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L'Anniversaire de Naomie

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Ce jour-là, c’était l’anniversaire de Naomie, ma copine. Une jolie petite brune d’1m60. Beau mélange de gènes italiens et anglais. Elle passait enfin le cap de la majorité qu’elle attendait impatiemment. Nous avions tous les deux un petit boulot pour payer chacun notre loyer, mais il fallait quand même avouer qu’elle était plus souvent chez moi.
Cependant, ce soir, nous avions tous les deux expressément demandé à ne pas travailler pour pouvoir profiter de la soirée. De ce fait, je voulais vraiment marquer le coup et lui trouver un cadeau à la hauteur. J’avais longuement hésité entre une grande fête avec les potes ou bien un dîner en amoureux. Finalement, j’avais choisi la deuxième option, me disant qu’on pourrait toujours faire la fête plus tard avec les amis. J’y avais passé beaucoup de temps ces dernières semaines et tout avait fini par se goupiller correctement. Le cadeau était prêt. Je n’avais plus qu’à rendre mon appartement le plus présentable possible pendant qu’elle était encore en cours. Elle était en première année de psychologie.
Il me restait juste quelques heures. Ça devrait le faire, mais il fallait m’y mettre dès maintenant ! Durant le temps qui m’était imparti, je fis le ménage, remis tout en ordre et installai les éléments nécessaires pour passer un très agréable moment. Je souhaitai que Naomie soit la plus satisfaite possible par cette soirée. Qu’elle soit mémorable !
Vers 17h, je me dévêtis et partis sous la douche. Elle arriverait d’ici trente minutes environ. Ça me laissait largement le temps de terminer de me préparer. Je nettoyai chaque parcelle de mon corps au savon, de la tête aux pieds, m’attardant sur mon service trois-pièces. Bah oui ! Que serait une soirée d’anniversaire sans une bonne partie de jambe en l’air ? Je connaissais les besoins de ma copine de ce point de vue là et on en arriverait forcément à cette étape. D’ailleurs, il valait mieux pour ne pas gâcher ma surprise. Je lubrifiai bien mon pénis et mes bourses, tellement que je faisais monter l’excitation en moi et que mon membre devenait tout dur. Je m’astiquais lentement. Ma main montait et descendait sur mon pénis, mon prépuce découvrant et recouvrant lentement mon gland, jusqu’à ce que je n’entende la porte de mon appartement claquer.
Il avait déjà dû se passer une demi-heure et je ne m’en étais pas rendu compte, à moins que Naomie n’ait quitté légèrement plus tôt les cours aujourd’hui. Quoi qu’il en soit je m’interrompis, me disant que ce n’était pas plus mal pour me préserver pour la soirée. Je me rinçai, attrapai ma serviette laissée à portée de main et sortis de la douche.
Elle pénétra dans la salle de bain tandis que je me séchais sommairement les cheveux avec ma serviette, lui laissant tous mes muscles apparents et stoppa net.
— Mmmmm... dommage qu’on n’ait pas le temps d’en profiter de suite, se plaignit-elle le sourire en coin devant mon manche au garde-à-vous !
Je répondis par l’affirmative, manifestant également ma déception, mais dans une heure on avait rendez-vous pour le début des festivités. On ne pouvait pas se le permettre. Et puis, je savais, et elle aussi, combien de temps elle pouvait mettre à se préparer pour une sortie en amoureux.
Elle ôta ses vêtements un par un laissant apparaître, tout d’abord, sa généreuse poitrine devant moi. Son 95C était si attrayant pour mon regard. Ses tétons commençaient déjà à pointer. Forcément, je ne pouvais pas me détendre. Puis, elle laissa glisser le bas. Évidemment, sa chatte épilée ne pouvait pas non plus me laisser indifférent. Comment résister à ça malgré le timing hyper-serré ? Mais un petit coup rapide ne serait pas dans l’esprit de la soirée que je souhaitais lui faire passer. J’étais partagé, mais ma Naomie entièrement dévêtue me tira de mes réflexions en se mettant accroupie devant moi, la tête face à la proéminence de mon entrejambe. Elle sortit sa langue et déposa deux petits coups sur mon gland.
— Même si on a peu de temps, je te trouve un peu trop tendu alors je vais t’aider à déstresser. Je suis sûre que la soirée va être top. Ne t’en fais pas, me rassura-t-elle en ouvrant grand la bouche pour qu’elle entoure mon pénis !
Mon membre disparut illico dans sa bouche. Elle l’enfonça jusqu’à la base et le fit réapparaître lentement l’encerclant de ses lèvres et agitant sa langue experte dessus au passage. Elle remonta jusqu’à mon extrémité rosée et la titilla au niveau des deux petits orifices. Cette partie était si sensible que je ne pus me retenir de mordre ma lèvre étouffant tant bien que mal un gémissement. La chaleur humide dans sa gorge m’excitait énormément. Elle avait toujours su bien y faire avec mes attributs. C’était bien pour ça que c’était difficile de lui résister. Elle prit mes bourses en main et les fit rouler entre ses doigts avant de s’arrêter et de venir poser sa langue dessus, stimulant mes testicules l’un après l’autre n’arrêtant pas ses va-et-vient de son autre main. M’étant bien avancé dans le travail, il fallut assez peu de temps pour que je sente mes couilles se désengorger et que mon liquide séminal ne remonte le long de mon manche. Mon corps se raidit.
Lorsqu’elle sentit que j’étais au bord de la jouissance, Naomie planta son visage, langue sortie entièrement, devant mon phallus bien tendu tout en continuant de me masturber. Elle accéléra le mouvement jusqu’à l’expulsion finale. Elle ferma les yeux lorsqu’elle reçut le premier jet et orienta mon manche un peu plus bas pour prendre les trois jets suivants, moins imposants en termes de volume, sur sa langue. Lorsque plus aucun de mes petits gars ne sortit de mon gland, elle rentra son muscle buccal et avala mon sperme, avant de le ressortir afin de nettoyer les résidus qui restaient sur mon membre qui se dégonflait doucement. Elle récupéra également de son doigt le jus qui lui dégoulinait le long de ses joues et se le lécha très sensuellement.
— Je crois que ça va mieux, non, me demanda-t-elle un petit sourire en coin ? Tu vois bien qu’il fallait faire quelque chose ?!

