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Année de terminale

Chapitre 31

Voyeur / Exhibition
• Pauline, rentre, tu vas avoir froid.• Non, je n’ai pas froid... C’est beau la neige qui tombe. Je n’avais jamais regardé avant. Tu te rends compte ? J’ai toujours trouvé ça si froid, sans âme. En fait, c’est magnifique. T’as remarqué qu’il n’avait pas neigé depuis la dernière fois que je suis venue chez toi ?• Oui, j’ai remarqué. Mais, mes parents risquent de rentrer plus tôt à cause de la neige. Ca leur ferait bizarre de te trouver à poil dans leur jardin.• … Paul, t’avais pas envie de me faire l’amour ?• Si, mais pas toi. Je pense que tu aurais accepté juste pour me faire plaisir.
Marie-Aude m’avait blessée plus profondément que je l’aurai voulu. Je perdais la tête. Je me suis mise à tournoyer sous les flocons qui tombent, ça me faisait tellement de bien. Et le décor s’est mis à a défiler à une allure infernale sous mes yeux. J’ai entendu Paul me dire d’un ton inquiet "Pauline, t’es toute blanche" et tout est devenu noir.
Je mets du temps à réaliser où je suis en me réveillant. Je suis dans un lit, une chambre... La chambre d’ami de chez Paul. Je me lève, j’ai soif. Il fait nuit dehors, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut-être. J’entends du bruit dans la cuisine et je rentre. Il y a les parents de Paul qui sont entrain de prendre leur petit-déjeuner. Le père me regarde avec de grands yeux, la mère se lève en lançant un juron et me dit• Mademoiselle, je ne sais pas comment c’est chez toi, mais ici, on ne se promène pas toute nue dans la maison. Vas enfiler quelque chose.• … J’ai soif... J’ai chaud…
J’ai la tête qui se remet à tourner. Elle me prend la main, mais l’autre sur mon front en disant "T’es encore brûlante. Je te ramène dans le lit, on va t’amener de l’eau". Je la laisse m’entrainer et je m’arrête, affolée• Mon père, il ne sait pas où je suis. Il faut que je l’appelle.• Calme-toi, tout va bien. Il est au courant et est même passé hier soir. Et toi, tu ne sors plus du lit maintenant. Je vais appeler un docteur.
Je m’allonge. Alors que je mourrais de chaud une minute avant, je commence à greloter. Je me mets bien sous les draps, le père de Paul m’amène un verre d’eau. Je bois, la mère me demande "ça va mieux ?". Je ne réponds pas, ça ne va pas du tout. Je l’entends dire "vite, une bassine", mais trop tard.
C’est douloureux, je sanglote, je n’aime pas être malade• Pardon, je vais nettoyer.• Ne dis pas de bêtise. On va te préparer le canapé lit de la chambre de Paul. D’ailleurs, il n’est pas l’heure de le réveiller pour le lycée ? Chéri, tu t’en charges ?
Elle m’a prêtée un peignoir, mais avant d’aller dans la chambre de Paul, j’ai dû m’arrêter aux toilettes pour vomir à nouveau. Mon ventre était vide, mais j’avais toujours envie, ça me faisait mal. Je n’ai pas vu Paul. A peine arrivée au canapé lit, je me suis couchée. J’ai mis toute les couvertures possible, j’avais terriblement froid. Puis, je me suis endormie. Je n’ai pas vu non plus le docteur, mais il était passé.
C’est à nouveau en sueur que je me suis réveillée, mourant à nouveau de chaud, retirant les couvertures, et le peignoir. La mère de Paul est là, assise au bureau de Paul. Elle ne dit rien sur le fait que je sois à nouveau nue et me donne un verre d’eau trouble en me disant "Bois, ça devrait aider à faire tomber la température". Je finis le verre, mais je ne garde pas longtemps dans mon ventre ce que je viens d’avaler. Cette fois, il y a une bassine à côté de moi.

