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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Suite :
D’abord les 2 doigts que Hugo, seul autorisé à approcher de cette zone, m’a enfoncé dans le cul… Il m’a littéralement doigté le fion alors que JB me défonçait la chatte. Cette pénétration fut révélatrice pour moi car j’ai apprécié. Mais j’ai tout de même interdis qu’on me sodomise… Je n’imagine même pas ce qu’ils auraient fait de mon cul !
Autre point marquant, la double vaginale avec JB et Hugo, et donc les 2 plus grosses bites que je n’ai jamais vu. Alors que JB me baisait et qu’Hugo finissait de me doigter le cul, il a approché son gland de ma chatte déjà bien dilatée. Il forçe l’entrée de mon vagin avec l’aide de JB qui m’écarte les fesses le plus possible. L’énorme engin de mon fils progresse avec difficulté (et douleur…) dans mon orifice déjà occupé par un énorme morceau. A coté de ce que j’endurais alors, le petit poing de Kévin de tout à l’heure me paraissait insignifiant. Cela dit, Hugo était habile, doux et, à grand renfort de crachats pour lubrifier, il a finalement réussit l’exploit de m’enfiler sa bite en plus de celle de JB. La sensation de déchirure était intense mais m’excitait au plus haut point. Je me sentais abusée et mon corps se résumait à des orifices endurant tous les outrages. Je ressentais également une certaine fierté malsaine d’avoir pu absorber ces 2 bestiaux ! Ils m’ont ensuite baisé la chatte doucement, Hugo restant attentif à ne pas me blesser. Cette double était éprouvante et n’a pas duré longtemps mais elle a eu le mérite de rendre celles qui ont suivis plus « faciles »…
Le troisième truc que je ne suis pas prête d’oublier, c’est quand, après cette double vaginale dantesque et d’autres nombreuses pénétrations, Anto (la brute) a voulu retenter son expérience de tout à l’heure : m’enfoncer une bouteille de vin ! Il convainc Hugo d’accepter à condition que je ne souffre pas trop et va chercher une bouteille de blanc (d’Alsace, heureusement) dans le frigo. Ils m’ont allongée sur la table, jambes bien écartées et Anto m’a enfilée le goulot puis une partie de la bouteille sans difficulté, jusqu’à buter contre le fond de mon vagin. Mais dans ce sens cela ne représentait pas un challenge pour moi et il semblait déçu. Il ressortit donc la bouteille et la présenta par le fond. Il me lubrifia beaucoup (en fait il me crachat dessus !) et manipulant habilement la bouteille, parvint à me l’insérer. Puis il se recula pour observer son œuvre, content de lui… Il voulu prendre une photo avec son portable mais Hugo l’en empêcha.
— Le premier qui filme ou photographie ma mère, je vous jure que je l’explose ! Vous me connaissez, vous savez que je le ferai.— Attends, c’est trop beau ça, il nous faut un souvenir ! — Alors je prends la photo pour qu’on ne voie pas son visage ou la maison et je vous l’enverrai… peut être.
Il prit alors son portable fit un gros plan sur ma chatte dilatée par cette bouteille de grand Cru et enleva en douceur la bouteille. Les gars se jetèrent à nouveau sur moi après cette pause et l’orgie pu reprendre.
Aucun d’eux n’a joui car ils s’étaient donné comme consigne de tous venir ensemble sur moi dans un grand final. Ce fut surréaliste : j’étais allongée au sol, entourée de mon fils et ses 10 copains et des flots de spermes s’abattirent alors sur mon corps. Ils jouissaient les unes après les autres dans de grands râles de soulagements tandis que moi-même je me trémoussais d’excitation et étalais le foutre chaud avec mes mains au fur et à mesure où il arrivait. Ils visaient (évidement) principalement mon visage et, la bouche grande ouverte, j’eu droit à de grosses gorgées de ce délicieux breuvage.
Je restais là recouverte de sperme tandis qu’ils se rhabillaient et que mon fils les raccompagnaient dehors en leur donnant la consigne de garder ça pour eux s’ils comptaient garder toute leurs dents et surtout s’ils voulaient qu’on recommence un jour. Tous me dirent au revoir et me remercièrent en me disant que j’étais super… Encore heureux vu ce qu’ils venaient de me mettre !!