Je dus bien admettre que, même si nous avions perdu une dizaine de minutes sur notre timing, ce petit interlude m’avait fait beaucoup de bien.
— J’espère quand même que tout à l’heure tu tiendras plus longtemps, mon amour, ironisa-t-elle en me tirant la langue. Je risquerai d’être déçue sinon.
Elle rit parce qu’elle connaissait mes capacités. Elle adorait me charrier. Puis elle ajouta qu’il était peut-être temps qu’elle passe à la douche. Et ce masque de semence qui lui collait au visage et lui étirait les pores de sa peau, il fallait bien le nettoyer. Elle entra donc dans la cabine, ferma les yeux et laissa couler l’eau sur son visage. Elle emmena sa crinière mi-longue, qui se trempa, vers l’arrière. Les gouttes d’eau ruisselaient tout le long de son corps. Elle mit du savon dans ses mains et se frotta le corps très sensuellement. Elle n’avait pas mis le rideau de douche volontairement. Elle voulait que je puisse la regarder. Voir ses généreuses formes luisantes de gel douche. Qu’elle se touche chaque partie érogène de son corps alors que j’étais face à elle. Peut-être pour voir au bout de combien de temps je serai à nouveau opérationnel la connaissant.
Mais bon, clairement, là on n’avait plus le temps de jouer alors plutôt que de me faire du mal, je lui tournai le dos et attrapai le sèche-cheveux pour terminer de me sécher et me coiffer. Après cela, je sortis de la salle de bain, ma serviette autour de la taille et me dirigeai dans la chambre, qui lui faisait côte. Sur le lit, j’avais posé l’un de mes nombreux cadeaux de la soirée. J’attendais que Naomie sorte de la douche pour lui donner. En attendant, j’ouvris ma penderie et attrapai une chemise blanche parsemée de motifs liberty, un chino marron et une ceinture bleue qui s’accorderait avec la veste que j’avais prévu de mettre. Je m’habillai puis aperçus l’heure à ma montre. Bon bah, comme prévu, on serait en retard, mais au moins on y serait bien détendus !
Je terminai de boutonner ma chemise lorsque Naomie arriva dans la chambre, serviette portée comme un paréo, les gouttes dégoulinant sur ses épaules. Dans son état actuel, il faudrait encore trente minutes pour qu’elle soit prête. Elle aperçut le paquet déposé sur le lit entouré de quelques boutons de rose.
— Oooh ! C’est pour moi mon chéri, me demanda-t-elle, trépignant d’impatience sur place ?
J’acquiesçai en prenant le paquet et lui tendant.
— Bon anniversaire mon amour, lui déclarai-je en lui déposant un tendre baiser sur le front !
Elle m’embrassa longuement pour me remercier avant de revenir au cadeau. Elle le déballa précautionneusement et laissa échapper un petit cri de bonheur à la vue du contenu.
— Franchement, elle est magnifique, s’exclama-t-elle en se tournant vers moi et me sautant au cou pour m’embrasser. Merci beaucoup beaucoup beaucoup mon amour !
Elle prit soigneusement la robe entre ses doigts pour l’examiner. Je l’avais prise bleue, dans un tissu plutôt fluide, mais pas trop pour pouvoir faire ressortir sa généreuse poitrine et ses fesses rebondies. Elle enfila un ensemble string soutien-gorge en dentelle noire avant de passer sa nouvelle robe par-dessus. Elle lui descendait juste au-dessus des genoux et laissait apparaître les premiers centimètres de son sillon inter mammaire. Comme elle était appétissante dans cette tenue !
Il était 18h20. Pour un rendez-vous à 18h30, ce serait compliqué, mais 19h, ça devrait le faire. Il ne lui restait plus qu’à se maquiller et elle n’aimait pas en mettre trop, ce que j’approuvais totalement. J’aimais le naturel chez une femme. Elle repartit à la salle de bain pour parfaire son maquillage de sortie en amoureux et en ressortit vingt minutes plus tard. Pendant ce temps, je lui avais préparé ses escarpins noirs et sa veste courte de la même couleur, ainsi que son petit sac bleu avec comme lanière une chaîne dorée. Elle me remercia et enfila ses derniers attributs. Et, enfin, nous pûmes partir.
Nous partions vers l’ascenseur, y pénétrions et atteignions le hall de l’immeuble quinze secondes plus tard. J’avais laissé la voiture dans la rue, sachant que nous allions repartir quelques heures plus tard. Nous nous dirigeâmes vers elle et y entrions. Je posai ma main sur celle de Naomie, la regardai amoureusement et déposai un doux baiser sur ses lèvres pour lui montrer à quel point je l’aimais avant de démarrer le véhicule.
Au bout de deux kilomètres, je tâtai mes poches de veste et, par la suite, celles de mon pantalon. Je commençai à blêmir. J’avais oublié mon portefeuille dans ma sacoche à l’appartement. J’en informai ma chérie, qui ne me fit pas cas de cet oubli sachant que ça aurait pu lui arriver aussi, et fit demi-tour.
Au pied de l’immeuble, je me garai à nouveau et demandai à Naomie de patienter quelques minutes, le temps de monter, récupérer mon bien et redescendre. L’attente pour l’ascenseur était si longue que je décidai d’emprunter les escaliers que je montais quatre à quatre et me retrouvai devant la porte. Comme c’était prévu, celle-ci n’était plus fermée à clé donc tout devait être prêt. Je me glissai à l’intérieur pour m’en assurer et me dirigeai sur la pièce à droite de l’entrée : la cuisine, où la porte était close. J’ouvris et je vis mes huit comparses, prévus pour le dîner romantique, prêts, chacun dans leurs tenues.
Il y avait trois musiciens : un violoniste, un saxophoniste et une pianiste, quatre cuistots : un pour l’entrée, deux pour le plat et un pour le dessert - j’appartenais à une école de cuisine donc c’était plus simple pour moi de faire venir le dîner à l’appartement ; il suffisait juste de bien s’organiser pour que Naomie ne se doute de rien - et le dernier était prévu pour le service. Ils avaient eu le temps de dresser la table de la salle à manger avec une belle nappe blanche, des bougies et des pétales de roses pour décorer. Ils avaient été efficaces dans le peu de temps imparti, mais heureusement qu’ils avaient été briefés dès le début sur ce que je souhaitais préparer comme surprise.
