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Un anniversaire sous domination

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’ai connu Modeline dans un hameau de Provence baigné par le soleil et parfumé des senteurs délicates des champs de lavande.
Nous nous sommes rencontrés dans la petite salle de sport communal. Elle y pratiquait le fitness et moi j’y poursuivais ma revalidation après une vilaine blessure à l’épaule suite à un contact un peu rude pendant un match de rugby local.
Elle a tout de suite attiré mon attention. Sa silhouette, sa manière de bouger dégageaient un charme magnétique. Elle avait le visage fin et le regard profond des mers du sud. Sa personnalité énigmatique m’intriguait davantage. Elle parlait peu et ne semblait intéressée que par les engins mécaniques qu’elle étudiait minutieusement avant chaque programme d’entraînement.
Pendant plusieurs semaines, je suis resté à l’écart, n’osant m’approcher de cette fille qui me paralysait par son élégance et sa beauté froide. Cependant, malgré tous mes efforts de discrétion, je ne pouvais dissimuler mon regard aimanté à ses charmes.
Puis un jour, au commencement d’une nouvelle séance elle m’interpella visiblement contrariée :
— Monsieur, vous y connaissez-vous en programmation de tapis de sport ? Je vous avoue que je ne m’en sors pas. Pouvez-vous m’aider ?— Bien sûr lui répondis-je avec mon plus beau sourire. Je connais ce modèle et le programmer ne sera qu’une question de secondes.
Était-ce un stratagème de rencontre bien étudié ? Quoi qu’il en soit nous buvions un café le soir même sur la terrasse du restaurant de la place communale. Ceci devint une habitude et l’habitude devint ensuite le premier baiser...
Une histoire d’amour banale, me direz-vous ? C’est bien mal connaître Modeline ! Et la suite risque bien de vous surprendre !
Je m’en souviens encore comme si c’était hier. Elle m’attendait ce jour-là à 20h précise à son domicile pour y fêter son anniversaire. Pour l’occasion, j’avais paré mes plus beaux atours : un costume sur mesure sobre mais distingué et un bouquet de roses rouges à la main.
Je sonnais à la porte et découvrais une Modeline comme je n’avais jamais vu auparavant ! Terriblement sexy et terrifiante à la fois ! Son regard profond et magnétique était devenu plus sombre. Une robe en latex noir soulignait au millimètre les courbes de son corps pour s’arrêter très court au-dessus de ses cuisses. Ses jambes fuselées par des hauts talons semblaient d’une longueur infinies.
Devant mon air ahuri et avant que le moindre son sorte de ma bouche elle réagit :
— Ne t’y trompe pas, ce n’est pas ton anniversaire mais par contre je compte bien profiter du cadeau que tu m’apportes !
Maladroitement je lui tends les roses rouges presque oubliées qui pendaient à mon bras
— Merci, elles sont magnifiques dit elle tout en respirant le parfum qui s’en dégageait. Mais je ne parlais pas de ce cadeau-là.
Puis soudain elle remonta son regard qui me transperça.
— Car le cadeau c’est toi !
Je voulais l’interrompre, demander des explications mais d’un geste elle me fit taire.
— A partir de maintenant tu ne m’adresseras la parole que si je te le demande. Tu m’obéiras sans poser de question et seras soumis au moindre de mes désirs.
Sans rien y comprendre, je me retrouvais à l’arrière de sa voiture, les yeux bandés. Après quelques kilomètres d’une route chaotique, la voiture s’immobilisa et elle me fit descendre.
Il régnait un silence pesant. Seuls résonnaient nos pas sur ce que je devinais un vieux chemin en pavé. Nous arrivâmes enfin à l’intérieur d’une bâtisse.
— Déshabille-toi !
Je voulus protester.
— Mais...— Tais-toi ! As-tu oublié les règles ? Enlève tout. Je te veux nu !
Une à une j’enlevais chaque pièce de mes vêtements. Les sentiments qui me traversaient à ce moment-là étaient indéfinissables : un mélange d’angoisse, d’excitation et de plaisir contrit.
— Maintenant tu peux enlever ton bandeau !
Ce que je vis finit de m’affoler complètement. Je me retrouvais dans un vieil entrepôt abandonné. Il était vide. Seul un matelas gisait à même le sol avec à chaque coin de ce dernier, un anneau solidement fixé dans le béton. Comme toute lumière des bougies disposées tout autour de cette lugubre scène.