Une fois seuls, mon fils et moi, je me suis relevée pour aller reprendre une douche pendant qu’Hugo mettait de l’ordre dans le salon. Sous la douche, j’observai ma chatte et constatai qu’elle était distendue, déformée… Je me suis amusée à m’enfoncer ma propre main en me nettoyant pour voir ce que ça faisait et me suis fait la réflexion qu’il ne fallait pas que mon mari me voit dans cet état !
Hugo vint me rejoindre sous la douche et nous nous sommes longuement embrassés et caressés. Ses baisers, son beau corps ruisselant et son gros sexe à nouveau dur me rendaient folle et je lui glissai à l’oreille :
— je voudrais que tu me sodomise, ici et maintenant— vraiment, tu es sûre ?— Oui, je veux que tu sois le premier. Je veux que mon cul soit tout à toi ! — D’accord et t’inquiète pas, je vais y aller doucement…
Il me retourna alors, me pencha en avant les mains appuyées sur le rebord de la baignoire et commença par m’inséré un doigt, puis un deuxième. Estimant que j’étais prête, il approcha son gland, commença à forcer l’entrée. Sa queue pénétrait difficilement et douloureusement mon anus et il voyait que je souffrais. Il se retira alors, pris un pot de crème hydratante qui trainait sur le lavabo et s’enduit le sexe avec. Il en mit aussi sur et dans mon anus, puis il retenta sa chance. Son gland pénétra beaucoup plus facilement et le reste suivi en m’écartant au passage mon anus comme jamais. Alors que son sexe était entièrement dans mon cul, je me sentis perforée, remplie. Je senti aussi que le contenu de mon colon était repoussé loin dans mes entrailles. Je poussais de grands soupirs et des « ohhh » plus liés à l’épreuve physique qu’au plaisir. Il commença à décrire des vas-et-viens précautionneux en me demandant souvent si ça allait. Puis il accéléra et augmenta l’amplitude de son mouvement si bien que la quasi totalité de ses 25 cm allaient et venaient dans mon petit cul. L’exercice était très éprouvant pour moi et je n’ai pas vraiment ressentit de plaisir. Mais j’étais heureuse de pouvoir le faire pour la première fois avec mon fils adoré.
— Oohhhh, fini vite, je n’en peux plus, mon chéri… le suppliais-je alors que ça ne durait que depuis 1 ou 2 minutes— Ca vient, maman… Oh putain, je vais jouir dans ton cul ! Oh oui, je t’éclate le cul, je te le défonce !! AHHH JE VIENS !!!
Et sur ce cri, il se cale au fond de mon cul et décharge dans mes entrailles. Je le pousse en arrière pour qu’il sorte et sens son sperme s’écouler de mon anus. La quantité est beaucoup moins impressionnante qu’au début, mais je m’étonne tout de même qu’il puisse encore éjaculer autant. Ah jeunesse !
Il écarta mes fesses pour observer mon anus grand ouvert et me dit sérieusement :— Avec de l’entrainement, ton petit trou deviendra aussi accueillant que ta chatte… il te manque juste de la pratique ! — Et je suis sur que tu vas t’occuper de ça ? — Evidemment… dit-il avec le sourire
Nous avons finit notre douche en nous embrassant et il m’a sodomisé une seconde fois dans le lit conjugal alors que j’étais en train de m’habiller.
Quand mon mari et mes 2 autres enfants sont rentrés, la maison était impeccable et rien ne laissant penser que la pire des orgies s’y était déroulé. Au repas, mon mari nous servi du vin avec la bouteille qu’on avait logé dans mon vagin un peu avant, et se plaignit que le bouchon devait fuir car la bouteille était poisseuse… Il s’étonna aussi de mon manque d’appétit et je lui expliquai que j’avais eu ma dose de cochonneries avec les garçons. Il a sourit.
Voici comment c’est finit une journée mémorable qui allait marquer un tournant dans ma vie de femme et qui n’était que la première aventure d’une longue liste.
A bientôt...
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