Lorsque je constatai que tout était prêt, je sortis mon téléphone de ma poche et appelai Naomie, qui patientait toujours dans la voiture. Elle décrocha au bout de deux sonneries.
— Naomie ! Est-ce que tu peux monter, s’il te plaît ? Je galère. Je sais vraiment pas où je l’ai mis. A deux, on ira plus vite.
Je l’entendis souffler dans le téléphone et claquer la portière. Elle était occupée de monter, probablement à contrecœur. Environ cinq minutes plus tard, je l’aperçus dans le judas, qui sortait de l’ascenseur. Je fis semblant de m’affairer tandis qu’elle ouvrait la porte.
— Bon ! Alors ! Où est-ce que tu l’as vu la dernière fois ? me demanda-t-elle, blasée.— Je pensais que c’était dans la salle à manger, mais je l’ai pas trouvé, mentis-je. Mais si tu veux, tu peux aller voir. Tu auras peut-être plus l’œil que moi.
Elle n’attendit pas plus et se dirigea vers la pièce indiquée. Au seuil, je l’entendis lâcher un cri de surprise.
— Woawww ! C’est quoi ça ? me demanda-t-elle en se tournant vers moi. Tu t’es bien fichu de moi quand même, mais qu’est-ce que je t’aime, me lâcha-t-elle des étoiles dans les yeux !
Elle examina la table dressée magnifiquement accompagnée d’une agréable mélodie. La pianiste rousse foncée en robe satinée noire installée dans l’angle de la pièce d’environ 35 m2, le violoniste brun en chemise et pantalon cintré à bretelles et le saxophoniste noir habillé sensiblement de la même manière à ses côtés nous jouaient des classiques romantiques. Je reconnaissais "What a wonderful world" de Louis Armstrong. Je tirai une des deux chaises pour installer Naomie, comme tout bon gentleman et allai m’asseoir face à elle avec un grand sourire et des yeux amoureux. Elle était tellement belle !
Sans plus attendre, Jules, le serveur, un bel homme brun, rasé de frais et propre sur lui, déposa l’entrée, une belle assiette de saumon gravlax, devant chacun de nous. Tout en la mangeant de bon cœur, nous discutions de notre belle relation qui durait depuis environ un an. Nous faisions une rétrospective de chaque moment passé ensemble au son des mélodies du clavier, du saxophone et du violon.
Puis notre serveur revint nous enlever nos assiettes pour les remplacer par une magnifique assiette de riz au curry de dinde et lait de coco. Un pur délice que ce plat. Naomie en fit compliment au serveur. Et j’étais tellement ravi de lui faire plaisir avec un repas nouveau, mais que je savais qu’elle apprécierait !
Pendant ce temps, nous continuions de discuter, mais de notre avenir cette fois-ci. Et j’étais heureux que nous ne nous mettions pas la pression. On s’entendait magnifiquement bien, mais on était encore jeune. Il était trop tôt pour de grands projets d’avenir, mais on pouvait se prévoir nos prochaines vacances.
Environ trente minutes plus tard, le serveur fit à nouveau son entrée, nous débarrassa et amena le dessert. Pas un truc de fou, mais le dessert préféré de Naomie : une belle tarte au citron meringuée. Tout avait été misé sur la présentation : un 1 et 8 avec une bonne dose de crème sur le dessus. Elle en était ravie.
— C’était un vrai régal mon chéri ! Merci beaucoup pour cette belle surprise, me dit-elle le sourire aux lèvres.
Je me levai de ma chaise et me dirigeai vers elle. Je posai longuement mes lèvres sur les siennes et sortis ma langue pour lui lécher lentement la commissure.
— Tu avais un peu de gâteau là, l’informai-je en lui faisant un clin d’œil.— Mais bien sûr mon amour, me répondit-elle, taquine. Et tu ne veux pas non plus me prendre comme deuxième dessert, hein ?
Je lui tirai la chaise et lui pris la main pour qu’elle se relève. Elle remercia chacune des personnes qui était dans l’appartement: Stanislas le violoniste, Alex le saxophoniste, Clarisse la pianiste, Jules notre serveur, Nassim l’Arabe qui avait réalisé le dessert, Nils le grand blond suédois de l’entrée et les jumeaux ténébreux Enzo et Ugo qui s’étaient activés à deux pour le plat pour que ça prenne le moins de temps possible à la préparation. Puis, nous les laissions tout débarrasser et nous dirigeâmes vers la chambre pour le deuxième "dessert".
La porte à peine fermée, elle se jeta, littéralement, sur moi, m’embrassa langoureusement et entrecoupa son baiser d’un "Merci pour la belle surprise que tu m’as faite !". Intérieurement, je me disais "Et c’est pas fini ma jolie !" Ses lèvres toujours posées sur les miennes, elle défit ma ceinture et déboutonna mon pantalon pour pouvoir glisser la main sous mon boxer. Elle saisit mon appareil à pleine main et commença à faire de lents mouvements de haut en bas. Sa main était particulièrement chaude. C’était vraiment agréable. Mes mains faisaient glisser doucement sa veste le long de ses bras et, du bout des doigts, je la caressai sensuellement ce qui la fit frissonner. Elle sortit sa main pour laisser tomber sa veste au sol et, plutôt que de la remettre dedans, elle préféra descendre mon chino à mes pieds. Elle se retrouva alors à genoux devant mon entrejambe.
— Tu mérites une belle récompense pour ce que tu m’as offert, m’annonça-t-elle en sortant sa langue.
Elle donna quelques coups sur ma mi-molle afin de m’exciter davantage, même si sentir sa main dessus avait déjà commencé le travail. Le résultat fut rapide. Ma verge grossissait à vue d’œil, à tel point que mon prépuce disparût le long de mon gland. Elle fit quelques va-et-vient avec sa main tout en suçant le bout rosé qu’elle encadra de ses lèvres. Je la sentais tirer légèrement dessus tout en le titillant du bout de la langue. C’était tellement excitant ! Elle prit ensuite mes bourses dans ses mains et les malaxa gentiment tandis qu’elle avançait doucement sa bouche sur mon pénis bandé. Son autre main me masturbait toujours, mais elle se stoppa pour prendre la totalité de mon membre au fond de sa gorge en bavant. Ces bruits m’excitaient beaucoup ! Puis elle reprit sa fellation normalement après deux blocages en gorge profonde, en faisant tourner sa bouche sur toute la longueur, accompagnée de sa main. Elle savait y faire. J’étais vraiment bien tombé.
