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25 ans de mariage

Chapitre 5

Soirée cinéma

Voyeur / Exhibition
Samedi soir, nous avons décidé d’aller au cinéma voir Pulp Fiction. Il passait en VO au grand complexe à l’entrée de Rouen. Sylvie m’avait dit de venir la prendre chez elle à 19h00, nous devions aller à la séance de 20h00 et nous irions ensuite dîner dans un petit resto qu’elle connaissait à Rouen et qui servait tard.
Pour l’occasion, Sylvie avait mis sa nouvelle jupe en cuir bordeaux, les bas coutures que nous avions achetés jeudi... et je n’en doutais pas certainement la guêpière qui allait avec, sous son petit chemisier blanc. Perchée sur ses talons aiguilles, un châle sur les épaules... j’avais décidément beaucoup de chance...
— Wouahou... tu es magnifique... - je lui ouvrais la portière, déjà ravi à l’idée de la voir s’asseoir... la connaissant, elle ne manquera pas de m’offrir la vue de ses bas... et je ne me suis pas trompé !

Comme toujours lorsque nous étions en voiture, Sylvie s’installa en croisant les jambes, la fente de sa jupe découvrait sa cuisse voilée et laissait apercevoir la lisière plus sombre de ses bas. Pendant que nous roulions, elle posa sa main sur ma cuisse qu’elle caressait tendrement. Le contact de ses doigts sur mon jean était délicieux, j’ai ouvert un peu les jambes pour l’inviter à glisser sa main un peu plus haut... C’était tellement agréable.
Lorsque nous sommes arrivés au cinéma, il commençait à pleuvoir, je me suis arrêté juste devant l’entrée pour laisser descendre Sylvie. Je la regardais s’éloigner, ses longues jambes merveilleusement dessinées par ses bas coutures qui prolongeaient ses talons aiguilles. Les têtes se tournaient à son passage, sourire et envie pour les hommes... jalousie pour leurs épouses !!
Quand je l’ai rejointe dans la file d’attente, je me suis empressé de l’embrasser en la prenant dans mes bras... eh oui les gars... c’est moi le veinard !!! Ma main sur sa hanche... voire sur ses fesses... elle se collait à moi. Après avoir attendu quelques minutes, nous sommes enfin montés vers la salle. Le souvenir de Sylvie devant moi dans l’escalier avec sa jupe en cuir, ses bas coutures et ses escarpins me hantent encore aujourd’hui 25 ans après !!!
Nous nous sommes installés assez haut dans la salle, un peu sur le côté... un gros paquet de pop corn, un super film, et une maîtresse époustouflante... la soirée s’annonçait parfaite. J’ai tout de suite posé la main sur le genou de Sylvie, caressant le nylon du bout des doigts. Elle posa tendrement sa tête sur mon épaule et sa main sur ma cuisse. Plus le film avançait plus ma main remontait sur sa cuisse. Rapidement, elle les a décroisées afin que ma main puisse s’y glisser jusqu’à ce que je sente la lisière de ses bas. A cet instant, j’ai senti qu’elle remontait sa main sur mon jean jusqu’à mon entrejambe.
— Laisse-toi faire – me susurra-t-elle à l’oreille tandis que ses doigts ouvraient un à un les boutons de mon jean puis ma ceinture.
Elle glissa la main dans mon jean et commença à me caresser à travers mon caleçon. Mon sexe bien raide s’offrait à ses caresses. Je laissais échapper un long soupir alors que mes doigts malaxant la chaire douce du haut de son entrecuisse. Elle tira le caleçon pour découvrir mon gland sur lequel elle passa le doigt, essuyant la gouttelette de liquide préseminal avant de sucer son doigt.
— J’ai toujours adoré manger des esquimaux au cinéma - me glissa-t-elle à l’oreille avant de se pencher sur moi.

