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25 années dans la peau d'une salope

Chapitre 1

masturbation, premières fois

Divers
Je me réveille avec une gueule de bois monstrueuse. Où-suis-je ? Je me redresse sur mes coudes et entrouvre des yeux groggy. Je suis chez moi, et c’est déjà pas si mal. J’essaye de fixer le flot de mes pensées, qui flotte probablement dans de la tequila. Je me rappelle pourquoi je suis dans cet état. Hier j’ai fêté mes 25 ans. Happy Birthday to me ! 25 ans. Ça passe si vite.
Un grognement à côté de moi me fait tressaillir. Cela m’aurait étonné aussi. Ça fait un paquet d’années que je ne passe plus une soirée seule. Rien qu’à l’idée je sens mon bas-ventre se réveiller. Non mais ce n’est pas vrai ! J’ai vraiment un problème. Ma tête retombe lourdement sur l’oreiller et une jambe visiblement masculine s’enroule autour de moi. Qui que ce soit, il dort encore profondément. Je n’ose pas le réveiller pour lui dire que j’ai envie de son érection que je sens poindre contre ma hanche. Je glisse donc sans y prêter une réelle attention une main sur mon sexe, repassant en mémoire ces 25 années.
Je me souviens de la découverte de l’étendue du plaisir que peut procurer la masturbation. Comme celle à laquelle je m’adonne en ce moment, un doigt encerclant déjà mon clitoris gonflé. Je n’avais pas encore connaissance du porno ou des récits érotiques, je faisais ça comme un animal, à l’instinct. Je me frottais sur tout ce qui me convenait, jusqu’à atteindre l’orgasme sans même savoir le nommer. Je commençais alors à fantasmer sur quasiment tous les hommes de mon entourage, sans jamais laisser rien transparaître. Puis j’avais pimenté cela avec des jouets plus variés les uns que les autres, dépensant mon revenu d’étudiante fauchée dans les dernières innovations. Après tout, de multiples orgasmes ça n’a pas de prix. Mais curieusement je ne souhaitais pas passer à l’action, ce n’était que dans ma tête et cela me convenait. Les hommes me faisaient un peu peur, je trouvais l’idée de me laisser aller de la sorte avec quelqu’un extrêmement dérangeante. Je me masturbais sans arrêt, ma culotte constamment trempée d’une marée de cyprine, je devais sentir le cul à des kilomètres mais je ne m’en souciais pas, incapable de me retenir. Ma première fois fut donc tardive, vers mes 19 ans, mais à partir de la ce fut l’apothéose. Avide de rattraper mon retard dans le plaisir à plusieurs, j’ai exploré sans honte la moindre de mes envies, y compris les moins acceptées socialement. Je me revois encore dans la chambre de mon frère jumeau, passer un point de non-retour, au cours d’une soirée arrosée.
Je repense à cette scène et sent un flot de cyprine s’écouler, mmmh frangin tu me fais toujours de l’effet on dirait. C’est en entrant sans frapper, comme à notre habitude, que j’avais surpris mon frère en train de se branler dans le noir, loin de la fête de notre vingtième anniversaire commun. Il s’était excusé, rouge de honte, essayant déjà de remonter son pantalon. Je l’en avais aussitôt empêché devant son membre délicieusement tendu. Je m’étais agenouillée devant son regard ébahi et avait traité la bête comme toute jolie queue mériterait d’être traitée.
Aucun tabou donc. Nous avions longuement parlé de ce que l’on ressentait après ce jour-là. De notre état d’excitation quasi permanent. En effet, il semblerait que nous ne soyons pas jumeau pour rien. Mon frère souffrait, si tant est que l’on puisse appeler cela de la souffrance, de la même insatiabilité que moi. Je le voyais d’ailleurs bander sous son short tout le long de la conversation. C’est ainsi que pendant nos premières années de fac je prenais régulièrement du plaisir avec mon frère qui ne se privait pas en retour. Ces pratiques incestueuses ont eu pour avantages de faire de nous des experts en la matière. Si bien que mes expériences avec d’autres hommes étaient toujours couronnées de succès.
Je devins vite la fille la plus populaire de l’université. Blonde, les cheveux bouclés, 1 mètre 75, des yeux d’un bleu clair renversant, une poitrine ferme et ronde, une silhouette de mannequin, j’étais ce que tout le monde s’accorde à appeler une jolie fille, une très jolie fille. Rajoutez à cela que je n’étais jamais contre une petite fellation en douce et vous obtenez le tableau. Moi, suivie d’une horde de mâles bouillonnants. Ma définition du bonheur.
Je pensais que mon addiction au sexe passerait avec le temps, que ça se régulerait et que ma libido deviendrait... normale. Mais il n’en fut rien, au contraire, plus je faisais du sexe plus j’en voulais. J’étais camée à la bite. Et j’adorais ça. Je me tapais donc non seulement mon frère, la plupart de ses amis et des jeunes hommes de ma classe, mais aussi certains profs. C’est à peu près à cette époque que j’avais cessé de porter des sous-vêtements. Ils ne me servaient à rien. Ils finissaient inlassablement sur le sol et me gênaient lorsque je voulais faire ça rapidement et discrètement. Comme dans un amphi, les toilettes d’un bar, ou à peu près n’importe où en réalité.
Je me doigte à présent sa retenu, mon invité de la veille toujours profondément assoupi, je rêve pourtant qu’il me prenne à cet instant. C’est avec 3 doigts profondément en moi que je replonge dans mes souvenirs. Passée ma première fois donc, déjà adulte et indépendante, vivant seule dans un appartement, je pouvais faire venir tous les mâles que je souhaitais, je deviens très rapidement obsédée par le sexe opposé, en érection de préférence. J’ai commencé par m’inscrire sur tous les sites de rencontres les plus connus. Je sortais beaucoup, dans des tenues indécentes. Et bien sûr ça payait, et paye encore. La salope en moi peut enfin pleinement s’épanouir.
A suivre.
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