Je commençai à me pencher en avant du mieux que je pus pour dézipper sa robe. Je la descendis de quelques centimètres. Quand Naomie se rendit compte de ce que je voulais faire, elle la tira jusqu’en bas, ce qui me permit de la faire glisser de ses épaules. Elle sortit ses bras un par un des bretelles sans arrêter de s’occuper de mon phallus avec sa bouche. Son buste était à présent apparent. Sa généreuse poitrine me faisait de l’œil. Sachant à quel point je l’appréciai, Naomie dégrafa son soutien-gorge et alla encore plus loin. Elle se tendit bien sur ses genoux pour encadrer mon sexe, tout dur, de ses si jolis seins. Puis elle les serra avec ses mains en faisant des mouvements montants et descendants. J’étais aux anges ! Elle poursuivit sa branlette espagnole pendant quelques minutes avant de se relever, d’enlever sa robe et son string et de m’ôter ma veste et ma chemise.
— Prends-moi comme j’aime, s’il te plaît, me pria-t-elle en s’allongeant de tout son long sur le lit !
Qu’elle était belle étendue comme ça, les bras au-dessus de sa tête, se tenant les poignets, ce qui étira sa poitrine vers le haut ! Ses chevilles croisées en mode "j’attends" et ses yeux suppliant la scène de sexe bien hard. Il était temps de passer à mon véritable cadeau maintenant. Je sortis un bandeau noir de la commode de la chambre.
— Sache qu’il y a encore un cadeau ma petite Naomie. J’aimerais te l’offrir maintenant avant de satisfaire à ta requête.— Ah oui !?! rétorqua-t-elle mi-heureuse d’avoir une autre surprise et mi-frustrée de devoir interrompre ce qui se passait.— Oui. Et ne t’en fais pas. Si je te donne ce cadeau maintenant j’ai mes raisons. Tu veux bien juste mettre ce bandeau sur tes yeux, s’il te plaît ? Je te demanderai de le garder une dizaine de minutes et je te dirai quand tu pourras l’enlever. D’accord ?
Elle acquiesça, visiblement interloquée par ma requête, en prenant la bande de tissu et en la serrant derrière sa tête, lui masquant ainsi la vue. Sa réaction me faisait sourire, car j’avais réussi mon coup. Elle ne s’attendait pas le moins du monde à ce qui allait suivre.
J’ouvris la porte et laissai entrer les uns derrière les autres les huit personnes de second plan présentes en ce début de soirée. Je les connaissais tous puisque les quatre en cuisine et le serveur était des potes de promo et les trois musiciens étaient dans mon école de musique. Nous étions restés en contact régulier sans jamais vraiment avoir pris le temps de nous revoir depuis que j’avais arrêté les cours de piano trois ans plus tôt. Ça avait été l’occasion ce soir-là. Une petite particularité : ces huit personnes pénétrèrent dans la pièce entièrement nues.
— Ah oui ma chérie ! Pour bien profiter de la surprise, tu te laisses faire, en tout cas, au début, lui précisai-je. On est bien d’accord ?
Elle acquiesça à nouveau. Je fis donc signe aux différents protagonistes qu’on pouvait commencer. La première à entrer en scène était la jolie pianiste rousse aux boucles légères attachées dans un chignon. Elle écarta les cuisses de mon amour bien largement et vint placer sa tête au point de rencontre. Elle s’installa sur ses genoux, postérieur en arrière. Elle inséra un doigt entre les lèvres intimes de Naomie, qu’elle ressortit après trois va-et-vient particulièrement lents et sensuels. Elle étala la cyprine qui le recouvrait sur chaque partie extérieure de cette fleur.
Je guettai chacune des réactions de ma copine à cette surprise, privée de deux de ses sens. Quand le doigt la pénétra, je perçus une mimique de surprise sur son visage indiquant qu’elle s’était rendu compte que ce n’était pas le mien - il était moins gros -, mais elle obéit à mon ordre et se laissa faire. Et elle eut l’air d’apprécier cette sensation d’inconnu.
Après ces premiers gestes, elle inséra un deuxième doigt et fit des va-et-vient toujours aussi sensuellement lents tandis qu’elle approcha sa bouche. Elle embrassa ses lèvres intimes et titilla son clitoris du bout de la langue. Elle le suça et l’aspira doucement. Naomie étirait son corps et emmenait sa tête en arrière créant une magnifique cambrure avec son dos sur le matelas. La jeune femme rousse accéléra le mouvement de ses doigts et prit ses lèvres plus goulûment en bouche pour bien goûter la cyprine de ma chérie qui ne s’empêchait pas le moins du monde de gémir.
Tandis que Clarisse poursuivait ses mouvements de doigts et de langue, je fis signe à Alex, le saxophoniste black, d’entrer en piste. La réputation des noirs d’un point de vue taille de l’engin n’était pas volée quand on voyait le sien. Ma Naomie allait se régaler avec, et d’ailleurs, je lui demandai de lever un peu sa main droite pour attraper le pénis bien tendu devant elle. Elle tâtonna trois secondes avant de trouver le monstre. S’attendant à la taille de la mienne, qui n’était pas ridicule, elle s’arrêta nette de stupéfaction avant de sourire de satisfaction lorsqu’elle fit un premier mouvement de va-et-vient avec sa main. Elle approcha alors son visage de cet énorme phallus en érection et l’entoura de sa bouche, commençant par le gland et descendant lentement jusqu’à ce qu’elle ne bute au fond de sa gorge à environ trois quarts de sa longueur.
Elle en bava et déglutit avant de commencer à le pomper rapidement d’un mouvement simultané de sa bouche et de sa main, accompagnant le tout d’excitants bruits de succions.