Et je recommence à avoir froid, me blottissant dans les couvertures. Elle s’approche, s’assoit sur le bord du lit et me dit• Tu as une bonne grippe.• C’est nul. Et ça vous donne beaucoup de travail en plus.• Ce n’est pas grave... Te souviens-tu de ce qu’il s’est passé aujourd’hui ?• … Non, pourquoi ?• Ca doit être à cause de la fièvre, mais … • Que s’est il passé ?• Lorsque le docteur t’a auscultée, tu as plusieurs fois attrapé sa main pour la glisser entre tes cuisses. Et ensuite, tu t’es caressée… Quasiment jusqu’à ce que tu te réveille. J’ai trouvé ce comportement étrange. Tu aurais une explication ?• … Non, je devais certainement délirer. Je ne me souviens pas.• Ok… Bon, repose-toi. Je vais voir pour te préparer un truc à manger.
*****************************
La mère de Paul est restée toute la journée avec moi. Elle avait ainsi posé un jour de congés disant que j’étais bien trop malade pour rester seule. C’était très gentil de sa part. Et j’ai passé ces heures à vomir la moindre chose que j’avalais. J’alternais entre avoir trop chaud et trop froid. Nous n’avons quasiment pas parlé. Mais cette présence de mère de famille me faisait du bien.
En milieu d’après midi, je me sentais un peu mieux, même si j’avais très chaud. Paul était rentré, il a annoncé que Marie-Aude a vomi en début d’après-midi et que son copain ne se sentait pas bien non plus. Ca m’a fait rire, j’étais la seule à comprendre pourquoi. Mais, la mère de Paul lui dit• Peux-tu nous laisser seules pendant que je m’occupe de ta copine ?• Ben non, c’est ma chambre.• Pauline, réajuste toi, on voit tout avec ton décolleté.• Mais, j’ai super chaud.• Normal, avec la fièvre que t’as. Vous m’énervez tous les deux, je ne vais jamais réussir à te faire cette natte.
Elle s’occupe de moi comme ma mère ne l’a jamais fait, douce et attentionnée. Je lui ai donné beaucoup de travail, mais je n’y pouvais rien. La dernière fois que j’ai vomi, je m’en étais mise par tout, et aussi dans les cheveux. Ca n’avait pas dû être une partie de plaisir de me donner cette douche pour me laver entièrement alors que j’étais à moitié amorphe. Et là, elle tente de m’attacher les cheveux pour éviter de les souiller à nouveau.
Mais, pour le moment, je recommence à être un peu vaseuse, et j’ai également envie de plaisir. Mon bas ventre se met à titiller. Je laisse glisser la bretelle de la nuisette que m’a prêtée la mère de Paul. Je l’entends râler parce que mon sein s’est découvert, mais sa voix est déjà lointaine. Je la sens remettre en place le vêtement. Je ne me rends compte plus de rien.
Une vague de bien être remonte d’entre mes cuisses, je respire plus fortement. Une voix très lointaine, à peine audible me parle "Pauline, tu n’es tout de même pas entrain de te masturber ?... Pauline ? Pauline ? Tu m’entends ?". Oui, je t’entends, mais je ne suis déjà plus là. Je ne peux pas te répondre.
Et cette voix reparle, à laquelle s’ajoute une autre• Paul, sors immédiatement de la chambre.• Mais... C’est bon, je l’ai déjà vue faire.• Je ne veux pas le savoir, tu viens avec moi. On la laisse tranquille pour le moment.• Fais chier, au moment où ça devenait intéressant.
Et le silence, cassé peu après par des gémissements. Je n’ai pas réalisé tout de suite que c’était les miens. Et peu après, tout devint noir.
Je me suis réveillée une main coincée entre mes cuisses, contre mon minou. Je me suis endormie en me touchant. J’ai encore très chaud, mais je sens du froid sur mon front. Je ne suis pas toute seule. J’ouvre les yeux, la mère de Paul est là à m’appliquer un gant de toilette humide sur le visage. J’ai le corps recouvert d’un simple drap. Elle me regarde en souriant• Tu va mieux ?• Je ne sais pas. Mais, ça me fait du bien. Paul est où ?• Il dort dans la chambre d’ami. Veux-tu essayer de manger quelque chose et prendre ton médicament ?• … J’ai faim.• Je t’amène un plateau.• Non, je préfère me lever. J’en ai marre de rester dans le lit.
Elle en avait profité par faire ma natte pendant que je dormais. Et je découvre que mon père est là à parler avec celui de Paul. Il se lève pour me prendre dans ses bras et je lui demande• Qu’est-ce que tu fais là ?• J’étais venu voir comment tu allais. Je n’ai pas voulu te réveiller. La maman de Paul me proposait de te garder encore cette nuit et demain.• Tu dois aller au travail demain ?• Oui, malheureusement, je ne vais pas pouvoir y couper.
Le choix était vite pris. J’aimais me faire chouchouter par la mère de Paul. Je me sentais aller bien mieux le lendemain. Mes forces revenaient et je n’ai vomi que deux fois. La mère décida de me laisser seule au milieu de l’après-midi pour aller faire des courses.
Paul rentra de l’école, j’étais allongée sur le lit à lire un bouquin, vêtue de la nuisette de sa mère. Il posa ses affaires de cours à son bureau, j’observais le moindre de ses gestes.• Alors, la vomisseuse, ça va mieux ?• Oui, mais je crois que j’ai encore de la fièvre. Tu peux me dire si je suis chaude ?
Il pose sa main sur mon front pour dire "Mhhh... Pas trop". Je la lui prends et la pose dans mon décolleté en lui faisant "Et là ?". Ca le fait sourire• Pas plus, mais je crois que la température monte en moi.• Si ton thermomètre est prêt, tu pourrais me l’enfoncer...• Sérieux ? T’as envie ?• Grave
Je m’allonge en m’appuyant sur les coudes. Je n’avais pas pensé sexe de toute la journée, mais lorsqu’il est arrivé, j’ai eu une subite envie. J’écarte alors les jambes en remontant le tissu de mon vêtement. J’ai les poils du minou qui ont commencé à repousser, mais ça ne le gène pas. Il se déshabille avant de s’allonger sur moi.
La position ne me convient pas du tout. J’ai l’impression d’étouffée. Il se pousse, je me retourne pour me mettre en levrette. Je ne m’imagine pas non plus me mettre sur lui, je n’ai pas encore repris suffisamment de force. Il entre doucement en me demande• Ca va ? Je ne te fais pas mal ?• Ho que non. Ca fait du bien.
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