Lentement, elle goba mon sexe, titilla le gland du bout de la langue, avala ma verge tout entière, lécha ma veine depuis le gland jusqu’aux bourses... je ne pouvais rien faire d’autre que lui caresser les cheveux pour l’encourager. Moi qui suis en général assez pudique, je ne me souciais pas un instant de savoir si les gens pouvaient nous voir, je ne pensais qu’à une chose, les merveilleuses caresses que Sylvie me donnait... Elle s’appliquait à me procurer du plaisir... je ne pourrais pas tenir bien longtemps. Quand elle vit que j’allais bientôt jouir, elle se tourna vers moi, presque sur moi, en remontant sa cuisse vers ma queue, elle se mit alors à me branler en frottant mon gland sur le nylon de ses bas jusqu’à ce qu’un jet puissant s’y répande. Elle m’embrassa tendrement avant de reprendre place dans son fauteuil, essuyant sur sa cuisse mon jet de foutre avec un kleenex.
— Alors, il te plaît ce film ? Moi je l’adore... - dit-elle en attrapant ma main qu’elle glissa entre ses cuisses écartées pour offrir à mes doigts la dentelle trempée de sa culotte.— Humm en effet, on dirait que tu aimes bien... mais dis-moi, on dirait que tu es passée chez l’esthéticienne, dis-je en glissant un doigt sous la dentelle et découvrant sa chatte toute lisse, toute douce...— Oui, tu aimes, comme ça tu sentiras encore mieux comme je mouille quand tu me caresses ou que tu me lèches.
Je me suis tourné vers elle pour l’embrasser alors que mon majeur glissait lentement entre ses lèvres, la doigtant lentement... profondément.
Sylvie passa la fin du film, une jambe sur l’accoudoir du fauteuil, un doigt dans la chatte... elle se retenait, mais je la sentis jouir trois fois sur mes doigts... désolé pour le propriétaire de la salle, mais ce siège va garder les traces du plaisir de ma chérie... À la fin du film, Sylvie remit sa jupe en place et referma son chemisier avant que la lumière ne se rallume, nous nous sommes alors rendu compte que sur notre rangée de sièges, un homme avait pris place à 5 ou 6 places de nous après le début du film. Lorsque nos regards se croisèrent, il nous a souri. Je pense qu’il se souviendra longtemps de Pulp Fiction, mais pas sûr qu’il ait mieux suivi l’histoire que nous...Lorsque nous sommes repartis du cinéma, Sylvie posa la tête sur mon épaule et sa main sur ma cuisse.
— Alors ça t’a plu mon chéri ?— Le film ? Je ne sais pas... Par contre ma voisine beaucoup... et visiblement, je n’étais pas le seul à qui elle a fait oublier la magnifique Uma Thurman.— Coquin... moi non plus je n’ai rien vu du film, il y avait un petit vicieux à côté de moi qui n’a pas arrêté de me tripoter...— Tu as vu le regard de l’homme qui était assis à côté de nous... il a dû bien se rincer l’œil. Tu crois qu’il a tout vu ?— Je ne sais pas... mais j’avoue que l’idée qu’il se caressait en nous regardant, ça me trouble... me dit-elle, remontant la main sur ma cuisse. Toi aussi je suis sûr que ça t’aurait excité de le voir bander pour ta chérie, n’est-ce pas petit vicieux.— Humm je crois que oui, j’adore quand les mecs te regardent dans la rue et qu’on voit dans leurs yeux l’envie qu’ils ont de te baiser ma chérie...