D’un nouveau geste de la main, je lançai ensuite le dernier des musiciens de l’autre côté du lit, sexe en avant également et précisai à Naomie de lever la main gauche. Elle mit tout aussi peu de temps pour attraper cette verge et commencer des va-et-vient avec sa main tandis qu’elle avait toujours le sexe d’Axel en bouche. Lorsqu’elle ferma sa main autour du pénis de Stan, elle ne reconnut toujours pas le mien. Celui-ci était un peu moins épais. Ce fut à cet instant précis qu’elle comprit réellement ce qui se passait. Et bien que sa bouche soit fourrée par le saxophoniste, je pus tout de même entrevoir un sourire satisfait grâce à ses commissures qui se relevèrent.
Son plus gros fantasme était en train de se réaliser. Elle avait toujours pensé que je n’accepterais jamais et on n’en avait jamais vraiment reparlé après avoir abordé le sujet quelques mois après notre mise en couple. Je devais avouer que je n’étais pas forcément partant au début, mais l’idée avait germé dans ma tête et j’avais réfléchi à la manière de le réaliser avec Naomie sans que cela ne pose de problèmes. Il fallait que ce soit des personnes que je connaisse et dont je sois sûr. Je voulais éviter qu’elle ou moi n’attrapions un truc après cette orgie pour ne pas la regretter toute notre vie, d’autant que Naomie avait les capotes en sainte horreur. Pour cette soirée, tout avait été minutieusement préparé et vérifié sous tous rapports. J’y allais sereinement et je savais que j’y prendrais également du plaisir. Une seule règle avait été fixée. Personne ne devait éjaculer avant la fin.
Puisqu’elle avait deviné ce qui se passait hors de sa vue, je l’autorisai à ôter le bandeau de ses yeux. Elle aperçut alors les quatre cuistots et le serveur s’astiquer le manche attendant mon feu vert pour entrer en jeu, tout en masturbant Axel et en suçant la queue de Stan sans retenue. Elle prit conscience qu’elle avait encore beaucoup de choses à goûter et je savais qu’elle avait bon appétit. Il ne resterait absolument plus rien de ce dernier dessert et ce n’était plus la peine de la faire languir avec toutes ces queues qu’elle avait la possibilité de voir à présent. Je faisais comme tous les hommes présents, me branlant avant de participer activement à la scène. Quand elle vit tous ses pénis rien que pour elle, elle écarquilla grand les yeux de surprise et de plaisir. La gourmande qui était en elle la poussa à se mettre à genoux au bord du lit pour pouvoir les goûter un par un. Cependant, Clarisse lui faisait énormément de bien à l’entrejambe avec sa langue et ses doigts.
Pour ne pas perdre cette sensation, elle lui demanda de s’allonger sur le dos pour qu’elle puisse se poser sur son visage et qu’elle continue de lui lécher la vulve tout en s’activant sur ces sexes tendus.
Une fois les deux femmes installées, les sept sexes d’homme, hormis le mien, se trouvèrent plantés tout autour du visage de Naomie. Elle lécha chacun des phallus un par un, de la base en remontant jusqu’au gland et en suçant avidement chaque pénis cinq ou six fois avant de passer au suivant. Tandis que sa bouche s’occupait d’un sexe, ses deux mains en avaient empoigné deux autres et les branlaient rapidement. Puis les jumeaux décidèrent de mettre le leur en même temps dans la bouche de Naomie. Leurs membres de bonne taille écartèrent ses lèvres au point de ne plus pouvoir les bouger d’un millimètre. Sa langue titillait tant bien que mal chacun des deux bouts rosés. L’un des deux en profita pour enfoncer son pénis au fond de la gorge de ma chérie qui en bavait tandis que l’autre gardait l’ouverture béante, avant d’inverser les rôles lorsque le premier s’extrayait de la gorge pour revenir à l’entrée des lèvres. Ce fut un véritable défilé.
Chacun profitant de la bouche de mon amour au maximum.
Pendant ce temps, j’avais installé ma tête à l’entrejambe de Clarisse. J’avais écarté ses cuisses au maximum pour lui stimuler son clitoris et lui faire ressentir du plaisir dans son vagin grâce à mes doigts et ma langue qui s’activaient à bonne allure. Je léchais la cyprine qu’elle sécrétait déjà en abondance et qui coulait le long de ses lèvres. Elle avait tellement bon goût ! Je les lui suçai et les lui tirai, lui arrachant un gémissement étouffé par la vulve de ma chérie. Celle-ci était aux anges avec tout ce petit monde pour elle toute seule. Mais il était temps pour elle d’en profiter autrement.
— Remplissez-moi de partout les gars ! les pria-t-elle. Je veux vous sentir passer et en avoir pour mon argent.
Elle fit allonger Axel sur le lit et goba ses testicules un par un, les stimulant avec sa langue, avant d’avaler son pénis du mieux qu’elle le pût tout en bavant. Son sexe en érection complète était impressionnant. C’était ce qu’elle recherchait pour pouvoir s’y empaler. Elle vint alors s’asseoir à califourchon dessus et le sentit écarter ses lèvres intimes, puis les parois de son vagin, avant de buter au fond. Une fois bien plantée dessus, elle bascula en avant pour s’allonger sur lui, qui commença les va-et-vient dans sa cavité intime.
Pour suivre les instructions qu’elle leur avait données, Nassim pointa son dard devant son anus tout serré. Il inséra deux doigts l’un après l’autre à l’intérieur pour faciliter le passage du sphincter et fouilla avec pour détendre cet orifice. Axel continuait de rentrer en elle pendant ce temps et la combinaison de son pénis et des doigts de Nassim la fit gémir. Quelques instants plus tard, celui-ci enfonça son phallus bien gros et bien tendu dans sa cavité anale et, là, elle poussa un cri plus intense au passage de son membre sur toute la longueur de ce passage étroit. Mais son visage appréciait beaucoup. Puis, les deux hommes alternèrent leurs mouvements dans leurs orifices respectifs. Naomie criait encore plus fort. C’était si excitant de l’entendre comme ça !
Jules se plaça à genoux sur le côté droit de son visage et lui enfourna sa queue bien dressée au fond de sa gorge en lui maintenant la tête pour lui donner un rythme tandis que sa salive dégoulinait de sa bouche tant il la pénétrait fort. Ses coups de reins étaient violents, mais elle appréciait se faire détruire n’importe quel orifice.
