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D'Antoire à Laetitia ...

Chapitre 1

Travesti / Trans
Tout débute, alors que j’ai dix-huit ans, je suis un jeune homme plutôt, timide et réservé. Antoine, 1m80, 70 kilos, corps fin, longues jambes, cheveux mi-longs, car c’est la mode masculine du moins. Et sexuellement, je me cherche sans trop savoir, quelques relations amoureuses avec des filles, mais toujours très superficielles, je suis encore puceau. Une attirance non assumée pour le bdsm, le fétichisme du latex, vinyle, cuir, la perversion, la féminisation. J’ai déjà joué avec quelques bougies dans mon petit trou, mais de manière maladroite et plutôt pour expérimenter, mais sans tirer de conclusion !
J’habite toujours chez mes parents dans un pavillon de banlieue parisienne. Je suis fils unique. Milieu familial plutôt bourgeois, mais pas coincé du moins en apparence. Malgré tout, je me cache et ne parle avec personne de ces penchants qui occupent de plus en plus mon esprit. Nous avons un chien et vous verrez que cela à son importance. Je suis étudiant à la fac de psycho, mais peu d’amis, car trop timide et réservé. Je ne sais pas trop ce que je veux faire de ma vie donc je suis des cours sans vraiment y être intéressé.
En effet, lors d’une sortie du chien, je croise une femme promenant ses chiens dans une tenue qui ne me laisse forcément pas indifférent. La femme porte des cuissardes à semelles plateformes en vinyle blanches, une minijupe en latex blanc ainsi qu’une brassière en latex blanche, et une sorte de perfecto en vinyle blanc entrouvert. Elle a de longs cheveux blond platine, maquillage appuyé, mais sexy, démarche assurée et chaloupée. Autant dire qu’en la voyant, je suis électrisé, mon esprit ne peut résister, et tout en faisant comme si de rien n’était, la promenade du chien devient un prétexte pour observer de loin la dame. Après une dizaine de minutes de promenade en la suivant à distance, je la vois rentrer dans un immeuble non loin de chez moi. Je rentre donc avec mon chien à la maison en notant donc l’heure pour espérer recroiser cette incroyable créature.
Très vite, je me mets à guetter si je l’aperçois et durant le mois suivant, je deviens un véritable détective, la souplesse de la fac me permet d’être très disponible, connaissant ces principaux horaires de promenade de ces chiens ainsi que nombre de ces allées et venues. Je sais même qu’elle est gogo danseuse en boîte de nuit et a priori possiblement stripteaseuse. Autant dire que je deviens un suiveur très assidu pour ne pas dire limite harceleur, mais je reste à distance et suis toujours discret.
Chaque jour, elle porte une tenue différente, mais toujours digne de mes fantasmes, latex, vinyle sont une composante permanente ensuite les couleurs et les types de vêtements varient, mais toujours un plaisir pour mes yeux. Depuis mes débuts de détective, j’ai pu l’observer trois fois en boîte de nuit, durant de nombreuses promenades canines, ainsi que lors de ces courses alimentaires, mais un jour en la suivant, elle pénètre dans une boutique que je connaissais de nom et dont la réputation est tournée sur l’univers Bdsm (tenue, accessoires...). Grand moment de réflexion, la belle y est entrée et pour le coup, je n’ai moi-même jamais été aussi près de rentrer dans cet univers qui me fascine. Je me lance.
Je passe une première porte, puis une sorte de rideau et découvre un lieu plus petit que ce que je pensais, mais malgré tout grand et rempli de merveilles pour mes yeux, mon cerveau est en ébullition, je ne sais où donner de la tête. Mon cœur bat à toute vitesse, mélange d’émotions, peur d’être potentiellement reconnu, honte que l’on puisse découvrir mes fantasmes intimes et bien sûr excitation de voir de près tous ces tenues, ces objets, ces accessoires... Vous l’aurez compris, mon esprit a totalement abandonné la demoiselle et je suis en train de vivre le moment présent en regardant tous les trésors qui se dévoilent à moi dans cette caverne de débauche !
Je tourne et retourne dans les allées, les rayons, comme pour inventorier le magasin, je suis décidé à repartir d’ici avec un achat, lequel je ne sais pas encore, j’ai envie de tout, mais je n’ai pas les finances et il va falloir faire un choix judicieux. Autant dire que j’ai très envie de pouvoir essayer ces matières latex ou vinyle. Pour ne pas risquer de me dévoiler, je choisis un t-shirt en latex noir et un minishort lui aussi en latex noir, mais ces deux objets sont plutôt unisexes donc cela passe. J’hésite au moment de choisir la taille, un vendeur le constate et me dit il y a des cabines, vu le montant de l’achat je me dis qu’il serait bête de me retrouver avec ces précieux achats, mais qu’ils ne soient pas à ma taille.
Je me résigne donc et je vais dans une cabine pour essayer. Autant dire que la cabine est assez sommaire, un espace assez restreint délimité par trois parois très étroites et en guise de porte un rideau qui ne va pas au sol et qui peine à joindre les deux côtés. Péniblement je commence donc à me dévêtir. Stratégiquement je me mets torse nu, j’enfile le t-shirt, premier contact avec le latex, je suis surexcité, cela moule mon torse fin et me fait une seconde peau. Cela me met dans un état tel que je suis moins attentif à faire attention au rideau et à cet espace très exigu, j’enlève mon pantalon mes chaussettes, mon caleçon et j’enfile alors le short. Ce n’est pas évident le latex colle et péniblement je me débats pour arriver à enfiler celui-ci. Une fois en place je contemple mon image dans le miroir malgré la faible lumière et suis aux anges quand soudain le rideau s’ouvre.
Surpris je sursaute et je découvre la femme que je suivais initialement ! En un instant je passe du statut de suiveur à celui de suivi ! Je ne sais quoi dire je reste bouche bée, honteux d’être ainsi vu et à la fois excité mon cerveau court-circuite. La dame me regarde sourire aux lèvres et dit :
— Ah mais cela te va très bien !
Restant silencieux, elle enchaîne :
— Je me demandais bien depuis tout ce temps, ce que tu me voulais, mais en fait je comprends tu es une petite salope et tu rêves d’être désirable comme moi !!
Comme seule réponse je rougis.Elle prend alors les étiquettes du t-shirt et du short et me dit :
— Enfile tes vêtements par-dessus ta tenue et rejoins-moi à la caisse Salope.
Ne sachant plus quoi dire ou faire, je m’exécute sans broncher, sans un mot, j’enfile par-dessus mes vêtements et rejoins donc la belle en caisse qui pose les étiquettes à la caisse et dit : "elle va vous prendre ceci, mais elle est trop impatiente elle les garde sur elle". L’homme à la caisse sourit m’annonce le montant, je règle, puis nous sortons.
Une fois dans la rue, toujours aussi assurée la dame me dit : "maintenant nous allons continuer chez moi, nous prenons donc le métro", je reste toujours muet comme sous hypnose et je suis. Tout le trajet se passe en silence, avec de simples jeux de regards où je finis irrémédiablement et docilement par baisser les yeux.
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