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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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18 ans bien arrosés

Chapitre 1

Inceste
En ce début de printemps, c’est une cérémonie particulière qui nous attendait moi et ma soeur jumelle. En effet, aujourd’hui nous fêtions tout deux notre dix-huitième anniversaire et pour l’occasion presque toute la famille avait été conviée. Je suis plutôt grand et ma foi possède un physique avantageux, un visage fin et les cheveux (châtains) coupés courts. Quant à Lisa, elle avait un visage mince, animé d’une expression vive grâce à de jolis yeux bleus resplendissants et pétillants. Elle avait le teint clair comme ses longs cheveux blonds et faisait une tête de moins que moi.

    J’étais venu un peu plus tôt dans la salle des fêtes que nous avions loué à la municipalité afin d’assister mon père et ses amis aux préparatifs. Nous nous occupions de décharger le camion du traiteur, secondée par Ines, une jeune stagiaire qui débutait dans la restauration. Une fois fini nous dressions les tables et les disposions dans la salle.

    Nous avions à peine terminés qu’arrivaient déjà les premiers invités. Juste le temps de me changer rapidement dans les toilettes et j’accourais les saluer. L’heure passa à une vitesse folle et la salle des fêtes était maintenant pleine à craquer.— Heureuse de te revoir, Maximilien, annonça une voix douce.Je me retournais pour contempler les yeux ronds ma cousine Marine, d’un an mon ainé. Elle était d’une rare beauté, des yeux en amande et de longs cheveux châtains foncés qui dégringolaient sur ses épaules. Elle avait enfilé une somptueuse robe de soirée et il m’était extrêmement difficile de ne pas plonger mon regard dans son décolleté.— Moi aussi, lui dis-je en l’embrassant rapidement sur la joue.— Te voilà un homme maintenant.— Oui, si on veut.Par la suite je rejoignais ma soeur sur l’estrade pour remercier les convives. Elle avait enfilée une très jolie robe, moins provocatrice que celle de Marine mais qui épousait parfaitement ses formes voluptueuses. Tout le monde se pressa pour l’apéritif dès que les cadeaux furent ouverts.

    Au cours du repas, ma soeur et moi-même avions été placé à la table principale, côte à côte. Nous discutions entre jeunes tout en dégustant les plats que nous servait Ines lorsque je sentis avec stupéfaction quelque chose se glisser entre mes cuisses. Je ne disais plus rien, le souffle court et le visage tout rouge. Je levais la tête pour apercevoir Marine lécher copieusement son couteau en m’adressant un regard furtif. Elle avait ôté ses souliers et à présent massait mon pénis avec ses talons.— Je vais au petit coin, prétextais-je en quittant mon siège.— Tu n’as vidé qu’un quart de ton verre, plaisanta Lisa.Je rejoignais au plus vite les toilettes et me précipitais dans l’une des cabines pour calmer l’agitation qui déferlait dans mon caleçon. Je baissais mon pantalon et empoignais d’un mouvement vif ma tige en produisant des grognements de satisfaction. Tout du long je pensais à Marine, il faut dire qu’elle m’avait drôlement excité et qu’en plus de cela elle était très séduisante.

    J’étais au bord de l’explosion quand j’entendis la porte des toilettes claquer. Je stoppai net toute activité et repassais rapidement mon haut par-dessus mon pantalon. Quelle fut ma surprise lorsque je découvris qu’il s’agissait de Marine.— Je te dérange, peut-être, fit-elle en me voyant sortir de la cabine.— Pas du tout, bredouillai-je en essayant de masquer mon état.Cependant, Marine semblait avoir saisit mon désarroi puisqu’elle émit un petit gloussement avant de s’approcher. Nous étions si près que nos nez pouvaient presque se toucher.
— J’ai fermé à clé de sorte à ce qu’on ne soit pas dérangés. Après tout, je me dois d’offrir le meilleur des cadeaux à mon cousin préféré.Je n’osais parler de peur de me réveiller, puis nous nous sommes embrassés. C’était donc bien réel. De suite je glissais mes mains sur ses cuisses et remontait progressivement sa robe pour gagner son sexe. Pendant ce temps, Marine avait posé un pied sur l’un des lavabos afin de me donner une meilleure ouverture sur sa chatte qui mouillait de plaisir.

    Je faisais glisser son string rose le long de ses jambes fluettes, puis je m’agenouillais pour goûter son sexe, humant son fin duvet châtain. Ma langue fouillait son intimité, jusqu’à faire vibrer son clitoris.

    Quelques instants plus tard, Marine était assise sur les talons et s’occupait de libérer ma verge, prisonnière de mes vêtements. Dans un premier temps elle la caressa, puis elle finit par enrouler sa langue autour pour lui donner plus de vigueur. Elle recouvrit de salive tout le manche et finit par l’engloutir totalement dans le fond de sa gorge.— Je... c’est fou comme c’est bon, soupirais-je en fermant les yeux.

