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L'antiquaire

Chapitre 1

Trash
Laure est une belle femme blonde de trente-deux ans. Elle est mariée depuis plus de quatre ans à Martin L. un riche industriel nantais de dix ans son aîné. Les affaires de Martin sont certes prospères mais aussi très chronophages. Souvent en déplacement, il n’a que peu de temps à consacrer à sa femme dont l’activité principale consistait, jusqu’à une époque récente, à gérer leur grand hôtel particulier situé dans le meilleur quartier résidentiel de Nantes.
Les tentatives du couple pour avoir un enfant avaient jusqu’alors échoué et les nombreuses consultations chez les meilleurs spécialistes de la région n’avaient pas permis d’identifier les causes de cette infertilité. Les époux s’étaient accordés jusqu’à la fin de l’année en cours pour parvenir à leur désir de conception. En cas d’échec, ils étaient prêts à envisager une procédure d’adoption.
Face à ces perspectives peu réconfortantes, Laure s’était plainte à plusieurs reprises de son oisiveté auprès de son mari. Lorsqu’il eut enfin pris la mesure du désarroi de son épouse, Martin avait fini par lui proposer de s’associer à Solène, une de plus ses vieilles amies, pour gérer une petite boutique d’antiquités et de décoration située dans le centre historique de la ville. Solène est une belle femme brune de quarante ans qui connait Martin depuis son plus jeune âge.Enfants, Solène et Martin s’entendaient comme larrons en foire et tout le monde dans leur entourage s’accordait à penser qu’ils finiraient par se marier.
Mais après avoir obtenu son bac, Solène était allée étudier dans une prestigieuse école de design à New York et les deux amis d’enfance avaient fini par s’éloigner. Une fois son diplôme en poche, la belle brune avait enchainé divers jobs aux USA jusqu’à ce qu’elle rencontre Guillermo, un hidalgo argentin très sûr de lui qui avait réussi à dompter son tempérament volcanique. Après deux ans de vie commune dans la grande pomme, la jeune femme avait accepté de suivre son petit ami désireux de retourner en Argentine pour intégrer l’entreprise familiale.
À cette époque, les parents de Solène n’avaient jamais compris pourquoi leur fille si éprise d’indépendance avait choisi d’accompagner ce macho dominateur et prétentieux dans son pays. Il est vrai qu’ils ignoraient que Guillermo était un amant exceptionnel et qu’il avait su réveiller la sensualité endormie de la belle Solène pour qui le sexe était alors devenu aussi important que l’air qu’elle respirait. Lorsqu’ils vivaient à New York, Solène et Guillermo fréquentaient les clubs libertins et la belle brune avait même accepté d’assouvir le fantasme de son ami désireux de la voir possédée par des étalons noirs surmembrés. Les orgasmes procurés par ces "black bulls" amenèrent Solène à entretenir plusieurs liaisons avec les plus performants et elle ne se privait pas de les inviter à l’honorer aussi souvent qu’elle le souhaitait avec ou sans la présence de son compagnon.
Une fois à Buenos Aires, il devint beaucoup plus compliqué pour la jeune femme de continuer à entretenir ce genre de relations et Solène qui tenait une petite galerie d’art pour occuper ses journées finit par se lasser de la fadeur de sa vie en Amérique du Sud. Elle décida donc de retourner en France peu après son trentième anniversaire, estimant qu’il était temps pour elle de retrouver une vie plus conforme à son statut de jeune femme issue de la bourgeoisie bretonne.
Et ainsi, deux ans plus tard, Solène épousait Arnaud T. chirurgien plastique promis à un brillant avenir. La jeune femme semblait alors bien décidée à fonder cette grande famille espérée de tous leurs vœux par ses parents et beaux parents. Mais Arnaud s’avéra vite peu disponible, préférant consacrer son rare temps libre à jouer au golf et, accessoirement à sauter les infirmières de la clinique dont il était associé, plutôt qu’à honorer sa charmante épouse. Celle-ci en désespoir de cause fit part de son mal être à son vieil ami Martin. Le brillant industriel, jamais à court de ressource, lui suggéra de se trouver une occupation professionnelle. Et comme sa marraine, la sœur de sa mère, lui avait fait part de son désir de jouir de sa retraite, Martin avait sauté sur l’occasion pour proposer à Solène de reprendre la boutique de décoration et d’antiquités de sa tante. Cette sexagénaire à la santé fragile n’attendait en effet qu’une telle opportunité pour mettre un terme à sa vie professionnelle.
