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L'anniversaire de mariage

Chapitre 2

Nouvelle saison, nouveaux projets

Lesbienne
[Ce second chapitre se veut un épilogue pour la dernière aventure vécue par nos trois héroïnes, tout en étant le point de départ vers une nouvelle histoire.]
 - Arrête, Ali, j’ai les mains pleines! Tu vas me faire tout échapper!
 Alors qu’elle s’était légèrement inclinée vers l’avant afin de servir les convives attablés à l’occasion de ce dîner spécial, Catherine sentait une main furtive s’infiltrer sous sa jupette et la chatouiller irrésistiblement entre les fesses.
 - Tu es craquante, Cathy, dans ton costume de soubrette. Je n’ai pas pu résister. Tu me fais tellement mouiller! répondit, souriante, la femme médecin assise à ses côtés en retirant la main indiscrète et espiègle. - Attends au moins que j’aie les mains libres. Je pourrai alors me défendre! ajouta coquinement la blonde en déposant le potage fumant sur la table.
 C’est dans une joyeuse atmosphère de détente que l’on célébrait de nouveau l’anniversaire de mariage des deux tourterelles, Sophie et Alicia. Une autre année venait de s’écouler, ainsi qu’une autre saga, celle-ci un peu plus abracadabrante (Nda : Lire ‘Trahisons, ou le Retour de la Grande’). Avec le temps, le quotidien avait toutefois repris ses droits. Libérée de son passé de tortionnaire, Evnika Kristensen s’était envolée pour sa Norvège natale en compagnie de sa nouvelle et tendre épouse Amélia. Chaque membre du trio saphique de Saint-Hyacinthe était parvenu à réintégrer son emploi respectif au Centre intégré de Soins de santé et de Service sociaux de la région, au terme d’une absence imprévue qui fut créditée sur le compte d’un congé sans solde conventionné. Il faut dire que la pénurie de personnel aidant, Alicia put reprendre aisément ses fonctions d’urgentologue à l’hôpital Honoré-Mercier et Catherine, son rôle d’infirmière au triage de l’urgence. Le manque criant de psychologues pava la voie au retour en fonction de Sophie qui réintégra son bureau du CLSC comme si de rien n’était.
 Réunies autour de cette table festive se trouvaient donc nos trois amies qui, pour la circonstance, accueillaient un invité tout à fait spécial, Simon Simpson. Ce vieil ami, connu depuis l’histoire fantastique du Resort, avait ainsi joyeusement répondu à l’invitation que lui avait adressée le couple lesbien, en plus d’être sollicité en vue d’apporter une contribution hors de l’ordinaire à un projet qui était maintenant devenu cher au cœur des deux amoureuses. L’atmosphère était donc aux réjouissances pour de nombreuses raisons : retour au ‘Home Sweet Home’, retrouvailles entre amis, festivités entourant l’anniversaire de l’union des tourterelles, ainsi que pensées d’avenir… C’est en l’honneur des fêtées que Catherine avait pris l’initiative de préparer et de servir le repas du soir, auquel s’était donc joint Simon, ce mystique personnage qui, à la stupéfaction de toutes dans l’histoire du Resort, s’était révélé aux filles comme étant l’incarnation de simson3, le super auteur à l’origine de leurs péripéties. Portant la tenue vestimentaire héritée de l’histoire ‘Trahisons’, Catherine assurait candidement le service sous les yeux amusés des deux autres femmes et de l’homme qui souriait de satisfaction en assistant à ce moment de détente et de gaieté. La femme qui portait comme coiffure deux longues nattes blondes lui descendant derrière les épaules et qui lui donnaient un air d’étudiante, avait revêtu un costume de soubrette noir à fort décolleté se terminant par une jupette légèrement crêpée à rebord de dentelle blanche, insuffisamment longue pour couvrir entièrement ses fesses nues. Le décolleté lui-même était bordé de fine dentelle blanche et laissait entrevoir le pourtour des aréoles culminant les seins de la femme. Un ruban de couleur blanche entourait la taille pour être lacé à l’arrière. Un minuscule tablier blanc couvrait l’avant du tissu sombre de la jupette. Un serre-tête et des bas résille noirs allant aux cuisses complétaient le tout. En se penchant le moindrement, la fille sans sous-vêtements se trouvait à offrir aguichamment tout son postérieur ainsi que son sexe humide et parfumé à la vue amusée (ainsi qu’aux mains furtives) de chaque convive présent à cette table.
