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L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
Sept mois s’étaient écoulés depuis cet anniversaire qui avait tout changé. Dix amis de mon fils et lui même m’avaient pris dans tous les trous pendant des heures dans un gangbang qui reste pour moi l’expérience la plus excitante de ma vie et surtout la plus importante. En effet, cette journée déclencha chez moi une révélation : j’étais accro au sexe, au sexe extrême, dans toutes ses variantes et ses perversions. Mes enfants étaient devenus mes partenaires d’orgie, mon bureau était un lieu de débauche, mon job de directrice adjointe me permettait de m’envoyer en l’air quand je voulais et en étant payée pour ça ! Toutes les occasions étaient bonnes pour me faire sauter par des inconnus.
Seule ombre au tableau, mon mari qui me cocufiait avec sa jeune stagiaire et peut être avec d’autres depuis un moment, ce qui avait jeté un froid glacial sur notre relation, même si, vu mon comportement, je ne pouvais pas trop lui en vouloir. Nos contacts se résumaient depuis à bonjour/au revoir. Mais il ne se doutait même pas à quel point je me vengeais... A quel point sa petite femme modèle était devenue la reine des salopes !
Sept mois, donc, après ce fabuleux anniversaire d’Hugo, Théo et Chloé voulurent fêter le leur à la maison (ce sont des jumeaux, je vous le rappelle) pour leur 18 ans. Vous vous imaginez bien que vu le passif entre mes enfants et moi, et mes enfants entre eux d’ailleurs (ma fille se fait régulièrement baiser par ses frères...), la question de ma « participation » a rapidement été évoquée. Mais Théo ne souhaitait pas que ses copains me passent tous dessus car il était toujours terrorisé qu’un jour, ce genre de choses s’ébruite. Et par ailleurs, ma fille invitait également ces copines. Or, il était hors de question que j’organise une énorme partouze entre ados à peine conscients de leurs actes.
Nous avons donc conclus que je ne participerais en rien à cet anniversaire. Par contre, j’insistai pour être présente, seule puisque mon mari était encore absent, afin de surveiller un peu tout ce jeune monde, même si je resterai toute la soirée à l’étage.
Cela ne c’est pas tout à fait passé comme ça !
La soirée battait son plein, les jeunes rigolaient, buvaient, criaient, cassaient des trucs dans la maison… bref, s’amusaient. Pour ma part, je respectais le deal et restais à l’étage, ne faisant que quelques discrètes apparitions pour voir comment cela se passait. Finissant par m’ennuyer, je vais sur l’ordinateur et flâne un peu sur internet. Puis, par curiosité, je regarde l’historique de la navigation internet et tombe sur les mots « gangbang », « double pénétration », « bukkake », etc. Je ne sais pas qui avait visionné ces sites, et je m’en foutais un peu. Par contre, l’évocation de ses mots m’intrigue et m’incite à cliquer sur les liens. Je commence alors à visionner des scènes pornos au scénario très riche et aux dialogues passionnants avec une femme se faisant défoncer tous les trous par des mecs tous plus membrés les uns que les autres. Cela m’amuse un peu car je constate que pour des professionnelles, elles ne font pas plus de choses que moi, simple amatrice… Deux bites dans la chatte ? Check ! Deux bites dans le cul ? Check ! Bukkake (dont j’ai appris la signification à ce moment) ? Check ! Voulant savoir si on pouvait aller plus loin dans ce domaine, je teste, sans vraiment y croire, les mots « triple pénétration », « double fist » et constate avec surprise qu’il n’y a pas de limite à la souplesse des orifices et à la perversion masculine… J’apprends ainsi que 3 bites ou 2 poings dans un cul peuvent passer chez certaines tarées…
Sachant aussi ce qui m’attendait dans les prochaines semaines, à savoir la visite d’administrateurs africains pour le contrat du siècle et donc, a priori, la baise du siècle, je m’instruis sur le sujet et regarde des vidéos dites « interraciales ». Mon dieu !! Ces frêles femmes blanches défoncées par des étalons noirs… Ces orifices remplis par des sexes ébène énormes… Tout cela aurait du m’effrayer, d’autant que j’estimais que M. Diallo avait un sexe largement plus gros que ceux que je voyais sur mon écran… Mais non, j’étais excitée ! Je commençais donc à déboutonner mon jean pour y glisser une main et me caresser le sexe au travers de ma culotte. Je constate alors que je suis bien mouillée et passe sous le tissu pour m’enfiler un doigt. Alors qu’à l’écran, une jeune russe se prend 2 sexes noirs en même temps dans l’anus, sans soucis apparemment, j’enfonce dans ma chatte 2 doigts pour les lubrifier puis les retire et me mets à tourner vigoureusement avec sur mon clito.