L’affaire n’était pas vraiment rentable mais Martin possédait les murs de la boutique et il était prêt en cas de besoin à renflouer les comptes à la condition que Solène ne s’octroie qu’une rétribution symbolique chaque mois.Bien sûr, l’amie d’enfance de l’industriel accepta volontiers ces exigences, les revenus de son mari étant largement suffisants pour permettre au couple de vivre dans une aisance plus que confortable.
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Lorsque Martin expliqua à Solène que sa jeune épouse allait désormais la seconder à la boutique, on ne peut pas dire que la sensuelle quadragénaire fut transportée de joie. Mais elle n’insista pas trop pour dissuader l’industriel car elle savait ce qu’elle lui devait. Elle était en outre bien consciente que sans les largesses de Martin, le magasin n’aurait pas pu continuer son activité pendant bien longtemps. Au delà de l’obligation de devoir partager la gestion et la commercialisation avec Laure, ce qui gênait Solène plus que tout, c’était la remise en cause de sa liberté d’action et les modifications qu’allait imposer la présence de l’épouse de son bailleur dans la boutique. Solène craignait notamment devoir espacer ses étreintes régulières avec Memeth, le gérant de la teinturerie voisine. Celui-ci avait ainsi l’habitude de partager son déjeuner avec la belle quadragénaire et ensuite de planter son imposant mandrin dans les orifices accueillants de la brune volcanique. Cette dernière avait en effet cessé de mettre entre parenthèses sa libido étouffée par le manque d’entrain de son conjoint lorsqu’elle avait compris que le colosse velu et basané serait ravi de lui offrir les étreintes qu’elle espérait de tout son corps. Memeth était un amant vigoureux et endurant dont les attributs virils rivalisaient sans peine avec ceux des "black bulls" dont Solène faisait son ordinaire lorsqu’elle vivait à New York. Et la jolie quadragénaire qui avait renoncé depuis longtemps à tout projet de maternité avait fini par trouver un équilibre satisfaisant entre sa vie mondaine, son activité professionnelle et les fougueux assauts de son amant Méditerranéen.
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Pour éviter de se marcher sur les pieds, une fois la période d’apprentissage de Laure terminée, les deux femmes décidèrent d’assurer la permanence au magasin en alternance. Solène officiait les mardi et vendredi. Laure assurait les mercredi et samedis. Et les deux femmes se retrouvaient toutes les deux à la boutique chaque jeudi. Contrairement à ses craintes, Solène s’entendit tout de suite avec Laure et au bout d’un mois, les deux femmes étaient devenues les meilleures amies du monde. Laure, fine mouche comprit rapidement la teneur de la relation entre son amie et Memeth, le teinturier. Mais elle ne lui fit aucun reproche estimant d’une part que ça n’était pas son problème, et d’autre part que le comportement du mari de son associée excusait largement ses infidélités. D’autant plus que la brune volcanique ne lui avait nullement caché qu’elle avait un très gros appétit sexuel et que même si Arnaud avait été un mari exemplaire, elle aurait sans aucun doute fini par le tromper. Ainsi ne fit-elle aucun mystère à Laure de ses expériences border line en Amérique et, malgré son éducation plutôt rigoureuse, cette dernière trouva ces confidences fort émoustillantes.
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Les deux femmes avaient donc trouvé un mode de fonctionnement qui les satisfaisaient toutes les deux, et Laure s’avéra assez rapidement comme une vendeuse très efficace pleine d’idées pour exploiter le potentiel commercial de la boutique.
Tout allait donc pour le mieux et cette belle association aurait pu perdurer longtemps si un événement inhabituel n’était pas venu la perturber.
En effet, un couple assez particulier se présenta un mercredi au magasin juste avant l’heure de fermeture. L’homme avait environ la cinquantaine. Grand et élancé, doté d’un regard d’un noir troublant et d’un menton volontaire, recouvert d’un bouc savamment entretenu, Il portait un costume trois pièces et des chaussures de ville faites sur mesure dont la qualité laissait supposer le pouvoir d’achat fort conséquent de leur propriétaire.Sa femme blonde platine était beaucoup plus jeune. Vêtue de noir des pieds à la tête, elle portait des vêtements certes luxueux mais aussi très suggestifs: chemisier légèrement transparent au décolleté vertigineux sur des seins ronds et siliconés, jupe crayon fendue très haut qui découvrait les genoux et permettait à un oeil averti d’admirer le liseré de ses bas coutures, escarpins noirs à talons aiguille de quatorze centimètres, large chapeau, voilette en tulle et gants montants en fine fleur d’agneau.