 Il y avait des lunes qu’Alicia ne s’était pas sentie aussi bien ni aussi gaillarde. Après cette malheureuse période, indûment longue, d’humiliation, de frustration mais surtout d’apparente séparation d’avec sa biche vécue chez la Grande Evnika, la femme aux cheveux noirs et aux yeux pers, dans son espièglerie, n’avait cessé d’adresser des regards faussement réprobateurs à Simon Simpson, le grand responsable de leurs derniers déboires.
 Se sentant maintenant presqu’aussi gamine que sa conjointe Sophie, c’est tout à fait coquinement qu’elle saisit alors la main de cette dernière qui lui faisait face à la table afin de lui faire le baise-main avant de procéder à un baise-fesse chez Catherine qui se trouvait toujours debout à ses côtés, achevant de déposer les derniers plats.
 - Minet, lâche-la un peu! réprouva la rouquine sans conviction. Tu vas rendre mes foufounes jalouses. Et puis, c’est NOTRE anniversaire ce soir, avec un petit spécial en plus.
 Alicia rabaissa la jupette de leur amante commune qui se trémoussait aguichamment en réponse à ces attouchements. Cette belle blonde à la silhouette légèrement élancée, aux yeux d’un bleu royal et au nez retroussé, dont elles avaient fait la connaissance dans l’aventure du Resort, faisait à présent partie de leurs histoires, partageant leur toit, leurs ébats nocturnes, leur vie.
 - Cathy, tu es notre plus beau cadeau depuis notre mariage, avoua la femme au corps athlétique à la jeune femme qui n’avait cessé de sourire face aux gestes qu’elle avait reçus sur son intimité. Ta petite moule humide me fait toujours baver et tes fesses sont si invitantes!
 - Oh, Ali, arrête! répondit l’autre. C’est pour vous amuser que je m’habille de même, pas pour me faire demander en mariage! - Vous faites vraiment un beau trio, intervint Simon. À vous voir, c’est difficile de dire qui est mariée et avec qui! - C’est vrai, Simon, approuva Sophie qui n’exprimait aucune pointe de jalousie. Catherine baise si bien que des fois, je ferme les yeux et je me demande qui des deux baise le mieux, Cathy ou Ali. - Ben je te demande bien pardon, mademoiselle Sophie, sembla s’indigner sa conjointe. Après Evnika, tu vas dire que c’est Cathy qui te procure les plus gros orgasmes? - Holà, vous m’arrêtez ça tout de suite, les filles! les interrompit d’une voix faussement autoritaire Catherine qui venait de prendre place à l’autre bout de la table. Si vous continuez, je remets immédiatement ma petite culotte et ce sera fini le tripotage. Maintenant mangez votre potage!
 Ainsi s’amorça ce dîner d’anniversaire: d’un côté de la table, un jeune homme avançant dans la vingtaine qui sentait une bosse prendre inconfortablement forme dans son pantalon, et des trois autres des filles, dans la vingtaine également, le conin trempant dans une cyprine fraîche qui mouillait leurs petites culottes ou une jupette trop courte pour garder les fesses à l’abri des regards indiscrets. Nonobstant cette situation, Catherine reprit son discours salace, ravivant de mouillants souvenirs de leur dernière aventure :
 - Lorsque j’exerçais mes fonctions de soubrette chez les filles d’Evnika, je me sentais si exposée, habillée de la sorte, que je me sentais presque obligée d’aller me cacher quand j’avais envie de péter. Souvent, m’attardant dans une chambre, j’espérais le retour prochain d’une esclave d’Evnika, passant et repassant sans arrêt mon plumeau sur ses meubles tout en mouillant à l’avance tellement je me sentais excitée! Rendue chez Kathleen et Corinne, je surveillais avec impatience leur arrivée. Quelquefois, les deux se présentaient à moi en même temps, et là c’était le party! Pendant que la première, à genoux,  soulevait mon vêtement en avant afin de me lécher le minou, je sentais l’autre m’enlacer par derrière, son gode-ceinture prêt à me défoncer le cul. Une autre fois, c’était Sandra et Lucie qui attendaient toutes deux mon passage dans leur chambre, dans le but de me sauter. Pendant que Lucie me montrait l’espace poussiéreux sous le lit, Sandra se mettait à me lécher le derrière, me surprenant au sol en position de levrette. Tout ça c’était ben le fun, mais j’accumulais du retard dans mon horaire! Cathy se tourna vers Simon et conclut, avec un sourire coquin :
 - La prochaine fois, je te donnerai mes mesures pour que tu puisses m’habiller plus décemment! - C’était d’autant plus amusant que la Maîtresse avait interdit tout contact physique entre ses filles et toi, précisa Sophie entre deux cuillerées de soupe. - Oui, tout à fait, approuva la blonde, mais qu’est-ce qu’on s’en foutait!