La demoiselle se fait couvrir le visage de foutre épais tandis que je sens l’orgasme monter en moi. Mais je suis interrompue par un gros bruit de casse dans le salon, en bas. J’arrête l’ordi en jurant, frustrée de ne pas pouvoir me faire jouir, et descends voir la catastrophe. Un meuble haut avait été renversé et avec lui les livres à l’intérieur et la plante qui était dessus. Le pot s’était éclaté sur le parquet et avait éparpillé de la terre partout.
— Bon, vous allez vous calmer un peu maintenant !! leur criais-je dessus. C’est pas un cirque ici !
Quelques « désolé » timides me vinrent en réponse alors que je commençais à nettoyer. J’étais donc à quatre pattes par terre en train de ramasser les morceaux de pot quand je surpris un gamin, le regard perdu dans mon décolleté plongeant. Il est vrai que mon débardeur laissait déjà bien deviner ma poitrine en temps normal, alors dans cette position… Je lui fis un petit sourire en coin pour lui montrer que je l’avais grillé et il détourna les yeux, gêné. Je tourne alors la tête derrière moi et constate un attroupement qui regarde mes fesses tendues et qui se disperse rapidement.
Ce n’était à la base pas prévu mais je décide alors de profiter de cette séance de nettoyage pour allumer un peu les garçons, les filles, dans leur coin, ne faisant pas vraiment attention à moi.
Je me cambre donc un peu plus pour ramasser les derniers morceaux et écarte un peu les cuisses pour exposer mon entrejambe. Puis je me relève, vais les jeter à la poubelle et retourne dans le salon passer un coup de balai. Je vais ensuite chercher une serpillère et un seau pour nettoyer les traces de terre et en profite pour remonter un peu mon string et descendre mon jean. Je me remets donc à quatre pattes, dans la même position et passe la serpillère avec mes mains, en tendant le plus possible les fesses. Je sens mon jean se baisser et laisser apparaitre mon string. Je passe vivement la serpillère, ce qui fait remuer mes gros seins, bien visible dans mon décolleté, et essaie d’en faire profiter le plus de monde possible. A chaque rinçage de la serpillère dans le seau, je suis terriblement maladroite et me mets de l’eau partout. Mon débardeur finit par être bien mouillé et laisse apparaitre par transparence mon soutien-gorge noir et mes tétons qui pointent. A chaque passage de serpillère, mon jean descend un peu plus vers le milieu de mes fesses et rend mon string de plus en plus visible.
Le sol étant propre, je finis par demander de l’aide à un garçon pour redresser le meuble et lui mettant mon décolleté sous le nez, puis replace les livres où ils étaient. Certains étaient hauts et devoir m’étirer ainsi pour les ranger contribue encore à m’exposer négligemment. On en voit la ficelle de derrière et les élastiques de cotés qui passent au dessus de mon jean. Devant, mon pantalon est si bas qu’une bonne partie de mon bas ventre est à l’air et si je n’avais pas tout épilé, on verrait le haut de mes poils pubiens…

Une fois ce bazar rangé, je refais une remarque aux jeunes et m’essuie la sueur de mon front avec le bas de mon débardeur. Évidemment, j’expose au passage une partie de mon soutien-gorge. Puis je les laisse ainsi pas mal excités, je suppose, pour aller me changer.
J’enfile un chemisier bien cintré et une jupe légère et courte et retourne demander à Théo où est sa sœur, en défilant au passage devant ses copains.
— Elle est dans sa chambre avec deux copines… Elle devrait revenir bientôt je pense.
Je monte alors dans la chambre de ma fille pour voir ce qui se trame. Après avoir frappé à la porte et m’être annoncé, j’entre et découvre Chloé en sous-vêtements devant deux autres filles de son âge.
— Mais qu’est-ce que vous fabriquez ? demandais-je— On essaie de la lingerie... Camille a un rendez-vous et n’a rien de sexy à mettre au cas où ça se passe bien !— Je peux peut être vous conseiller… Je peux rester ?— Oui bien sûr, maman.
Je m’assois donc avec les filles sur le lit et regarde Chloé exposer fièrement ses courbes mises en valeur par une lingerie très sexy.
— Voilà, donc j’ai cette culotte… Et sinon, j’ai encore autre chose, mais c’est un string.— Montres-moi, dis Camille.
Sans complexe, Chloé se déshabille devant nous, montrant à ses copines sa petite chatte glabre et ses beaux seins, et enfile l’autre ensemble, un soutien-gorge et string noirs.
— Ouai, c’est pas mal, dis Camille. Mmmh, j’hésite du coup.— Excuse-moi, fis-je remarquer, mais tu ferais mieux de les essayer toi-même si tu veux être sur que ça te va.— Heu… j’ai pas trop envie de le faire devant tout le monde…— Qui ? Des copines et une « vieille » ? Tu ne risque pas grand-chose ! — Bon, ok…
Camille, une très belle rouquine, se lève donc et commence à se déshabiller. Elle enlève son jean et son haut pour se retrouver en sous-vêtements, un slip blanc standard et un soutien-gorge blanc. Rien de sexy là dedans mais je sens, qu’en dessus, ça va me plaire ! Elle dégrafe son soutif et libère une très belle poitrine, de taille très correcte, puis baisse sa culotte et nous montre une petite chatte rose avec une petite bande de poils roux taillés courts. Son ventre est moins plat que celui de Chloé et ses fesses sont clairement plus « charnues » que celles de ma fille. Loin d’être grosse, elle a juste des formes là où il faut… A croquer !
