pas la peine de me faire un dessin, j’imagine bien ce qu’il s’est passé. S’il vous plait, veuillez nettoyer.— Oui, oui. Tout de suite, se morfond Chris, très embêtée.— Pas vous Christine-Anne. Le reste va couler le long de vos cuisses et je ne veux pas que des clients voient cela. Allez donc derrière le bar ou dans la réserve m’éponger ce déluge.
Chris se lève vivement et se met à trottiner vers le bar, une main en coupe entre ses cuisses. Ses seins se balancent en tous sens et ses fesses sautillent de haut en bas. Je ne peux la regarder plus longtemps sans bander comme un âne. Jeff ne réagit pas différemment de moi et son tablier semble tenir bien droit.
— Tenez, César. Essuyez déjà avec ces serviettes en papiers. Ensuite, venez prendre la bassine et l’éponge qui sont près de l’évier du bar.— Oui, oui. Bien sûr.— Mais, où est Chris ?
Je ne la vois pas non plus. Elle a dû aller dans la réserve, trop intimidée ou honteuse pour effacer les traces de nos ébats simplement derrière le bar.
— J’espère ne pas avoir été trop sec. Ce n’est pas si grave. Et il ne faudrait pas qu’elle utilise n’importe quoi pour s’essuyer, s’inquiète le propriétaire.
D’un pas rapide, Jeff s’en va voir de quoi il retourne. Moi, je m’attelle à nettoyer ce foutoir. Je suppose que Chris a dû s’essuyer rapidement aux toilettes de la location mais que la petite marche rapide a ouvert ses muqueuses et que mon sperme mêlé à sa cyprine a fini par s’échapper de son vagin. Les deux serviettes en papiers sont un peu justes. Et celles dans les distributeurs en métal sont petites et peu absorbantes. Je galère mais je finis par effacer toute trace. Un coup d’éponge et ça sera parfait. Je vais du côté du bar mais ne vois personne. J’espère que Jeff n’est pas en train d’engueuler ma pauvre quinqua. Je jette les serviettes dans une poubelle et m’approche de la porte de la réserve.
Je tombe des nues en voyant ce qu’il s’y passe. Ma quinqua est assise sur un plan de travail, les jambes en grand écart. Les épaules appuyées contre le mur, elle a une main sur un sein et l’autre sur le crâne du propriétaire. Elle lui plaque le visage contre sa chatte baveuse, le sexagénaire ne semble pas dérangé par la mixture qui s’en échappe. C’est sûr que là, le sexe de Chris va être bien nettoyé. Agrippé des deux mains aux cuisses de ma quinqua d’amour, Jeff se délecte de la vulve de Chris. Celle-ci apprécie visiblement le traitement qu’il lui offre. Ses yeux ont tendance à se révulser, sa respiration est hachée et rapide : elle n’est plus loin de jouir.
De mon côté, je regarde tout en me branlant rapidement. Je dois jeter des coups d’œil par-dessus mon épaule pour ne pas me faire surprendre par un client ou un employé. J’essaie de me caler sur Chris et de jouir en même temps qu’elle. Je les observe avec envie, me prenant pour Jeff à bouffer la chatte de ma quinqua d’amour. On voit qu’il a du savoir-faire. Par contre je surpris de ne pas voir d’érection sous son tablier. Dans sa position accroupie, je distingue ses couilles et son gland qui pendent. Alors même qu’il bandait dur quelques minutes auparavant.
Je fais un peu plus attention à ma partenaire et, sur son menton, j’observe une trace blanche des plus parlantes. Elle l’a pompé juste avant qu’il ne lui lèche le con. Et elle a dû tout avaler, encore une fois ! Cette vérité me rend jaloux mais m’excite surtout. J’ai une poussée d’adrénaline qui me fait jouir dans l’instant. J’éjacule en petite quantité, cela ne fait pas si longtemps que j’ai rempli le vagin de Chris, mais les sensations sont terribles. Je salis un peu par terre mais ce sont surtout mes doigts qui sont souillés.
Chris plaque sa main sur sa bouche et pousse des couinements répétés. Ses pieds tremblent et je vois bien que Jeff doit s’accrocher à ses jambes pour terminer. Ma quinqua chérie finit par le repousser pour qu’il arrête. Jeff se relève et cette fois Chris le tire par le tablier pour lui rouler une pelle. Je préfère m’éclipser avant de me faire surprendre. Et il faut que je me nettoie. Je prends quelques serviettes en papier que je mouille à l’évier. Je lave mon sexe et mes doigts, je jette les serviettes, je m’empare enfin de la bassine et passe un coup d’éponge sur la trace que j’ai laissé au sol avant de filer vers ma table.