    Peu après je la plaquai contre le mur et dégageai une paire de seins ronds et fermes que je dévorais de suite, tandis que de mon autre main j’écartais les tissus me bloquant l’accès à sa chatte. Elle saisit mon membre palpitant et l’introduisit dans son sexe. Nos deux corps se pressèrent l’un contre l’autre, sa jambe venant se coller derrière ma cuisse. J’entamais alors un lent va-et-vient qui lui fit arracher un long gémissement de plaisir. J’accélérais le mouvement, tandis que Marine respirait de plus en plus fort en se mordant les lèvres. Elle avait atteint le septième ciel. Finalement, je jouissais en de puissants jets de sperme dans son ventre.

    Marine serra encore plus fort nos deux corps ruisselant de sueur et m’adressa un dernier baiser avant de rajuster sa robe.— Tu es un bon coup, cousin, me dit-elle en me refilant son string encore tout humide. Garde-le en souvenir de ce soir.Quelques temps après je décidais de rejoindre la fête, faisant comme si rien ne s’était produit. Marine se révéla plus discrète le restant de la soirée, à mon grand chagrin.

    Il était très tard lorsque les derniers invités quittèrent la salle des fêtes. Quelques amis restaient ici pour la nuit. Je m’étais mit en caleçon et me glissais rapidement dans le duvet tout juste déroulé lorsque Lisa s’approcha. Elle avait enlevé sa jolie robe et à la place enfilée une petite nuisette. A l’exception de nous deux tout le monde dormait.— Qu’est-ce que ça fait là ? me demandait-elle en tenant par le bout des doigts le string de Marine.— Hey, ne fouille pas dans mes affaires, grondais-je en reprenant le bout de tissu.Lisa masqua son rire.— Je vais te faire un aveu, c’est moi qui ai proposé à Marine de coucher avec toi. Nous avions pariées là-dessus, et je lui avais également demandé de te donner sa petite culotte en guise de preuve. Bravo frérot, grâce à toi j’ai gagné le pari. Le fait d’avoir été abusé par ces deux garces me mit en colère. Tout ceci n’était donc qu’une vaste blague. Je me redressais d’un bond et fit tomber ma soeur sur les fesses, plutôt surprise par mon emportement. Je me plaçais au-dessus d’elle et lui caressais le haut de sa cuisse avec légèreté.— Mais que fais-tu ? souffla Lisa, les yeux affolés.— On joue à un nouveau jeu, et cette fois-ci c’est moi qui dirige, petite peste.Je collais ma main sur son entrejambe déjà toute trempée d’excitation, puis j’explorais un peu plus haut pour étreindre sa poitrine. Lisa essayait de retenir ses gémissements, tandis que de mon côté je faisais rouler ses mamelons entre le bout de mes doigts.— S’il te plait Maximilien, je m’excuse, me supplia Lisa.Ma soeur avait beau m’implorer je ne l’écoutais plus, j’étais bien trop occupé à parcourir son jeune corps. Je remontais la nuisette autour de sa taille tout en baissant sa culotte pour mieux observer sa chatte lisse. Puis j’écartais délicatement ses lèvres intimes, ma langue caressant le clitoris gonflé.— Huuum, laissa-t-elle échapper, le bout de sa langue venant lécher sa lèvre supérieure.J’explorais toujours plus profondément le vagin de ma soeur, lui faisant arracher des petits soupirs d’aisance.

    Vingt minutes plus tard nos deux sacs de couchage étaient reliés. Allongée entre mes cuisses Lisa avait enroulé sa langue autour de ma verge et la recouvrit de salive. Elle desserra son étreinte et descendit le long du mât pour aspirer avec ardeur mes testicules. Je fini par la mettre sur le dos et lui écarter les jambes en grand, sa chatte était ruisselante de bonheur. Mon sexe la pénétra sans difficulté et commença ses lents va et vient, tandis que Lisa croisait ses pieds autour de mes reins pour imprimer le rythme, toute frémissante. Elle enfonça sa tête dans mon épaule et sentit le plaisir s’emparer de tout son être. Pendant ce temps, j’accélérais la cadence et me retirais de ma soeur pour éjaculer fougueusement sur son ventre en de longs et puissants jets. Lisa récupéra du bout des doigts ma semence brûlante et la porta à sa bouche en affichant un petit sourire coquin.

    Le jour commençait déjà à se lever et nos amis dormaient toujours paisiblement dans leur duvet. Je partageais une dernière étreinte avec ma soeur avant de me coucher. Une nouvelle journée s’annonçait...
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