— Bonjour madame, commença l’homme en découvrant Laure après avoir franchi le seuil de la boutique.
Sa voix envoûtante procura un frisson furtif à la commerçante.
— Permettez moi tout d’abord de nous présenter; je suis Charles Marcillac de D. Et la charmante personne à mes côtés est Erika, ma compagne. Nous recherchons, mon amie et moi-même, des objets décoratifs et des parures d’un genre un peu particulier.
L’homme prit quelques secondes pour examiner Laure avant de préciser.
— Si nous sommes ici ce soir, c’est parce qu’Erika m’a parlé de ce lieu à plusieurs reprises. Je dois admettre que votre boutique est agencée avec beaucoup de goût. Mais néanmoins, je ne suis pas sûr que nous pourrons y trouver ce que nous cherchons.— Nous ne présentons évidemment pas l’intégralité de notre stock dans le magasin, répondit Laure spontanément après avoir salué le couple en essayant de masquer son trouble. Et c’est justement une de nos particularités de pouvoir répondre aux demandes inhabituelles de nos clients. J’ai moi-même un très grand réseau de relations qui souhaitent souvent se débarrasser de pièces anciennes qui les encombrent. C’est pourquoi vous pouvez sans hésiter me faire part de vos envies.
La femme regarda son compagnon avec un sourire satisfait.
— Finalement, Erika avait peut-être raison, reprit l’homme. Depuis qu’elle a découvert votre boutique, elle n’a eu de cesse de m’y emmener. Nous recherchons effectivement, mon amie et moi, des objets anciens avec un véritable intérêt historique. De plus, ils doivent impérativement avoir une connotation sexuelle marquée.
Devant l’air interrogateur de Laure, l’homme précisa:
— Voyez-vous, nous formons Erika et moi ce qu’on appelle communément un couple libertin et mon amie m’est totalement soumise.La blonde platine se tourna vers Laure avec un grand sourire mais elle resta silencieuse.— J’ai décidé d’offrir à Érika une chaîne en métal précieux destinée à être fixée aux pointes de ses seins.
Le rythme cardiaque de Laure s’accéléra mais elle se garda d’interrompre l’homme qui poursuivit sur un ton égal.
— Mais, je ne souhaite pas acquérir n’importe quelle chaîne ancienne. Elle doit avoir effectivement servi de bijou de poitrine à une courtisane.
Erika entrouvrit alors son chemisier dévoilant les anneaux en or insérés dans ses tétons hérissés. Laure ne put s’empêcher de rosir à la vue de la poitrine arrogante qui semblait la narguer.
— C’est effectivement assez inhabituel comme demande, finit-elle par déclarer.
Charles ajouta ensuite.
— Sachez en outre pour votre gouverne qu’Erika possède une magnifique collection de reproductions de phallus de diverses matières et nous serions évidemment ravis d’y ajouter quelques pièces remarquables.
Laure attendit que le sang reflue de ses joues avant de répondre.
— Écoutez, je n’ai rien à vous proposer pour le moment mais je ferai part de votre recherche à mon associée et bien entendu, j’en parlerai aussi autour de moi. — Nous comptons sur vous chère madame, lâcha simplement l’homme avant d’offrir son bras à sa compagne.
Le couple quitta presque aussitôt le magasin et disparut du regard de Laure, légèrement abasourdie par l’échange qui venait de se dérouler. La jeune femme verrouilla alors la porte de la boutique avant de se rendre aux toilettes. En baissant sa culotte, elle découvrit une large tache humide au niveau de son entrejambe. La conversation avec le couple l’avait beaucoup troublée, mais elle ne savait pas trop si c’était le discours de l’homme ou la soumission de la femme qui était à l’origine de cette excitation inattendue.
Le lendemain, Laure fit part à Solène de la visite tardive de Charles et Érika.
