Hello les amis ! Piège ou pas piège alors ? Je crois que vous comme moi, on est assez unanime, mais je vais peut-être vous permettre d’avoir un avis plus clair en vous contant la suite des évènements...Donc je suis sortie de sa chambre, je me suis directement dirigé dans la salle de bain, comme si je venais de m’amuser avec mon mari. Ça semblait naturel alors que tout ceci n’a rien de « conventionnel », disons-le. Mais il fallait bien continuer à vivre, je n’allais pas me cacher sous ma couette ad vitam æternam. Facile à dire quand on est seul dans une pièce et qu’on n’a pas le regard de son petit posé sur soi vous allez me dire ? Vous n’auriez pas tort... Je me déshabillais, je crois un peu machinalement, j’avais la tête encore sur ce qui venait de se passer. J’essayais de comprendre, d’anticiper un peu le reste de la journée. J’étais tiraillé entre ma raison qui voulait tout de suite et pour sûr, calmer le jeu et mes pulsions sexuelles ! Lorsque je déposai mes affaires dans le panier à linge, je remarquai que mon petit string rose de la veille trônait sur l’ensemble de ce tas de linge. Il y a encore quelques jours, ça ne m’aurait pas surpris, ça aurait fait partie de mes tentatives de provocations auprès de mon fils Antoine, mais comme je vous l’avais dit, ma libido s’est réveillée il y a à peine une petite heure. Donc ces derniers jours, j’évitais de laisser traîner mes sous-vêtements comme ça. Et quelle fut ma surprise quand je le pris en main... De longues traînées d’un liquide visqueux l’accompagnaient. Il était inondé. Je l’ai approché de mon nez pour être certaine, mais aucun doute, c’était du sperme. Ce qui était surprenant, c’était la quantité, mais aussi le fait qu’il était encore tiède. Julien ? Je venais d’avaler une quantité folle de son sperme, impossible qu’il puisse remettre le couvert et surtout avec de telles quantités... Antoine alors ? Moi qui pensais qu’il était allé aux toilettes pour faire un petit besoin, était-il en train de reposer l’objet de son crime avant que je me lève ?? Pendant que j’avalais son petit frère, lui était en train d’asperger mon petit string en dentelle ? Je ne vais pas vous mentir, pendant que ma tête remettait en place les pièces de ce puzzle (c’est un puzzle de 10 pièces pour les moins de 3 ans, on est bien d’accord), j’avais plaqué ce string contre ma bouche et mon nez. Je le humais. J’essayais avec ma langue d’attraper les quelques giclées de sperme qui était resté sur ce morceau de tissu, sali par les envies perverses de mon grand garçon. J’étais de nouveau en feu, mes doigts glissaient dans la fente de ma petite chatte, mon clitoris gonflait presque à vue d’œil, je suis certaine. Il m’en fallait plus... je venais de quitter ma salle de bain, j’étais dans le couloir avec ma serviette enroulée autour de moi et ce string dans une main : A droite, la chambre de Julien. Le taux de réussite de pouvoir jouer avec sa queue sans trop de soucis était de l’ordre de 99 %. Il venait de se vider il y a 10 minutes dans ma bouche certes, mais à son âge, on ne manque pas de ressource. Et puis, j’étais certaine de pas m’ennuyer avec son énorme gourdin. A gauche, la chambre d’Antoine. Le taux de réussite était de l’ordre de 50 %. Trop d’incertitudes. Sa réaction en me voyant avec ce string en main ? Comment aborder le sujet sans le braquer ? Mais une telle envie de goûter à sa queueeeeee !!! J’étais décidée, ce sera Antoine !!! Alors que mes talons se tournaient vers sa chambre, j’entendis des pas, puis le poignet de sa porte s’enclencher ! Il ne m’en fallait pas plus pour me précipiter vers la chambre de Julien. Pourquoi ? je ne saurai pas vous dire...
