Après ce trajet en métro qui me parut durer une éternité, tout en étant à la fois très court, ma tête bouillonnait de réflexions, d’interrogations qui restaient sans réponse. Ainsi, j’étais partagé entre excitation et peur, ne sachant pas vraiment quoi faire, quoi dire ou bien même encore ce qui m’attendait. Arrivés à destination d’un simple regard, elle me fit comprendre que nous descendions, toujours docile et en silence, je suivis.Une fois dans la rue, elle me dit : — Passe devant moi petite salope, tu connais le chemin ! Je me suis donc retrouvé à marcher devant elle, j’avais l’impression que tout le monde pouvait voir ma tenue sous mes vêtements "classiques", je mourrais d’envie de voir ce que Madame faisait derrière moi, mais déjà sous son emprise je n’en faisais rien. Au bout de cinq minutes de marche, nous sommes arrivés devant la porte de son immeuble, je me suis stoppé, elle a alors ouvert la porte puis direction l’ascenseur.Une fois entrés dans celui-ci, Madame me dit : — Enlève tes vêtements que je te vois dans ta belle nouvelle tenue. Sans broncher, je me suis exécuté, fébrilement me retrouvant donc en short et t-shirt de latex, le reste de mes vêtements à la main.Arrivés au sixième étage, elle sortit et m’indiqua de la suivre. Elle ouvrit alors la porte de chez elle et m’invita à entrer.Je suis donc entré dans un appartement très confortable et spacieux. La porte à peine fermée, Madame m’ordonna de déposer mes affaires dans l’entrée par terre puis de me positionner à quatre pattes à côté de la table basse du salon. Toujours docile, j’ai obtempéré. Ainsi placé, j’ai observé du coin de l’œil ce qu’elle faisait, à savoir qu’elle a préparé à boire puis est venue poser deux verres de vodka orange sur la table basse, puis elle s’est assise dans le canapé face à moi. Elle m’a invité à boire puis s’adressant à moi m’a dit : — Alors tu es une petite salope, mais dis m’en plus sur toi ! Ne sachant quoi répondre, je suis resté silencieux.Elle a alors commencé un questionnement en règle, sur mes attentes, mes envies, mes fantasmes...
Bien évidemment malgré l’excitation, le stress, la peur et la honte m’ont bloqué dans mes premières réponses, mais l’alcool aidant puisque Madame a servi et resservi à loisir, ma langue s’est déliée au fur et à mesure, m’amenant à me livrer et surtout à livrer toute mon intimité. Ce moment a duré une bonne heure, au bout de laquelle bien évidemment, l’alcool mêlé à l’excitation m’ont mis dans un état de docilité et de disponibilité parfaite.Madame bien consciente de mon état, s’est alors levée pour venir caresser du bout de ses doigts mon corps comme pour en prendre connaissance et possession. Me faisant me cambrer pour bien mettre mon cul en valeur et l’exposer, venant aussi de entrer un doigt dans ma bouche pour me le faire lécher puis sucer, puis elle m’a indiqué d’attendre le temps qu’elle se change. Durant ce moment où je suis resté seul à quatre pattes dans son salon, j’ai observé plus en détail mon environnement sans bouger, mon esprit embrumé ne sachant pas du tout à quoi m’attendre ou quoi faire, je restais donc immobile. Lorsqu’elle revint, je fus vite ramené à la réalité en la voyant arrivée vêtue de cuissardes en vinyle noir, minijupe en latex noire et une brassière en latex noire très décolletée mettant en valeur sa généreuse poitrine.Elle s’est assise dans le canapé, puis en écartant ses jambes, sa minijupe est remontée dévoilant son entrejambe nu et lisse, elle m’a alors dit : — Montre-moi de quoi tu es capable petite pute, viens me lécher ! Sans un mot, j’ai avancé à quatre pattes vers elle et approché ma bouche de sa superbe chatte, un premier coup de langue puis un second puis je me suis mis à l’ouvrage sans ménagement. Très vite j’ai senti que je lui faisais de l’effet, ses mains sont venues derrière ma tête me plaquer plus fermement sur sa chatte tandis qu’elle me disait : — Bonne bouffeuse allez continue.— Rentre bien ta langue salope... C’est ainsi que rapidement je lui ai offert un orgasme, ce qui bien évidemment m’a fait plaisir, mais aussi beaucoup excité. Revenue à elle, elle m’a félicité puis m’a dit : — Tu as passé la première épreuve maintenant nous allons voir tes autres compétences de petite lope. Ainsi elle est allée chercher dans un placard différents accessoires. Le premier fut de me mettre un collier et une laisse. Elle m’a donc ainsi promené dans le salon un moment puis elle a enlevé celui-ci et m’a ordonné de me mettre nu.Je me suis donc exécuté sans un mot, j’étais nu debout devant elle. Elle m’a alors dit : — Tu as un joli corps très fin ma salope, mais ces poils ce n’est pas possible. Nous avons donc pris la direction de la salle de bain et quinze minutes plus tard j’en ressortais le corps intégralement lisse grâce à la crème dépilatoire et quelques coups de rasoirs. Puis elle m’a passé une cage de chasteté en plastique rose bonbon qu’elle a fermé d’un petit cadenas dont elle prit soin de garder la clef.Ensuite, elle m’a habillé et maquillé comme si je n’étais qu’une simple poupée. La tenue fut la suivante minijupe en latex rouge, string en vinyle rouge, un corset extrêmement serré en vinyle rouge, un collier en cuir rouge. Ainsi elle m’invita à me regarder dans le miroir : — Tu es une bonne pute ainsi tu ne trouves pas ? Je n’en croyais pas mes yeux, je ne me reconnaissais pas en revanche j’adorais mon image ainsi.Je me suis donc contenté de répondre : — Oui Madame. A cette réponse une fessée me claqua le cul et elle me dit : — Petite putain je ne suis pas Madame, mais Maîtresse.— Oui Maîtresse désolée. Ensuite, elle m’a fait m’appuyer à la table de son salon pour tendre mon cul, elle a alors enfilé des gants en latex, qu’elle a ensuite lubrifié et retroussant ma jupe, elle a écarté la ficelle du string et là j’ai senti son doigt venir me fouiller. Je me suis légèrement crispé à cette découverte.Maîtresse a alors dit : — Détends-toi petite pute, tu vas voir tu vas aimer. Sans un mot j’ai donc essayé de me laisser faire et de me relâcher, rapidement un deuxième doigt est venu puis un troisième.Après un certain temps de ce petit jeu, j’ai senti un objet glisser en moi et Maîtresse me dire : — C’est un plug ma salope tu vas apprendre à apprécier cela et cela va te former. Une fois celui-ci bien en place, Maîtresse m’a invité à m’asseoir puis elle m’a interrogé sur mon emploi du temps et mes disponibilités pour le mois à venir.
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