Je suis en train de finir d’essuyer la chaise de Chris quand je vois celle-ci revenir. Sa démarche est très chancelante, ce qui ne m’étonne guère après deux gros orgasmes si proches. Son sexe brille encore un peu de la salive de Jeff et de sa propre cyprine. Derrière j’aperçois Jeff qui reprend son poste au bar. Il semble un peu perdu ; connaissant les qualités de suceuse de ma chère mature, je comprends son état. Chris s’assoit sur sa chaise, l’air un peu ailleurs. Elle prend une profonde inspiration et me regarde avec un sourire.
— Je sais que vous m’avez vu. Nous vous avons aperçu.— Ce n’était pas prévu de ma part. Et je ne voulais pas vous déranger. Attendez un instant, je ramène la bassine...
Je me hâte de faire l’aller-retour. Je n’ai pas à parler au propriétaire car il est au téléphone. Je reviens vers Chris et me pose sur ma chaise au moment où elle entame son café.
— Puis-je savoir comment c’est arrivé ?— Bien sûr, me dit-elle en coupant un croissant.
Chris me confie qu’elle est directement allée dans la réserve ; elle avait trop honte et ne voulait s’essuyer à la vue de tous. Un peu choquée de la situation, ma quinqua d’amour a eu du mal à trouver de quoi se nettoyer. Finalement, les yeux embués par des larmes retenues, Chris a vu gros rouleau de papier. Elle en a arraché quelques feuilles et a commencé à s’éponger les cuisses. Le papier assez rêche lui a fait mal mais elle a pris cela pour une punition de Dieu pour ses méfaits.
Elle allait s’attaquer à son sexe quand Jeff est arrivé. Il a arrêté son geste en lui attrapant fermement le poignet. Elle s’est plaint qu’il lui faisait mal et il a relâché sa prise en s’excusant. Chris n’a pu soutenir son regard et s’est confondue en excuses devant lui. Jeff s’est adouci et lui a dit que ce n’était pas si grave. Qu’il s’était montré un peu trop brusque. Chris s’est sentie mieux et elle a respiré un bon coup. Avec leur proximité, elle a aussi senti le sexe bandé de Jeff frotter contre sa cuisse.
— C’est là qu’il a demandé une fellation en compensation ? C’est un peu abuser de la situation...— Oh, vous n’y êtes pas César. Je me suis proposé de moi-même. Jean-François a été fort surpris quand je me suis agenouillé devant lui et que j’ai soulevé son tablier.— Ne serait-ce pas notre discussion, juste avant, qui vous aurais donné cette idée ?— César, vous avez peut-être raison. Mais cela confirme le fait que je n’aurais pas fait cela avec un employé ou un client quelconque.— Et c’est vrai qu’hier, il s’est branlé et a juté sur votre cul.— Certes, mais je n’aurais pas forcément sucé l’autre homme. Toujours est-il que pratiquer cette fellation sur Jeff, avec le tablier recouvrant ma tête avait quelque chose d’amusant et d’affriolant.
J’acquiesce et ma quinqua chérie poursuit son récit. Elle a sucé Jeff quelques instants, appréciant au passage la taille de son engin, sans entrer dans le détail. En tout état de cause, elle l’a bien sucé, profondément et langoureusement ; malaxant ses couilles au passage. Elle a été assez surprise qu’il la prévienne rapidement qu’il allait jouir.
Elle m’avoue qu’en commençant elle n’a pas pensé au final de la chose. Mais, le moment venu, elle s’est résolue facilement à tout avaler. Quand Jeff a éjaculé, il s’est planté au fond de sa gorge. Ma quinqua a eu l’impression que tout tombait directement dans son estomac. Elle me confie qu’elle s’est dégagée un peu sur les dernières giclées pour respirer et avaler plus normalement.
Quand Jeff est ressorti de sa bouche, son gland a laissé échapper quelques gouttes sur ses lèvres que Chris a récupéré d’un coup de langue. Je lui fais remarquer qu’elle en avait encore sur le menton quand elle était léchée, ce qui la fait rougir. Quand elle s’est relevée, Jeff l’a remercié pour cette fellation divine mais s’est excusé pour s’être planté si loin dans sa gorge en la maintenant d’une poigne ferme. Chris allait répondre qu’elle n’avait pas eu cette impression quand Jeff s’est aperçu que le sexe de Chris coulait à nouveau. La même mixture se répandait sur ses lèvres intimes et le haut de ses cuisses.
