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L’Anomalie de Mère Nature

Chapitre 1

Découverte

Travesti / Trans
Bonjour à tous...
Je suis né, j’ai toujours vécu et je le suis encore... Une Anomalie de la Nature...
J’ai vu le jour au début des années soixante, où ma mère a accouché à la « ville » et nous sommes retournés, quelques jours après, dans le village où nous vivions.
Un petit appendice était entre mes cuisses potelées et c’est donc le plus naturellement du monde que j’ai été déclaré garçon par la maternité, à cette époque, c’était très simple et on ne s’embarrassait pas trop de questions, personne ne s’était inquiété qu’un orifice subsistait toujours sous ma petite verge. Il devait se colmater avec le temps, sans doute dû à une à une légère malformation embryonnaire.
J’ai donc grandi en petit garçon, puis en garçon aussi, attendant une puberté tardive qui s’est produite, vers mes 15 ans, d’une manière totalement anarchique. Mon corps se développait au masculin, avec quelques poils naissant sur le « Chemin des Dames » et sur les cuisses, sans apparition de barbe pour autant, mais entre mes jambes, c’était très différent.
Cette verge, déjà très petite à l’origine, réduisait, sans descente de testicules, et la fente en dessous, s’agrandissait, se boursouflait, prenait de la profondeur pour devenir, un peu plus d’un an plus tard, un véritable vagin.
Très féru de sciences, décidé à faire médecine, je dévorais tous les livres de la bibliothèque de mon lycée à ce sujet, et plus particulièrement, tous ceux qui avaient un rapport avec l’évolution sexuelle chez l’ado, essayant de comprendre ce qu’il m’arrivait. J’ai donc vu, sur le papier, beaucoup de verges et de vagins, et c’est comme ça que j’ai pu constater que ce que j’avais entre les cuisses maintenant, était un véritable vagin, une chatte comme disaient mes copains, où même un liquide s’écoulait quand j’y mettais la main dessus. Je ne masturbais plus ce tout petit bout, mais mes lèvres, appuyant mes doigts dessus, comme le faisait une fille, en y trouvant, une jouissance absolue.
Complètement désorienté, en cachant tout ça à mes parents sous prétexte d’une pudeur excessive, j’ai osé en parler à mon meilleur ami, peu après mes 18 ans que nous avions fêtés ensemble et en lequel j’avais une entière confiance.Ses parents étant médecins tous les deux, sans aucune curiosité malsaine, il m’a demandé de me montrer ça, phénomène inimaginable à l’époque, et c’est avec une certaine honte, pour ne pas dire une honte certaine, que j’ai tout baissé devant lui pour lui montrer ma fente, ourlée, belle comme peut l’être un vagin de jeune fille.
Il n’a pas pu s’empêcher d’y mettre la main, les doigts, de la caresser, de constater ce que je pouvais éprouver sous l’effet de ses attouchements, son sexe devenant hyper-dur dans son pantalon, qu’il a vite baissé, que je n’ai pu m’empêcher de caresser à mon tour, de prendre en bouche et d’en déguster la liqueur qu’il a déversée en moi.
Interloqués par ce qui venait de se produire, il a promis de m’aider, et c’est avec beaucoup de patience qu’il a pu obtenir l’adresse d’un endocrinologue, spécialité naissante et très méconnue à l’époque, et chez lequel il m’a conduit, me laissant seul avec lui.
C’est avec un torrent de larmes que j’ai essayé de lui expliquer ce qui se produisait en moi, sans trop comprendre, mais lui vouant une totale confiance, j’étais tellement désemparé de porter ça seul depuis des années, en ayant souvent pensé au suicide.
Il m’a calmé tout d’abord, me répétant qu’il était médecin et non pas là pour juger, et m’a demandé de l’autoriser à m’examiner complètement. J’ai acquiescé et c’est complètement nu, que je me suis allongé sur sa table d’examen, lui permettant un accès total pour qu’il puisse élaborer un diagnostic. J’avais trop besoin de savoir, de comprendre ce qu’il m’arrivait, le pourquoi du comment et ce qui allait être la suite.
Après pas mal de palpations sur mon corps, sur mon entrejambe où je réagissais instinctivement avec un plaisir non dissimulé, il m’a relevé, m’a fait rhabiller et installé sur le fauteuil devant lui, nous avons pu parler.