 Catherine s’adressa de nouveau à Simon :
 - D’autre part, tu le savais très bien, puisque tu es l’auteur de nos aventures,  que Tyranny m’examinerait à fond lors de notre première rencontre dans le camper (Nda : lire ‘Trahisons, ou le Retour de la Grande’, chap. 13). - Ben oui, pis après? répondit l’autre d’un air faussement surpris. - T’aurais pu au moins faire en sorte que j’aie des boyaux plus présentables! Tu ne peux pas savoir à quel point je me sentais mal, stressée et inquiète devant sa réaction à la suite de l’examen interne qu’elle m’avait fait! J’étais presque certaine d’avoir tout foutu en l’air et de ne jamais pouvoir retrouver Sophie ni Ali. - Ben la prochaine fois, tu lui expliqueras… - Ben oui, c’est ça : Excuse-moi Tyranny. Tu sais, nous sommes dans une histoire et l’auteur a complètement oublié que tu me ferais cet examen. C’est donc pas de ma faute! Elle ne te connaît même pas! Comment voudrais-tu qu’elle comprenne? - Je ferai un effort pour y penser, à l’avenir, s’excusa l’homme en dissimulant un sourire espiègle. - Tu as vraiment ensoleillé les journées des esclaves d’Evnika, Catherine, conclut Alicia. Plusieurs filles m’en avaient reparlé. Tu étais leur rayon de soleil quotidien! - Ouais, c’est vrai. Il n’y avait qu’Amélia qui ne me touchait pas. Je crois qu’elle était encore un peu gênée, cette petite nouvelle. - Oh mais je pense qu’elle avait déjà son petit penchant secret pour Evnika. D’ailleurs, on  le sait, cela a fini par un mariage… conclut Sophie. - Justement, annonça Alicia en ouvrant sa tablette, nous avons reçu un e-mail ce matin. C’est Evnika qui nous écrit. Le courriel dit ceci :
 Chères amours, Nous vous écrivons afin de vous donner quelques nouvelles. Nous sommes bien rentrées en Norvège, Amélia et moi, et continuons de filer le parfait bonheur. Nous nous sommes installées dans une coquette petite maison de campagne où nous vivons des moments heureux. Mon Amélia est une insatiable petite cochonne avide de sexe (Sophie avait raison!) et elle est pour moi source d’immenses joies (incluant les orgasmes qu’elle me procure si habilement). Mon plus grand bonheur est cependant la délivrance que vous m’avez toutes les trois offerte. Votre présence parmi nous a complètement changé nos vies. Je vous en serai éternellement reconnaissante. Merci à la belle Sophie d’avoir ‘déverrouillé’ mon clito et de m’avoir fait connaître mes premières véritables joies sexuelles. Merci à Alicia et à Catherine pour votre patience et votre compréhension à mon égard. Toutes trois, vous avez contribué à me faire connaître ce qu’est l’Amour, ce merveilleux sentiment qui est la clé du véritable bonheur. D’autre part, je sais que je vous en ai fait baver, sachez que ce sont toujours d’amers souvenirs à ma mémoire. Votre pardon est mon plus grand trésor, après ma belle petite Amé. Nous serons toujours ravies d’échanger avec vous. Sachez aussi que des chambres vous attendent chez nous et que vous serez toujours les bienvenues. Bises,
 Evnika Kristensen
 - Une photo est jointe à l’envoi, reprit Alicia. - Wow! fit Sophie, c’est elle? On ne la reconnaît plus avec ses longs cheveux éclat de soleil. - Ouais, approuva Catherine. Elle ne peut nier ses origines scandinaves! Et sa petite Amélia qui se blottit dans ses bras. Ce couple est vraiment craquant! - Sans ses piercings, elle semble toute en douceur. Seules ses oreilles trahissent encore son passé… - Crois-tu qu’elle porte encore sa perle noire sur la langue? demanda Alicia. - C’est le clito d’Amélia qui le sait et ça, je pense que ça restera un secret! gloussa Sophie.