Tandis que les trois hommes s’occupaient d’elle, elle astiquait le manche des jumeaux qu’elle tenait dans chacune de ses mains. Toutes ces verges rien que pour elle, c’était son fantasme ultime !
Alors que Naomie se faisait détruire chaque trou, Stan s’était allongé sur le dos à environ cinquante centimètres de son comparse musicien tandis que Clarisse avait installé ses fesses rebondies sur son bassin et guidait le pénis vers son anus. Visiblement, elle adorait être perforée à sec. Elle lâcha un cri de douleur lorsque ce sexe lui explosa son sphincter et lui déchira ses parois anales, cri qu’elle termina par un long soupir de bonheur. Nils se mit debout au-dessus d’elle. Elle bascula sa tête en arrière, sortit sa langue pour lécher ses testicules, les embrasser et carrément les gober. Ils disparurent dans sa bouche quelques instants, ce qui provoqua une grimace de plaisir au grand blond avant qu’elle ne les relâche et qu’il ne lui présente sa verge devant sa bouche. Elle lécha cet épais bâton sur toute sa longueur avant d’attraper son gland entre ses lèvres. Stan s’en donnait toujours à cœur joie pour lui exploser l’anus.
Il lui maintenait ses cuisses écartées et en l’air tandis qu’elle maintenait la position les mains posées sur le lit. Sa vulve si appétissante m’était présentée comme une offrande. Seul orifice féminin encore disponible. Je ne me fis pas prier et plaçai mon phallus en érection juste à l’entrée des lèvres intimes de la pianiste, même s’il n’était pas dans mes habitudes de mettre mon pénis dans le sexe d’une autre femme que Naomie. Cette soirée était l’occasion de tester de nouvelles sensations.
Avec mon gland, je parcourrai les grandes puis les petites lèvres de Clarisse pour me lubrifier davantage, si tant était que j’en avais vraiment besoin, avant de fourrer le vagin de Clarisse en profondeur. Je sentais la queue de Stan à travers ses parois internes ce qui ajoutait à l’excitation et favorisait la montée du sperme dans mon membre. Je fis une série de va-et-vient avant que Stan et moi n’alternions nos mouvements au rythme de cinq entrées et sorties par orifice. Je voyais les yeux de la jeune femme se révulser de plaisir derrière le membre de Nils. Tous les trous des deux femmes étaient ainsi comblés. Chacun des hommes s’en donnait à cœur joie, alternant rythmes lents et rapides, bougeant l’un après l’autre. Tout se combinait agréablement bien ! La chambre était emplie de gémissements, étouffés par la force des choses pour les femmes, retenus pour certains hommes et clairement audibles pour d’autres.
Alors que nous nous amusions bien les uns avec les autres, Naomie eut envie de changer de position et de prendre les deux pénis des jumeaux en elle. Elle s’extirpa de tous les sexes masculins qui étaient en elle et vint s’accrocher au cou d’Enzo, refermant ses cuisses autour de ses hanches. Celui-ci guida la descente de ma copine jusqu’à son phallus et l’empala dessus. Son frère se plaça dans le dos de ma chérie, lui écarta les fesses et planta sa verge dans son anus déjà dilaté. Les jumeaux firent des va-et-vient à répétition dans chacun des orifices, l’obligeant à crier tellement fort de plaisir que tout le voisinage devait entendre ce qui se passait dans l’appartement.
Les trois hommes laissés de côté par cette position vinrent nous rejoindre pour s’occuper de Clarisse qui, par la force des choses, se retrouvait avec six verges à satisfaire. Elle attrapa celles de Nassim et Jules dans chacune de ses mains pour les branler à fond, ce qui obligea Nils à la maintenir à la taille tandis qu’il continuait de s’affairer dans son anus. Quant à Axel, il voulait tenter quelque chose de nouveau pour lui, et au final, pour moi également.
— Tu veux bien baiser Clarisse en prenant appui de tes jambes directement sur le lit, s’il te plaît ? me demanda-t-il.
Pour une baise de qualité, nous avions décidé, au préalable, d’avoir toujours un minimum de respect les uns pour les autres. Ainsi, tous, nous pourrions garder un bon souvenir de cette soirée et, pourquoi pas, retenter l’expérience plus tard.
J’acceptai sa proposition et me surélevai un peu par rapport à la chatte de Clarisse, ce qui l’obligea à écarter et replier davantage ses jambes sur elle-même. Mon membre se retrouvait un peu pointé en contrebas et mes testicules commencèrent à l’encadrer de part et d’autre. Mais m’enfoncer encore et encore dans ce vagin trempé m’empêcherait de ressentir une quelconque gêne.
Une fois dans la position demandée, Axel arriva dans mon dos et pointa son imposant engin sur le même orifice que moi. Je fus particulièrement surpris lorsque je sentis son gland entrer en contact avec la peau de mon sexe et glisser lentement contre pour entrer de moitié dans le vagin de Clarisse. Lorsqu’elle sentit un deuxième phallus forcer le passage de son trou, celle-ci écarquilla bien grand les yeux et voulut crier. Cependant, Nils l’obligea à garder son membre en bouche pour qu’aucun son ne soit émis. Elle subit cette triple pénétration vaginale et anale, mais, au final, peu de temps, car elle s’y habitua très vite. Son corps ne chercha nullement à se retirer de notre emprise. Avec trois verges, il fallait modifier un peu les mouvements de bassin. En vrai, Axel ne pouvait progresser que de quelques centimètres au vu de sa position, mais Stan et moi poursuivions nos va-et-vient quasiment comme précédemment. La jeune rousse avait ses orifices littéralement écartés.
Naomie, qui assistait au spectacle, empalée en l’air sur les deux queues des jumeaux qui s’en donnaient de bon cœur, eut aussi envie de tester les trois pénis dans ses deux trous du bas.
— Mon chéri ! m’interpella-t-elle ! Je veux la même chose. Viens là, s’il te plaît !
