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Antoine, l'ami de papa

Chapitre 1

Hétéro
Salut, je vais tout d’abords me présenter, je m’appelle Julie et j’ai aujourd’hui 19 ans, je suis blonde aux yeux verts. Physiquement, on peut dire que je suis "bien foutue" j’ai un ventre plat, un cul rebondi et ferme et une poitrine d’assez bonne taille (ni trop grosse, ni trop petite).
Je vais vous raconter l’histoire de ma première fois plutôt spéciale. Cela c’est passé, il y a tout juste un an. C’était l’été et mon père avait invité son meilleur ami d’enfance, Antoine à passer une semaine à la maison. Antoine est un gars d’une quarantaine d’année divorcé, ni beau, ni laid, un peu bedonnant. Bref, pas vraiment l’homme idéal. De plus, il était assez pervers : je l’avais surpris de nombreuses fois à regarder ma poitrine ou celle de ma mère ainsi que nos culs. Cependant, malgré le dégoût qu’il aurait inspiré à certaine, j’avais toujours eu une sorte de faible pour lui et pensais souvent à lui d’une autre manière que celle que j’aurais normalement dû avoir.
Ce jour là, il faisait très chaud et nous avions passé l’après midi au bords de la piscine. Le soir venu ma mère mis le couvert sur la table du jardin et nous avions mangé dans une ambiance sympathique. Antoine était assis à côté de moi et ne manquait pas de regarder discrètement ma poitrine généreuse qui débordait légèrement de mon haut de maillot de bain, cela ne me dérangeait guère et je me surprise à apprécier le regard qu’il portait sur moi. A un moment, je sentit sa main sur ma cuisse, ce qui me fit sursauter, je le regardai dans les yeux et remarquai son regard pétillant et son léger sourire en coin. Mes parents ne remarquèrent rien, sans doute un peu sonnés par la quantité d’alcool avalée à l’apéro. Antoine n’enleva pas sa main et commença même à caresser ma cuisse doucement tout en continuant à discuter avec mes parents. Moi, je n’écoutais plus rien, je pensais seulement à cette main chaude posée si près de mon intimité. Cela me procurait une sensation de chaleur dans tout le corps et je me sentais mouiller légèrement. Antoine laissa sa main jusqu’à ce que mes parents annoncèrent qu’ils allaient se coucher. Je décidai de rester un peu dans le jardin pensant qu’Antoine partirai en même temps qu’eux. Cependant au lieu de se lever, il prit une énième cigarette et l’alluma. Je restai assise sans bruit.
"- ça t’a gêné ? — Non— T’as aimé alors ? — O ... Oui. — T’as pas l’habitude hein ? Pourtant j’suis sûr que plein de gars te courent après vu ta paire de melons. — Il y en a oui mais ils ne m’intéressent pas. — Tu préfères les filles ? — Non ! Euh .. Enfin je n’ai pas testé. — T’es vierge non ? — Oui. — J’en étais sûr."
Après cette courte discussion, je sentais une envie monter dans mon ventre, une sorte de chaleur au niveau de mon bas ventre. Une sensation que je n’avais jamais éprouvée. J’avais envie de ressentir sa main sur mon corps. Cette pensée m’arracha un frisson. Il le remarqua. Sans dire un mot, il déposa sa cigarette dans le cendrier et se leva. Il tourna ma chaise pour que je sois face à lui. Je remarquai une bosse dans son short. Il s’agenouilla face à moi, comme il était grand, sa tête était toujours à la hauteur de la mienne. Il défit le noeud du haut de mon maillot qui tomba, dévoilant mes seins et mes mamelons durcis. Il commença jouer avec ces derniers, les pinçant, les faisant tourner entre ses doigts. Il caressa mes seins, les malaxait joyeusement. La chaleur dans mon ventre s’intensifiait à chacun de ses mouvements. Soudain il commença à lécher mon téton droit, sa langue faisait de petits cercles autours, il le suçait, tétait. J’adorai ça. Je sentit sa main sur mon ventre, descendre vers mon maillot, passer en dessous. J’écartai les cuisses pour lui offrir un passage. Au lieu de continuer, il s’arrêta leva la tête et se leva. Il prit ma main, tira pour me relever et m’emmena dans la chambre d’ami qu’il occupait. Là il me jeta sur le lit; toujours à moitié nue. J’enlevai entièrement mon haut de maillot qui était encore accroché et esquissai un mouvement pour ôter le bas. Il arrêta mon mouvement.