— Eh bien dis donc! Tu es tombée sur de drôles de phénomènes. Je n’ai pas vraiment de connexion dans le milieu SM mais Arnaud m’a déjà parlé de certaines de ses clientes qui avaient besoin de ses services parce qu’elles avaient abusé de certaines pratiques préjudiciables à leur corps. Je crois qu’avant de se marier avec l’un des plus gros franchisés de la région, Maïté K. avait goûté à pas mal de déviations. Je la connais un peu et je peux essayer de la faire venir à la boutique si tu le souhaites. Je me souviens qu’à une certaine époque, elle était entre autres fortement attirée par les belles femmes blondes. La dernière phrase de Solène fit tiquer Laure mais elle ne releva pas.
Maïté, quinquagénaire brune, bien connue des chirurgiens esthétiques réputés de la région, avait accepté l’invitation des deux amies à les rejoindre dans leur boutique où elles l’avaient conviée juste après l’heure de fermeture pour être sûres de ne pas être dérangées. La visiteuse s’était rendue dans le magasin vêtue d’une robe de cuir noir moulante à col rond, de bas noirs à coutures et d’escarpins vernis noirs à talons aiguille. Elle avait écouté patiemment Laure lui relater la visite et la quête du couple qu’elle avait rencontré deux semaines auparavant.
— Je pourrai peut-être vous aider mes chéries, déclara Maïté simplement.— Mais qu’est ce que je peux espérer gagner en échange, ajouta t-elle en examinant Laure sans pudeur ce qui fit rougir la jolie blonde.
Comme les commerçantes ne trouvèrent rien à répondre, Maïté s’exprima à nouveau.
— Laure, je te propose de venir me voir chez moi seule demain après midi. Et nous verrons alors si nous pouvons nous entendre.
Une fois Maïté partie, Solène s’adressa à son amie :
— Je crois que tu as la cote auprès de notre visiteuse.
Laure esquissa une grimace que son amie ignora.
— Mais si tu veux qu’elle te cède un de ses trésors, il faudra te montrer très persuasive.— C’est à dire ? hasarda Laure.— Es tu prête à autoriser certaines privautés à Maïté, et à la laisser t’entraîner dans son lit?
Laure se mit à rougir mais dut constater que les propos de Solène la troublaient de manière inattendue. Son corps parlait pour elle et ses tétons gorgés de sang traduisaient son émoi tout autant que la lubrification soudaine de son vagin.
— As tu déjà couché avec elle ? s’enquit alors la trentenaire blonde sur un ton qu’elle voulut le plus détaché possible. — Non, je ne dois pas être son genre bien que j’ai déjà eu des relations saphiques lorsque je vivais en Argentine. Il se trouve que la soeur de mon petit ami me trouvait tout à fait à son goût et elle avait autant de tempérament que son frère. C’était d’ailleurs moins risqué pour moi là bas d’entretenir une liaison avec une femme plutôt que de multiplier les amants.
Le lendemain matin, Laure fut effectivement contactée par Maïté qui l’invitait à la retrouver dans sa grande villa située dans la banlieue chic de Nantes. Laure repensa brièvement à sa sa conversation de la veille avec Solène, mais la curiosité l’emporta sur toute autre considération.La femme adepte de chirurgie esthétique profitait d’un des transats installés au bord de sa piscine lorsque Laure s’annonça au portail de la propriété.La maîtresse de maison, vêtue d’un court déshabillé transparent, d’un minuscule slip de bain et de mules à talons hauts, se leva presque aussitôt et parvint à l’entrée de sa demeure au moment même où Laure refermait la porte de sa BMW.Droite comme un I, elle accueillit sa ravissante visiteuse en dardant ostensiblement la pointe de ses seins refaits vers l’arrivante.
Laure, troublée par la vision du corps savamment entretenu de Maïté, sentit son intimité devenir humide lorsqu’elle effleura ses lèvres en la saluant. La maîtresse de maison prit alors son invitée par la main et la conduisit dans une grande pièce située au sous-sol de la maison.
— Voici ma salle de sport privée, déclara simplement la propriétaire des lieux.
Laure écarquilla des yeux en découvrant les objets exposés dont la destination d’un grand nombre laissait peu de doute.
— Comme tu le vois, il y a sur les étagères de nombreux bijoux et bibelots qui feraient le bonheur de tes clients. Notamment cette chaîne en platine de la fin du dix-septième siècle, fixée au buste en bois qui fait face au lit. Le roi Soleil l’aurait offert à une de ses maîtresses à qui il avait demandé de porter des anneaux d’or dans les pointes des seins et le capuchon de son clitoris.
Cette évocation fit mouiller Laure de plus belle.
