Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 103 J'aime
  • 3 Commentaires

L'anniversaire de mon fils dégénère

Chapitre 14

Avec plusieurs hommes
Suite :
Je profite de cette heure de tranquillité pour me laver, mettre de la crème apaisante sur mon anus et dormir un peu. A midi, lorsque je me réveille, je constate avec plaisir et soulagement que mon anus est fermé et opérationnel puisque j’ai envie d’aller aux toilettes et que je ne me suis pas fait dessus… Je sais que c’est glauque comme détail mais, à ce moment, c’était important à vérifier ! A l’heure où j’écris ces lignes, cela reste l’intromission anale la plus « profonde » que l’on m’ait faite… malgré de très nombreuses visites en tout genre de ce côté de mon anatomie. Mais je suis encore jeune et pleine de ressources !!
En tout cas, je me réveille endolorie mais prête à affronter une après-midi de soumission.
Alors que j’arrive en cuisine, je constate que Théo a préparé le repas. Ou plutôt, il a préparé son repas.
— Je préfère que tu n’avale rien d’autre que de l’eau… Jusqu’à ce soir en tout cas !— Bien, maître…— Parfait.
Il me remet la laisse et le plug anal équipé d’une queue et m’oblige à m’allonger à côté de lui pendant qu’il mange dans le salon, devant la télé. Alors qu’il prend le dessert, il me « demande » de le sucer doucement pour le remettre « en condition ». Je m’exécute et lui fait une belle pipe. Il ne se montre pas violent, profite de ce que je lui fais et caresse même mon corps. Si bien que je suis à nouveau excitée, d’autant que, je vous le rappelle, je n’ai toujours pas jouis. Ma pipe devient alors plus sensuelle et appuyée et il se rend compte de mon changement d’état. Il passe la main entre mes jambes et caresse mon sexe déjà un peu humide.
A nouveau, j’ai envie de me faire baiser même si je sais que lui ne compte que m’enculer. Alors que je le suçais en trémoussant mon cul, il semble céder à la tentation et me prend la tête pour m’embrasser. Son baiser est tendre et fougueux à la fois ; il est surtout très réconfortant. Il me prend aussi par les hanches, me place sur lui et, sans m’avoir enlevé le plug que j’ai dans le cul, m’enfile sa queue d’un coup dans mon sexe trempé. ENFIN !!
Il me baise amoureusement tout en m’embrassant. Il me dit :
— Désolé de t’avoir malmené… Je voulais absolument essayer ça avec ton cul…— Oublie ça… contente-toi de me baiser !!— J’ai encore envie d’essayer des trucs… Ok ?— Avec mon cul, je suppose ?— Oui mais pas que… — Fais juste en sorte que je prenne mon pied autant que toi… — Ça marche ! Plus d’histoire de chienne, juste toi et moi.
— Je t’aime mon chéri.
Là-dessus, il me soulève, retire le plug planté dans mes fesses et le remplace par sa bite. Il m’empale sur lui et me lime le cul pour mon plus grand plaisir et le sien. C’est comme ça que j’aime la sodomie !!
Il alterne ensuite entre mon vagin et mon anus durant de longues et savoureuses minutes et me déclenche, enfin, un orgasme fort plaisant. Voyant que j’avais jouis, il se retire et se relève du canapé.
— Encore ! J’en veux encore…. Lui dis-je avec un regard de chienne.— Attends. Est-ce que tu pourrais aller dans ta chambre mettre ta tenue de travail la plus sexy possible ? — Bien sûr… C’est quoi ton idée ?— Tu pourrais être ma secrétaire soumise…— Mmmhhhh… ça me changera de ne pas être la directrice !— Je t’attends au bureau de papa.— Ok.
Je monte donc dans ma chambre et enfile une tenue aussi provocante que possible que je n’oserais moi-même pas porter au travail : chemise très décolletée, minijupe raz la touffe, porte-jarretelles, talons haut. Et évidemment la petite touche « secrétaire » : lunettes et chignon.
Dans le bureau, Théo me demande de m’assoir à l’ordinateur, de taper du texte et de faire comme si il était le patron. Et aussi ne rien lui refuser, en mode soumission.
Il sort de la pièce et je rentre dans le jeu. Je tape des conneries à l’ordinateur alors qu’il entre dans la pièce.
— Alors, il avance ce rapport ?? Me demande-t-il d’un ton sévère.— Oui, monsieur…— Voyons cela !
Il se penche alors sur moi et regarde autant l’écran de l’ordinateur que mon profond décolleté. Je décroise les jambes de manière aussi caricaturale que possible.
— Vous plaisantez ? me dit-il en regardant mon travail.— Que voulez-vous dire ?— Que c’est nul !! Il n’y a pas moitié de ce que j’ai demandé et c’est bourré de fautes d’orthographe !!— Je… Je suis désolée…— Cela fait deux jours que vous êtes sur ce rapport !! Vous avez peut-être besoin d’une motivation ?
Il me prend alors par les cheveux et me fait me lever. Il me fait me pencher en avant sur le bureau, les fesses bien tendues vers lui.
— La seule volonté de bien faire son travail ne semble pas vous suffire… Alors voilà qui devrait vous motiver !
Là-dessus, il me met une grande fessée qui m’arrache un cri de surprise.
— AIE !!! Arrêtez M. le directeur, vous n’avez pas le droit !!— Ah bon ? Et allumer son patron à longueur de journée, c’est autorisé, ça ?
Et VLAN, une deuxième fessée !
— Mais… je ne vous allume pas… et je m’habille normalement !!— Bien sûr… Donc si je soulève votre jupe, je ne verrai qu’un simple et innocent collant ? — Arrêtez !! Je vous…
Il soulève alors ma jupe et y découvre mon ensemble : bas, porte-jarretelle, string.
— Effectivement, une tenue tout à fait normale…— Je ne vous permets pas de juger ma tenue et….
VLAN !! Une autre grosse claque vient s’abattre directement sur ma fesse.
— Alors maintenant vous allez m’écouter : vous avez 10 minutes pour me refaire un travail correct. Ne me décevez pas… Je peux me montrer aussi méchant (VLAN ! une grosse fessée) qu’attentionné (il me caresse le sexe avec son doigt). Au travail !
Il ressort alors du bureau et me laisse seule faire semblant de travailler. Moins de 10 minutes plus tard (je suppose qu’il n’a pas eu la patience d’attendre), il entre à nouveau et se penche sur l’ordi.
— Bon… A priori, vous avez décidé de vous foutre de ma gueule… — Mais non, j’ai essayé de….— Silence !! Si vous voulez jouer avec moi, on va jouer !!
Il me prend alors par les cheveux et m’allonge à nouveau sur le bureau. Il m’envoie plusieurs fessées douloureuses bien que sans doute mesurées pour le jeu puis m’arrache mon string d’un coup.
— Je vais te motiver, sale pute !!— Arrêtez, je vous en supplie…. Criais-je pour jouer le jeu.
Mais il sort alors son sexe bandé de son pantalon et le présente à l’entrée de mon cul.
— Salop, pas par-là !!
M’ignorant, il s’enfonce dans mon cul, qui ne présente guère de résistance vu le traitement que j’ai reçu aujourd’hui. Il m’encule violemment sur ce coin de bureau, la jupe relevée sur les hanches et le string déchiré gisant à mes pieds.
Au bout de plusieurs et furieux allers-retours, il se retire et me fais m’agenouiller devant lui. Il m’enfonce son sexe dans la bouche et me la baise brutalement.
— Alors, quel gout il a ton cul ?? Me crie-t-il en me tenant fermement la tête.
Il me libère le gosier et s’approche de mon visage
— Tu veux encore gouter ? — Arrêtez… Mon dieu, s’il vous plaît…
Mais il me relève et se réintroduit dans mon fion qu’il laboure avec ardeur. De mon point de vue ce n’est pas désagréable mais je peux tout à fait comprendre qu’une femme lambda considère cela comme une punition et un acte de soumission. Il ressort de mon cul pour me faire à nouveau gouter sa bite en me donnant de violentes fessées au passage.
Puis, après avoir fait cet échange dégueu un certain nombre de fois et se recule et m’observe, penchée sur le bureau, le cul exposé et explosé.
— Ne bouge pas… J’ai encore un petit truc pour te faire obéir….— Je vous prie… je ferai tout ce que vous voulez…— Je sais !
Il sort alors d’un tiroir du bureau son sac qu’il transporte depuis le début de la journée et en sort un énorme gode noir et équipé d’une ventouse à la base.