— Je suppose que dans votre position, cela a facilité les fuites, suppose-je.— Oui, probablement. J’ai repris le même papier pour m’essuyer mais Jeff m’a arrêté. Il m’a dit que c’était pour nettoyer les tables et les plans de travail du restaurant. Sûrement pas quelque chose d’aussi délicat que mes chairs intimes. Il m’a dit : j’ai quelque chose de bien plus doux si vous voulez. Dans son regard, j’ai tout de suite compris ce qu’il proposait.— Et vous avez hésité avant d’accepter ?— J’avoue que non, de façon très surprenante. Je me suis entendu accepter et me suis vue m’assoir sur le plan de travail. En un instant, j’avais les jambes en grand écart et la bouche de Jeff sur mon sexe.
Chris ne me donne pas beaucoup plus de détails mais je sens qu’il s’est bien débrouillé, la faisant atteindre le septième ciel en quelques instants seulement. Je pense que la partie de sexe que nous avons au réveil a dû garder son sexe en éveil. Ma quinqua se met à bâiller et me semble toujours fébrile. Je lui propose de finir et de retourner au mobile-home se reposer. Elle approuve ma proposition et nous terminons le petit-déjeuner. Nous rentrons nous reposer, je tiens ma chérie mature par la taille, ma main descendant sur sa fesse avec plaisir. Elle se colle à moi, la tête contre mon épaule.
— Je suis étonnée que vous n’ayez pas bandé, me dit-elle soudain.— Oh, si bien sûr. Je me suis même branlé et j’ai joui en vous regardant.— Ah, je comprends...— Je pense que j’ai visé juste en supposant que vous aviez besoin de vous rapprocher un peu plus du film. De passer d’un partenaire à l’autre comme votre alter ego.— Je n’avais pas pensé que cela puisse être cela... Mais, sans doute cela était bien caché en moi.— Allons nous reposer un peu. Nous irons chercher votre voiture ensuite. Après, peut-être pourrons-nous retrouver un autre partenaire ou rester entre nous.— Je suis fatiguée, j’ai du mal à réfléchir. Nous verrons cela après.
Nous arrivons au mobile-home, nous entrons et Chris va directement se coucher. Elle et moi ne devons pas présumer de ses forces. N’étant pas fatigué je décide d’aller enfin me raser et de me brosser les dents. Puis je vais m’installer au soleil sur la terrasse avec mon téléphone. Je réponds à des messages en retard. Je me tiens à jour des réseaux sociaux. Plusieurs camarades de promo me proposent de sortir ce soir. Mais je leur réponds que je suis déjà occupé avec ma nana, sans préciser son âge. Je l’aime ma quinqua, elle ne serait pas sur les rotules, j’irais la réveiller pour lui faire l’amour encore et encore.
Dans tout ça, je repense à ses dernières paroles. La Chris du film ou du livre a un amant plus âgé, cherche à séduire Romain ; elle fricote même avec ce couple Allemand on Hollandais, je ne sais plus. Malgré l’admiration de ma Chris pour elle, elle ne s’est jamais vu multiplier les partenaires. Je croyais qu’elle faisait une projection sur ce personnage mais cela me parait moins évident. Si elle a vu en moi le Romain de l’histoire, je ne suis plus certain qu’elle se voie en Chris. Peut-être en Claude, la mère de Chris. Mais ça ne me convainc pas plus.
Le moment où elle a le plus vibré durant le film c’est celui où Valérie Kaprisky s’exhibe. Mais en y réfléchissant bien, il me semble que des relations intimes avec Barbara, la femme de ce couple étranger, sont plus ou moins suggérées. Je n’étais plus très attentif au film, focalisé par les émois de plus en plus importants de Chris. J’ai pensé qu’elle s’excitait au fur et à mesure du film mais je me demande si ce n’est pas cette blonde qui l’intéressait.
Chris voudrait donc tester les relations féminines ? Cette possibilité me parait parfaitement crédible. Mais il y a un petit quelque chose qui me fait tiquer. Avec le trouble que lui a provoqué la mise à nue de Chris, je crois que ma quinqua ne veut pas être Chris, elle désire cette Chris de "L’année des méduses". Cette perspective me stupéfait et me donne une érection d’enfer. Je n’ai plus qu’une idée en tête, en avoir la confirmation à son réveil. Et de là...
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