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25 années dans la peau d'une salope

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Mon invité est parti, à vrai dire je m’en suis gentiment débarrassé lorsque la récréation fut finie. Un tel soulagement est apparu sur son visage quand je lui ai dit ne pas vouloir que l’on reste en contact, c’était risible. Dès qu’il a passé le pas de la porte, je me rue sur mon téléphone.
— Salut princesse, alors cette gueule de bois ?— Oui j’ai abusé hier soir.— Je ne me suis pas inquiété, j’ai vu que tu étais partie accompagnée.— C’est pour ça que je t’appelle, il vient de partir.
Avec les années, mon frère et moi avons grandement espacé nos moments d’intimité. Bien que l’on n’éprouve pas de honte à avoir été incestueux, chacun ayant une vie sexuelle satisfaisante, nous n’en éprouvons plus le besoin. Cependant, cette relation si spéciale et fusionnelle nous a rendus complices au point d’adorer raconter à l’autre toutes nos aventures. Je passe donc une heure au téléphone à lui raconter ma formidable baise au réveil. Je l’entendais souffler dans le combiné et savais qu’il était probablement en train de se toucher. J’avais moi aussi glissé un petit vibro entre mes jambes et ponctuais mon récit de râles de plaisir. Après avoir fini de relater ces faits, o combien excitants, mon frère me dit :
— Au fait, j’ai des gens à te présenter.— Dis-moi.— Un couple gay, enfin un des deux est bi, ils ne me l’ont pas dit tel quel, mais ça ne m’étonnerait pas qu’il cherche une femme pour un plan à trois. Tu devras sûrement leur faire un petit numéro de charme, mais je te fais confiance pour cela.
Dites-moi que je rêve ! En tant que sex addict, mon plus grand fantasme était bien entendu d’être entourée de males durs pour moi, et qu’ils m’utilisent comme bon leur semble. Je me rappelle parfaitement mon premier plan à trois. Lors d’une soirée avec des amis de la fac, je m’étais retrouvée dehors à fumer dehors avec deux potes. Je portais une robe très décolletée et si courte que tout le monde devait probablement savoir que je ne portais rien en dessous. Les deux jeunes hommes étaient un peu éméchés et ne tardèrent pas à me charrier sur ma tenue. « Tu vas attraper froid, y a un sacré courant d’air dans cette robe ». J’étais déjà émoustillée et je répondais à leur taquinerie en badinant, posant innocemment mes mains sur leurs torses et leurs bras. Le ton de la conversation était de plus en plus sexuel. Au bout d’un moment, je leur affirmais être sûre qu’ils bandaient tous les deux.
En disant cela, j’avais posé mes mains sur chacun de leurs entrejambes dont les braguettes étaient en effet prêtes à exploser. Parfaitement consciente de la chance qui s’offrait à moi, je leur ai dit que je pouvais les prendre tous les deux s’ils le souhaitaient.
Au début, ils firent la moue, peu enclin à partager leur intimité d’hétéro avec un autre homme. Je leur expliquais alors qu’ils n’auraient pas besoin de se toucher s’ils ne le souhaitaient pas, ils auraient bien assez à faire avec moi. Les deux garçons étaient désinhibés par l’alcool et, au comble de l’excitation, ne résistèrent pas longtemps. Je les entraînais dans une chambre de la maison où se trouvait la fête. Ils étaient clairement gênés, mais tout aussi curieux que moi de vivre ça. Je leur fis d’abord un court strip-tease enlevant la minuscule robe me couvrant à peine, puis j’entrepris de les mettre à nu à leur tour. L’un d’eux n’arrêtait pas de répéter qu’il n’en revenait pas. Leurs joues se teintaient de rouge, mais ils bandaient comme des ânes, et voir leurs deux verges pointer vers moi me faisait couler de plaisir. Je m’assis sur le lit, eux restaient debout face à moi, interdits, ne sachant que faire.
Je me mis donc à les branler simultanément, une queue dans chaque main, je réalisais mon plus gros fantasme et étais déjà au bord de l’explosion. Mon sang bouillonnait dans mes veines, mon souffle était coupé, mes jambes incapables de répondre à l’appel. Je les sentais si impatients que ça ne dura pas longtemps. Je leur demandais ce qu’il voulait me faire. Ils bafouillèrent un peu, mais se mirent d’accord pour commencer avec un dans mon sexe et l’autre dans ma bouche, et qu’ils alterneraient.
J’ouvrais déjà grand les cuisses et tendais la langue pour recevoir leurs beaux appendices. Ils mirent des capotes et le ballet commença. Un des deux se planta dans mon con ruisselant, et se mit à me pilonner avec fougue. L’autre n’y alla pas plus doucement avec ma bouche, me tirant violemment les cheveux pour faire rentrer toute sa hampe dans ma gorge. Leur goût pour le porno se ressentait dans leur façon de faire, c’était loin d’être parfait, mais la simple idée que j’étais belle et bien partie pour m’occuper de deux hommes toute la nuit compensait largement leur maladresse. Je mourrais de plaisir, ainsi prise comme je ne l’avais jamais été. Quand ils échangèrent leur position, mon propre goût enrobant le sexe qui venait se placer dans ma bouche offerte me fit presque jouir. Ils se donnèrent dans cette position encore un moment lorsqu’un des deux, enhardi par ce que nous étions en train de faire, demanda à l’autre s’il n’avait pas envie de tester la double pénétration.
Je ripostais. Il semblait oublier que c’était à moi de prendre ce genre de décision. Ils s’excusèrent, tout penauds. Je souris de les voir si contrits, leurs bites tendues dans l’expectative de la suite.
— Vous avez de la chance, je rêve aussi de vivre une chose pareille.
Ces deux idiots étaient fous du bonheur. Moi aussi je dois bien l’avouer. Cette pratique, que je n’avais vu qu’en regardant du porno où lisant des hentaï, m’avait toujours fait un effet incroyable. Quel bonheur ce doit être de se faire remplir ! Nous mîmes du temps à trouver la position adéquate, aussi inexpérimentés les uns que les autres. Mais bientôt, une verge poussait l’entrée de mon cul tandis que l’autre plongeait sans difficulté au fond de mon vagin. Je perdais la raison et laissais échapper des cris puissants de plaisir, quelle sensation indescriptible. Sentir les deux sexes se frotter l’un contre l’autre à travers ma paroi était au-delà de tout ce que j’avais imaginé. Mes yeux roulaient en arrière dans mes orbites et mes deux compagnons n’y allaient pas de main morte. Ils baisaient comme des morts de faim. Comme si leur vie en dépendait. La cadence était folle.
Je jouis presque immédiatement et fort heureusement, car avec ce que nous avions déjà fait, et leur rythme fou pour me prendre simultanément, les garçons ne purent se retenir plus longtemps et jouirent en moi en grognant.
Je venais de vivre une nouvelle première fois, et pas des moindres. Je ne savais pas trop où tout cela allait me mener. Est-ce que je serais capable d’avoir une vie normale un jour ? Sans que ma sexualité ne prenne toute la place ? Comment survivre dans le milieu du travail, comment tomber amoureuse, comment fonder une famille, si on est obnubilé par une seule chose à ce point-là ? Je vis un thérapeute un temps, et je dus en changer pour une vieille femme, petite et laide. En effet, le premier psy, avec ses cheveux poivre et sel et ses chemises entrouvertes m’empêchait de me libérer de mon démon. Je ne pensais qu’à une chose, ouvrir sa braguette et voir surgir l’objet de ma convoitise, et de tous mes tourments.
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