 Alicia mit sa tablette de côté. Tous les convives virent par la suite les yeux de Sophie se gonfler d’eau.
 - Ça va, ma belle biche? remarqua Alicia. Tu as l’air triste, tout d’un coup. - Je t’ai tellement fait de peine! fit la rouquine en éclatant en sanglots. T’as tellement souffert à cause de moi dans cette histoire. Me pardonneras-tu, mon minou?
 Sur ces mots, Simon et la femme se levèrent pour réconforter la pauvre fille.
 - Allez, ça va, ma bibiche. Tout est fini, là. Oublie tout ça, c’est terminé! la consola sa conjointe en jetant un regard complice à Simon qui ne pouvait nier être à l’origine de ces moments de malheur. C’est le vilain monsieur ici présent qui a été la cause de tout ça. - Oui, c’est moi le responsable, approuva Simon en frottant le dos de la fille en pleurs. Tu n’y es pour rien, Sophie. Rassure-toi. - Je m’excuse, les amis. Je me sens très émotive, ce soir. - Nous comprenons très bien pourquoi, Sophie, reprit Simon. C’est une soirée spéciale, vraiment spéciale pour vous deux, mes belles filles. Allez, tout se passera bien!
 Ce court moment d’émotions terminé, le repas se poursuivit dans la bonne humeur, Sophie ayant rapidement retrouvé son habituel caractère enjoué. La ‘Surprise aux ananas’ préparée par Catherine pour dessert fit l’enchantement de tous. Comme convenu, les convives se levèrent de table et prirent leur thé au salon après quoi, ils se séparèrent temporairement, les deux fêtées prenant la direction de leur chambre et Simon accompagnant Catherine dans les appartements de cette dernière.
 - Je suis vraiment heureuse pour les filles, affirma Catherine après avoir refermé la porte derrière elle. Je les sens déjà épanouies juste à y penser! - C’est vrai, approuva le jeune homme. Et c’est un honneur pour nous de partager ce moment de bonheur avec elles. - Au départ, elles n’envisageaient pas de le faire si tôt. Mais comme on ne sait jamais ce que nous réserve l’avenir…
 Les deux s’assirent sur le bord du lit de la femme. Catherine regarda Simon dans les yeux.
 - Bon, t’es prêt? On y va tranquillement? lui dit-elle. - Oui, d’accord. On y va. - T’as respecté tes cinq jours d’abstinence, mon beau garçon? lui demanda-t-elle encore. - Ça va aller, pas de problème. Je suis chargé à bloc! Par contre… je me sens un peu nerveux, Cathy. Tu sais, c’est pas tous les jours que… - Oh, pauv’ p’tit chou! sembla se moquer la fille. T’as besoin qu’on te prenne par la main? Cathy est là, mon beau bébé. Allez, on va faire ça tout en douceur.