Mais ce qui me paralysa et me donna l’envie de fuir était cette foule en cercle autour de moi ! Il y avait des jeunes et des moins jeunes, des couples et des célibataires. Tous portaient un masque.
Modeline intervint :
— Que serait une fête d’anniversaire sans quelques amis ! Cela ne te choque pas j’espère ? Je te rassure je les ai choisis pour leur discrétion et tous te rendront au final cette soirée inoubliable.
Je ne savais pas quoi faire. Ma raison et mes ressentis primaires me disaient de fuir. Mais la confiance en Modeline me rassurait. Au plus profondément de moi, je ressentais même une terrible excitation et l’envie de vivre cette nouvelle expérience. Je décidais de rester.
Modeline intervint encore :
— Allez, allonge-toi sur ce matelas. Vite !
Dans un même mouvement elle m’attacha les mains et les pieds aux anneaux. Je me retrouvais maintenant totalement soumis à ses désirs !
Modeline semblait contente de son œuvre. Elle tournait plusieurs fois autour du matelas l’air satisfait, le sourire cynique au coin des lèvres. Quant à moi, le regard au ras du sol, j’admirais le ciselé de ses jambes et la grâce de ses tours de jambe non sans une certaine inquiétude.
Soudain, elle tendit sa cheville et déposa la semelle de sa chaussure sur ma joue. En faisant cela, elle enfonçait mon visage davantage sur le matelas.
— Tu as intérêt à être à la hauteur ! Dit-elle.
Elle souleva ensuite sa jambe et fit glisser la pointe de sa chaussure lentement le long de mon flanc jusqu’au niveau des hanches. Puis soudain, en deux pas chassés elle se positionna entre mes jambes. Elle reprit ses dessins du bout de sa chaussure, caressant mes parties pour remonter le long de mon sexe distendu.
— Que penses-tu ? Crois-tu que ces personnes sont venues pour voir cela ? Imagines-tu me faire plaisir avec cette espèce de limace atrophiée que j’ai au bout du pied, éructa-t-elle !— Je te veux dressé et vite ! Ajouta-t-elle en continuant à malaxer ma verge du bout de sa semelle.
A mon grand étonnement, je commençais à trouver plaisir à ses caresses assez rudes. Mon plaisir était d’autant plus exacerbé à l’idée de ses regards voyeurs posés sur moi et ma position d’objet sexuel. Je bandais maintenant très fort !
— C’est mieux ! Mais j’aimerais pouvoir m’assurer de ta raideur en toutes circonstances.
En disant cela, elle s’empara prestement d’une bougie et la positionna au-dessus de ma poitrine. Elle renversa goutte à goutte la cire brûlante sur mon torse. La cire s’écoula sur ma peau pour se figer en quelques secondes. La douleur était aussi vive que passagère mais étrangement me procurait des sensations nouvelles et une réceptivité accrue. Elle pivota la bougie qui se retrouva au-dessus de mon sexe tendu. D’une précision redoutable elle nappa prestement ma raideur. Mon sexe se souleva sous la douleur mais toujours tendu comme jamais. J’avais réussi le premier test !
— Bon garçon s’écria Modeline, je pense que c’est à mon tour maintenant de m’amuser !
Sur ces paroles, Modeline libéra ses globes de leur étreinte et remonta sa jupe. Je ne me lassais pas d’admirer ses rondeurs et son fruit défendu rasé de près. Elle m’exhibait maintenant ses charmes de façon ostentatoire ! J’en devenais fou !
Très vite elle s’accroupit au-dessus de mon visage et appuya son sexe luisant d’excitation sur ma bouche.
— Lèche ! Nettoie-moi entièrement ! N’oublie les recoins !
Pour mieux allier geste et parole, elle basculait de manière rythmique son bassin. J’étouffais sous sa passion et au rythme de ses soupirs !
Elle bascula encore un peu plus son bassin en me présentant son petit trou. Elle s’écria :
— J’ai dit bien dits tous les recoins !
Ma langue maintenant tendue s’occupait de son intimité profonde. Je m’appliquais à varier les pressions, à caresser les autours et profondeurs. Je la sentais frémir et gémir sous mes baisers intimes.
Puis elle se retira complètement.
— Tends ta langue, dresse-la bien ! S’écria-t-elle.
A peine ordonné, elle empala son vagin sur ma langue ! Je goûtais avec délectation ses parois humides et le nectar de ses plaisirs.
