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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Suite :
Hugo prend ma tête entre ses mains, me regarde intensément et dit :
— Tu veux jouir maman ? -Oh oui, j’en peux plus !! Fais moi jouir mon chéri.-Tu veux que je le fasse ? Tu veux mon poing dans la chatte ?-Non ! Je veux que tu me baise ! Prends-moi avec ta belle queue et finis-toi en moi, je veux qu’on jouisse ensemble. — Avec plaisir ! Mets-toi à quatre pattes et regarde mes potes. Je veux que tu les voies se branler pendant que ton fils te baise.
Je me positionne donc face au 10 mâles en rut et tend mon cul à Hugo. Il me lèche le sexe, donne des coups de langue sur mon clito, la rentre dans ma chatte et insiste même sur mon anus en me le léchant avidement. Puis, sans prévenir, il enfourne son poing dans ma chatte et me branle doucement.
— Haaaaa, mon salaud ! Dis-je— Excuse-moi, c’était trop tentant ! — Pas de soucis mon amour, c’est excellent !
Son poing était plus gros que celui de Kevin mais passait sans problème vu le traitement que les garçons avaient faire subir à ma chatte et vu mon état d’excitation maintenu au maximum depuis une demi-heure et la fin de mon strip. Hugo retira alors son poing, présenta son sexe devant mon vagin et y inséra son gland. Il me pénétra très doucement, je dirais amoureusement à posteriori, et quand il fut au fond, commença des allers-retours très tendre.
— Oh mon dieu que c’est bon, dis-je. Ta bite est vraiment énorme. — Alors prends ton pied, dit-il en accélérant la cadence— Ouiiiii, vas-y, défonce-moi, plus vite chéri, défonce-moi comme une chienne !
En prononçant ces mots, je fixais intensément Valentin, Anto, le grand Noir, Kévin et les autres qui se branlaient activement. Pour eux, c’était comme un porno mais puissance mille. Moi, Séverine, la mère de leur pote, une femme mure et active toujours habillée classe, faisant sans doute l’objet de fantasmes ou de scénarios pour certains le soir dans leur lit, j’étais en train de me faire sauter devant eux par mon fils, après leur avoir fait un strip-tease et avoir pris une cannette dans la chatte. D’ailleurs mes habits gisaient toujours à quelques mètres de moi, témoin d’un proche passé où je comptais juste me mettre topless pour les émoustiller un peu !
— Ca vient maman, je vais bientôt jouir !
-Moi aussi, mon chéri ! T’arrête surtout pas, on va jouir ensemble !
Il excellera encore et me baisa frénétiquement, accroché à mes hanches, cognant contre mes fesses. Ces 25 bons centimètres de sexe me perforaient mais je ne ressentais aucune douleur, uniquement un plaisir intense qui montait rapidement. Je pleurais de bonheur, tant cela était lointain pour moi, et eu soudain un orgasme monumental qui contracta tous mes muscles autour de la bite de Hugo ce qui le fit venir instantanément. J’hurlais de plaisir :
— Haaaa mon dieu que c’est bonnnnnn ! — Je viens, M’am, jte remplis ! -Oh oui, reste à fond, inonde moi avec ton sperme. Je veux te sentir longtemps.
L’orgasme continua et me secouait les fesses et les jambes. Mes bras flageolaient et, vidés, Hugo et moi s’écroulons au sol, toujours emboités. Après quelques secondes de jouissance, il se retire en gémissant de plaisir et me laisse finir de prendre mon pied, croupe légèrement levée agitée de derniers soubresauts. Il me contourne, se met à genoux devant moi, et alors que j’ouvre les yeux, il me pose une main sur la joue et me demande si j’ai aimé.
— C’était fabuleux mon chéri, mieux que ce que je n’ai jamais connu.
Alors que je me redresse pour l’embrasser tendrement sur les lèvres, je sens un flot de sperme s’écouler de mon vagin et mets par reflexe ma main en soucoupe en dessous, comme à chaque fois avec mon mari pour ne pas tacher les draps. Sauf que c’est une mare de foutre qui se trouve dans ma main. Je me souviens alors que j’avais trouvé le liquide séminal de mon fils délicieux et, encore toute excitée, je décide de goûter son sperme. Un petit coup de langue me confirme que ce breuvage est encore chaud et à mon gout. J’aspire donc une première gorgée de sperme et l’avale directement. Délicieux ! Mon fils, face à moi est très surpris par mon comportement et me lâche un « petite cochonne, finis tout ». J’aspire le reste de foutre, le stocke dans ma bouche, lui montre à lui et à ses copains puis avale d’un coup. Affamée, je fouille dans ma chatte à la recherche des dernières goutes, me lèche les doigts et dis à Hugo :
— relève-toi chéri, je vais te nettoyer.
Je prends alors sa bite un peu ramollie dans ma bouche, le nettoie de ma langue et le pompe littéralement pour extraire les dernière goutes de son merveilleux nectar. Il me demanda alors :
— t’en veux encore ? — mmmmmhhh, fis-je en le suçant et en acquiesçant de la tête.— elle va s’occuper de vous maintenant les mecs, annonça-t-il à ses copains.
Il est vrai qu’à la base, je m’étais engagé à les faire jouir et que finalement, ils étaient toujours en train de se branler tels des puceaux devant un porno alors que moi, j’avais pris un pied terrible avec Hugo. Je me décida donc à masturber et sucer ses ados et l’idée de gouter à 10 bites différentes ne me déplaisait pas, bien au contraire. Et puis, même si ce sont des ados habitués à la masturbation, ils s’astiquaient depuis plus d’une demi-heure ne serait sans doute pas longs à finir, ainsi que cette folle après-midi.
Je me trompais.
