Avant de vous raconter ce qui m’est arrivé, laissez-moi tout d’abord me présenter.Je m’appelle Mathieu et je fête aujourd’hui mes 22 ans. Je suis plutôt grand, et mon physique est finalement assez basique, ni très athlétique, ni trop mince, ni trop gras. Je ne suis pas fan de mon visage même si je trouve que ma barbe me donne un certain charme.Cette description vous le montre bien, je ne m’apprécie pas spécialement comme je suis. Je n’ai pas confiance en moi et cela se ressent forcément lorsque vient le moment de draguer une fille. C’est pour cette raison qu’à 22 ans, je n’ai jamais été en couple, et que je suis encore puceau. Mais tout cela va bientôt changer. C’est le jour de mes 22 ans. Comme d’habitude, je me réveille et allume mon téléphone. Je constate alors que certains de mes amis et plusieurs membres de ma famille m’ont souhaité mon anniversaire. Je m’engage donc à tous leur répondre.
Mes obligations étant derrière moi, je m’adonne à ma routine matinale, la masturbation. Pas de porno pour moi, ça fait des mois que je me suis lassé des sexes énormes ainsi que des orgasmes simulés et exagérés. Je laisse donc mon esprit vagabonder et je commence à me masturber en pensant à une de mes amies qui me plaît beaucoup et avec qui j’aurais aimé aller plus loin. Quelques minutes plus tard, on toque à ma porte. — Je peux rentrer ? me demande ma mère, faisant immédiatement accélérer mon cœur. Je me cache donc très vite avec ma couverture sans prendre le temps de me rhabiller avant de prononcer la voix tremblante un timide « Oui ». La porte s’ouvre alors et ma mère s’engouffre dans ma chambre, me découvrant assis, l’air de rien sur mon lit, torse nu, le bas de mon corps nu simplement recouvert de ma couverture. — Bon anniversaire mon fils ! me dit-elle un grand sourire aux lèvres. Ça ne nous rajeunit pas tout ça. Dire qu’il n’y a pas si longtemps, je m’occupais encore de changer tes couches !— N’exagère pas maman. Tu n’as pas même pas encore 50 ans, donc tu es encore jeune comparée aux mères de tous mes amis qui ont la cinquantaine bien passée.— C’est sûr que dit comme ça, ça aide à relativiser. Qu’est-ce que je peux te souhaiter pour ta nouvelle année ? reprend-elle d’un ton bienveillant, s’asseyant en même temps sur le bord de mon lit.— Valider mon année de Master et trouver un travail serait déjà un bon début, et trouver l’amour serait un énorme bonus si les dieux se décident à arrêter de s’acharner sur moi. Ces mots l’interpellent immédiatement. J’ai toujours été très proche de mes deux parents, en particulier de ma mère, mais j’ai toujours été très pudique quand il s’agissait de parler de mes relations avec les filles. — Oh, mais tu sais, ça va bien venir un jour. Il suffit que ce soit la bonne et tu verras que toute cette frustration sera derrière toi. Ma première relation amoureuse, c’était à mes 20 ans, avec ton père, et depuis, on ne s’est plus jamais quittés.— C’est bien compliqué de trouver la bonne personne, surtout quand je me rends compte que chaque fille avec qui je me rapproche finit par me dire que ça ne collera pas d’une façon plus ou moins violente. Je commence alors à lui raconter mes péripéties amoureuses et sexuelles en détail, le besoin d’extérioriser tout ça étant plus fort que la pudeur que j’éprouve à raconter à ma mère des choses aussi intimes sur ma vie sentimentale. A la fin de mon récit, je lève la tête et remarque qu’elle me fixe depuis de longues minutes. Après un moment de silence de quelques secondes, elle se racle la gorge avant de dire : — Je comprends que tout cela te frustre, ça me fait de la peine de savoir que mon fils ait tant de mal à trouver la fille qui le rendra heureux. Mais tu peux être sûr d’une chose : je t’aime de tout mon cœur, et cet amour que j’ai pour toi ne s’en ira pas de sitôt. Elle s’approche alors de mon visage, et dépose un baiser sur mon front, me faisant immédiatement devenir rouge écarlate. J’ai de la chance, nous sommes encore dans la pénombre de ma chambre et elle ne le remarque pas. Je déglutis, et d’une voix timide, je lui réponds : — Je t’aime aussi maman, aucune femme ne pourrait être une meilleure maman que tu l’es. Un sourire ému se dessine sur son visage. Je sens alors ses mains froides se poser sur mon cou. Son visage s’approche du mien, et sans que je m’y attende, je sens ses lèvres toucher les miennes. Elle me donne alors un long baiser qui me laisse sans voix, mon visage plus rouge encore que lors de son baiser sur mon front. C’est la première fois que j’embrasse quelqu’un. Je suis perdu dans un sentiment de bien-être, mais aussi de gêne quand je réalise qu’il s’agit de ma mère. Elle recule son visage après quelques secondes. — Je suis désolé Mathieu, je n’aurais pas dû, reprend-elle, la voix tremblante. Je suis encore sous le choc. Ma mère vient tout juste de m’embrasser. Je me surprends alors à penser que ses lèvres sont douces et que je n’ai qu’une seule envie, recommencer. Je sens qu’elle ne sait pas quoi faire. Partir en courant ? Me dire qu’elle est encore désolée ? Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir à cette situation embarrassante. Je pose à mon tour mes mains sur son cou, et je l’embrasse moi aussi sur les lèvres, utilisant mes mains pour la garder collée à moi. Après quelques secondes, je la sens s’abandonner. Ses yeux se ferment et elle n’a plus envie de se décoller de moi pour partir en courant. Je me risque donc à sortir ma langue pour lui lécher doucement les lèvres, en espérant qu’elle soit réceptive et qu’elle m’accorde un baiser langoureux. Sa bouche s’ouvre immédiatement, et nos langues finissent par se toucher. Toute cette tendresse me ferait presque oublier que je suis encore nu sous ma couverture, et que mon sexe commence de nouveau à se raidir. N’ayant plus aucun frein, j’utilise mes mains pour tirer ma mère vers moi, tout en m’allongeant sur mon lit. Elle comprend immédiatement que je veux continuer à l’embrasser, son corps posé sur le mien, et, sans décoller sa bouche de la mienne, me laisse m’allonger et me grimpe dessus. J’ai l’impression d’être au paradis. Tout le poids du corps de ma mère est sur le mien, m’apportant un sentiment de bien-être et de sécurité que je n’avais jamais connu encore, et sa langue est dans ma bouche. Inutile de préciser que mon sexe est désormais bien raide et que ma mère n’a pas pu rater cette information, puisque son corps frotte contre le mien depuis de nombreuses secondes. Alors que nos langues continuaient leur danse perpétuelle, l’escalier de la maison craqua. C’est mon père qui vient probablement chercher quelque chose dans sa chambre. Ce moment devait prendre fin un jour je le savais, mais voir ma mère se décoller subitement de moi pour repartir de ma chambre l’air de rien m’a fait mal au cœur. (A suivre) Voilà le tout début de ma première histoire. J’espère que cette lecture vous aura plu, et je serai ravi d’avoir vos retours s’ils sont constructifs, qui pourront m’aider pour le chapitre 2 ou pour une autre histoire.
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