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Année de terminale

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Quitter les quartiers chics de Paris pour venir dans ce pays de bouseux, ça n’a pas été une partie de plaisir. J’ai dû abandonner mes amis, les sorties dans la capitale, le shopping dans les grands magasins, juste pour cette petite ville de merde. J’en veux à mes parents. Soit disant qu’ils en avaient marre du stress parisien, des bouchons et autres. Ils ont quittés des boulots en or, pouvant couvrir financièrement tous mes besoins pour se mettre à leur compte à la campagne.
Eux, se plaisent bien là, à vivre à côté des vaches et des chèvres, et ils disent que ça me fera du bien à moi aussi, découvrir la nature, la vie simple... La nature, ça pue la merde. La vie simple ? Elle était simple ma vie, il suffisait que je demande de l’argent à mes parents pour qu’ils m’en donnent et que je puisse acheter ce que je veux avec.
Je leur ai supplié de me laisser vivre seule, faire mon année de terminale dans mon ancien lycée, même à vivre dans une chambre de bonne. Ils ont refusé... Et je me tape un lycée de plouque avec des plouques. Je les ai tous pris de haut, je m’en fiche qu’ils ne m’aiment pas.
Ils m’insultent, mais la bave de crapaud ne touche pas la blanche colombe que je suis. J’ai eu le droit à des "connasse", "poufiasse", "salope".... Salope, j’aimais que les mecs qui se trouvaient entre mes cuisses m’appellent comme ça au moment de l’acte. Ouais, je me donnais bien. Depuis ma première fois, je sais que le sexe aura une part importante dans ma vie. J’aime le cul, tout simplement.
Mais, depuis que je suis ici, je n’ai rien à me mettre en bouche, et il est hors de question que je me tape l’un de ces bouseux. Mes doigts comblent mon manque. Mais, plus les semaines passent, et plus l’envie d’une bite est présente. Il m’arrive de plus en plus souvent d’aller surprendre mon père sous la douche. J’ai honte de faire ça, je m’en veux, mais l’envie est bien trop forte. Même en cours, il m’arrive de perdre toute notion de là où je suis, fantasmant sur le fait de me faire prendre, me sentant tremper mon string, et devant attendre la pause pour me soulager dans les toilettes. J’évite autant que possible, je ne suis pas du genre très silencieuse. Pour le moment, personne ne m’a surprise. Heureusement, ils seraient en plus capable de m’emmerder pour ça.
Et puis, en ce début décembre, le prof d’histoire géo nous demande de faire un exposé pour la semaine suivante... En binôme.... La joie totale... Chacun choisit avec qui il veut être, je veux être toute seule. Mais, pas de bol, nous sommes en nombre paire, et je n’ai pas le choix, je me retrouve avec la cancre de la classe, réputé pour être un gros fêtard, qui fait régulièrement le con... A la fin du cours, je vais le voir. Je suis directe — On boucle ça au plus vite, ça va déjà être assez pénible comme ça ! On fait ça ce soir. — Tout à fait d’accord. Chez toi ou chez moi ?
Il est hors de question qu’il vienne dans ma maison, qu’il découvre ma chambre. Je n’ai aucune hésitation à lui répondre — Chez toi. T’as au moins internet ? — Evidemment. Ca t’étonne que se soit un peu civilisé ici ? — Fais pas chier tocard ! — Peux-tu me dire comment une fille aussi mignonne que toi peut-être une aussi grosse connasse ?
Je lui réponds en lui montrant mon majeur... Ca promet pour bosser ensemble. Mais, je ne suis pas du genre à mettre de l’eau dans mon vin. Il a intérêt à s’adapter à moi... Paul... en plus, il a un prénom dépassé... Nous ne naissons vraiment pas tous égaux dans ce monde.
Mais, lorsque j’arrive chez lui, je suis étonnée. La maison est un peu vieillotte, d’anciens meubles et tout, mais a un style plutôt moderne et elle est très grande. Mais, je suis encore plus surprise par sa chambre, immense... Un bureau, un lit, un canapé, sa propre télé et une console de jeux connectée dessus, un babyfoot au milieu. Je ne sais pas, elle doit bien faire 40 m². Il ouvre un ordinateur portable dernier cri, une fille dénudée en arrière plan. C’est l’occasion de reprendre mes esprits pour lui lancer une pique
— T’as besoin de ça pour t’exciter ? — Je suis sur que tu te branles bien plus souvent que moi, grosse salope. — … Dans tes rêves, pauvre naze.