C’était son anniversaire et c’était ma copine. Deux raisons pour lesquelles il me fallait accéder à sa requête, pour mon plus grand bonheur. Je sortis donc mon engin du vagin de Clarisse et allai rejoindre Naomie et les jumeaux. Je m’installai à plat dos sur le lit. Naomie me prit le manche en main, le pompa cinq ou six fois et accompagna le mouvement en suçant mon gland et le léchant aux deux petites fentes, histoire de bien accentuer l’afflux sanguin dans mon membre en érection maximale. Une fois le résultat escompté pour elle, elle s’installa dessus, face à moi. Je sentis ses lèvres s’écarter au passage de mon sexe. Elle glissa son vagin jusqu’à ce qu’il soit stoppé net par mon manche. Sa cyprine entoura mon pénis d’une chaleur humide. Elle me regardait avec une envie toute particulière, une lueur qui ressemblait à un ’merci’ mêlé de tension sexuelle. C’était vraiment agréable !
Elle accompagnait mes va-et-vient dans son orifice par des ondulations du bassin et des gémissements de plaisir. J’avais tellement envie de tout lâcher ! Mais à peine l’avais-je pensé qu’elle fit signe aux jumeaux pour qu’ils prennent place eux aussi. Ils inversèrent leurs cavités, pour une question d’équité fraternelle. Enzo se présenta donc devant son anus préparé par son frère et, une fois nous trois installés, Ugo se fraya un chemin entre ma queue et la paroi vaginale de ma chérie. Son phallus se pressait contre le mien et écartait un maximum le sexe de Naomie. Seul le fist pouvait le dilater encore plus !
Le saxophoniste, ayant trempé son biscuit dans les deux chattes présentes, décida de laisser un peu sa place à d’autres qui n’avaient pas encore eu cette occasion. Il pensait à Nils et Jules qui n’avaient pu profiter que d’une fellation. Stan sortit également son membre de la vulve de la pianiste et lui indiqua, en repoussant ses hanches, de laisser la place à Jules. Le beau serveur brun s’allongea sur le bord du lit, jambes pliées touchant le sol. Clarisse s’empala sur lui et glissa très rapidement jusqu’à la base tant elle était trempée. Jules lui empoigna ses seins et remonta la tête pour lécher ses tétons et lui sucer tandis qu’elle-même avait en bouche les deux pénis de Nassim et Stan. Le cuisinier blond, quant à lui, prit appui de ses jambes sur le lit et s’installa au-dessus des fesses rebondies de la pianiste et présenta son membre devant le même orifice que Jules.
Il écarta davantage le passage déjà bouché par celui-ci et commença des va-et-vient intenses en alternance avec le serveur. Elle sécréta encore davantage de cyprine de par la friction des deux membres sur ses parois distendues.
Après avoir bien profité de gorges profondes en alternance avec Stan, Nassim décida de tenter quelque chose. Il ôta son pénis de la bouche de la jeune rousse et fit le tour du lit. Il se présenta, lui aussi, derrière elle et pointa son membre pile entre les deux phallus qui écartelaient déjà son vagin. Il eut quelques difficultés à entrer de par l’espace libre à peine présent. La chatte de Clarisse dut s’adapter à une nouvelle intrusion. Une fois à l’intérieur, il fit de légers va-et-vient avant d’accélérer le rythme lorsqu’il sût qu’il était bien calé. Malgré la verge gonflée de Stan en bouche, la jeune femme émit un cri de douleur et de plaisir qui ne fut qu’à peine étouffé et qui dura quelques dizaines de secondes.
Pendant ce temps, Axel s’était placé devant le visage de Naomie - par la même occasion, juste au-dessus de ma tête, ce qui me permit de visualiser en gros plan le monstre qu’il agitait dans sa main - et inséra son membre bien gonflé au fond de sa gorge. J’avais vue directe sur ses couilles noires et imposantes, mais je me remis rapidement de ma surprise et retournai à mes mouvements au fond du vagin de ma chérie partagé avec Ugo. Nous alternions nos entrées et nos sorties tandis qu’Enzo lui dilatait l’anus bien profond. Je la voyais crisper sa bouche sur le sexe d’Axel sous les différents coups de reins qu’elle recevait manifestant souffrance et plaisir mêlés. Elle en prenait pour son grade, mais, honnêtement, c’était exactement ce qu’elle recherchait !
Des va-et-vient à tire-larigot pour les deux femmes alternés dans chaque orifice. Elles se faisaient démonter comme jamais elles ne l’avaient été. Ça faisait tellement plaisir à voir et de participer à un tel défoulement sexuel !
Au bout de cinq minutes de partage de ma chérie avec les jumeaux, je fis signe à tous les hommes de la pièce de stopper leurs coups de reins dans quelque cavité que ce soit, d’en sortir et de s’installer debout au centre de l’espace vide. Ils s’exécutèrent. Je fus le seul qui resta dans le vagin de Naomie. Je restai son petit ami après tout. Il me fallait bien quelques privilèges dans cette scène ! Quoi qu’il en soit, mon pénis était bien plus à l’aise et pouvait se mouvoir à sa guise. J’accélérai mes entrées et sorties dans son vagin tout dilaté, en la maintenant par les hanches. Elle en profita pour fourrer sa langue au fond de ma gorge et m’embrasser langoureusement. Mon membre épais et tendu était inondé de cyprine. Quatre va-et-vient supplémentaires et mon corps se raidit. Mes yeux se révulsèrent dans leurs orbites.
Mes couilles gonflaient et n’avaient qu’une envie : faire monter tout le sperme disponible et le délivrer. À peine le sentis-je progresser dans mes testicules que je fourrais Naomie de tout mon jus disponible. Ce liquide chaud se joignit à sa cyprine autour de mon gland et de mon manche dans sa cavité. L’apothéose du plaisir !
— Ouiiiiii... Ouiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii..., cria Naomie avant que son corps ne se relâche sur moi.
Les sept autres gars étaient au spectacle, s’astiquant le manche lentement et attendant le moment de la délivrance. Quant à cette gourmande de Clarisse, elle finit par se placer à quelques centimètres de nos organes génitaux, appuyant ses mains sur les fesses rebondies de Naomie pour intensifier ses mouvements, jusqu’à l’explosion finale accompagnée de râles de plaisir. Elle en profita alors pour approcher sa bouche de mes bourses et tirer la langue pour les lécher. Puis, quand Naomie s’enleva de mon pieu, le mélange de nos deux liquides se répandit le long de mon pénis. Elle saisit l’occasion pour goûter ce succulent nectar en passant sa langue sur mon sexe de la base au gland, histoire de ne rien gâcher.