Hugo me soulève alors et me porte comme une mariée jusqu’à la table du salon. Il demande qu’on fasse un peu de place et je dépose délicatement allongée sur le dos. Les garçons m’entourent et commencent à caresser mon corps ainsi offert. On me touche les seins, on me lèche les tétons, on me caresse le clito et on m’enfile des doigts… je suis littéralement assaillie et j’adore ça. De part et d’autre de la table, on me prend mes mains et m’invite à branler les sexes de 2 gamins que je n’avais jamais vus avant aujourd’hui. Le plaisir commence à revenir, doucement mais sûrement. Je gémis, je râle de plaisir et pousse des petits cris. Les doigts en moi sont particulièrement efficaces ! Valentin, dont l’instance a été à l’origine de cette orgie, mais qui finalement n’avait que peu participé, me tourne la tête sur le coté et, du bord de la table, me présente sa queue devant ma bouche. Sans hésiter, je commence une pipe goulue, bien que gênée par ma position sur cette table (sur le dos, les 2 mains prises).
Valentin, souhaitant sans doute palier à cette défaillance, me tient la tête et fait de grands allers-retours dans ma bouche. Il a assisté la gorge profonde que j’ai fait à mon fils et n’hésite donc pas à me la rentrer à fond, à me maintenir ainsi de longues secondes et me bouche même le nez (merci le porno sur internet !) avant de me libérer pour que je reprenne ma respiration. Puis il reprend ses va-et-vient et continue de me baiser la bouche ainsi. A ce moment j’ai la sensation d’être un objet sexuel car les garçons se servent de moi pour le plaisir et font se qu’ils veulent sans jamais me demander si je suis d’accord. Par contre Hugo, lui, semble tout contrôler et surtout tout surveiller. C’est ainsi à lui qu’un gamin a demandé la permission de me « fister » la chatte et non à moi. J’ai donc, pour la troisième fois cette après midi, le poing d’un ados qui me ramone le vagin ! Et à nouveau je gémis comme une chienne à cette masturbation.
Un garçon autre demande :— J’en peux plus Hugo, je peux la baiser ? — Vas-y JB, vu ce qu’elle se prend, ton calibre passera sans problème !
Je devine alors qu’il s’agit du grand Black car, à part mon fils, c’est le seul « calibre » de l’assemblée pouvant me poser un problème. Je dis « je devine » car avec Valentin qui me maintient la tête contre la table pour me mettre sa queue à fond, je ne vois pas vraiment qui s’apprête à me sauter…
La main qui me masturbait se retire donc. JB me tire vers le bord de la table, me lève et m’écarte les jambes et je sens un gland se placer à l’entrée de mon vagin. Comme prévu par Hugo, il y rentre sans aucune difficulté ! Je perçois tout de même une largeur hors du commun et les allers-retours qu’il commence à faire me submergent immédiatement de plaisir. La bouche pleine, je pousse un long râle de surprise et de plaisir tandis qu’il baise sans ménagement.
— Ho putain, qu’elle est bonne ! Haaa tu la sens ma queue, hein ? — Mmmh vas-y défonce-moi, lui criai-je alors que Valentin daigne me laisser respirer. Déchire-moi !
L’excitation me transformais en furie et je ne me contrôlais plus, ni en geste ni en parole. Je regarde Valentin dans les yeux et lui crie :
— et toi le p’tit pervers qui voulait me voir à poil, tu me la donne la queue ? Puis j’ouvre la bouche en grand et tire ma langue pour l’inviter à reprendre la gorge profonde.— je vais pas te donner que ma queue, chienne. Tu vas aussi boire tout mon foutre !
Sur ces mots, il m’enfile d’un coup sa bite dans la bouche, me l’enfonce jusque dans le gosier et se met à faire des allers-retours comme un dingue. Ma gorge fait une bruit indescriptible à chaque fois que le gland de Valentin y pénètre et je sens que s’il continue à ce rythme (et cette profondeur) je vais lui vomir dessus. Mais soudain il s’arrête, me bloque la tête contre son pubis et décharge son sperme directement dans mon gosier. De fait, j’en avale une grande quantité, puis sous l’effet de mes haut-le-cœur, il se retire un peu et finit de décharger dans ma bouche. J’avale ce que je peux de ce sperme chaud et pas mauvais mais, vu la quantité, suis obligée d’en recracher un peu.
— Hé, c’est pas bien de gâcher ! s’écrie Valentin qui ramasse les gouttes tombées au sol avec son doigt et je me donne à lécher. Il me redonne également son sexe pour nettoyage, ce que je fais avec plaisir puis s’éloigne. Et d’1! Encore 9…
Aussitôt Valentin partit, un autre gamin prend sa place mais, plus jeune et sans doute puceau, se sait pas trop comment faire. Il me présente donc simplement son sexe, de taille normale, que je suce avidement. Cet ange, plutôt que de me baiser la bouche, me laisser faire en me caressant les cheveux et en me titillant le bout des tétons. Cette pipe m’est très agréable car, enfin, je peux sucer et lécher un sexe à guise, sans qu’on m’impose le mouvement. JB, lui, me laboure toujours la chatte avec son énorme engin, et loin d’être puceau à mon avis, me fait rapidement jouir. L’orgasme, moins intense que celui qu’Hugo m’a donné un peu avant, m’arrache tout de même un long râle de plaisir. Pendant l’orgasme, je mordille le sexe de mon jeune amant et accélère ma fellation. Celui-ci se retire alors, se masturbe frénétiquement et, sans doute inspiré par des heures de porno, éjacule sur mon visage un sperme bouillant. Il me recouvre moitié du visage et m’en met dans les cheveux. Et de 2 ! Il restait encore 8 jeunes étalons à faire jouir...
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