On se met à bosser, on s’envoie régulièrement des insultes. Nous ne sommes clairement pas très productif. Et, nous jetons un œil par la fenêtre. Il neige plus que ce que j’ai pu voir dans ma vie. En dix minutes le sol est immaculé de blanc. Mon téléphone portable sonne, c’est ma mère. Elle s’inquiète de ne pas me voir à la maison. Je lui explique où je suis et pourquoi. Mais, elle m’annonce que toutes les routes sont coupées, qu’il n’y a plus de transport en commun, qu’il n’est pas possible de venir me chercher en voiture. En tant normal, j’aurais bien trois quart d’heures pour rentrer à pied, mais là... Ce n’est même pas envisageable.
Entre temps, Paul a également eu ses parents au téléphone. Ils sont bloqués à leur travail et ne peuvent pas rentrer. Je suis coincée avec ce type, il ne semble pas plus content que ça que je reste avec lui. Ce vendredi soir sera le pire jour de ma vie. On aurait pu se dire que ça permet d’avancer sur l’exposé, mais même pas. Internet ne fonctionne plus. On va chacun grignoter quelque chose dans le frigo. Dehors, les choses ne s’arrangent pas. Le vent souffle de plus en plus fort, c’est une vraie tempête de neige.
Il me propose de me faire dormir dans leur chambre d’ami. Le vent fait claquer plein de choses que je n’identifie pas, je ne suis clairement pas rassurée, j’ai peur de dormir seule. Je lui réponds, peu assurée alors "Je peux dormir dans le canapé de ta chambre ?". Il rigole, il se moque de moi parce qu’il voit bien que j’ai peur. Je le prends mal, mais suis obligée d’accepter ses critiques. Et il finit par dire, peut-être par pitié "Ok. Mais si tu ronfles, je te pourrie ta nuit".
Je découvre alors qu’il s’agit d’un canapé lit. Il met les draps, les couvertures, installe tout parfaitement. Je le regarde, étonnée de tant de bonne volonté, et lui dit — Merci. — Quoi ? T’as dit quoi ? Merci ? Tu connais ce mot ou t’as sorti ça sans savoir ce que ça veut dire ? — Arrête, s’il te plait. — Tu connais aussi "s’il te plait " ? Mais, c’est incroyable....
Il arrête de se moquer de moi en voyant des larmes couler de mes yeux. J’ai rendu les armes, j’ai trop peur de cette tempête, je ne veux plus me battre pour ce soir. Je me sens faible et vulnérable. Il éteint la lumière, chacun se déshabille de son côté dans l’obscurité. Je garde mon string, mais enlève mon soutient gorge sans retirer mon débardeur. Je me couche, je l’entends se coucher aussi. Et il me dit — Bonne nuit Pauline. — … Bonne nuit Paul.
J’ai dû mal à trouver le sommeil... Le vent me fait toujours peur. Puis, il se calme. J’entends le souffle fort de Paul qui dort comme un loir. Je sens l’odeur masculine qui règne dans la pièce. Je me sens m’assoupir et en même temps, je laisse mon esprit vagabonder. J’imagine Paul qui vient me rejoindre, qui déchire mon string et me prend violemment.
Mes mains caressent mon corps. J’ai chaud, très chaud. Je vois juste la silhouette de Paul qui est dans son lit, il dort, je me dégage des draps et des couvertures. Mes seins sont durs, mes tétons pointent. Je pense être encore plus excitée par sa présence, un mec juste à quelques pas de moi, avec ce risque d’être découverte.
Je passe une main sur mon string, il est trempé, je n’en reviens pas. Je n’en peux plus de mes habits, je les retire, les jette au pied du canapé lit, suffisamment prêt pour les remettre lorsque j’en aurai terminé. Et je me mets à me toucher, tellement excitée, tellement besoin de me faire du bien.
Je sens l’orgasme arriver, trois doigts dans mon vagin, l’autre main accélérant sur mon clitoris. Et, je suis coupée net par une lumière.
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