— Il fallait y penser avant et m’obéir…
Le gode imitait assez bien un sexe mais était disproportionné, énorme. Il me fait mettre à quatre pattes, se place derrière moi et place le gland en latex sur mon anus.
— Je te promets que tu vas te souvenir de ce truc !!— Arrêtez… Je vous en prie…
En guise de réponse, il appuie sur le gode qui commence à s’enfoncer en moi. Même pour quelqu’un d’expérimenter comme moi, la dilatation est intense et difficilement supportable. Mes cris, à peine feins, ne l’empêche pas de continuer de goder mon cul en rentrant et sortant cet énorme truc, à chaque fois un peu plus profond.
Il fait des allers-retours pour pouvoir progresser, crache régulièrement sur le gode et s’enfonce en moi, malgré mes supplications. Il se saisit du gode par la ventouse et accélère son mouvement pour me baiser en règle le cul avec cet énorme morceau de caoutchouc. Il le sort de mon fion pour m’obliger à le sucer et y retourne, sans aucune délicatesse.
— Mon dieu, arrêtez…. Je ferai tout ce que vous me direz…. Ooohhhh— J’y compte bien !!
Il retire alors le gode et je me dis alors que la punition était finie. Mais je le vois plaquer la ventouse sur la chaise de bureau, s’assurer qu’elle tient bien et me demande de m’assoir dessus.
— Vous vous remettez au travail avec ça dans le cul. Quand ce sera finit, je vous libère. C’est à vous de faire au plus vite si vous ne voulez pas avoir ça dans le fion pendant 2 heures…— B… Bien M. le Directeur, dis-je en me redressant et en m’approchant du siège.
Je me positionne pour m’assoir tandis que Théo positionne le gland au niveau de mon anus. L’objet force l’entrée puis s’enfonce en moi au fur et à mesure que je m’assois. J’aurais voulu de l’enfoncer qu’à moitié, mais il est impossible de rester en position semi-assise sans appui (essayez de vous assoir dans le vide à la maison et regardez le temps que vous tenez….). De fait, alors que mes fesses viennent enfin reposer sur le siège, le gode est entièrement enfoncé en moi, ne ressort que les fausses testicules et la ventouse.
— Allez, au boulot maintenant !!
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live