"Laisse-moi faire" Sa voix était dure, rauque. Ce n’était pas l’intonation qu’il avait d’habitude, là il semblait donner un ordre.
Timidement, je laissai tomber ma main. Il enleva son T-shirt et remarquai que finalement il était plutôt bien fait. La dernière fois que je l’avais vu torse nu, il avait un "bide à bierre" mais la son ventre était presque plat, légèrement musclé. J’avais envie de passer mes mains de partout sur son torse, de l’embrasser. Mais l’air sévère qu’il arborait m’interdisait tout mouvements. Il enleva délicatement mon bas de maillot (Dieu merci je m’étais épilée le matin même) et son regard retrouva le petillement qu’il y avait tout à l’heure lorsque qu’il n’y avait que sa main. Ses yeux s’attardèrent sur ma chatte qui mouillait maintenant beaucoup. Il cligna des yeux et repris son air sévère. Il se débarrassa de mon maillot en le jetant dans un coin de la chambre. Il commença à faire glisser ses doigts le long de ma fente doucement, caressa mon clitoris. Le simple fait de son doigt effleurant mon bouton gonflé de désir me fit frissonner. Il continua à caresser ma chatte un petit moment avant d’enfoncer brutalement deux doigts dans mon vagin humide. La brutalité de son entrée me fit lâcher un petit cri mais bientôt je senti le plaisir revenir en moi. Il commença à faire entrer et sortir ses doigts sans aucune délicatesse. Mais j’aimais ça, je gémissais doucement.

Il arrêta soudainement ses doigts et approcha sa tête de mon intimité. C’est là que le véritable plaisir commença. Avec sa langue, il lécha ma fente pleine de cyprine, la faisait entrer en moi. Il léchait mon clito, le suçait, jouait avec. Il continua mon plaisir buccal et me pénétra avec deux doigts. Il fit ceci jusqu’à ce que l’orgasme arrive, ce qui déclencha une foule de sensations nouvelles dans tout mon être. J’étais prise de sursauts. Antoine me regardait, un sourire aux lèvres.
"-C’était bon hein. (j’acquiesçai d’un mouvement de tête) Maintenant à moi."
Sur ces mots il se releva et déboutonna son short. Je me levai alors, encore chancelante de ma première vague de plaisir et l’arrêtai dans son mouvement, tout comme il avait fait. Je plongeai mon regard dans le sien qui avait l’air étonné, et lui lançai le plus sensuel des regards que je pouvais.
"Laisse-moi faire" lui dis-je avec la voix la plus sensuelle possible et un sourire aux coins des lèvres. Il me rendit mon sourire et ses yeux retrouvèrent une nouvelle fois leur pétillements.
En ne le quittant pas du regard, je défaisais sa fermeture éclaire et laissait tomber son short . Il était maintenant en caleçon déformé par une immense bosse, je me collai à lui et sentais la bosse chaude contre mon ventre, je mis mes bras autour de son cou, me mis sur la pointe des pieds et l’embrassa à pleine bouche. Il me rendit mon baiser et nos langues se lièrent, la sienne qui venait tout juste de me goûter avait un goût spécial. Il mit ses mains sur mes fesses et les caressa doucement. Jamais je n’avais vécu pareil plaisir. Je dû cependant y mettre fin en me rappelant la bosse du caleçon qui ne demandait qu’à se libérer. Je pris alors les devants. J’enlevai son caleçon et sa bite sorti d’un coup, tendue, fière, droite et dure. Je restai ébahie devant cette chose qui se dressait devant moi. Je revins tout de même à mes esprits et repris mon rôle de femme sensuelle, j’ôtai le caleçon et poussait Antoine sur le lit. Il semblait apprécier. Il s’assit au bord du lit et je m’agenouillai par terre entre ses jambes. Je commençai alors à le branler doucement, je décalottai son gland comme j’avais vu faire des actrices dans des films que je regardai parfois. Je fit des mouvements un peu hésitant au début et au fur et mesure je me lâchai un peu et commençai à changer de vitesse, de pression et à lui caresser les couilles . Antoine soupirait en fermant les yeux. Sa respiration s’était accélérée. Je décidai de le mettre en bouche, avant je léchai mes lèvres et d’un coup je mis ma bouche autour de sa bite extrêmement dure. Je léchai alors son gland et suçait sa bite en faisant des vas et viens plus ou moins appuyés. A un moment, il me fit lever la tête et me fit comprendre qu’il allait venir d’un regard. Je sorti alors sa bite mais continuai à lécher le gland tout en le branlant, il sourit en comprenant que j’allais le recevoir en bouche. Il ferma alors les yeux et un premier jet de sperme atterri sur ma langue et sur mon visage, suivirent deux ou trois autres jets que je m’appliquai à garder en bouche. Une fois qu’il eu fini j’avalai tout d’un trait et ramassa ce qu’il y avait sur mon visage d’un doigt que je mis ensuite à sucer. Il s’approcha et m’embrassa sur le front.