 Catherine entreprit de déboutonner la chemise que portait Simon. Les mains ainsi affairées, elle posa ses lèvres souriantes sur celles de l’homme qui ferma les yeux, dans l’expectative. Les bouches se scellèrent et se mouillèrent mutuellement, faisant jouer les langues dans une occulte valse sensuelle. Pendant ce temps, de douces mains féminines continuaient de s’affairer sur le corps chaud et musclé de cet homme qui faisait abondamment mouiller la fille sur ses draps. Ne portant plus que son boxer, Simon se fit inviter par Catherine qui s’était levée du lit et avait levé les bras au ciel, à faire remonter son costume de soubrette jusqu’à l’en débarrasser complètement, exposant toute l’anatomie de la jeune infirmière jusqu’aux moindres recoins de son intimité. Un corps soyeux et parfumé, dans la jeune vingtaine, s’offrit à la vue et la convoitise du mâle, dévoilant une poitrine appétissante que l’homme se rappela avoir fait prendre du volume dans l’histoire du Resort (Nda : lire Le Resort, chap. 7). Les seins étaient encore de grosseur moyenne mais néanmoins fermes, leurs tétons pâles et invitants étant déjà au garde-à-vous. Un minou aux fins poils blonds et frisottés s’offrit également à la libido de Simon, celui-ci conscient que seuls ses yeux en profiteraient pour le moment. Un dernier geste de la part de la fille libéra finalement l’organe viril rigide et fièrement dressé de Simon qui haletait d’excitation devant cette Vénus qui semblait maintenant s’offrir à lui. On entendit alors toquer à la porte. Impassible malgré sa nudité, le couple qui s’était rassis au bord du lit vit apparaître sous le cadre de porte le couple de jeunes lesbiennes cette fois-ci toutes les deux vêtues d’affriolantes pièces de lingerie fine en dentelle bleue et turquoise. Sophie se tenait contre Alicia, blottie dans ses bras, silencieuse, ses cheveux roux défaits cachant aguichamment une partie de son visage.
 - Belle érection! s’exclama Alicia. Ça promet. Mais vous êtes pas plus avancés que ça? demanda-t-elle encore sur un air de dépit. - Ben quoi? répondit Catherine, y a pas le feu! On a toute la soirée! - On en a une qui est nerveuse ici, précisa la femme aux cheveux d’ébène en serrant très fort sa petite biche contre elle.
 Catherine et Simon se regardèrent, souriant et haussant les épaules comme deux gamins pris en défaut. Comme seule réponse, la fille pris en main l’organe viril maintenant fortement bandé et se mit doucement à le branler devant les yeux des deux gouines.
 - Bon ben Sophie, dit alors la femme médecin en tournant la tête vers son amoureuse, je crois qu’on a amplement le temps de s’envoyer en l’air une couple de fois. S’il vous plaît, m’sieur-dame, ajouta-t-elle aux autres sur un ton presque suppliant, grouillez-vous le derrière, quand même!
 La porte se referma sur le couple hétéro. Les deux gloussèrent de rire.
 - On a intérêt à ne pas trop les faire attendre, je crois, affirma la fille en se mettant à genoux face au mâle assis dont la bite était on ne peut plus prête à passer à l’action.
 Catherine se posta aux pieds de l’homme. C’est dans un délicieux gémissement de plaisir que Simon sentit son pénis englouti dans la chaude bouche de la jeune femme qui amorça aussitôt une historique fellation. Les yeux fermés, tout en pelotant doucement les seins soyeux qui se dressaient devant lui, l’homme se laissait bercer par les agréables caresses et mouvements de succion que la blonde distribuait généreusement autour de l’instrument sur le point de livrer sa marchandise. Au bout de quelques secondes à peine, l’homme pressa doucement les épaules de sa partenaire. C’était le signal convenu. Approchant l’objet stérile, l’infirmière retira rapidement l’organe frétillant de sa bouche, en essuya le méat à l’aide d’une lingette humide et en dirigea l’extrémité vers la seringue de 50 ml tout en maintenant avec les doigts ses gestes de masturbation. Le précieux liquide séminal tiède et abondant coula par giclées au fond du récipient, alors que l’infirmière achevait de secouer la bite encore en action. Ayant réinséré le piston dans le cylindre, assurant ainsi la protection de son noble contenu, Catherine remit en bouche le valeureux organe de Simon qui apprécia ce geste de nettoyage empreint de gratitude.
 - J’y vais, annonça sans tarder Catherine en se hâtant de saisir une petite culotte au passage, arborant de son côté un sexe luisant d’une mouille teintée d’abnégation. - Je serai avec vous en pensée, répondit un Simon tout souriant, en s’étendant sur le lit.
 (À venir : Le Miracle de la vie)
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