— Je suis sûre qu’elle t’irait à ravir ajouta Maïté en s’approchant de Laure pour promener ses doigts sur son cou délicat avant de l’embrasser à pleine bouche. La jeune femme ne se déroba pas et répondit avec fougue au baiser de son hôtesse qui attrapa fermement ses fesses rondes pour plaquer son sexe contre le sien.— Je constate avec plaisir que ta vulve bouillonne autant que la mienne. Mais je n’en suis pas vraiment surprise car dès que je t’ai vue, j’ai pensé que tu ferais sans aucun doute une excellente soumise pour qui saurait te diriger. Et dans ce domaine, je suis ce qu’on appelle une maîtresse expérimentée.
Laure sursauta légèrement alors que le sang irriguait ses joues mais elle resta silencieuse. Maïté s’approcha d’elle pour défaire les trois boutons supérieurs du chemisier de son invitée avant de s’écarter pour pouvoir la contempler à loisir.
— Déshabille toi maintenant. Ensuite tu me rejoindras sur le lit ajouta la maîtresse-femme en faisant glisser sensuellement son slip minuscule le long de ses jambes avant d’aller s’étendre sur le matelas géant.
Les cuisses largement écartées, elle toisait Laure avec un sourire carnassier attendant stoïquement que celle-ci vienne explorer l’entrée de sa grotte avec sa langue.
Laure resta interdite sans bouger pendant un petit moment. Puis elle se décida enfin à dévoiler son corps magnifique à Maïté qui pour entretenir son excitation titillait sans pudeur son bouton intime et ses nymphes rougies par le désir.
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Laure qui n’avait, avant ce jour, jamais dégusté l’intimité d’une femme s’appliqua du mieux qu’elle put, adaptant les mouvements de sa langue agile au volume des halètements de son hôtesse.En atteignant l’orgasme, la quinquagénaire maintint d’une poigne de fer le visage de sa visiteuse qu’elle arrosa copieusement de plusieurs jets de cyprine. Puis elle repoussa sans ménagement la tête blonde avant d’ordonner à son invitée d’aller chercher un imposant gode ceinture posé sur un des meubles de la pièce.
— Apporte moi ce magnifique phallus de bois bien nervuré et ensuite tu te mettras à quatre pattes sur le lit pour que je puisse te baiser.
Face à l’air effrayé de Laure, Maïté haussa imperceptiblement le ton tout en voulant la rassurer.
— Tu peux me faire confiance, cet objet créé avec passion par un artisan particulièrement doué de ses mains en a comblé plus d’une.
N’osant s’opposer à son hôtesse, Laure s’exécuta puis elle prit la position exigée, attendant avec une appréhension mêlée d’impatience que l’énorme tige de bois, fixée au bassin de son hôtesse par d’épaisses sangles de cuir, s’immisce en elle.L’épouse qui avait jusqu’à ce jour toujours été d’une fidélité exemplaire poussa un hoquet de surprise lorsqu’elle fut entièrement remplie. Contrairement à ses craintes, elle trouva fort agréable la texture de la matière enfoncée dans ses chairs.Maïté n’avait nullement l’intention de ménager son invitée. Elle se mit rapidement à la fouiller énergiquement maintenant solidement les fesses rondes et fermes en donnant de grands coups de rein.Peu à peu, Laure s’abandonnait, gagnée par de délicieuses ondes de plaisir qui irradiaient son bassin avec une intensité grandissante.
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À l’issue de l’étreinte qui avait procuré à Laure une jouissance d’une force inattendue, Maïté lui déclara, tout en caressant avec délicatesse ses courbes harmonieuses, qu’elle regrettait qu’une femme aussi désirable ne se soit pas rendue chez elle vêtue de dessous bien plus stimulants que ses trop sages collants.
— Vois-tu ma chérie, même si j’ai compris que tu souhaites revendre les bijoux que je t’ai fait découvrir, je ne céderai les plus beaux objets de ma collection qu’à une femme qui serait heureuse de les porter et les sublimer avec la lingerie et les talons qui font tant fantasmer les hommes.
Laure dut donc se soumettre à une séance d’essayage improvisée découvrant avec ravissement le plaisir procuré par la douceur de la soie de bas raffinés et avec émoi la difficulté à se déplacer avec des talons aiguilles accentuant au delà du raisonnable la cambrure de ses pieds délicats.