Nous sommes arrivés devant le restaurant où Sylvie avait réservé. Il était tard, mais il y avait encore pas mal de monde à l’intérieur. La jeune serveuse nous dirigea vers une petite table. Nous nous sommes installés et avons commandé deux coupes de champagne.
— A cette soirée. A toi mon amour - dis-je en prenant la main de Sylvie sur la table pour y déposer un baiser. Lui suçoter un peu les doigts en la fixant dans les yeux. — Tu devrais ouvrir le bouton de ton chemisier ma chérie, j’adore voir tes seins quand tu es en face de moi...— Coquin, tu es insatiable – dit-elle en riant, défaisant le bouton pour réajuster un peu son chemisier en entrouvrant le décolleté.
On voyait la dentelle de sa guêpière sur le haut de ses seins... j’adorais ça...
— Que tu es belle ma chérie... J’aimerais que tu fasses quelque chose pour moi... Je lui embrassais la main... J’aimerais que tu ailles aux toilettes retirer ta petite culotte et que tu me la ramènes. Elle doit tout mouiller après ce film...
J’avais un peu peur de sa réaction, elle allait me prendre pour un fou ou un pervers... mais au contraire, elle me sourit en se levant, faisant exprès de bien se pencher vers moi d’abord pour me montrer ses seins, puis lentement elle s’éloigna, perchée sur ses talons, les coutures de ses bas dessinant parfaitement ses longues jambes, la jupe de cuir moulant son adorable petit cul... j’étais fou de cette fille. Quand elle traversa la salle, je vis tous les regards sur elle... j’adorais ça... Elle est revenue quelques minutes plus tard, souriante. Tenant dans la main une petite boule noire...
— Tenez jeune homme, satisfait ? – me demanda-t-elle en glissant la boule de dentelle, vers moi.— Plie-la comme il faut et pose-la sur la table à côté de ta serviette s’il te plaît.
Elle s’exécuta sans un mot, son regard brillait, visiblement ce petit jeu lui plaisait autant qu’à moi.La petite culotte de dentelle noire posée sur la nappe blanche ne passait pas inaperçue et il était bien évident que le serveur ou la serveuse s’en rendrait compte.
— Alors quel effet ça te fait d’être nue sous ta jupe, c’est agréable le contact du cuir sur ta peau ?— Humm, c’est troublant, c’est doux, c’est comme une caresse sur mes fesses...— Tu sais j’adore la belle lingerie, tu t’en es déjà rendu compte... mais j’avoue que j’ai toujours adoré imaginer que tu n’avais pas de petite culotte... des fois le matin au bar de l’hôtel je m’imaginais que tu étais toute nue sous tes jupes...— Espèce de petit cochon va – dit-elle en riant... si ça te fait plaisir, je me promènerai les fesses à l’air aussi souvent que tu me le demanderas mon amour...

Sous la table, je sentis son pied remonter sur mes jambes, son escarpin verni se glisser entre mes cuisses et se poser sur ma braguette.
— J’aime t’exciter mon chéri. J’aime sentir tes mains sur moi, caresse-moi le mollet mon chéri.
Heureusement, les nappes longues masquaient le spectacle aux autres tables. J’ai commencé à lui caresser le mollet. Son pied pressait ma braguette. Quand la serveuse est venue retirer nos assiettes, Sylvie n’a pas bougé, laissant son pied sur mon entrejambe comme si de rien n’était. Le regard de la serveuse se posa quelques secondes sur la culotte de dentelle sagement pliée sur la nappe.
— Je suis sûr que dans dix secondes, tout le personnel du restaurant sera au courant que tu ne portes plus ta petite culotte ma chérie – dis-je en souriant.
Sous la table, la pression de l’escarpin se faisait de plus en plus précise sur mon sexe raide dans le jean, j’ouvris alors ma braguette pour le sortir de là et commençais à frotter mon gland visqueux contre le cuir de son escarpin et le nylon de ses bas. Je me branlais ainsi sur sa jambe. Elle retira son pied après quelques minutes.
— Garde des forces pour tout à l’heure, j’ai envie que tu me fasses l’amour toute la nuit... dit-elle en passant la langue sur ses lèvres.— Moi aussi j’ai hâte de me sentir en toi ma chérie, hâte de sentir ta petite chatte toute lisse sous ma langue et de la remplir avec mon sexe...
J’ai attrapé la culotte sur la table et me suis essuyé le sexe avec avant de refermer mon jean, puis je l’ai tendue à Sylvie, tachée de sa mouille et mon liquide préséminal...— Tiens ma chérie, tu peux la ranger, il ne faudrait pas l’oublier ici...
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