Elle essaie d’abord la culotte de Chloé, puis à ma demande pour « comparaison », se met à nouveau nue et enfile l’ensemble noir que portait ma fille… qui se retrouve nue à son tour. Toutes ces filles jeunes, belles et nues commencent sérieusement à m’exciter, d’autant qu’allumer les garçons ne m’a pas laisser de marbre et que je n’ai toujours pas pu me faire jouir depuis tout à l’heure.
Alors que Camille se regarde dans la glace pour admirer son beau cul mis en valeur par la ficelle, je constate que l’autre copine, Lucile, reste en retrait.
— Et toi, tu n’as pas de mec à affoler ? demandais-je alors.— Non… Les mecs disent que je suis trop plate… Et ils n’ont pas tord.— N’importe quoi ! Tu es superbe, il faut juste avoir plus confiance en toi. Regardes tes copines, elles ne sont ni plus belles ni moins belles que toi… mais elles sont fières de leur corps ! — Oui, mais elles ont des seins…— Et alors ?? Regardes-moi…
Et la dessus je me lève et déboutonne mon chemisier puis enlève ma jupe et me retrouve en sous-vêtements à mon tour.
— Regarde ma peau qui pendouille sous mes bras ! Regarde ma peau d’orange sur mes cuisses… tu n’en a pas, toi ! Ton corps est parfait… Et tiens, regardes mes seins… dis-je en enlevant mon soutif. Ils sont gros mais tombent beaucoup plus que ceux de Chloé ou Camille. Et regarde ça…
J’enlève alors mon slip et montre mon sexe à Lucile, et plus précisément la cicatrice de la césarienne que j’avais eu pour Hugo.
— Regarde cette cicatrice… Elle est plutôt discrète mais se voit tout de même. Tu crois qu’elle m’empêche de me montrer en maillot sexy l’été ?? Tu crois que ce corps, malgré ces défauts, ne ferait pas bander n’importe quel mec ? — Si, mais….— Il n’y a pas de « mais » ! Tu te déshabilles et tu nous montre ton beau corps maintenant !
A priori convaincue par mon ton, Lucile se lève et se déshabille. Effectivement, elle est un peu maigre et elle a des petits seins, mais ils sont tout de même mignons. Et surtout, elle a un cul magnifique, rebondis et ferme et une petite chatte sans poils et sans défauts. Le tout mis en valeur par des hanches larges, une taille de guêpe, de longs cheveux blonds et, pour couronner le tout, des petites lunettes carrées sur un superbe visage d’ingénue.
Cette fille pourrait avoir tous les hommes qu’elle veut mais se rend malade de complexes.
— Allez, toi aussi Camille, à poil !
Nous nous retrouvons donc toutes les quatre nues et commençons à complimenter et à caresser Lucile pour la rassurer. Nous lui massons les seins, la félicitons sur sa ligne… Personnellement, je m’attarde sur ses fesses qui m’excitent carrément et que je masse généreusement. De son coté, Camille semble impressionnée par mon corps et me demande si elle peut me toucher les seins. J’accepte et me retrouve à mon tour caressée.
— Tu as déjà embrassé une fille Lucile ?— Non, jamais ! — Alors viens par là…
Et la dessus je l’embrasse tendrement, d’abord sur les lèvres et, la sentant réceptive, avec la langue. Mes mains parcourent son corps, sa taille et s’attardent sur ses fesses. Je passe une main par devant et descends au niveau de son sexe. Je la caresse délicatement, sans entrer en elle car elle frémit de timidité. Camille, qui décidément semble m’apprécier, me lèche les seins et réclame elle aussi un baiser.
Chloé, qui ne veut pas que notre relation incestueuse se sache, passe dans le dos de Camille et lui masse les seins pendant qu’elle m’embrasse. De mon coté, je sens enfin le sexe de Lucile s’humidifier sous mes caresses et m’apprête à lui enfoncer un doigt quand j’entends la sonnette de la porte d’entrée retentir. Puis Théo me crie depuis le salon que c’est le voisin. Décidément…
— Désolé, les filles, je crois qu’on va en rester là… Lucile, n’oublies pas : tu es superbe et, même s’ils croient le contraire, tu as le pouvoir sur les hommes. Vous devriez redescendre avec les autres, ils vont trouver ça louche.
Je me rhabille, ainsi que les filles et vais voir ce que veux notre voisin à cette heure.
A suivre...
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