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L'anniversaire de Mawara

Chapitre 2

Trash
— Déjà, écarte bien tes cuisses... Elle le fit sans plus rechigner. Fred s’accroupit à côté d’elle, et alla directement fouiller sa chatte avec deux doigts. Il s’approcha de son oreille, et lui murmura :— Alors, Mawara... on commence déjà à s’humidifier dis-donc... C’est quoi qui t’excite comme ça ? Mawara ne répondit rien... Elle contracta légèrement son ventre autour de ces deux doigts qui commençaient à aller et venir en elle. Romain lui titilla alors les tétons. Elle se raidit.— Je crois que de ce côté ci aussi, ça commence à lui faire de l’effet, constata-t-il.— Alors, insista Fred, c’est quoi qui te met dans cet état?— Je...— Allez...— Que vous me touchiez...— Hein ? C’est seulement qu’on te caresse qui te fait cette effet là ?— Oui..— Putain, ma salope, lança Manu... si tu mouilles pour deux doigts, qu’est-ce que ça va être quand on va te baiser ! Mawara se crispa quelque peu, se mordant les lèvres inférieures.— Tu es consciente qu’on va tous te passer dessus, hein ? Demanda Romain.— Ouuui, répondit-elle doucement...— On va tous se payer ta chatte et ton cul, tu le sais ?— Ou-ui... répondit-elle en soupirant...— Putain, intervint alors Marco, c’est moi, où elle réagit particulièrement quand on lui explique qu’on va tous la défoncer ?— J’ai bien l’impression, dit Manu...— Alors, lui demanda à l’oreille Fred... c’est quoi qui t’excite vraiment, hein ? Parce que c’est vrai que mes doigts sont de plus en plus trempés...— C’est... c’est de me faire prendre... sa voix était menue, son regard baissé...    J’intervins alors :— Mawara chérie... parle plus fort, on ne t’entend pas... regarde donc la caméra et dis lui à voix haute et intelligible ce qui t’excite ! Mawara releva la tête, chercha des yeux l’objectif, toujours sous la houlette d’Alex, et, les yeux braqués vers la caméra :— Ca m’excite de savoir que vous allez me prendre.
— Te prendre, dit Fred, t’es sûre qu’on va te « prendre », t’es sûre que c’est le mot ?— Je...— Tu sais parfaitement ce qu’il faut dire, Mawara, aller, te fais pas prier, lança Romain.— Vous aller me baiser...— Plus encore...— Me défoncer ?— Ouuuiii, voilà... et comment on va te défoncer ?— Comme... comme...— Aller, chérie, l’encourageais-je, dis le, dis le ce mot... on l’attend tous...— Vous allez me défoncer comme une chienne. Manu s’installa derrière elle, et lui prit le visage dans les mains, le dirigeant vers la caméra d’Alex :— Aller, maintenant, dis pour de bon à la caméra ce qui t’excite :— Ça m’excite de savoir que vous allez me défoncer comme une chienne, récita ma chérie.— Et pas qu’un peu, lança Fred en enfonçant ses doigts trempés dans la bouche de Mawara. Aller, suce la bien, ton excitation !— Et après, ajouta Manu, puisque l’idée d’être une chienne l’excite, qu’elle se foute à quatre pattes. Mawara nettoya consciencieusement les doigts de Fred, et fit ce qu’on lui demandait. Marco lui demanda de relever sa croupe et d’écarter les cuisses. Manu en profita pour la prendre par la taille, et pour être le premier à s’enfoncer dans son ventre. Elle poussa un léger cri de surprise quand la bite s’enfonça en elle. Romain et Fred présentèrent leur sexe devant sa bouche. Mais Mawara les ignora, concentrée sur Manu qui allait et venait fermement dans son intimité. Fred lui empoigna les cheveux, lui tournant le visage vers lui :— Hé ho, petit sac à foutre... ta bouche aussi est de la partie, alors va falloir nous sucer, compris ? Mawara ouvrit alors timidement sa bouche, dans laquelle Fred, d’autorité, enfonça sa bite bien dure. Pour son âge, je dois admettre qu’elle était déjà une bonne suceuse. Du coup, une fois mise en situation, elle sut faire preuve d’un savoir faire qui enchanta mon pote. Il laissa ensuite la place à Romain, puis Mawara comprit ce que l’on attendait d’elle, et passa de l’un à l’autre, et de l’autre à l’un. Pendant ce temps, Manu, la besogna avec enthousiasme. Assez rapidement, sa bite commença à ressortit de l’entrecuisse de Mawara luisante d’humidité.— J’ai l’impression qu’elle commence à apprécier mes attentions!Au bout d’un moment, sous la pression des autres, Manu finit par laisser sa place à Marco :— Putain, mec... cette petite chatte... toute chaude, toute jeune... un délice : profite ! Marco ne se le fit pas dire, et s’installa derrière elle, et s’enfonça d’un coup... et la "bourrina" sans merci, agrippé à ses hanches.