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C’est pourtant en arborant ces atours de courtisane, obligeamment prêtés par Maïté, ainsi qu’une courte robe au dos nu intégral, qu’elle attendit jusqu’à vingt-trois heures, dans le grand salon savamment éclairé de leur hôtel particulier, la rentrée de Martin, son mari absent depuis plusieurs jours. La découverte de sa femme espérant son chevalier dans une tenue aussi suggestive surprit d’abord l’homme d’affaires. Sa douce épouse n’avait en effet guère habitué Martin à un tel accueil lors de ses retours de déplacements professionnels. Mais son instinct de mâle s’éveilla rapidement, et il ne posa aucune question en dégrafant son pantalon avec un plaisir non dissimulé avant d’extraire sa verge de son caleçon de soie.
Les yeux de Laure se mirent à briller en découvrant l’épais mandrin pointé vers elle et Martin le prit pour un encouragement avant de s’approcher et de forcer brutalement les lèvres de sa belle.En baisant la bouche délicate, l’homme repensa à Sarah, l’escort rousse qui avait partagé son lit deux jours plus tôt et il se plut à imaginer sa femme, l’accompagnant vêtue comme une catin de luxe, prête à s’offrir à ses clients les plus répugnants.Un flot de sperme se répandit bien vite entre les joues rouges d’excitation de Laure qui se garda d’avaler la semence abondante préférant la laisser s’écouler sur son menton en fixant Martin avec lubricité.Le mari, loin d’être rassasié par la fellation inespérée, fut ravi par ce regard plein de promesses troubles lui démontrant sans ambiguïté que son épouse si sage pouvait se comporter comme une bonne femelle soumise à son seigneur.D’un geste conquérant, Martin arracha la minirobe dévoilant le porte-jarretelle et le string minimalistes de Laure qu’il prit dans ses bras avant d’aller la jeter sur le grand lit de la chambre d’amis toute proche.Tout en fixant Laure avec des yeux emplis de désir, Martin se débarrassa de tous ses vêtements. Puis il entreprit de redonner de la vigueur à son membre en se branlant lentement.Lorsqu’il estima son dard assez dur pour porter l’estocade, il se coucha sur sa femme et faisant fi du triangle de dentelle qu’elle portait encore, il s’enfonça d’un coup dans le fourreau brûlant de son épouse qui laissa échapper un râle de satisfaction.
Après avoir troussé sauvagement sa chérie transfigurée, tel un hussard sevré de sexe depuis trop longtemps, Martin avait rapidement retrouvé sa lucidité.Allongé entièrement nu dans le grand lit conjugal, aux côtés de Laure dont il caressait le dos avec douceur, il rompit le silence installé depuis son retour au bercail.
— Souhaites-tu que nous parlions de ton comportement et de ta tenue de ce soir auxquels tu ne m’avais pas vraiment habitué, demanda l’époux intrigué.
Laure émit un rire coquin avant de faire part à Martin de sa visite à Maïté K. Bien sûr, elle omit d’évoquer les étreintes débridées qui avait uni les deux femmes quelques heures plus tôt. Elle expliqua toutefois à son mari qu’elle était allée la voir car elle possédait des objets susceptibles d’intéresser certains clients de la boutique. La quinquagénaire avait alors souhaité montrer son impressionnante collection de lingerie à Laure et comme cette dernière lui avait fait de nombreux compliments, Maïté avait décidé de lui prêter quelques pièces, certaine que l’effet produit sur Martin par cette lingerie suggestive vaudrait à Laure une saillie en rapport avec sa beauté.
Le nom de Maïté K n’était pas inconnu à Martin et l’homme d’affaires ne mit guère de temps à se remémorer les moments partagés avec la femme, une quinzaine d’années plus tôt alors qu’elle n’était encore qu’une belle brune réservée dont les formes inspirantes faisaient le bonheur de Henrik, un riche armateur nantais. Ce dernier était alors le maître de Laure qui se pliait sans rechigner à ses désirs les plus troubles. Martin se souvenait notamment des soirées particulièrement débridées où en compagnie d’une douzaine d’hommes vigoureux il répandait son foutre sur le corps de la femme brune alors trentenaire après en avoir longuement exploré les orifices avec ses camarades de plaisir. Maïté avait un faible pour les sodomies dispensées par Martin dont le membre viril particulièrement épais lui procurait un plaisir anal au dessus de la moyenne.