Son bassin s’anima...
— Je veux que tu goûtes à ma jouissance. Alors prépare-toi !
D’une main elle commença à caresser son petit bouton. Le pinçant puis l’agitant dans tous les sens ! Des ondes de plaisir secouaient son corps. Je ressentais au plus profond d’elle-même ses tressaillements de volupté.
Pendant ce temps, autour de nous, des couples avaient commencé à se dévêtir partiellement, visiblement très excités par le spectacle qui s’offrait à eux. Quelques femmes dans l’assistance avaient sorti le sexe de leur compagnon pour mieux le caresser. D’autres jambes écartées se faisaient doigter délicatement tout en admirant le spectacle.
Tout ceci m’excitait beaucoup et je ne pouvais réprimer les soubresauts réguliers qui secouaient ma verge tendue à l’extrême.
Puis soudain Modeline accéléra la cadence. Ses mouvements devinrent plus erratiques, ses soupirs plus irréguliers. Elle se renversa en arrière, ses mains posées sur mon visage, puis jouit longuement, m’abreuvant de son extase !
Mon visage était trempé ! Elle m’avait arrosé littéralement de son extase. Je n’en pouvais plus d’excitation. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur et tendu. Heureusement son envie de sexe n’était pas encore assouvie.
— Je constate avec plaisir que cette petite séance t’a maintenue en forme ! Brave garçon ! Ta délivrance est proche mais avant cela tu devras encore assumer quelques devoirs.
Sans attendre, elle transforma ses paroles en actes. Elle s’accroupit sur moi, prit mon sexe entre ses doigts, en évalua la dureté et l’introduisit dans son antre à plaisir !
Sans toutefois me prévenir au passage :
— Tu ne jouiras que quand je le déciderai ! N’oublie pas : tu es mon objet sexuel. Mon plaisir avant le tien !
Sur ces paroles, elle commença son déhanchement démoniaque. Son vagin était si accueillant et enveloppait si parfaitement ma queue que mes sens en étaient exacerbés. Chaque mouvement de son bassin provoquait en moi une onde de plaisir intense. Au fur et à mesure que son chevauchement s’accélérerait je sentais les ondes s’intensifier et luttais pour ne pas exploser en elle. Ses gémissements et ses soupirs s’intensifiaient, son déhanchement s’accélérerait encore. Heureusement, elle aussi était proche de l’orgasme.
Elle avait posé ses deux mains sur mon torse et ses ongles s’enfonçaient douloureusement dans ma chair. Puis soudain, je sentis son vagin se contracter sur mon sexe et son corps trembler de tout son long ; elle étouffa un cri et s’allongea brutalement sur mon corps. Elle venait de jouir une nouvelle fois !
Autour de nous la foule semblait avoir apprécié, comme en témoignaient les cris étouffés et les jets de sperme dessinés sur le sol de l’entrepôt.
Plus proche de moi, Modeline se remettait doucement de l’orgasme qui l’avait terrassée. Elle se redressa et se précipita sur mon membre encore raide. Elle commença à me masturber lentement. Sa main si douce me procurait à chaque mouvement un plaisir indéfinissable. Progressivement elle accéléra le rythme tout en me donnant ses dernières instructions.
— Te voilà bientôt délivré mais je veux que rien ne se perde. Tu devras boire à la fontaine de ta jouissance et ne jouiras que quand je te le dirai !
Tout en continuant à me caresser, elle prit un verre évasé et le porta à hauteur de mon extrémité. Ses caresses étaient diaboliques. Je luttais chaque seconde pour ne pas exploser de plaisir ! Soudain elle m’ordonna :
— Jouis ! Je veux que tu remplisses ce verre !
Je jouissais presque instantanément. L’orgasme fut intense, presque surnaturel ! J’avais, je pense rempli mon contrat avec Modeline. Le verre était correctement rempli et Modeline semblait apprécier le résultat.
Elle but ensuite mon nectar puis approcha ses lèvres pour les poser ensuite sur les miennes et y libérer ce qui restait de mon propre fluide.
Je réprimais une moue de désapprobation mais paradoxalement, j’en étais aussi profondément troublé.
Le public se dispersa visiblement satisfait du spectacle. Modeline me libéra et m’embrassa tendrement.— Merci mon amour pour ce cadeau ! Tu m’as transporté comme jamais ! Vivement la Saint Valentin !
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