Alors que j’étais appuyé contre la porte de sa chambre et que je tendais l’oreille pour savoir ce que faisait Antoine, je ne prêtais pas attention à mon petit. J’avais mis mon index sur ma bouche pour lui faire signe de ne pas faire de bruit, mais je réalisais en un mouvement de tête d’une demi-seconde que le petit avait encore le gland bien dur au bout de ses doigts. Je n’en revenais pas !... Il venait de verser pas loin d’un litre de sperme dans ma gorge 10 min plus tôt, mais il avait toujours envie de se vider. Je restais appuyé contre la porte, j’admirais le spectacle qui s’offrait à moi. Julien n’avait plus de gène, il devait penser que je venais chercher la suite du repas. Alors qu’on entendit son frère descendre les marches de l’escalier tout doucement pour ne réveiller personne (s’il savait...), son frère s’installait dans son lit, mais face à moi, le dos appuyé contre le mur. Les jambes semi-écartées, la queue dressée comme un I, il me défiait du regard avec un sourire au coin des lèvres en masturbant sa grosse queue. Je ne reconnaissais plus mon petit ange, il était devenu la tentation incarnée ! Comme s’il savait comment m’exciter...Il vit mon string dans ma main, il me demanda : — Un petit cadeau maman ? — heu ... j’avais certes léché quelques gouttes de sperme d’Antoine, mais ce string était encore mouillé et parfumé du jus de son frère. Et pourtant...— Oui c’est pour toi mon cœur ! je me disais que tu méritais au moins ça pour avoir régalé ta maman ce matin ! je lui balançai le string qu’il attrapa avec sa main encore libre ! je crois que j’avais envie de punir son arrogance en faisant cela, mais au fond, quand il mit son nez dedans et qu’il l’inspirait profondément en empoignant encore plus fortement sa bite, je venais de déclencher en moi le mode « no limit ». Je fis tomber ma serviette, j’étais nue pour la première fois devant lui. Une main malaxait mes seins, mes tétons et l’autre doigtait ma petite chatte. Il était hypnotisé par ce spectacle, bouche grand ouverte, cette culotte était déjà loin dans sa tête. Il se branlait fortement, cette queue était immense. Je la voulais et pas seulement dans ma bouche. Je m’approchai, j’étais comme aimanté par cette bite que je ne lâchais pas du regard. Il comprit que je venais à lui, il referma ses jambes pour me permettre d’en faire le tour avec les miennes. Et sans un mot, sans un regard complice vers mon petit, je chevauchai sa queue au plus profond de mes entrailles...!! Elle avait beau être la plus grosse queue qui ait pu traverser mon corps, jamais une queue n’avait aussi bien glissé en moi qu’à ce moment très précis pour autant. Je restais assise sur cette queue pendant de longues secondes, je voulais la sentir de partout. Je me déhanchais un peu, il fallait qu’elle se sente chez elle, bien au chaud dans ma petite chatte. J’étais tellement bien, je tremblais, je posais mes mains contre le mur, ce qui permit à Julien d’attraper ma poitrine avec ses mains et puis de mettre sa tête entre ses deux grosses mamelles. Tu sentais qu’il avait rêvé de ce moment depuis longtemps. Je basculais un peu en arrière, sa tête suivit la bascule entre mes seins. Je caressais ses cheveux pour mieux l’encourager. Quel bonheur de sentir ce plaisir chez mon petit ! Sa queue faisait toujours son effet dans ma petite chatte et avant qu’il explose à nouveau, j’entrepris quelques va-et-vient, mais surtout des avants arrière de plus en plus forts pour bien sentir sa queue et aussi frotter mon clitoris contre son corps. Pendant que lui se délectait de ma poitrine, moi je m’agrippais à ses cheveux et n’ayant pas peur des mots, je me baisais bien fort avec sa bite. Je l’entendais me dire quelques mots par-ci par-là comme : — Hmmm maman, continue... j’adore tes seins... tu me fais bander comme personne maman. Et moi j’ai dû répondre : — Fais-toi plaisir mon cœur, lèche les bien ! ... Ils sont que pour toi !... Ta bite est tellement bonne mon ange ! Je ne sais pas si on peut parler de longues minutes, mais ce fut suffisamment long pour que j’explose ma jouissance sur sa queue. J’essayais de ne pas crier, mais que ce fut dure ! Et lorsque je sentis que mon fils allait lui aussi gicler dans ma petite chatte, je posai ma main sur sa bouche et je descendis sur sa queue pour attraper une fois de plus ces giclées dans ma bouche. Hmmm ! je ne sais pas si vous avez déjà eu ce plaisir, mais quel bonheur ce jus qui gicle dans votre bouche et coule dans votre gorge...Pas envie de partir comme une voleuse cette fois-ci, je pris mon petit dans les bras, il posa sa tête sur ma poitrine en attrapant de nouveau ce petit string rose et me dit : — Merci encore maman pour ce cadeau ! Hi hi hi... Si tu savais...
