Au mois d’avril, ma marraine me propose de venir à l’anniversaire des 18 ans de sa fille Johanna, ma cousine donc. L’anniversaire se déroule dans un grand restaurant. Ma cousine et ses copines ce sont habillées très chic pour l’occasion : robe de soirée et talon haut. La soirée s’est plutôt bien passée jusqu’à que ma cousine me demande de venir en boite avec elle et ses copines. Malheureusement, les boites de nuit je déteste ça. J’ai donc refusé poliment l’invitation. Ma marraine me propose de me ramener chez moi puisqu’ils passent devant. Elle me demande d’attendre à l’arrière de sa fourgonnette pendant q’elle va chercher Johanna et ses copines. Que ne fut pas ma surprise, quand je vois arriver ma cousine pieds nus, ses talons à la main. Je ne peux m’empêcher de regarder ses pieds pendant qu’elle discute avec ses copines. Au bout de quelques minutes, elle s’aperçoit que je regarde ses pieds et elle me dit : — « Eh ! le cousin, tu mates mes pieds ? » Que lui répondre ? alors j’ai préféré rien dire plutôt que de me griller. A ce moment-là, ma cousine s’approche de moi et appuie un de ses pieds sur ma braguette, tout en me caressant, elle me demande si ça me plait. Je ne peux répondre que oui. Alors elle me prends le bras, me tire et prends ma place. Puis elle me regarde en rigolant (comme ses copines d’ailleurs), me tends ses pieds et dit : — « Vas-y léche ! »— « Non, sans les mains ! » Je me mets a genoux devant elle et commence à lui lecher les pieds devant ses copines hilares. Un peu plus tard, ma marraine revient et nous dit : — « Mais enfin, pas au milieu de la rue comme ça, allez au moins vous mettre dans la fourgonnette, je reviens, je dois finir de ranger nos affaires » nous dit ma marraine pas plus étonnée que ça Et nous voilà installés ma cousine, ses copines et moi à l’arrière de la fourgonnette. Nous reprenons alors notre séance de léchage mais cette fois ci ses copines ont décidées d’être de la fête. Elles se sont alors déchaussées et je n’avais plus deux mais huit pieds à nettoyer consciencieusement. Au bout d’un quart d’heure, je commençais à en avoir assez de lécher, je regarde ma cousine et je lui dis : — « Et si on passait à autre chose ? » En regardant ma braguette et mon pénis durcit en dessous, elle avait bien sûr compris de quoi je voulais parler : — « Pourquoi pas ? Qu’es-ce que tu veux ? »
Après cette question plus qu’alléchante, je me lève, me déshabille, et présente mon sexe en pleine érection devant la bouche de ma cousine. Cette fois ci, c’est elle et ses copines qui sont à mon service. Tout d’abord, je commence par sentir la bouche douce de ma cousine puis ses copines s’en mêlent, et tour à tour, elles s’y vont de leurs gâteries. Enfin, voyant que j’ai envie de jouir, ma cousine me demande : — « Et pour finir, ça sera quoi ? » Et je lui réponds : — « Tu sais branler ? »— « Oui bien sûr ! ! ! »— « Mais es-ce que tu sais le faire avec tes pieds ? »— « Ah, ça non, va falloir que tu me montres comment faire ! » Je prends ses pieds et je mets mon sexe entre ses plantes. Je commence alors à me branler de plus en plus fort pour éjaculer tandis que ses copines mes caressent les couilles avec leurs pieds ou me les remettent dans la bouche. Je sens venir l’extase finale quand, brusquement, ma marraine ouvre la porte de la fourgonnette. Elle me regarde en rigolant et dit : — « Alors, ils te plaisent les pieds de Johanna ? Tu aimerais te finir dessus hein ? » Que lui répondre à part oui, bien sûr. Mais là, elle me dis : — « D’accord, mais tu feras pas ça comme tu veux ! » Elle monte alors dans la fourgonnette et se place derrière moi. — « Johanna, vas-y place tes pieds »— « Allez, c’est partit pour le final » Elle prend mon sexe et me branle avec vigueur. Au bout d’un certain temps, voyant que je n’y arrive pas, ma marraine me dit : — « Hé dis, Gilles ; je suis pas venu là pour m’amuser ! » Elle enlève sa main droite de mes couilles et prends mon sexe entre ses mains puis elle me branle avec encore plus de vigueur. Elle a aussi demandé aux copines de Johanna de s’occuper un peu plus de moi avec leurs pieds : quatre qui me caressent les couilles et deux dans la bouche, et c’est repartit pour un tour. Au bout de deux minutes de cette branlette intensive, ma marraine me chuchote à l’oreille : — « Allez, gicle lui sur ses jolis pieds ! Allez !!! » Elle rajoute à l’attention de Johanna et de ses copines : — « Joyeux anniversaire, Johanna ! Joyeux anniversaire, Johanna ! » Et les voila qui reprennent la célèbre chanson toutes ensemble. En entendant cette musique entraînante et avec le coup de cette branlette de plus en plus violente, je vois mon sperme gicler sur les pieds que ma cousine présente devant moi depuis que je me fais branler par ma marraine. — « Vas-y, c’est bien, continue ! encore, encore ! » Une fois extrait tout le jus possible, ma marraine lâche mon sexe, secoues ses mains pleine de sperme et me félicite pour le travail accomplit. Je m’assois sur le fond de la fourgonnette tout en regardant ma cousine Johanna, et ses copines, lécher le sperme je viens de déposer sur ses pieds.