À partir de quarante ans, Maïté avait cessé d’être le jouet de jeunes mâles en rut pour se consacrer à son tour au dressage de jeunes jouvencelles inexpérimentées pour les livrer ensuite aux successeurs de ceux qui l’avaient tant baisée.Mais à cette époque, Martin s’était déjà rangé et avait quitté le milieu libertin après sa rencontre avec Aïcha une princesse des mille et nuits au tempérament de braise qui disparut un jour sans lui laisser de nouvelles. Quelques années passèrent, et après quelques liaisons plus ou moins sérieuses, l’homme d’affaires fit la connaissance de Laure qui devint sa femme un an plus tard.
Au lit, Laure était avant ce jour d’un conformisme déprimant, mais Martin était sincèrement amoureux de la belle blonde et les services d’escorts louées à l’occasion de ses nombreux voyages d’affaires permettaient au quadragénaire d’assouvir ses désirs plus sulfureux.
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À partir de cette soirée fondatrice, les tenues choisies par Laure pour se rendre à la boutique évoluèrent de manière substantielle. Il était rare qu’elle se rende au travail sans arborer un élégant porte-jarretelle et des talons d’au moins douze centimètres. Et ceci pour le plus grand plaisir de Martin qui se mit à consacrer un budget non négligeable à la lingerie de son épouse.
En découvrant le nouveau look de Laure, Solène se garda bien de toute remarque trop heureuse de voir son associée mettre enfin en valeur ses charmes tellement tentateurs.
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Laure avait roulé plus de trente kilomètres au volant de son luxueux SUV avant d’atteindre le grand portail en fer forgé donnant l’accès à la forêt qui protégeait la résidence bicentenaire de Charles Marcillac de D.La belle femme blonde portait une élégante robe portefeuille marron qui découvrait ses genoux, un porte-jarretelles en dentelle marron assorti à ses bas opaques et des escarpins en python à talons de treize centimètres.Elle avait méticuleusement choisi sa tenue, contenant difficilement son excitation à l’idée de revoir le couple libertin pour leur présenter la parure confiée par Maïté.
La veille au soir, elle avait longuement sucé Martin avachi dans le fauteuil de son bureau puis son mari l’avait forcé a se mettre à quatre pattes sur l’épais tapis avant de la prendre en levrette. Une fois de plus, il avait introduit son index et son majeur dans le fondement avant de saisir fermement ses hanches et de la fouiller sauvagement.Laure savait que Martin ne rêvait que de déflorer son œillet et elle ne se refuserait pas à son seigneur malgré l’appréhension suscité par l’épaisseur imposant du dard de son conjoint qui, lorsqu’elle se réveilla à huit heures, avait déjà quitté l’hôtel particulier pour se rendre en Angleterre pendant trois jours.
Quand Laure se présenta à la porte du manoir perdu dans la campagne nantaise, un petit sac en étoffe luxueuse à la main, elle fut accueillie par Romuald le majordome mulâtre de la vaste propriété. L’homme à la taille nettement au dessus de la moyenne était certes vêtu d’une veste et d’un gilet de livrée. Mais il était nu de la taille aux chevilles exposant à la visiteuse une magnifique colonne de chair marron clair qui pendait jusqu’au milieu de ses cuisses.
— Bonjour madame L. Je vous souhaite la bienvenue dans la demeure de mon maître. Il vous attend en compagnie de sa compagne, se contenta de déclarer l’homme à la peau sombre, ignorant l’air effaré de Laure qui hésita quelques secondes avant de suivre le grand mulâtre.
Charles Marcillac de D., le riche propriétaire des lieux, vêtu d’un élégant costume fait sur mesure comme toutes les pièces de sa garde-robe, défiait Laure du regard, confortablement installé dans un large et profond fauteuil. L’homme avait à la main, une laisse reliée à un collier en cuir qui enserrait le cou délicat d’ Erika. Celle-ci, qui se tenait debout aux côtés de son maître, portait des bas fantaisies maintenus autour de ses cuisses par des jarretières grises, des bottines à lacets et sur son buste aux courbes somptueuses, rien d’autre qu’une longue chaîne en or reliant les anneaux plantés dans ses tétons à ceux insérés dans les grandes lèvres de son sexe.
— Vous tombez bien chère Laure, lâcha Charles d’un ton détaché. C’est l’heure de la saillie d’Erika. Cette salope ne sera pas satisfaite tant que la queue d’âne de mon majordome ne l’aura pas fouillée longuement. Si vous le voulez bien, asseyez-vous sur le fauteuil situé à ma droite. Nous nous délecterons ensemble du spectacle en regardant Romuald posséder mon amie.
