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Un apéro surprise

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Et là-dessus, c’est deux doigts qui rentrèrent dans mon fondement... ce que j’appréciais beaucoup... Je sentais ses doigts fins remuer, aller et venir et c’était délicieux...Julie, qui regardait mon ex m’enculer, ouvrit acrobatiquement son tiroir et en tira le gode-ceinture... Elle l’avait pris de mon côté, au cas où, je suppose, mais elle avait plutôt pensé à lui pour ses ébats saphiques...Je sentis les doigts de Christine se retirer... Je continuai à lécher consciencieusement ma femme qui gémissait doucement quand je sentis sur mon anus une matière plastique... J’allais avoir droit à un enculage en règle.
— Alors, je vais mettre un peu de gel pour que ça glisse mieux et que ça rentre bien au fond... Tu es prêt, me demanda mon ex...
— Oui, répondis-je, à la fois content et un peu anxieux, je connaissais la taille de l’engin...
Julie se redressa, se rapprocha de sa maîtresse et commença à guider la bite factice dans mon tréfonds...Le premier centimètre passé, la route était tracée, j’avais un peu mal, mais le plaisir d’être pris par mon ex guidée par mon actuelle était tel que j’en réclamais plus :
— Allez, salope, encule-moi à fond, lâche-toi ! hurlais-je.
Je n’eus pas à le regretter, Christine, tout en embrassant Julie et Denis qui s’était rapproché, me démonta le cul à grands coups, je sentais le gode au fond de mes entrailles...
— T’es vraiment une petite salope, m’apostropha mon ex-femme, prête à tout, comme ton copain, dit-elle en regardant Denis...
Lui aussi devait se faire enculer, tiens tiens...
Après un temps qui me parut incroyable tant j’étais « absorbé », elle se retira, je m’affalai sur le côté et je vis le gode se diriger vers Julie ; cette dernière s’était couchée sur le dos, bottes en l’air, chatte ouverte, et Christine ne se fit pas prier, elle approcha le gland en latex et enfila ma femme avec vigueur... Cette dernière hurla à la fois de plaisir et de douleur et sa maîtresse, comme elle l’avait fait avec mon cul, démonta le minou baveux, la cyprine coulant à grosses gouttes sur le drap bleu de notre lit... Ses mains trituraient les seins de Julie, et cette dernière avait les yeux clos, la bouche ouverte, toute à son plaisir...
Je conseillai doucement à Denis d’aller emplir ce trou « libre », il approcha sa bite d’une bonne taille des lèvres et la pénétra buccalement... Mon épouse prit entre ses mains les couilles et les caressa tandis que le mandrin lui rentrait dans la gorge, Denis lui imposant une gorge profonde... Ça eut l’air de plaire à Christine qui accéléra encore, frappant les fesses de son amante en lui criant :
— T’es vraiment une pute, je le savais, une grosse chienne, tu vas jouir comme une grosse salope que tu es !!!
Je vis que Denis n’allait pas tenir longtemps et après deux ou trois aller-retour plus profonds encore – Julie devait avoir du mal à respirer –, il gémit très fort et ne bougea plus, le sperme se répandant au fond, tout au fond de la gorge de mon amour qui visiblement avala tout... Denis se retira et à ce moment, la langue de Christine vint prendre la place de la queue, sans que sa propriétaire ne cesse de baiser sa copine que je sentais épuisée... Je m’approchai moi aussi de leurs deux bouches et je me vidai sur leurs lèvres, elles se pourléchèrent longuement et ne perdirent rien de mon sperme bien épais...
— J’en peux plus, dit Julie enfin, avec la queue de Christine toujours dans son con défoncé, si on mangeait le dessert pour se remettre ?
Tout le monde avait besoin de repos, même Christine qui avait joui aussi à force de coups de boutoir... Elle dit :
— Tout à l’heure, ce sera la fête à ma chatte, j’espère ...— Bien sûr, ma chérie, ne t’inquiète pas, répondit Julie en lui faisant un bisou sur les lèvres...
Alors que nous mangions une bonne mousse au chocolat et un peu de champagne – encore – soudain, Julie se leva, vint vers Christine qui était assise en face d’elle, repoussa la chaise, et ouvrit ses deux jambes gainées du cuir de ses cuissardes :
— J’adore la mousse au chocolat, lui dit-elle, les yeux et le sourire coquin.
Christine comprit immédiatement le message, prit à pleine main un peu de mousse et s’en badigeonna la chatte... Puis, elle prit les cheveux de sa maîtresse presque violemment et la figure de Julie vint s’encastrer dans son con au chocolat... Elle se mit à laper comme une petite chienne, elle était maintenant quasi marron, la mousse se mélangeant au jus intime de Christine :
— Ah, tu es gourmande, espèce de salope, bouffe ta mousse et bouffe ma chatte !
Après quelques minutes de ce traitement, Christine releva la tête de Julie, la fit relever, lui appliqua une bonne dose de mousse sur la chatte, en répartit de nouveau sur la sienne et s’allongea sur le canapé... Sa partenaire vint se poser en 69 et toutes deux se dégustèrent bruyamment, la mousse devenue liquide coulait sur le canapé en cuir noir...Elles se relevèrent, encore pleines de chocolat, et s’embrassèrent à pleine langue... Je bandais comme un âne...
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