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Un anniversaire mémorable

Chapitre 1

Inceste
Un anniversaire mémorable
Ça va être la fête à la maison, Valérie et Eric vont célébrer l’anniversaire de leurs enfants, Justine, ma sœur, et moi, Julien qui allons avoir dix-huit ans samedi. Et ils comptent bien que ce jour soit un grand jour pour nous. Oui, nous sommes jumeaux, et ma sœur adore répéter que c’est elle l’aînée, étant donné qu’elle est arrivée trois minutes avant moi !
Nos parents préparent tous les deux la soirée, préparation du repas, de l’ambiance musicale. Je sais que maman et Justine ont été s’acheter des vêtements pour l’évènement. Pour papa et moi, il est entendu que nous porterons une chemise blanche et un pantalon noir.
Pour l’occasion, ils ont prévu un apéritif dînatoire que le traiteur leur a livré samedi après-midi.
Enfin arrive le soir, lorsque maman nous appelle, nous arrivons et je découvre avec papa la tenue qu’elles ont choisie.Tout de suite, je porte mon regard sur maman qui porte une robe noire au décolleté carré où la naissance de la poitrine est bien visible ainsi que la vallée entre les seins, de plus quand elle marche, ses cuisses entrouvrent la robe de manière excitante. Quant à ma sœur, sa robe courte laisse voir ses longues jambes jusqu’à mi-cuisses et met en valeur ses fesses bien rondes, et son dos nu jusqu’aux reins donne envie d’y glisser la main.
— Oahhh ! vous êtes superbes toutes les deux, si vous n’étiez pas ma mère et ma sœur, je n’hésiterais pas à vous draguer.— Oui, elles sont à croquer toutes les deux, fait remarquer Eric.— Plutôt que dire des bêtises, préparez-nous le champagne.
Nous sortons les verres et les bouteilles avant de nous installer sur le grand canapé. Les femmes sont au milieu, je me mets à côté de maman et papa à côté de Justine.
Nous trinquons, nous apprécions le champagne et la première flûte ne dure pas longtemps. En même temps, nous grignotons un peu et nous bavardons en évoquant la suite de nos études. Le champagne ne tarde pas à faire briller les yeux et faire détendre les corps, je sens Maman se rapprocher de moi, je passe mon bras sur ses épaules, et je la serre un peu sans qu’elle me repousse, je lui fais quelques bisous filiaux sur la joue.
Pendant ce temps, je vois papa caresser le dos nu de ma sœur, ce qui ne semble pas la déranger, il a de plus posé sa main sur sa cuisse nue et elle a posé sa main dessus, semblant l’encourager. Je ne sais que penser.Puis après le deuxième verre de champ’, mon père nous propose de danser, il a préparé un peu de musique enregistrée.
Ça commence par un tango, mon père emmène ma sœur danser, et je prends ma mère dans mes bras, je ne sais pas trop danser le tango, mais maman me fait voir et après quelques pas, je me débrouille.
Je tiens ma mère par la taille et par la main. En dansant, je sens sa cuisse venir glisser entre mes jambes, je me sens très gêné, et ensuite elle vient coller son ventre contre le mien, alors que je commence à bander.De son côté, mon père ne sait pas danser le tango, mais il tient sa fille serrée contre lui avec sa main dans son dos nu et elle le tient par le cou, ils se frottent l’un contre l’autre, ce n’est pas ça qui va me calmer.
J’aurais bien voulu danser aussi avec ma sœur, mais mon père se l’est accaparée et je continue de danser avec maman.Quand les tangos se terminent, nous reprenons nos places pour siroter une nouvelle coupe de champagne. Maman se colle encore plus à moi, je sens la chaleur de sa cuisse sur la mienne, sa robe fendue découvre ses cuisses appétissantes. Je me rends compte que je désire ma mère, il faut que je me calme !
Je regarde mon père, Justine a sa robe assez remontée et il lui caresse les cuisses tandis qu’elle est collée contre lui. Je crois que le champagne fait son effet, est-ce que ce n’est que du champagne ?
Puis voilà des slows qui commencent. Comme papa a repris Justine, je me lève et je fais lever maman, elle a les yeux brillants et elle met tout de suite ses bras autour de mon cou. Je la tiens par les hanches et nous dansons joue contre joue, par instants, je lui fais des petits bisous qu’elle me rend, puis nos bouches se rapprochent, se touchent, nos lèvres se collent, nos langues se rencontrent et s’enroulent, son baiser me fait bander et elle frotte son bas-ventre dessus.
Je regarde du coin de l’œil la réaction éventuelle de mon père à ce que nous faisons, je suis vite rassuré, il est aussi lèvres contre lèvres avec ma sœur et ses mains se sont glissées dans sa robe et lui pétrissent les fesses.Je m’enhardis en glissant mes mains dans les fentes de sa robe et en venant lui caresser le cul qui me fait fantasmer depuis toujours. Son baiser se fit plus violent, elle écrase ses lèvres sur les miennes et sa langue pénètre ma bouche plus profondément. Tout en gardant un bras autour de mon cou, elle descend une main le long de mon ventre et elle m’attrape la bite à travers mon pantalon, j’en manque de décharger dans mon slip.