Erika se tourna brièvement vers l’invitée, un grand sourire aux lèvres, puis elle se mit à quatre pattes sur le canapé, la croupe largement offerte au majordome dont la matraque déployée avait pris des proportions gigantesques.Malgré son effarement, Laure fit ce que lui avait demandé son hôte et s’installa pour assister à la scène décrite préalablement.Le mulâtre inséra un bâillon balle dans la bouche de sa maîtresse et il l’attacha solidement avant de se positionner derrière la blonde platine. Puis il saisit fermement son membre majestueux et frappa la croupe magnifique d’Erika à plusieurs reprises avant de s’introduire dans le fourreau trempé d’excitation. Le hurlement que poussa la femme lorsque le tenon fut entièrement planté dans son con fut étouffé par le bâillon. Erika transpirait et gémissait sous les coups de boutoir de son amant. Subjuguée et sidérée à la fois, Laure ne pouvait détacher ses yeux du coït qui se déroulait dans la pièce. La chatte de la trentenaire blonde ruisselait littéralement.Et Charles se rendit aisément compte de l’état de son invitée. Il s’adressa d’un ton péremptoire à son serviteur:
— Romuald, lorsque tu en auras fini avec cette chienne que tu honores quotidiennement, je souhaiterais que tu baises la jeune femme assise à mes côtés. Laure voulut protester mais à sa grande stupeur, aucun son ne parvint à sortir de sa bouche.
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Érika, affalée sur le sol, récupérait lentement de la jouissance que venait de lui procurer l’étalon à la peau marron.Pendant que ce dernier se déshabillait intégralement, Charles s’adressa à sa voisine.
— Veuillez vous lever ma chère et retirer votre robe ainsi que votre soutien-gorge et votre slip. Et ne faites pas attendre Romuald, s’il vous plaît. Regardez comme il est impatient de vous remplir.
Le dard monstrueux du mulâtre s’était en effet redressé pointant sa tête beige vers la jeune femme tétanisée. Le majordome s’approcha pour prendre la main de Laure et l’aider à se lever.
— Obéis à mon maître, ordonna-t-il d’une voix ferme en fixant Laure de ses yeux noirs.
Incapable de s’opposer, celle-ci retira robe et sous-vêtements ne conservant que ses bas, son porte-jarretelles et ses talons avant de se tourner vers Charles.Celui-ci fit un signe à son employé qui vint empaumer les deux seins de Laure avant de pencher sa tête pour l’embrasser à pleine bouche.La femme ne résista guère à la pression du gros et puissant appendice qui forçait ses lèvres et bien vite les deux langues se mêlèrent sans retenue.Pendant ce baiser passionné, Érika s’était relevée et approchée du couple.Puis elle avait lentement parcouru le corps de Laure de ses doigts agiles avant de glisser son index bien vite rejoint par son medium dans le vagin trempé.L’intromission inattendue provoqua un hoquet de Laure qui tenta d’écarter la main inquisitrice. Mais Érika avait déjà rejoint son maître afin de lui faire respirer et goûter les effluves musquées des sécrétions recueillies sur ses phalanges.
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Alors que Laure venait de connaître le plus puissant orgasme de son existence au moment exact où le majordome avait déversé des flots de foutre au fond de son con, Charles prit la parole pour s’adresser à son employé d’une voix qui fit frissonner la visiteuse :
— J’ai l’impression que tu viens d’engrosser notre nouvelle amie. Je sais reconnaître lorsqu’une femme est fertile.
L’invitée devint pâle comme un linge. Son excitation lui avait fait oublié toute prudence et tout discernement. Comment avait-elle pu accepter de se faire saillir ainsi comme une vulgaire traînée par ce larbin surmembré. Bien sûr le plaisir qu’elle y avait éprouvé était incomparable mais jamais elle ne se serait comportée de cette manière avant... Avant quoi d’ailleurs, sa rencontre avec Solène ? La visite à la boutique de ses hôtes du jour? L’après-midi passé chez Maïté ? Que signifiaient tous ces événements improbables qui semblaient s’enchaîner à intervalles de plus en plus courts. Et si jamais Charles avait raison, si Romuald l’avait réellement fécondée alors que toutes les tentatives de concevoir effectuées avec Martin, son mari, avaient échoué jusque là?
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