— Marc, ce qui vous arrive est un phénomène de la Nature très rare, je dirais même, hyper-rare, vagin aussi bien formé, et avec même un hymen, et corps d’homme, j’ai besoin d’examens hormonaux complémentaires pour tout comprendre et vous aider.— Je vous remercie Docteur, mais je voudrais que tout cela reste entre nous, sans que mes parents en soient informés.— C’est évident Marc, malgré votre jeune âge, vous êtes majeur, le secret médical vous protège.— Mais Docteur, je ne suis qu’un simple lycéen, jamais je ne pourrais assumer les frais que demande votre intervention... !!! — Marc, l’endocrinologie débute en spécialité en tant que telle... Je remercie Julien de vous avoir conduit à moi, et comme votre cas est... comment dire... Extraordinaire dans le sens étymologique du terme, je suis très fier de le prendre en charge, si vous m’accordez votre confiance.— Vous l’avez Docteur, je suis tellement dérouté... — Une question Marc... au fond de vous... vous vous sentez femme ou homme ? — En fait, ni l’un ni l’autre... Ou plutôt, l’un et l’autre... Je me sens bien dans ce corps d’homme, et je suis heureux d’avoir... Comment dire... une chatte entre les jambes... Elle me donne trop de plaisir.— Sans avoir effectué les dosages, il est possible que votre corps sécrète les deux hormones en quantité égale, testostérone et progestérone faisant que vous ayez les deux apparences.— C’est-à-dire ? — Corps d’homme avec un sexe de femme, mais la chirurgie peut y remédier maintenant, nos techniques sont assez évoluées pour ça.— Non Docteur... Pas question !!!
Nous nous sommes quittés avec un rendez-vous prochain, dont il informera Julien dès qu’il aurait les résultats des nombreux examens qu’il avait demandés. Mais il fallait que je sache, où était mon plaisir... J’avais trop envie qu’un sexe d’homme pénètre mon vagin encore neuf, celui d’être pris ou prise, je ne savais pas trop.
Sans m’en rendre compte vraiment, mes pas m’ont conduit vers le quartier « arabe » de notre ville, où j’errais en songeant à tout ce que ce médecin m’avait dit.
Assis sur un banc, dans un parc un peu éloigné, absorbé à réfléchir, un homme s’est assis à mes côtés... Très mat, 30 ans j’aurais dit, et arabe, c’est sûr. Ses poils dépassaient de partout et son corps dégageait une odeur très forte, de mâle, empli de toute la testostérone que je n’avais pas.
Il a vu mon air triste, et dans un sourire de ses dents éclatantes, il m’a pris dans ses bras et a déposé un baiser sur mes lèvres. Dans un mauvais français, il m’a demandé de le suivre, vers un bosquet complètement caché, en me disant qu’il ne voulait pas me sentir malheureux.Il m’a allongé et m’a couvert de ses lèvres, ses mains partout sur mon corps, commençant à s’insinuer dans mon short. Il allait voir que sous mes apparences masculines, je n’étais pas le jeune garçon qu’il cherchait sans doute, mais qu’entre mes cuisses, il n’y avait pas un zeb, mais un vagin, je voulais m’enfuir...
Il m’a maintenu contre lui et a investi ses doigts dans mon slip, découvrant ma chatte, bien humide à la suite de son corps si viril contre le mien. Après des mots d’arabe incompréhensibles pour moi, il m’a dénudé, avec une réelle surprise, mais aussi un plaisir évident, et ses lèvres se sont approchées de ma fente, la léchant, ses doigts masturbant mon clito, se heurtant à mon hymen.
Il s’est mis nu devant moi, dévoilant un corps, poilu comme un singe, même dans le dos, et avec au milieu, ce qui me paraissait... un tronc d’arbre... Hyper-longue, très large, avec un sac de couilles qui pendait loin entre ses cuisses velues.
Très vite, ce membre qui me paraissait hors-norme, et qui l’était, a franchi la barrière de ma bouche... Ses bras forçaient pour ouvrir mes cuisses... Et sa langue a écarté mes lèvres vaginales, en cherchant à aller plus loin, mais bloquées par la membrane qui l’empêchait de poursuivre ;
— Vierge ? — Oui.— Pas longtemps.
Et son gland, énorme a frotté cet orifice, si aimé, mais encore si inconnu pour moi... J’ai ressenti d’un coup une énorme douleur, quelque chose se déchirer en moi et un pieu de chair s’enfonçant, encore et encore, jusqu’à la limite de la cavité que la Nature m’avait donnée. Ahmed m’a possédé plusieurs fois en cette nuit magique, je ne sais combien, mais à chaque fois, à chaque éjaculation que je sentais se déverser dans moi, j’avais compris que si mon corps, lui, était encore masculin, le vagin que j’avais entre les cuisses était mon vrai sexe...J’avais perdu mon pucelage sous les coups de boutoir d’une verge, dont la taille exceptionnelle m’avait rendue femme, et dont la semence s’écoulait sur mes cuisses.
Comment gérer ça, et c’est avec impatience que j’attendais mon futur Rendez-Vous avec mon Endocrinologue...
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