— Éponge-moi aussi avec ta langue, s’il te plaît, la pria Naomie qui attendait, les fesses légèrement en arrière pour que le mélange coule de son vagin sans difficulté ! Prends absolument tout dans ta bouche.
Celle-ci acquiesça le sourire aux lèvres. Ce sperme et cette cyprine mêlée gouttaient de l’entrejambe de Naomie. Clarisse s’assit, tête en arrière, légèrement allongée afin d’être à bonne hauteur pour tout avaler. Elle ne toucha même pas la vulve de ma copine pour récupérer la grosse goutte visqueuse qui tombait au fond de sa gorge. Seulement ensuite, elle approcha sa langue de ses lèvres dégoulinantes partant du bas et remontant jusqu’au clitoris, manœuvre qu’elle réitéra par cinq fois, histoire d’être sûre de n’avoir rien oublié, avant de déglutir et de terminer par un long baiser accompagné de succion sur son bouton rosé. Naomie émit un long gémissement de plaisir au passage de cette langue appuyée sur sa chatte.
— Mmmmmmmmmm... que tu fais ça bien ! Je te garderai bien à cet endroit encore un bon bout de temps. Mmmmmmmmmmm...
Une fois nous deux nettoyés par Clarisse, les deux femmes se mirent à genoux au sol, bouches ouvertes et langues tendues. Les sept mecs se placèrent en arc de cercle autour d’elles, manches activés par leur main. Ils avaient enfin le feu vert pour tout lâcher. Les uns derrière les autres, ils s’approchèrent d’elles. Nassim commença par viser la bouche de Naomie. Trois masturbations supplémentaires suffirent à le faire cracher. Le premier tir était assez incertain et elle en reçut sur le nez et la joue. Il ajusta les suivants qui terminèrent leur course au bon endroit.
Clarisse, elle, ne voulait rien directement dans la bouche, mais plutôt sur son visage ou son corps. Nils s’approcha d’elle et après quelques mouvements éjacula à plusieurs reprises sur ses yeux fermés. Il se recula pour laisser la place à Stan qui imita l’autre homme. Quatre mouvements de pompe et l’expulsion sur les yeux et le nez de la jeune femme.
Au même moment, Axel avait, encore une fois, planté son sexe dans la bouche de Naomie. Elle fit tourner sa langue autour de son gland noir tandis qu’il astiquait fort son manche jusqu’à gicler une grosse quantité de jus au fond de sa gorge. Elle avala et lui sourit devant une telle charge. J’en fus presque jaloux sur le moment, mais je me rassurai en me disant qu’elle était heureuse avec moi et que je la comblai sexuellement. Je n’étais pas ridicule du tout. Je continuai donc d’observer cette scène finale en me tripotant.
Jules remplaça Stan devant le visage de Clarisse. Il branla fort son pénis et déchargea tout son foutre sur les deux doses de sperme déjà dégoulinantes sur son visage, ce qui rendait ce fluide encore plus épais. On distinguait à peine ses yeux. Une fois toutes les charges sur sa figure, elle sortit sa langue et commença à lécher ce qui coulait aux abords de ses lèvres.
Naomie, quant à elle, se trouvait face aux jumeaux. Ils décidèrent de se décharger sur son visage en même temps. Ils s’agitèrent sur leur manche très rapidement et émirent un râle de plaisir lorsque leur semence jaillit et se déposa sur les yeux, le nez et les joues de ma copine qui avait le sourire aux lèvres.
Tous les hommes avaient pu bien profiter de cette orgie, moi y compris. On sentait que tout le monde avait bien pris son pied. Et il en était de même pour les filles. D’ailleurs, elles n’avaient pas totalement terminé. Clarisse se tourna vers Naomie et sortit sa langue pour récupérer les différentes couches de semence sur son visage. Elle lapa tout jusqu’à la dernière goutte et le garda en bouche. Ma chérie décida alors de lui rendre la pareille et sa langue parcourut les joues de la pianiste toutes dégoulinantes de sperme pour en récupérer le maximum. Puis Clarisse attrapa Naomie par la nuque et déposa ses lèvres sur les siennes, les écarta et partagea le contenu de sa bouche avec ma copine pendant de longues secondes avant de les décoller enfin.
— Waoooow, finit par lâcher Naomie, les yeux exorbités, dans un soupir de satisfaction !
Elle se releva et s’assit à mes côtés sur le bord du lit avant de remercier chacun des participants à cette soirée, encore une fois pour la partie repas, mais, bien évidemment, pour la partie gang bang à présent. Ils nous remercièrent également pour leur avoir permis de participer à une telle expérience avant de passer à la douche et de prendre congé.
Une fois la chambre, transpirant le sexe à plein nez, vidée de tous les autres acteurs de cette soirée, nous nous allongeâmes côte à côte sur le lit avec Naomie, mon bras entourant ses épaules, nos visages tournés l’un vers l’autre.
— Franchement, merci à toi pour cette magnifique surprise, mon amour. Je ne m’y attendais pas le moins du monde. Cette expérience restera gravée à jamais dans ma mémoire. C’est là que je vois à quel point tu m’aimes, m’avoua-t-elle le sourire aux lèvres.— C’est normal, lui répondis-je. Je voulais vraiment quelque chose d’exceptionnel. Marquer le coup de tes dix-huit ans. D’ailleurs tu n’as peut-être pas fait attention, mais il y avait aussi la symbolique dans le nombre de participants. Une femme et huit hommes en me comptant dans le lot.— Je n’avais pas remarqué. T’es vraiment un amour. Tu as poussé jusque dans les moindres détails. C’est ouf ! Merci beaucoup à toi, me dit-elle en roulant sur moi et en m’embrassant.
Nous restâmes entrelacés sur le lit un long moment à se délecter de sa soirée d’anniversaire, jusqu’à ce que la porte d’entrée ne se referme. Seulement alors, nous nous décidâmes à aller prendre une douche et dormir après tant d’activité, la concluant par un baiser, nos corps enchevêtrés, sur un dernier "Joyeux anniversaire ma chérie !"
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