"- T’es bonne pour une première mais c’est pas fini. Je vais te baiser.— C’est ce que j’attends— Attend un peu que je reprenne du poil de la bête petite salope." Dit-il d’une voix amusée.
Nous nous mîmes alors sur le lit tout les deux nus, et nous couchâmes enlacés.
"- Tu n’avais jamais rien fait avant aujourd’hui ? murmura-t-il à mon oreille— Non jamais, je n’en avais jamais eu envie. — Tu ne t’es jamais touchée parfois ?— Si quand même mais ça n’a rien à voir avec ce que j’ai ressenti là. — C’est normal. Tu sais que tu me fais bander à chaque fois que je te vois ? Depuis que tu as cette paire-là ( il prend un de mes sein à plein main et joue avec le téton)— Ah oui ? — Oui. Tu es sacrement bonne."
Tout en discutant il commençait à me caresser doucement la chatte d’une main et les seins de l’autre. Je senti dans mon dos, sa bite se remettre à durcir doucement. Je mouillai en pensant que j’allais bientôt l’avoir en moi, j’avais envie qu’il me baise de toutes ses forces, je voulais être sa salope. Il enfonça un doigt dans mon vagin et le ressorti pour continuer à jouer avec mon bouton qui ne demandait que ça. Je fermai les yeux pour sentir au mieux ce qu’il me faisait et soupirai doucement. J’avais maintenant une folle envie de sa grosse bite dans ma chatte. Je tournai alors vers lui, plongeai les yeux dans les yeux le regard suppliant et dit "baise moi". Il sourit tendrement et me mit sur le dos. Il se plaça au dessus de moi, prit sa bite d’une main et se branla doucement. Il l’approcha alors de mes lèvres et commença à les effleurer avec son gland. Il guidait sa queue avec sa main et finalement s’arrêta devant mon vagin, il fit rentrer sa bite de quelques millimètres et pris mes bras pour les mettre au dessus de ma tête. Il les tint d’une main. Il commença d’abords à embrasser mes seins, lécher mes mamelons. Il se redressa un peu et commença alors le va et vient infernal.
Il fit entrer sa bite d’un seul coup brutal de rein ce qui m’arracha un cri de douleur. Ce que ça faisait mal. Il donnait les coups de bassin rapide. Il me baisait. La douleur fit cependant place à la chaleur dans mon bas ventre, un vrai plaisir s’emparait de moi. Il me pistonnait violemment et j’aimais ça, être baisée comme une chienne. Mes seins rebondissaient dans tout les sens. Je ne pensait plus à rien, vraiment. Il s’arrêta après un instant, sorti sa bite. Je remarquai qu’elle était couverte de sang. Il retourna en un seconde et me pris en levrette comme une pute. Je gémissais de plaisir à chaque coup de rein qu’il assénait. Je me senti alors venir. Mon vagin se contracta et je senti un jet de cyprine s’en échapper. Antoine continua à me labourer, un peu plus doucement et sorti pour se vider. J’aurais tellement voulu qu’il finisse en moi, mais il avait eu raison, je ne prenais pas la pilule à cette époque. Épuisés, l’un comme l’autre, nous nous sommes écroulés dans le lit à bout de souffle, cependant un sourire illuminait chacun de nos deux visages. J’étais heureuse de ce moment passé avec lui, heureuse qu’il ait pris ma virginité. Je n’avais qu’une seule envie. De recommencer un autre jour.
"- La prochaine fois je prends ton cul" son ton était serein mais ce n’était en aucun cas une question. Je souris, contente de savoir qu’il y aurait une autre fois. Je me levai alors pour aller dormir dans ma chambre même si je n’en avais pas envie mais il le fallait pour que mes parents ne se doutent de rien. Antoine me retint par la main.
"- Reste j’ai des réserves pour la nuit." Son regard pétillaient et montrait une réelle envie de me voir rester, son ton était doux. Je souris et me recoucha à ses côtés, la tête posé sur son torse.
Nous passâmes une nuit magique. Il ne toucha pas à l’autre entrée cette nuit-là mais cela ne saurait tarder.

A SUIVRE.
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