— Prends ça, petite pute !    Mawara écarta imperceptiblement ses cuisses un peu plus, et de sa bouche emplit tantôt par la queue de Fred, tantôt par celle de Romain, s’échappait ce qui ressemblait à de légers gémissements. Elle était belle ainsi prise entre les cuisses et dans la bouche... elle était belle à quatre pattes, offerte et bien remplie! Je m’approchai de son visage, lui caressai doucement les cheveux, et lui murmurai à l’oreille :— Tu es belle ma chérie... tu es si bandante comme ça... Je t’aime de te voir ainsi être une chienne rien que pour mon plaisir... Merci, merci d’être ma putain docile. Je lui calai un bisou sur la joue, et me relevai.— Quelqu’un prend ma place ? Demanda Alex. C’est que j’ai envie d’en profiter, moi aussi... et il se trouve que son trou du cul est libre, à la petite. J’acceptai la caméra qu’il tendait. Marco se retira. Fred se mit sur le dos :— Viens donc t’empaler sur ma bite, salope... tu vas voir qu’elle va avantageusement remplacer mes doigts !— Regarde moi, chérie ! ajoutai-je Mawara enjamba Fred et, sans quitter des yeux la caméra que je braquais sur elle, s’installa à califourchon sur lui, et s’enfonça doucement autour de sa queue. Je connaissais ce regard qu’elle me lançait par objectif interposé. Et j’en étais heureux!— Ca te fait du bien ?— O-oui... expira-t-elle quand Fred fut tout entier en elle. Elle se releva doucement, se rabaissa...— Oh putain, ce mouvement de bassin ! Fred posa ses mains sur les hanches de ma princesse. Vas-y, bébé, embroche toi bien !— Elle te fais du bien la bite de Fred?— Oui... c’est bon.— Tu mouilles de te faire baiser par un autre que moi?— Oui... elle baissa les yeux.— Regarde moi! Et dis moi ce que tu es d’aimer qu’une bite que la mienne de défonce la chatte!— Je suis... je suis une salope.— Et ça te fait du bien d’être une salope, hein?— oui.    J’avais du mal à interpréter le regard avec lequel elle me fixa pendant ce dialogue. J’y voyais de la honte, beaucoup de honte. Mais son bassin démentait son regard, car elle avait commencé à adopter un mouvement, un rythme qui permettait à Fred de s’enfouir profondément en elle. Son regard niait ses paroles... mais son corps les confirmait! Manu et Romain s’installèrent de chaque côté, sexe dressé... Mawara les prit en main, sans qu’on ait à lui dire quoi que ce soit, et commença à les masturber. Alex, quant à lui, s’installa derrière elle, se tartina les doigts de gel lubrifiant, puis les passa autour de la rosette de ma chérie. Alors qu’elle baissait la tête en gémissant doucement, se laissant de plus en plus aller au travail de la queue qui la pénétrait, elle se raidit d’un coup.— Pas d’inquiétude chérie... c’est juste Alex qui va t’enculer... ce n’est rien. Tu verras comme c’est bon d’être prise en sandwich. Une bonne salope comme toi se doit d’être également une bonne petite enculée! Lorsque le gland d’Alex se posa sur son cul, Mawara me lança un regard de panique. Soudain, elle poussa un hurlement : je sus que mon pote était en elle, tout entier, et qu’il n’avait pas pris de gant pour entrer.— Oh la vache, j’adore les culs étroit comme le sien ! Des larmes commencèrent à couler sur le visage de Mawara pendant qu’Alex commença à aller et venir dans son cul. Marco vint alors s’installer dans sa bouche, agrippa ses cheveux, et la baisa comme il l’avait fait de sa chatte. Je n’en perdais pas une miette avec la caméra.— Tu es belle, chérie... ma putain es belle tous ses orifices ainsi comblés ! C’est vrai que Mawara était magnifique... elle n’avait jamais été aussi excitante qu’à ce moment, prise comme une chienne de tous les côtés ! Ma caméra captura son regard à ce moment précis... il était particulièrement ambiguë : on pouvait y déceler la douleur de la sodomie d’Alex, le plaisir de la pénétration de Fred, l’humiliation d’être ainsi utilisée, de m’entendre ainsi la qualifier de putain, de salope et d’enculée... mais je décelais également, dans ce regard humide, une certaine fierté à être belle à mes yeux, une certaine fierté d’être capable de combler mes désirs, quels qu’ils soient. Mawara c’était offerte, et la soirée ne faisait que commencer... A 18 ans, ma chérie se montrait prête à se comporter en bonne chienne docile !
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