Je n’en peux plus, je lui descends la fermeture éclair de sa robe, elle m’aide aussitôt à l’enlever et aussitôt elle me déboutonne fébrilement ma chemise, je l’enlève, elle ouvre mon pantalon et le baisse, je lui dégrafe son soutif et je lui baisse sa culotte, elle me pousse presque brutalement sur le canapé et elle vient s’empaler sur ma bite dressée. Sa chatte est trempée et ma queue coulisse toute seule dans son antre, sa mouille dégouline sur mon pubis, le canapé couine sous ses coups de reins et ses aller-retour font un clapotis.
— Ohhh ! Ta bite ! Ta bite ! Depuis le temps que j’en avais envie !
Elle me chevauche sauvagement et je la laisse faire, ses nichons dansent au-dessus de moi, je les tripote, je leur pince les bouts qui grossissent sous mes doigts, elle gémit de plus en plus fort, elle jouit en criant, je commence à l’accompagner à coups de reins, je sens ma jouissance arriver, j’éjacule plusieurs giclées de sperme contre son utérus, ce qui la fait jouir une nouvelle fois avant de s’écrouler sur moi pour m’embrasser fougueusement.
Pendant que maman me baise, je vois que ma sœur est toute nue et mon père aussi, il s’assied sur le bord du canapé et il appuie sur les épaules de Justine, il la force à s’agenouiller entre ses cuisses, elle comprend ce qu’elle a à faire, elle ouvre la bouche et elle lui gobe son gland, elle commence à le sucer, prenant la bite de plus en plus profond dans sa bouche, en même temps elle lui tripote les couilles et mon père se penche pour lui caresser les seins. Sa bouche va-et-vient autour du mandrin, mon père commence à faire osciller ses reins, il grogne, il lui attrape la tête soudain et il bloque sa queue au fond de la bouche de sa fille, il lui dit « avale ma chérie », elle essaie de le repousser et des filets de sperme dégoulinent sur son menton et sur ses seins. Quand il finit d’éjaculer, il se retire enfin.
— T’est pas gentil, papa, tu m’en as mis plein !
Elle laisse sa bouche ouverte pleine de sa crème blanche.
— Excuse-moi, ma chérie, mais je n’ai pas pu résister.
Il prend sa tête entre ses mains et il l’embrasse, ils se partagent le sperme, il lui tient la tête d’une main et il lui caresse ses petits seins pointus de l’autre.
Maman s’est allongée sur le canapé, je me penche sur elle, je lui embrasse les seins, je lui suce les tétons tout en lui pétrissant les nichons, elle gémit doucement, puis je descends sur son ventre, je lui écarte les cuisses et je pose mes lèvres sur son sexe chaud, il est entièrement épilé et lisse comme un sexe de petite fille, je glisse ma langue entre les lèvres, je lape nos jus mélangés, je lèche son clitoris qui sort de son capuchon puis je le malaxe entre deux doigts, elle gémit très fort avant de crier sa jouissance et de m’inonder de sa mouille.Je me relève et je présente ma bite à l’entrée de sa grotte d’amour, elle pénètre sans effort tant elle est glissante.
— Oui ! Rentre-la bien au fond ! Vas-y fort !
Je ne me le fais pas dire deux fois, je commence à pistonner vigoureusement son vagin gourmand, elle noue ses jambes autour de mes reins, mes couilles cognent contre ses fesses avec un bruit mouillé.
Je vois mon père qui a enfilé ma sœur debout, il la couche à côté de nous et il la pilonne vigoureusement. Tandis que je la baise, maman se tourne vers elle et elles commencent à s’embrasser passionnément. Ça déclenche chez moi, et aussi chez mon père une frénésie sexuelle sans pareille, nous les baisons en cadence à grands coups de reins et de plus en plus vite, elles gémissent de plus en plus fort, puis elles font des cris inarticulés en jouissant, je décharge mon foutre au fond de son vagin, mon père ne tarde pas lui non plus de remplir sa fille.
Nous nous écroulons les uns sur les autres puis, au bout d’un moment, nous décidons d’aller nous reposer un moment sur le lit parental, assez grand pour nous accueillir tous les quatre.
Après un peu de repos, je m’aperçois que maman et ma sœur continuent de se caresser et de s’embrasser, Justine est allongée sur le dos et maman est au-dessus d’elle en train de lui tripoter les nichons. Ça me fait bander de nouveau et je vois que mon père bande aussi devant les deux femelles en chaleur. Je me place aussitôt entre les cuisses de ma sœur et je pénètre la chatte gluante encore pleine du sperme paternel. Mon père se place derrière sa femme.
— mets-la-moi dans le cul, dit-elle.
Il lui enfonce un doigt, puis deux, il lui branle le cul profondément avant de remplacer ses doigts par sa grosse bite.
Nous limons tous les deux les trous accueillants, après avoir déjà bien joui, nous pouvons faire durer notre plaisir plus longtemps.Ma sœur couine sous mon assaut tandis que ma mère gémit pendant que mon père la sodomise. Après les avoir bien enfilées, nous finissons par nous vider au fond de leurs orifices.Après cette nouvelle action, il est temps de se reposer et nous nous endormons côte à côte.
Quand je me réveille, il fait grand jour, et je me sens comme au paradis, maman et ma sœur ont profité de mon érection matinale pour me saisir la bite et me branler, en plus elles me lèchent et me sucent le gland ensemble et entre deux, elles s’embrassent au-dessus de ma bite. La journée va être longue !
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